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Aider un enfant précoce


sandrine66

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Je rajoute( je viens de lire le message de Katyr84 ) que mon fils est suivi actuellement dans un CMP depuis le début de son adolescence; ces centres sont intéressants car ils réunissent plusieurs spécialistes: pédopsychiatres, psychothérapeutes, orthophonistes...etc, de plus, ils font de la psychothérapie de groupe suivant le besoin des enfants. Un petit bémol cependant: la précocité, ça n'a pas l'air d'être trop leur spécialité...Je continue quand même parce qu'avec eux, mon fils va un peu mieux mais pas encore de miracles pour l'instant ( oui, peut-être que j'en demande un peu trop!)

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en fin de GS nous avons consulté une psy car notre fils nous semblait malheureux, agressif envers nous et envers ses soeurs... à la suite de la consultation la psy lui a fait passer un wisc IV, il a peut participé à la séance (a joué pendant qu'on parlait de lui) mais ça a eu l'air de lui faire du bien. et le test wisc s'est fait hors de notre présence.

est ce une piste que vous avez exploré ? car autant la psy que la neuro pédiatre nous ont dit que la difficulté c'est pour eux de gérer l'écart, le décalage, entre l'intellect (mémoire, centres d'intérêts, raisonnement...) et l'affectif,la maturité (ce sont des enfants) et ce décalage peut parfois être très douloureux, encore plus besoins de repères et de sentir que nous sommes "à la barre" du navire familial. ils sont débordés par des angoisses qui les dépassents : la mort, l'espace, la création de la terre, comment la terre tient dans l'espace, et si une météorite s'abat, et est ce qu'il y a un volcan pas loin .... j'en passe !

qu'en pensez vous ?

Il est suivi depuis 2 ans et demi... Au départ pour des problèmes de sommeil, de difficultés à aller aux toilettes et à cause de nombreux changement dans notre vie qui l'ont pas mal affectés (changement de région, vente de notre maison, maman enceinte...)

Il a été testé par la psy scolaire.

Mon fils n'en est pas aux questions sur la création de la terre... juste une volonté de décortiquer le quotidien et de tout maîtriser.

c'est quand même tres grave ce qui se passe chez ce petit bonhomme, surtout les violences envers son frère. Avez-vous pensé à le filmer ? pour qu'il prenne du recul, se rende compte qu'il fait du mal ...

Il y a vraiment urgence là, ca va vraiment trop loin. Selon moi il faut envisager une autre aide que le psy scolaire. Avez-vous pensé au CMPP, hôpital de jour ... il n'a que 4 ans et demi, que fera t'il dans un, deux, cinq ans (sa violence risque d'augmenter avec sa force) ... Que faites-vous quand il s'en prend à son frere, quand il jette, crache, hurle ? regrette t'il son attitude ? fait-il des bisous à son frere pour se faire pardonner, pour le coucher du soir ?

Et son papa qu'en pense t'il ? comment le voit il ?

Il serait salutaire pour le petit frere que le papa fasse des activités en dehors de la maison juste avec le grand, pour que le petit puisse profiter de la journée sans craindre la colère de son frere.

La contestation nous connaissons à la maison, il essaie toujours de négocier, parlementer parce qu'il a du mal à rester à sa place, il conteste depuis ses 15 mois ...il évolue tres lentement à ce niveau là (j'ai toujours l'impression qu'on est dans la phase de l'opposition des 2/3 ans), mais on sent quand même qu'il a changé depuis 1 an, il est un peu plus raisonnable, conciliant mais il y a aussi des rechutes.

Le cmp, on nous a dit que ce n'était même pas la peine, cas pas assez lourd. Donc on voit une pédopsy demain, on arrête le suivi spy qu'il a depuis 2 ans et demi. Je suis d'accord avec toi sur le "que fera-t-il à 10/15 ans?" c'est ma grande angoisse (quand j'en parle avec ceux qui ne me sortent pas "mais ça va passer")

Quand il s'en prend à son frère, nous avons essayé différentes approches: punir, l'isoler dans sa chambre pour que son frère ne lui prenne pas ses jouets, protéger le petit et donc s'éloigner du grand, demander de dire pardon et de faire un bisou là où il a fait mal, proposer de dessiner sa colère avant qu'elle n'explose ou de taper sur une poupée.

Quand il hurle, jette, on lui demande de réparer , ramasser, nettoyer. On explique qu'on ne se comporte pas ainsi (je précise que je suis assez nerveuse, mon mari moins, et on explique qu'on peut se fâcher, balancer un truc de colère mais pas toute la maison! mais qu'ensuite on répare nos bêtises)

Il ne regrette pas quand il fait mal à son frère: un fois à table il m'a dit "je voudrais qu'il soit mort" ou encore "qu'il aille vivre dans une autre maison"

Il a dit à sa psy qu'il voulait un "frère garçon" pas un "frère bébé", il n'est pas bien à sa place d'aîné et a toujours rêvé d'avoir un grand frère.

Il ne fait jamais de bisous à son frère (ou alors très très rarement, genre 15 fois en 18 mois...)

Le papa a mis du temps à se rendre compte des choses. Il a du mal à prendre sa place de papa. Il a toujours été très occupé (boulot, travaux) et il voit son fils comme un gamin qui fait tout pour faire ch**. Il considère qu'il faut être dans un rapport de force et donc use de la force.

Nous sommes souvent en désaccord et il est évident que le petit en profite (mais je ne peux parfois pas cautionner ses actes: comme dire à Tom qu'il le frappera quand il frappera son frère, je lui en ai parlé en aparté mais parfois je commets l'erreur de dire tout haut ce que je pense)

Son papa a du mal à passer du temps avec lui, il considère que sa présence suffit, pas besoin de faire des choses spécifiques. Là aussi nous ne sommes pas d'accord. Tom a besoin de moments privilégiés avec chacun de nous deux. Il était tout content hier quand je l'ai emmené au parc sans son frère. Mon mari ne comprend pas.

Je passe parfois des journées éprouvantes, je suis souvent à bout de nerfs et de ressources. Le climat dans lequel mes enfants évoluent n'est pas sain, pour personne. Nous attendons de l'aide mais nous sommes démunis et ne savons pas trop à quelle porte frapper car nous ne sommes pas pris au sérieux.

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j'ai l'impression que son comportement (tout maitriser) est l'expression d'une souffrance, d'angoisses à évoquer avec le pédo psy :

la précocité

du mal à prendre sa place d'ainé (laisser sa place de "petit")

avez vous essayé de mettre en avant les avantages d'être plus grand : on se couche un peu après son petit frère, on se promène, on sait faire (vélo, balon, jeux), on peut inviter un copain à la maison, passer du temps tout seul avec Maman ou Papa (accompagner faire des courses, se balader)...

peut être que le suivi qu'il a depuis 2.5 ans n'est pas le bon, ou n'est pas sérieux (on peut tomber sur des psy inefficaces)

avez vous essayé une psy spécialisée pour les EIP (voir les assoc de parents type afep et anpeip pourront vous en recommander selon votre région) c'est ce que nous avions fait.

c'est un travail de longue haleine mais chez nous ça a payé

je regarde à midi j'ai un livre sur "les enfants difficiles" que j'ai trouvé pas mal

bon courage

ps : je dis à mon fils tu as le droit de ne pas l'aimer (une de ses petites soeurs) mais tu n'as pas le droit de lui faire du mal. vous êtes tous dans mon coeur, et je suis là pour vous aider à vivre ensemble. si tu sens que la violence vient, va jouer dans ta chambre ou sors de la pièce. personne n'a le droit de taper quelqu'un ici, à l'école ni nul part. je ne te tape pas, tu ne les tapes pas.

il faut dire et répéter....

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Ta situation n'est pas facile Sandrine66, c'est indéniable.

J'ai plusieurs choses à te dire:

En ce qui concerne le comportement de ton loulou, c'est vrai que je ne peux pas beaucoup t'aider, mon enfant n'ayant pas eu tout à fait le même comportement étant petit (c'est plutôt à l’adolescence que ça s'est corsé avec son grand frère) mais le fils d'une amie (précoce lui aussi) avait de gros troubles du sommeil quand il était petit et niait totalement l'existence de son petit frère . Mais ça, c'était il y a longtemps, maintenant, il est grand (il vient de rentrer dans une grande école de commerce), il voyage souvent avec son frère avec qui il s'entend bien! donc, tout n'est pas totalement désespéré...

En ce qui concerne les CMP et CMPP: CMP, centre médico-psychologique et CMPP, centre médico-psycho-pédagogique ; ce sont des centres différents; as-tu essayé les deux? avec un peu de chance, on ne sait jamais...C'est vrai que j'ai réussi à faire suivre mon enfant dans un CMP bien que ce ne soit pas un cas lourd parce que son petit frère (j'ai trois enfants) y était déjà suivi pour des problèmes neurologiques assez handicapants (comme si avoir un enfant précoce, ça suffisait pas, hein?) mais il ont accepté le grand sans aucune difficulté.

En ce qui concerne les rapports avec son père, eh bien là, je m'y retrouve. J'ai les mêmes problèmes. Son père pense depuis qu'il est petit que ce gamin va le faire ch** et il utilise un peu trop la force à mon goût. J'ai même fait appel aux services sociaux (par l'intermédiaire de la pédopsy) pour calmer le jeu et faire en sorte qu'il y ait un minimum de communication entre le père et le fils; c'est plus calme mais pour la communication, c'est loin d'être ça...Et inutile de te dire que je ne suis pas du tout en accord avec le père...Alors, oui, je pense que ta situation n'est pas facile, mais il faut tenir; le gamin, il compte sur toi; tu es son roc. Il faut sans arrêt le rassurer et en même temps le cadrer, ce qui n'est pas toujours évident...Arme-toi de patience et de courage!

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Ta situation n'est pas facile Sandrine66, c'est indéniable.

J'ai plusieurs choses à te dire:

En ce qui concerne le comportement de ton loulou, c'est vrai que je ne peux pas beaucoup t'aider, mon enfant n'ayant pas eu tout à fait le même comportement étant petit (c'est plutôt à l’adolescence que ça s'est corsé avec son grand frère) mais le fils d'une amie (précoce lui aussi) avait de gros troubles du sommeil quand il était petit et niait totalement l'existence de son petit frère . Mais ça, c'était il y a longtemps, maintenant, il est grand (il vient de rentrer dans une grande école de commerce), il voyage souvent avec son frère avec qui il s'entend bien! donc, tout n'est pas totalement désespéré...

En ce qui concerne les CMP et CMPP: CMP, centre médico-psychologique et CMPP, centre médico-psycho-pédagogique ; ce sont des centres différents; as-tu essayé les deux? avec un peu de chance, on ne sait jamais...C'est vrai que j'ai réussi à faire suivre mon enfant dans un CMP bien que ce ne soit pas un cas lourd parce que son petit frère (j'ai trois enfants) y était déjà suivi pour des problèmes neurologiques assez handicapants (comme si avoir un enfant précoce, ça suffisait pas, hein?) mais il ont accepté le grand sans aucune difficulté.

En ce qui concerne les rapports avec son père, eh bien là, je m'y retrouve. J'ai les mêmes problèmes. Son père pense depuis qu'il est petit que ce gamin va le faire ch** et il utilise un peu trop la force à mon goût. J'ai même fait appel aux services sociaux (par l'intermédiaire de la pédopsy) pour calmer le jeu et faire en sorte qu'il y ait un minimum de communication entre le père et le fils; c'est plus calme mais pour la communication, c'est loin d'être ça...Et inutile de te dire que je ne suis pas du tout en accord avec le père...Alors, oui, je pense que ta situation n'est pas facile, mais il faut tenir; le gamin, il compte sur toi; tu es son roc. Il faut sans arrêt le rassurer et en même temps le cadrer, ce qui n'est pas toujours évident...Arme-toi de patience et de courage!

Merci pour ton message encourageant.

Mon fils compte sur moi et je sais qu'il a confiance en moi. Il me le montre. Et ça j'en suis très heureuse.

Mais parfois je suis fatiguée, dépassée, à bout et j'ai un comportement qui ne correspond pas à ce que je souhaite montrer à mes enfants. En ce moment je suis dans une période de moins bon, je doute beaucoup, je suis en plein questionnement et je suis très fatiguée. Pour les relations père/fils, je ne sais plus quoi faire. On me reproche tour à tour de ne pas laisser la place/de vouloir tout gérer/ de ne jamais être satisfaite. Pourtant sa place de père ça fait 2 ans et demi que je lui demande de la prendre (on a vu un puéricultrice PMI quand mon fils avait à peine 18 mois/2 ans et déjà à l'école elle conseillait au papa de passer du temps avec son fils)

j'ai souvent l'impression d'être sur une voie sans issue, heureusement de petites lumières éclairent la route et je continue d'avancer. Je n'ai pas le choix et mes petits ne méritent pas une maman qui baisse les bras

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j'ai l'impression que son comportement (tout maitriser) est l'expression d'une souffrance, d'angoisses à évoquer avec le pédo psy :

la précocité

du mal à prendre sa place d'ainé (laisser sa place de "petit")

avez vous essayé de mettre en avant les avantages d'être plus grand : on se couche un peu après son petit frère, on se promène, on sait faire (vélo, balon, jeux), on peut inviter un copain à la maison, passer du temps tout seul avec Maman ou Papa (accompagner faire des courses, se balader)...

Oui mais être grand ne l'intéresse pas. En tout cas quand ça l'arrange...

peut être que le suivi qu'il a depuis 2.5 ans n'est pas le bon, ou n'est pas sérieux (on peut tomber sur des psy inefficaces)

D'accord avec toi l) dessus.

avez vous essayé une psy spécialisée pour les EIP (voir les assoc de parents type afep et anpeip pourront vous en recommander selon votre région) c'est ce que nous avions fait.

Non pas encore, on a du mal à se tourner vers ce genre d'associations, pas encore tout à fait "digéré" la nouvelle.

c'est un travail de longue haleine mais chez nous ça a payé

je regarde à midi j'ai un livre sur "les enfants difficiles" que j'ai trouvé pas mal

bon courage

Merci :wub:

ps : je dis à mon fils tu as le droit de ne pas l'aimer (une de ses petites soeurs) mais tu n'as pas le droit de lui faire du mal. vous êtes tous dans mon coeur, et je suis là pour vous aider à vivre ensemble. si tu sens que la violence vient, va jouer dans ta chambre ou sors de la pièce. personne n'a le droit de taper quelqu'un ici, à l'école ni nul part. je ne te tape pas, tu ne les tapes pas.

il faut dire et répéter....

Je lui explique la même chose sauf que parfois je ne suis pas crédible car il m'arrive de mettre une fessée et le papa recourt souvent à la force pour se faire entendre...

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Les fessées, il faut absolument laisser tomber. Rassure-toi, je te jette pas la pierre; moi aussi, il m'arrivait de mettre des fessées quand ils étaient petits; mais petit à petit, aidée d'ailleurs en ça par la psy, je me suis rendue compte que c'était pas le truc à faire. C'est très humiliant pour eux et ça ne change pas, de toute façon, leurs compOrtements...

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Les fessées, il faut absolument laisser tomber. Rassure-toi, je te jette pas la pierre; moi aussi, il m'arrivait de mettre des fessées quand ils étaient petits; mais petit à petit, aidée d'ailleurs en ça par la psy, je me suis rendue compte que c'était pas le truc à faire. C'est très humiliant pour eux et ça ne change pas, de toute façon, leurs compOrtements...

Je suis entièrement d'accord. Selon moi la fessée nous soulage sur l'instant mais montre l'échec de résolution de la situation: on coupe court en donnant une fessée mais on ne règle rien au problème, pire on humulie et on renforce l'idée que le coup est "normal"

Reste à savoir se contrôler en toute situation. Pour ma part j'y arrive jusqu'au soir mais c'est souvent le soir que la fessée m'échappe, après une journée d'enfer.

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Et puis, si le père te reproche sans arrêt toutes sortes de choses, alors que lui, apparemment est loin d'être parfait, demande-toi si c'est pas lui qui aurait des problèmes...Si il a tendance à vouloir te trouver toujours des défauts, protège-toi, renforce ton estime de toi, faut pas être tenté de se laisser couler (je sais de quoi je parle).

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je suis repassée pour les livres qui m'ont bcp aidé à réfléchir :

howard glasser : les enfants difficiles

et Thomas Gordon : parents efficaces pour mieux communiquer avec son enfant

ils sont assez connus, tu les trouveras peut être en bibliothèque ou sur le net

il faut absolument avoir un discours et un comportement cohérent : ne pas le taper s'il ne doit pas taper son frère par exemple... on ne peut pas exiger ce qu'on ne fait pas soi-même !

au pire tu l'isoles en lui disant que là il a atteint les limites, que vous avez tous les deux besoin de vous calmer, et qu'il faut revenir à une attitude plus tranquille...

essaye de lister les questions ou les comportements généraux qui t'amènent à consulter le pedo psy pour ne rien oublier, et pour avoir un discour "posé" et non pas "énervé", ça aura plus de poids auprès du médecin et aussi de ton fils qui va assister (et écouter même si on pense qu'il joue) à l'entretien...

et peut être avez vous besoin, toi et son papa, de voir quelqu'un aussi pour bien définir votre rôle de parent ?

bon courage

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je suis repassée pour les livres qui m'ont bcp aidé à réfléchir :

howard glasser : les enfants difficiles

et Thomas Gordon : parents efficaces pour mieux communiquer avec son enfant

ils sont assez connus, tu les trouveras peut être en bibliothèque ou sur le net

il faut absolument avoir un discours et un comportement cohérent : ne pas le taper s'il ne doit pas taper son frère par exemple... on ne peut pas exiger ce qu'on ne fait pas soi-même !

au pire tu l'isoles en lui disant que là il a atteint les limites, que vous avez tous les deux besoin de vous calmer, et qu'il faut revenir à une attitude plus tranquille...

essaye de lister les questions ou les comportements généraux qui t'amènent à consulter le pedo psy pour ne rien oublier, et pour avoir un discour "posé" et non pas "énervé", ça aura plus de poids auprès du médecin et aussi de ton fils qui va assister (et écouter même si on pense qu'il joue) à l'entretien...

et peut être avez vous besoin, toi et son papa, de voir quelqu'un aussi pour bien définir votre rôle de parent ?

bon courage

J'ai lu Thomas Gordon (j'ai lu aussi éduquer sans punir, au coeur des émotions de l'enfant, parler pour que les enfants écoutent, rivalités et jalousie entre frères et soeur, et le dernier "j'ai tout essayé")

Bref... j'ai lu lu et relu.

Pour notre rôle de parents, on le connaît merci. C'est juste qu'on a un enfant difficile et que se heurter à un mur à chaque occasion de la vie quotidienne, ben ça n'est pas facile. Donc c'est bien le rôle de parents d'enfants à besoin spécifiques qu'on aurait besoin qu'on nous aide à bien cerner, pas parents tout court.

Pour l'entretien avec la pédopsy, je pense lister les points essentiels car la situation est très confuse et ça risque de partir dans tous les sens. Tom écoute toujours ce qui se dit, en général il ramène toujours l'attention à lui... sauf chez la psy. Il joue sans nous interrompre mais n'en perd pas une miette

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Pour notre rôle de parents, on le connaît merci. C'est juste qu'on a un enfant difficile et que se heurter à un mur à chaque occasion de la vie quotidienne, ben ça n'est pas facile. Donc c'est bien le rôle de parents d'enfants à besoin spécifiques qu'on aurait besoin qu'on nous aide à bien cerner, pas parents tout court.

d'où ma suggestion d'un psy spécialisé pour les EIP...

il est difficile car il a des problèmes, et non pas il a des problèmes car il est difficile...

ce n'est que mon humble avis :wink:

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