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A la recherche de supers fiches d'écriture en cursive


ptitemimoune

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Bonsoir,

Un jour, au cours de mes longues soirées de recherches sur la toile, j'avais eu le bonheur de trouver des fiches d'apprentissage de l'écriture des lettres cursives qui me plaisent beaucoup : elles comprennent une ligne pour chaque signe graphique à maîtriser, puis des lignes pour tracer la lettre elle-même. Comme vous vous en doutez, si j'écris ce message c'est que je n'ai manifestement pas enregistré ces fiches, ni même le lien vers le site concerné!

Si quelqu'un voit de quoi je parle, ou a des supers fiches à me suggérer, qu'il se manifeste de toute urgence!!!!! Merci!!!!!!

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Voici de supers conseils trouvés sur un autre forum, mais écrits par quelqu'un qui est aussi sur ESP:

"""Donc, deux ou trois petites choses pour bien démarrer l'apprentissage de l'écriture liée.

1) Les prérequis (TPS/PS/MS/GS/CP):

-> une motricité large harmonieuse

L'enfant est à l'aise dans son corps, il maîtrise peu à peu la marche, la course (rapide ou lente), les sauts (vers le haut ou loin devant), coordonne ses mouvements pour grimper, ramper, danser, ajuste sa force pour lancer de plus en plus précisément une balle, un ballon, un sac lesté vers une zone bien précise, guide un objet posé au sol d'un endroit à un autre en le poussant avec le pied ou par l'intermédiaire d'un objet (bâton ou crosse de hockey par exemple). Son équilibre s'améliore, il se déplace sans bousculer d'objets, même dans un espace restreint, peut marcher sur une poutre de 20 cm de large posée au sol, se déplacer avec un récipient plein d'eau sans en renverser, commence à gérer son équilibre lorsqu'il est en position instable (sur un pied, un vélo sans roulettes, à skis, avec des patins à roulettes, etc.)

-> l'orientation dans l'espace

L'enfant apprend peu à peu à nommer les lieux et à verbaliser des positions relatives. Il apprend à ranger des objets en ligne ou en pile, à représenter cet espace à l'aide de petits objets qu'il ordonne les uns par rapport aux autres, puis par le dessin.

Jusqu'en MS, celui-ci reste sur la feuille une collection de graphismes indépendants les uns des autres (il dessine par exemple une voiture en haut à gauche, un bonhomme couché en-dessous, un arbre la tête en bas, en bas à droite et un oiseau en haut et vous annonce : "Papa est dans sa voiture et il regarde l'oiseau sur l'arbre.")

Au cours de la MS, il devrait normalement (c'est à dire si l'école faisait pratiquer le dessin et le valorisait dans le sens de la "conquête de l'espace-feuille) perfectionner son dessin et être à l'issue de cette classe dessiner même maladroitement les quatre éléments cités au "bon endroit".

-> la motricité fine

Les mains deviennent indépendantes l'une de l'autre. Petit à petit, l'enfant passe d'un mouvement ample qui part de l'épaule à un mouvement partant du coude, puis du poignet.

L'enjeu de la GS et du CP est d'obtenir que ce mouvement passe du poignet aux doigts et particulièrement au trio pouce/index/majeur.

Certains enfants jeunes ont encore besoin d'un appui ventral et de mouvements partant du poignet jusqu'à la fin du premier trimestre de CP.

La position correcte des doigts est à privilégier (voire à imposer) dès que l'enfant commence à réellement dessiner.

Elle peut s'obtenir naturellement par des jeux de doigts où l'on montrera à l'enfant comment lever l'index seul puis comment poser la pulpe du pouce sur l'articulation de la dernière phalange du majeur. Écarter alors légèrement pouce et majeur, y poser le crayon en le faisant reposer au niveau de la main sur la jonction pouce-index et lui demander de poser l'index sur le crayon. Lui faire faire alors de petits gribouillis sur une feuille posée à plat sous la main.

Privilégier les crayons pas trop gros, l'obliger à poser le bouchon s'il s'agit d'un feutre (énormément d'enfants gardent le bouchon dans la main gauche et, du coup, ne se servent pas de celle-ci pour maintenir la feuille de papier).

A ce sujet, les spécialistes ont remarqué une proportion très supérieure à la norme d'enfants étiquetés gauchers depuis quelques années et se sont rendu compte qu'il s'agissait en fait d'enfants qui, ayant enlevé le bouchon du feutre de la main droite et le gardant bien serré dans celle-ci, avaient utilisé la main gauche par défaut et n'ayant reçu que des encouragements (la peur du gaucher contrarié et les statistiques sur la précocité intellectuelle très favorables aux gauchers ayant joué leur partie) sont devenus des "droitiers contrariés".

De très nombreuses activités peuvent aider à une bonne construction de cette motricité fine sous forme de jeux : dessin et peinture, bien sûr, enfilage de perles, découpage, modelage, déchiquetage de papier, collage de gommettes ou de tout petits éléments (graines, café, riz, semoule, etc.), jeux de construction (légo, knex, mécano, ...), jeux d'imitation à l'aide de petits personnages et objets (playmobil, voitures miniatures, trains sur rails, ...) et vie quotidienne (s'habiller et se laver seul, lacer ses chaussures,se boutonner, enclencher le curseur d'une fermeture à glissière et la remonter, balayer et ramasser à l'aide d'une pelle, faire la poussière, essuyer la table du petit déjeuner, remplir et vider le lave-vaisselle, laver un objet, éplucher soi-même sa mandarine ou son orange dont la peau a été préalablement incisée, remplir soi-même son verre, couper sa viande ou couper un fruit en quartier, plier et empiler des serviettes, des mouchoirs, jardiner, bricoler, mettre les croquettes du chat dans la gamelle, ramasser celles qui tombent à côté...).

Fin de la première partie.

A bientôt

Suite à copier-coller et à imprimer ou à sauter (c'est très long !) :

2) L’apprentissage des gestes de l’écriture :

Celui-ci devrait normalement constituer l’un des enjeux majeurs de la MS et de la GS (ce qui n’est pas le cas avec les programmes actuels), avec des enfants ayant atteint tous les prérequis cités en première partie :

-> Les gestes de l’écriture liée :

Ceux-ci nécessitant l’acquisition des trois groupes de prérequis cités plus haut, on adoptera une progression permettant aux enfants ne les ayant pas réellement atteints de continuer à progresser tout en commençant à s’entraîner à écrire : on partira donc de la motricité large dans le milieu réel en verbalisant les

actions, puis on passera à la représentation sur grande feuille non lignée permettant des mouvements partant de l’épaule sur plan vertical ou légèrement incliné pour arriver progressivement à la production entre deux lignes, avant-bras posé sur la table pour obtenir au mieux le seul mouvement des doigts et au moins un mouvement ne partant que du poignet.

Les « outils » utilisables sont l’index (trempé dans la peinture ou non), une toute petite

éponge humide sur tableau « noir » (à tenir entre le pouce et le majeur, l’index reposant dessus), le pinceau, le feutre moyen, le crayon à papier ni trop sec, ni trop gras (uniquement pour les « grands » afin

d’éviter les crispations des doigts dues à la nécessité d’appuyer pour arriver à écrire).

-> Les « familles de gestes » à étudier sont :

- les lignes droites (verticales en partant du haut, horizontales de gauche à droite, obliques montantes et descendantes de gauche à droite)

- les vagues (bien creuses)

- les ponts à l’endroit (mmmmmm)

- les ponts à l’envers (uuuuuuuu)

- les boucles rondes (eeeeeeeee)

- les boucles longues au dos bien droit (lllllllll)

- les rotations vers la gauche (o) amorcées par les spirales vers la gauche

- les « créneaux de château fort » (rrrrrr)

- les combinaisons de plusieurs gestes (exemple : boucle longue + ½ créneau : b, rotation + ½ pont à l’envers : a, oblique montante + verticale + pont à l’endroit : p)

-> Progression pour un geste

a) motricité large :

L’enfant est en situation réelle (il est le crayon) et opère lui-même le déplacement.

Par exemple, pour les vagues, il slalomera lui-même entre des obstacles, pour les ponts, il sautera pieds joints obstacle après obstacle, pour les ponts à l’envers, il rampera sous un obstacle puis se lèvera et sautera en se tenant bien droit bras en l’air pour toucher un objet suspendu avant de ramper à nouveau sous l’obstacle

suivant…

Ceci permettra à l’enfant de conceptualiser le geste, le déplacement nécessaire à son exécution tout en finissant d’assurer la motricité large et l’orientation dans l’espace.

b) travaux sur feuille :

On part de situations réelles où l’élément à reproduire fait partie du décor puis se conceptualise progressivement.

En GS, la conceptualisation peut arriver assez vite puis très vite dès lors que l’enfant a compris qu’il travaillait ce geste pour apprendre à écrire ; en MS, on reste plus longtemps dans la représentation du réel par le dessin.

Ainsi, si l’élève de MS a besoin de rester très longtemps sur « la fumée qui sort des cheminées », « la laine du mouton », « les cheveux de Boucle d’Or », l’élève de GS doit plus vite passer de cette représentation

de files de boucles au tracé raisonné de lignes de boucles régulières (« qui

touchent le plafond et le plancher » de l’interligne) sans lever le crayon d’un bout à l’autre de la feuille de plus en plus rapidement.

Les travaux obtenus peuvent servir d’éléments du dessin (fumée de la cheminée pour la boucle, bordure du massif de fleur pour le pont à l’endroit, tête et corps des personnages pour les rotations , etc.), mais aussi d’éléments décoratifs (décorer la robe de la petite fille par des lignes de boucles, des ronds collés

les uns aux autres, des petits traits verticaux) ou des bandelettes de papier que l’on collera ensuite pour encadrer un dessin, un collage, un coloriage.

Sont à proscrire catégoriquement dans les exercices :

- les tracés en pointillés (les enfants ont une imagination délirante quant au suivi de ces

tracés : voir message de V. Marchais sur les barres des t)

- le hachage des gestes (« Tu fais un pont, tu lèves ton crayon, tu fais le deuxième pont, tu lèves ton crayon, tu rajoutes une petite queue. »)

3) L’écriture liée (cursive) proprement dite :

En GS, l’apprentissage du tracé des lettres sera intercalé entre les différentes familles de gestes.

En famille, si ce travail n’est pas mené en classe, et que l’enseignant introduit une nouvelle lettre sans les travaux préparatoires cités plus haut, les parents pourront aider l’enfant à tracer facilement la nouvelle lettre en l’entraînant au geste qu’elle nécessite grâce aux exercices proposés en 2).

Si l’enseignant semble ne respecter aucune progression et se contente de faire recopier en cursive sans aucune préparation préalable la date, le prénom, les noms des héros des albums lus en classe, la famille a tout avantage à « faire tout le boulot » à la maison.

(Prière d’être indulgent avec mes jeunes collègues, ils sont allés à l’IUFM, eux ! A l’IUFM, les recettes, on n’aime pas ça ! Et il me semble que l’on y nie vigoureusement le fait qu’il existe un « monde de l’enfance » où l’on se contrefout complètement des grands problèmes de l’humanité et où, en revanche, l’on a impérieusement besoin d’exercer ses sens et sa motricité à l’aide d’exercices soigneusement calibrés en fonction de ses capacités actuelles).

Ainsi, suite à l’apprentissage du geste des « ponts » (« On saute, on saute, on saute ! Attention, on touche le plafond ! On redescend et on s’arrête au plancher ! ») et de celui des vagues, l’enfant peut tracer d’un seul geste, les lettres m et n en cursive (« Je saute, je saute, je saute, je passe sous le pont » et « Je saute, je saute, je passe sous le pont »)

Argh !

J’ai oublié un prérequis fondamental : le RYTHME ! Normalement travaillé depuis la TPS par les chants, les comptines, les frappés de mains, continué en PS et MS en y ajoutant les algorithmes répétitifs (collages de gommettes rouges, bleues, rouges, bleues ou carrée/ronde/ronde, carrée/ronde/ronde et autres coloriages et enfilages de perles répétitifs) et finalisé en GS/CP par l’apprentissage de l’écriture (entre autres) : « une pointe, deux pointes, la queue », voilà un « u », « boucle longue, ½ créneau, petite boucle, boucle longue, ½ créneau, petite boucle, accent, accent », ça y est, tu sais écrire « bébé » sans lever le crayon !

Pour l'intégration de ce rythme, les lettres rugueuses Montessori citées par Lunelaure plus haut peuvent être d'un grand secours. L'exercice consiste à faire suivre le tracé (à l'endroit bien sûr, et sans lever l'index) à l'aide de l'index dans un premier temps, à de très nombreuses reprises, puis à l'aide d'un bâtonnet tenu comme un crayon.

Il est préférable d'avoir des lettres sur des petits cartons que l'on peut rapprocher les uns des autres, plutôt que collées sur un livre, ce qui empêche de faire le tracé d'une syllabe ou d'un mot d'un seul geste lorsque c'est possible (les seules lettres qui exigent de lever le crayon sont celles contenant une rotation vers la gauche : a, o, c, d, g, q et la lettre suivant la lettre s).

Normalement, en GS, pour que cet apprentissage soit fructueux et « fasse sens » chez l’enfant, il doit impérativement être lié à l’apprentissage du code alphabétique et à la combinatoire.

Actuellement, la mode est plutôt à la dissociation des activités d’écriture et de lecture (ces dernières étant elles aussi complètement dissociées les unes des autres en petites tranches de saucisson très finement découpées et placées chacune dans un conteneur hermétiquement clos ; mais ça, c’est une autre histoire, très édifiante d’ailleurs et qui démonte complètement les théories sur la méthode globale et la méthode syllabique, je vous la raconterai un jour, si vous voulez).

A la maison, on peut rétablir facilement le nécessaire soutien apporté par la lecture aux activités d’écriture. C’est en effet très simple et cela peut être mené en une quinzaine de minutes lors des jours de congé.

Imaginons par exemple que l’enfant ait appris à tracer les lettres m, n, i, u et t, chacune de celles-ci étant une combinaison de ponts (à l’endroit ou à l’envers) et de vagues.

Après des jeux où l’on a sauté par-dessus ou par-dessous des obstacles représentés par

des gros points sur la feuille, l’on a appris à rythmer son travail en répétant « je saute, je saute, je saute, je passe sous le pont » et à reconnaître alors la lettre « m » qui fait « mmmmm », on est même capable de dire : « je vais écrire « mmm » » et de faire ensuite le tracé correspondant. On sait aussi faire la même chose pour la lettre « i ». et l’on peut enchaîner sans lever le crayon des suites de m et de i (le point sur le i se fait une fois le tracé du mot fini).

Si papa et maman, contrairement à la maîtresse, veulent réellement « donner du sens » à l’activité produite et sortir du « tournage à vide » d’une toute petite partie du cerveau consacrée au tracé orienté, ils apprendront à leur enfant qu’en disant l’un après l’autre les « bruits » des lettres, il peut lire ce qu’il est en train d’écrire, lui apprenant ainsi à globaliser son effort en mobilisant plusieurs parties de son cerveau en même temps : « MMMmmmiiiiiiiimmmmmmmiiiiiiiii ! Tu sais qui on appelle Mmmiiiimmmiii ? Un petit chat, par exemple, ou ta

tante Michelle, ou le cousin Jérémie, ou ta petite sœur Noémie. »

Ces parents auront ainsi réussi à lier dans un seul effort la maîtrise du geste, le déchiffrage de mot inconnu et la compréhension de texte sous son aspect explicite et implicite ! Un véritable miracle que l’école primaire actuelle met 8 ans à obtenir (3 ans de maternelle et 5 ans d’élémentaire, avec les tous les ratés

que l’on connaît !)

A l’aide de ces cinq malheureuses lettres, leur enfant pourra ainsi lire et écrire ou écrire et lire sans aucune difficulté : mimi, mi, nu (et ça, à cinq ans, ça fait beaucoup, beaucoup rire), nuit, titi, tu, uni et tous les nini, nunu, tutu, mumu que l’on trouva ringard et que l’on évacua de l’école maternelle alors qu’ils réjouissaient tant les enfants en leur rappelant leur petite enfance lorsqu’ils ne savaient pas encore bien parlé et qu’ils appelaient ainsi le cousin Nicolas, l’ours en peluche adoré, la sucette qu’ils traînaient partout ou la tatie Muriel.

Voilà, j’espère avoir été à peu près claire, je vous présente mes excuses pour la longueur du propos et reste à votre disposition pour toute question supplémentaire. """

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Quelle rapidité pour répondre!! Gabryele je précise que je cherche des fiches d'écriture des lettres séparées, pour des GS, les tiennes sont trop dures!

Merci pour la lecture intéressante Sapotille!

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Quelle rapidité pour répondre!! Gabryele je précise que je cherche des fiches d'écriture des lettres séparées, pour des GS, les tiennes sont trop dures!

Merci pour la lecture intéressante Sapotille!

Pourquoi veux-tu des "fiches de lettres" ?

Sachant que les lettres se modulent en fonction de celle qui suit et celle qui précède ?

C'est juste pour pouvoir te répondre.

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Je cherche ces fiches pour les mettre sous pochette plastifiée afin qu'ils s'entraînent à écrire les lettres, peut-être vas-tu me dire que je ne devrais pas?

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Je cherche ces fiches pour les mettre sous pochette plastifiée afin qu'ils s'entraînent à écrire les lettres, peut-être vas-tu me dire que je ne devrais pas?

Si les lettres sont en un seul morceau et les e non apraxiques, elles peuvent effectivement être placées sous pochette plastifiée pour que l'enfant repasse dessus d'un geste vif plusieurs fois de suite en plaçant correctement sa main et en gardant son poignet en contact avec la feuille.

Que ce soit pour servir de modèle ou pour repasser dessus, les lettres doivent être correctement formées (pas de trait devant les lettres rondes puisque ce qui se place devant ces lettres dans l'écriture est la fin de la lettre qui précède ; pas de e apraxique ; lettres en un seul morceau sauf x)

En ce qui concerne l'écriture des lettres, pour moi, le modèle sert à "écrire des lettres dans des mots et mieux encore dans des phrases", pas à faire des lignes de lettres, ou alors, 4 ou 5 lettres de suite, pas plus, pour vérifier que l'enfant connaît bien les-dites lettres.

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Voir les compléments pédagogiques ici : http://tinyurl.com/ydl2hue

Cela demande à être adapté pour la maternelle, en se cantonnant à la partie gauche du document ?

Autre piste : http://cp.lakanal.free.fr/ressources/ecriture.htm

En utiliser la partie gauche est effectivement une idée.

Mais ... il y a le même "mais" (si j'ose m'exprimer ainsi) que pour toutes les autres modèles faits à partir de polices d'écriture. La question de l'enchaînement des lettres n'est pas traitée.

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Peut-être que ce site conviendrait pour des GS? Quoique... thinking-20060614.gif les lettres rondes ont un trait d'attaque. :idontno:

Yesssssss c'est ça!!!! Mais du coup ça ne convient pas d'après ce que dit Enviedespoir! Je suis d'accord sur le fait qu'il faut que les lettres servent à écrire des mots, mais comment faire quand ils n'ont à leur actif qu'une ou deux lettres?

Moustache, ton premier lien ne fonctionne pas pour moi, je tombe sur une page de livres de lecture pour CP des éditions Belin!!

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