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inquiétude


John

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Je vous explique: il y a quelques mois, pour mon premier stage en CP qui s'est très mal passé, j'écrivais très souvent à mon ancienne prof de psycho péda car elle me donnait des conseils. Elle m'a après coup demandé si elle pourrait utiliser mes mails pour parler de l'expérience de PE2 car elle trouvait mon témoignage intéressant. J'ai dit oui, ça n'engageait à rien, juste des citations, c'était sympa!

Et puis je reçois un mail du magazine ce soir... pas quelques citations... une grande partie de mes mails retranscrite telle quelle...

Ce n'est pas tellement dérangeant sauf que je dis dedans que j'ai souvent hurlé et que j'ai parfois tapé sur la table avec un grand cahier ou que j'ai tapé une fois du poing 3 fois très fort pour avoir le silence juste avant la sortie, la première semaine.

Mon angoisse: et si les personnes qui me suivent tombent sur cet article? Il y a mon nom, mon prénom, et je dis que j'étais en CP à Clichy sous bois. Elles vont tout de suite me reconnaître.

Alors voilà, sachant que mon second stage en maternelle s'est très bien passé, que je sentais bien la classe et que je n'ai pas eu besoin de crier du tout, me conseillez-vous d'écrire au magazine pour leur demander de ne mettre que mes initiales et non mon nom et mon prénom ou pensez-vous que ce témoignage ne me portera pas préjudice au final?

Ce magazine, je ne sais pas si mon IMF ou ma PIUMF le lisent, mais il est connu. C'est le journal des professionnels de l'enfance.

J'attends vos réponses, c'est important pour moi.

Amitiés,

John

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Idem!

Je pense même qu'ils n'ont pas vraiment le droit de te citer aussi nommément!

Je trouve d'ailleurs que ta prof qui "utilise " tes mails en a peut etre dit un peu trop!pour une psycho pédagogue, elle ne voit pas bien loin ! elle même aurait pu penser à ta validation...Non?

Défends toi et exige l'anonymat, ce n'est pas que pour la PE2 et la validation mais pour le principe! Tu donnes un accord pour des extraits de mails et tu retrouves des mails entiers, ton nom et l'école citée.. je trouve que ça fait un peu beaucoup!

Et que dirais un parent d'élèves de cette classe en lisant cet article?

Bon courage et tiens nous au courant.

Fran:)

qui a elle aussi beaucoup crié et même cassé une règle et un efface tableau sur le tableau!!!!

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anonymat!!ça me parait évident!bon courage.

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ah confusion! j'ai dû mal m'expliquer! Il n'y a pas le nom de l'école, "juste" le niveau de la classe, la ville, mon nom et mon prénom. Ca y est, je viens d'écrire au journal, en modifiant en rouge comme ils me l'ont demandé ce que je voulais changer. Je vous copie colle ici l'article. je pense qu'ainsi, on ne me reconnait plus:

Quatre jours dans la vie d'un stagiaire en élémentaire

Témoignage d'un professeur des écoles stagiaire

Ouf… Je viens vous raconter le début de mon stage (banlieue parisienne en élémentaire, dans le 93 en ZEP). Un peu chaotique. J'ai passé les trois quarts de la journée d'hier à crier. Ça a parfaitement fonctionné au début, moins en fin de matinée et plus du tout en début d'après-midi. Ensuite, j'ai décidé de ne plus élever la voix mais de prendre un ton plus ferme. Un chahut s'est déclenché - il y en a trop à cause d'une organisation que je vais changer -, je me suis assis sur une table devant les élèves et j'ai attendu. Au bout de trois ou quatre minutes, j'ai eu le silence complet… mais l'heure avait tourné.

Les moments où j'ai obtenu la plus grande attention ? La séance de lecture, les enfants assis par terre autour de moi ; la séance de chant, avec les canons ; le temps du travail sur ardoise ; quand j'ai appelé trois élèves pour faire la démonstration d'un jeu mathématique. Ceux où j'ai eu un chahut pas possible ? Quand j'ai demandé à deux élèves de distribuer les cahiers ; quand j'ai demandé à tous les élèves de coller une feuille ; quand la moitié de la classe a eu fini les activités en mathématique et en français cinq minutes avant les autres ; quand j'ai dû aller donner du matériel aux élèves -ils n'en ont que peu avec eux et quand ils m'en demandent - ce qu'ils ne font jamais en même temps ! -, nous allons en chercher au fond de la classe, dans des boîtes à chaussures.

Relaxation pour tous…

Aujourd'hui, j'ai changé de méthode. Dès que je suis arrivé, je leur ai demandé s'ils avaient tous : leur ardoise, un marqueur qui marche, un effaceur pour ardoise, un crayon à papier, une gomme, un stylo à bille bleu, des crayons de couleur. J'ai collé les feuilles dans les cahiers pendant la récréation. J'ai annoncé quelques actions avant de rentrer en classe - qui allumera la lumière, fera la météo, distribuera les cahiers, arrosera les plantes…

J'ai commencé la journée avec un CD de relaxation - quinze minutes le matin en sourdine, puis après chaque récréation de la journée, ainsi qu'en début d'après-midi. Ce qui a fait merveille, mais des institutrices m'ont dit que les enfants allaient s'y habituer et que ça ne ferait bientôt plus effet…

La classe s'est bien mieux passée, sauf après l'éducation physique et sportive où ils ont été infernaux. Impossible de leur lire une histoire - ce n'était peut-être pas une bonne idée, en fin de journée - pendant la demi-heure restante ; j'aurais dû les faire chanter.

Je me suis laissé déborder les cinq dernières minutes ; un chahut pas possible qui s'est déclenché quand je leur ai demandé de se mettre en rangs devant la porte. Des élèves se sont mis à se battre, d'autres à crier. J'ai crié, ça n'a rien fait. J'ai attendu, ça a empiré. La seule solution qui m'est venue a été de taper du poing trois fois sur la table et d'hurler aux élèves de se taire. Ça a été radical. Seulement, je ne désire pas recommencer, car ça m'a abîmé la voix, et le poing par la même occasion !

Je ne sais pas ce qu'il faut faire quand un tel débordement se produit en à peine quelques minutes. J'aurais peut-être dû le sentir venir, ou encore attendre. Le problème est que j'ai instauré la règle que personne ne sort tant que le rang n'est pas formé et qu'il n'y a pas le silence. Mais quand il y a un débordement comme cette fois-là, il semble que le silence ne puisse revenir que si je crie vraiment très fort d'un ton sec. Auriez-vous une solution ? À demain.

Presque plus de voix

C'est vraiment très dur... Je ne vais pas craquer nerveusement, pas de souci, mais ce soir, je n'avais déjà quasiment plus de voix la dernière heure. Je n'ose pas imaginer ce que ce sera demain. Le pire est que pendant quatre-vingts pour cent du temps, je les tiens, mais les vingt pour cent restants, je dois crier très fort car le ton monte d'un coup malgré mes remarques. Je dois trouver des moyens, musicaux par exemple, pour que le calme revienne, comme me mettre à chanter et baisser le ton peu à peu, pour qu'à la fin, on chuchote. Mais à part cette solution... Quelqu'un m'a donné l'idée du moyen bête et méchant consistant à éteindre la lumière et à leur dire qu'on allait se reposer comme on le fait avec les petits, puisqu'ils ne sont pas capables d'être calmes.

Pour les faire sortir dans le calme de la classe, on m'a donné une astuce qui a bien fonctionné : les faire se rasseoir si, au bout de quelques minutes, le rang n'est pas formé en silence. Compter jusqu'à cinq a marché les premières fois, pas les dernières. Quand le chahut devenait insupportable, la seule solution qui me semblait rester - je dis " semblait ", car il y en avait forcément d'autres, mais lesquelles ? - était de pousser une bonne gueulante. Ça les calme d'un coup à chaque fois, mais voilà, je n'ai presque plus de voix ; demain, je ne pourrai plus l'élever. On m'a donné une autre astuce, qui marche à peu près : montrer cinq doigts, les baisser lentement un à un. Quand il ne reste plus que deux doigts de levés, généralement, les enfants sont déjà calmes. Ça n'a pas fonctionné les dernières fois.

Je ne panique pas, mais j'ai l'impression d'avoir épuisé le stock d'idées... Si mes cordes vocales étaient infatigables, il n'y aurait pas de souci... J'ai peur que demain, ce soit un chahut que je ne puisse pas contrôler. À moins que j'utilise mes dernières ressources vocales, au risque de ne pas finir la journée.

Ils ne veulent même pas faire leurs exercices... Ils ont du travail. Quand ils ont fini en avance, je leur donne des exercices en autonomie, trouvés dans le Journal des instituteurs. Ils les comprennent et ça les occupe dix à quinze minutes. Mais même pendant les exercices, ils parlent, se lèvent. Je dois sans cesse les faire baisser d'un ton. J'ai eu le calme pendant la séance d'arts plastiques.

Je savais que ce travail était usant, mais je n'aurais jamais cru que ce serait à ce point. Je vous raconterai demain comment s'est passée la journée.

Le silence, immédiatement

Bonsoir... Ce n'est pas sans soulagement que je finis la semaine. Demain, réunion à l'école le matin. Je ne parlerai pas pendant trois jours pour retrouver ma voix.

Aujourd'hui, pas de cris le matin, ni l'après-midi, sauf à la fin. J'ai repris un élève dix fois en une heure. Il se retournait, se levait, dessinait, copiait sur sa voisine, discutait, rêvassait... Puis, j'ai explosé et l'ai envoyé chez le directeur avec un autre élève pour l'accompagner. J'en ai privé deux de récréation. Je les ai tous fait trois fois se rasseoir à leur table avant qu'ils se lèvent en silence et se mettent en rang devant la porte dans le calme. J'ai dû en mettre cinq au piquet dans la journée, pas plus de cinq minutes, ce qui les a calmés pour une heure ou deux. J'ai compté jusqu'à dix lentement pour avoir le silence ; ça a marché les premières fois, pas la dernière. Du coup, je leur ai fait mettre la tête sur les bras et on est resté deux minutes comme ça. Je leur ai dit qu'ils perdaient en tout cinq minutes de récréation.

J'ai l'impression de faire le gendarme plus que la classe. Alors, ils apprennent des choses. Je le vois avec les exercices, ils comprennent et apprennent. Mon emploi du temps est plutôt bien tenu, et je raccourcis des séances si elles sont trop longues.

Mon Dieu, j'entends encore leurs voix, à gauche, à droite, quand je suis de dos : " Maître ! Maître ! " Je fais des rappels à l'ordre chaque minute. " retourne-toi. " " retourne à ta place. " " fais ton exercice. " "arrête de discuter. " " Restez assis. " " Ne m'appelez pas sans lever le doigt. " " Vous n'avez pas à parler tous en même temps "... Et cela, toute la journée. Je fais le gendarme toute la journée. J'attends le silence. Je rappelle à l'ordre les élèves sans cesse. C'est épuisant et je n'éprouve aucun plaisir à faire ce stage. J'espère que ce ne sera pas comme ça toute ma vie...

Cet après-midi, pour éviter de crier, quand le volume sonore était trop haut et que compter jusqu'à cinq n'avait pas marché, j'ai pris un grand cahier pour taper un grand coup sur une table - il n'y a pas d'élève à cette table. Le silence s'est fait immédiatement et j'ai repris l'activité, sans crier, en continuant à expliquer l'exercice. J'ai utilisé ce procédé plusieurs fois dans l'après-midi, et à chaque fois ça a marché. Ça m'évite de crier et j'ai le silence tout de suite. Le sourire, je ne l'ai eu que peu aujourd'hui. J'ai l'impression que si je souris, c'est fichu.

La séance " plan de la classe " avec les photos a très bien marché - on a six photos de la classe sous différents angles, six groupes de trois à quatre élèves, et les enfants doivent trouver d'où j'ai pris les photos. J'ai vu que ça leur plaisait, ils avaient tous le sourire.

Mais vraiment... c'est un métier nerveusement très difficile. C'est faisable. J'y arrive, et la classe tourne ; l'organisation est au point, du moins je pense. Ce que je trouve dur, c'est qu'ils sont très agités, tout le temps. Il faut sans cesse faire le gendarme. C'est très frustrant, d'autant plus que des parents sont venus se plaindre parce que j'avais laissé des élèves se prêter du matériel qui n'était pas revenu - l'institutrice d'avant les laissait se prêter des choses. Les élèves qui devaient rendre les affaires les ont bien entendu oubliées chez eux. Je crois que c'est moi qui vais devoir racheter ce matériel ; sinon, j'aurai des problèmes avec les parents. Je n'ai du coup plus autorisé le prêt. Le problème est qu'on ne me dit rien !

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C'est un témoignage très intéressant qui montre les difficultés que nous, débutants, rencontrons à nos débuts.

J'ai l'impression que tes problèmes de discipline sont liés à des problèmes d'organisation. Dès le début, tu écris que tu as eu des problèmes quand les élèves ne sont pas en situation d'apprentissage (sur le plan des disciplines) mais quand il faut distribuer le matériel, coller, se mettre en rang. Donc ce qui est en rapport avec le savoir être. Ce qui nous parait fou, c'est qu'il faut vraiment penser à tout, nommer des responsables, faire respecter sa parole, etc.

Je te dis ça, mais je n'ai pas de solutions concrètes, je n'ai été qu'en maternelle. J'ai été impitoyable sur le plan de l'autorité. Ca a globalement marché. Je pense et j'espère que ces problèmes d'organisation trouvent une solution petit à petit avec l'expérience. On se dit: "Je me suis planté ici" ou "C'était le bordel là". Et on réfléchit, on teste... Et on croise les doigts pour que ça marche. Enfin, que ça marche en général, ça sera déjà super !

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Et bien , c'est assez éprouvant <_< <_<

Surtout quand tu dis : "C'est épuisant et je n'éprouve aucun plaisir à faire ce stage. J'espère que ce ne sera pas comme ça toute ma vie..." Malheureusement, comment le savoir... Parfois tu tomberas avec des classes agréables et d'autres fois, elles seront plus difficiles... Pourquoi?? Des éléments perturbateurs (2-3 élèves) qui arriveront à entrainer les autres,... Ce n'est vraiment pas évident, c'est sur :huh::huh:

Par contre ce qui m'a fait TILT c'est lorsque tu dis que tu as privé des enfants de récréation : tu le sais que c'est interdit??? J'comprends que tu en avais assez, mais c'est sur qu'il valait mieux que ton texte soit anonyme... Faut faire attention avec ça :huh:

Bref, je te souhaite bonne continuation et bon courage John!

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Et bien là, je ne vois vraiment pas qui pourrait te reconnaître dans les articles.

Je suis d'accord avec Florent, ça montre bien les difficultés qu'on recontre quand on débute. (ça fait pas très longtemps que j'ai débuté et mon premier SR ressemblait beaucoup au tien ...).

En fait, je pense que la "discipline" est finalement un ensemble de petites choses toutes simples auxquelles on ne pense pas forcément au début, un ensemble de "trucs" que l'on trouve et qui fonctionnent bien. ça fait 3 ans que je suis en maternelle et j'ai l'impression d'apprendre tous les jours un peu plus sur ce métier.

Concernant les récrés, c'est vrai que c'est interdit de les priver d'une récréation complète mais je crois qu'on a le doit de les priver d'une petite partie de la récréation.

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C'est vrai qu'on n'a pas le droit de priver un enfant de toute une récréation. Mais pour ma part, j'avais complétement zappé le plan vigipirate et je laissais les parents rentrer dans la classe pour m'aider à habiller plus vite les enfants. C'est la directrice qui m'a rappelé ce fameux plan ...

On ne connait pas toutes les règles et même si on les connait, nous sommes tellement absorbés par la gestion de classe que nous oublions certaines règles.

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Oui en effet on peu interdir un enfant d'une partie de la récréation Mais pas de la récréation totale, faut surtout faire gaffe c'est au niveau des parents, si certains s'en apercoivent en dscutant avec les enfants ou avec les profs, ils peuvent porter plainte et là le prof est en tort <_< <_< <_<

(meme si certains enfants méritent parfois d'en etre privé integralement...)

Moi, j'suis aussi en maternelle, et il est fréquent de voir souvent les meme enfants frapper les autres : que faire dans ces cas là??? On les prive de la récréation en étant assis ou en restant près de nous, mais bon, il faut bien qu'ils se défoulent aussi (j'me comprends dans le sens "courir", "jouer") sinon, ils seront intenables en classe et ce ne sont que des enfants :huh::huh:

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Moi, j'suis aussi en maternelle, et il est fréquent de voir souvent les meme enfants frapper les autres : que faire dans ces cas là??? On les prive de la récréation en étant assis ou en restant près de nous, mais bon, il faut bien qu'ils se défoulent aussi (j'me comprends dans le sens "courir", "jouer") sinon, ils seront intenables en classe et ce ne sont que des enfants :huh:  :huh:

Je les isolais dehors sur un banc 5 minutes. Que faire de plus ?

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entre ce qui est interdit et ce qui est appliqué... je t'assure qu'avec la classe de CP que j'avais... c'est le directeur lui même qui ma dit: "s'ils dépassent vraiment les bornes, tu les punis de toute la récréation, même si c'est interdit, au moins une fois pour qu'ils comprennent que tu ne plaisante pas"

Alors les premiers jours (ces mails datent des 4 premiers jours comme le dit l'article), j'avoue qu'excédé par la violence de certains élèves (car ils étaient très violents et très souvent), j'ai parfois perdu ma raison en en privant certains de la récréation.

Tumedis: "tu sais que c'est interdit?" mais si tu voyais tous les trucs interdits que j'ai vu faire dans les écoles! Une PE2 m'a même raconté qu'elle avait frappé un élève (une giffle). Heureusement, je n'ai eu aucune pulsion négative envers les élèves. Il ne me venait même pas à l'esprit (heureusement) d'utiliser la force, je veux dire ça ne m'a même pas effleuré l'esprit et des instits m'ont dit que ça les démangeait souvent au contraire. Alors de ce côté là, je suis plutôt content.

Il faut savoir que mon second stage, en maternelle, s'est incroyablement bien passé. Pas un seul cri, uniquement de la bonne humeur, c'était un stage génial avec des MS/GS. J'étais souriant toute la journée mais ferme et ça passait très bien. Mais les personnes qui me suivent me disent me sentir plus pour le cycle 1 et GS que les autres cycles.

Cela dit, j'ai changé d'optique depuis le temps, et mon stage en cycle 3 devrait être différent normalement. je sais que je serai moins colérique que je ne l'ai été car je commence à connaître le comportement des élèves.

Amitiés,

John

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