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Revue de presse sur les rythmes III


Zarko

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Allez , on continue avec la longue liste (des mécontents....)

éducation Le Mériot : la réforme des rythmes scolaires inquiète les parent d'élèves

C'est encore les vacances mais certains parents d'élèves s'inquiètent déja de la rentrée des classes et de l'application de la réforme des rythmes scolaires. A l'école du Mériot dans l'Aube, la réforme pose de nombreuses difficultés tant au niveau du budget, des animateurs que des infrastructures.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/08/07/le-meriot-la-reforme-des-rythmes-scolaires-inquiete-les-parent-d-eleves-528826.html

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Rythmes scolaires : les inquiétudes subsistent

Date : 13/08/2014 - Mise à jour : 14/08/2014 23:04

Après avoir reçu un courrier de la mairie du Puy, le Collectif des Parents des Ecoles Publiques du Puy-en-Velay nous a fait parvenir un communiqué de presse pour exprimer leur mécontentement. La Mairie, elle, tient à apaiser les tensions.
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Depuis le début de l'été, des parents d'élèves se mobilisent pour obtenir des réponses quant à la mise en place de la réforme des rythmes scolaires. Cette dernière reste floue pour eux et source d'inquiétudes, c'est pour cela qu'ils ont souhaité publier un nouveau communiqué. Catherine Chalaye, élue de la Mairie, nous a répondu et a souhaité éviter tout désaccord dû à la coupure du dialogue.

Besoin de classes non surchargées

Les créneaux d'études existaient déjà mais à la rentrée, ils seront allongés en commençant à 15h45 en moyenne. Autrement dit, plus d'enfants y auront accès. Le Collectif s'inquiète de l'encadrement dont vont bénéficier ces créneaux et de l'aide individuelle qui pourra être apportée si les effectifs dépassent 20 élèves par classe.

Des incohérences pour le Collectif

A cette heure, la durée des activités inquiéte également ces parents d'élèves : " Vingt heures d'activités environ par enfant et par an : c'est-à-dire trois fois rien. À raison d'une heure par jour sur un cycle. Mais que fait-on réellement en une heure ? Quel temps reste-il après l'installation, la présentation des consignes ? N'importe quel animateur répondra : pas grand-chose, car il est déjà temps de ranger ". Le Collectif réclame des créneaux d'au moins une heure et demie par scéance avec deux à trois heures heures d'activités par semaine. Mais la représentante de la Mairie nous a détaillé : " C'est la réforme qui veut ça. On avait proposé que les quatre heures hebdomadaires soient regroupées le vendredi après-midi et les écoles ont refusé ".

Double emploi ?

Le collectif s'étonne que les centres de loisirs restent ouverts les mercredis matins puisque les écoles le seront également. D'après eux, la fermeture des centres pourrait compenser financièrement l'ouverture des écoles. Catherine Chalaye nous explique : " La réforme est appliquée aux écoles publiques mais pas aux écoles privées donc les centre de loisirs accueilleront les élèves du privé ".

Du personnel pour tous

Olivier Belhomme nous a confié par téléphone que les suppressions de postes d'ATSEM (agent territorial spécialisé des écoles maternelles) n'ont pas été officialisées mais il explique : " Beaucoup de parents, de conseils d'écoles ont été conviés à des réunions avec notamment Madame Chalaye et Monsieur Belaïdi. Ces réunions très techniques avec les directeurs des écoles ont servi à étudier le lien entre le temps scolaire et périscolaire. C'est à ce moment là qu'il était ressorti que des postes pouvaient être supprimés". L'association demande évidemment le maintien des postes ainsi que l'intégration aux activités des enfants scolarisés en Clis (Classes d'Intégration Scolaires) et en maternelles.

Adapter la situation

Catherine Chalaye, elle, nous affirme qu'aucun poste ne va être supprimé et que les Clis auront également accès aux activités : " Nous restons prudents puisqu'il faut absolument que les enfants soient en sécurité sans que les intervenants ne se retrouvent en difficulté. Ils auront les mêmes activités que les autres enfants avec des groupes les plus homogènes possibles ". Elle conclut : " J'espère que nous arriverons à rassurer tout le monde, nous comprenons que les parents soient inquiets. Mais nous allons voir au fur et à mesure, on adaptera les choses ".

Au final, la mise en place de la réforme devrait coûter entre 150 000 et 200 000 euros. Cette somme est essentiellement dû à des coûts indirects comme le chauffage, l'entretien...

Une pétition a été lancée par le Collectif des Parents d'Elèves des Ecoles Publiques fin juin et a déjà récoltée plus de 500 signatures. Le Collectif n'exclut pas la possibilité d'actions à la rentrée.

E.J.

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Auchel : contraint par la loi, le conseil adopte les rythmes scolaires

PUBLIÉ LE 16/08/2014

S. Bi.

En dépit de son scepticisme, le maire Richard Jarrett appliquera bien la réforme des rythmes scolaires dans sa commune à la rentrée. Souvenez-vous, en juin, le conseil municipal votait contre : « Trop cher », arguait-on.

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La ville doit en effet trouver 200 000 € pour assurer l’accueil périscolaire de ses 1031 petits. Pas une paille. Mais un décret est un décret, et nul n’échappe à la loi. Richard Jarrett le sait bien, mais il voulait montrer-là sa désapprobation. Bref. Quelques semaines et une lettre du préfet plus tard, le conseil était sommé d’adopter ladite réforme. Mercredi soir, malgré une abstention du Front de gauche et l’absence des deux conseillers d’opposition socialistes, le conseil a entériné l’application de la semaine de quatre jours et demi. Non sans maugréer.

Les conseillers ont en effet « refait le match ». Qui pour occuper les enfants de 7 h 30 à8 h 30 le matin et jusqu’à 18 h 30 l’après-midi ? « Il aurait fallu que ces activités soient encadrées par les enseignants », relève le premier adjoint Berrier. Pour l’instant, c’est bien les Atsem communaux, sous forme de garderie (le nombre d’employés variera en fonction des inscriptions) qui officieront. À dix-neuf euros la semaine (7 h 30 - 18 h 30), on imagine bien que certains parents d’élèves vont avoir du mal à régler les factures. Quant aux avantages pédagogiques d’une garderie, ils sont pour le moins faiblards... « Il serait préférable qu’ils apprennent les langues, de les ouvrir au sport, à la culture, nous avons le Louvre-Lens à côté », plaide Richard Jarrett. Mais tout ça, ça coûte. « Une heure dispensée, c’est une heure payante », rappelle-t-il.

Les 200 000 euros nécessaires ? La ville les a presque, sous forme de promesses de subventions : 50 euros par élève de la part de l’état, 40 euros par élèves de la Dotation de solidarité urbaine plus l’apport de la CAF. Le total : 187 344 euros. La ville pourrait mettre la différence. « Et on le fera », explique en aparté Richard Jarrett, « il serait stupide de ne pas utiliser ces subventions ».

Le problème ? « Ce sont des promesses. Rien ne nous dit que l’argent arrivera. » Alors, pour l’instant, c’est garderie pour les enfants. Et quand les 187 344 euros arriveront sur le compte communal, on lancera les activités dont le planning est, paraît-il, déjà bouclé. Mais quand ?

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La réforme des rythmes scolaires en question Publié le 16/08/2014 à 03:51 Montbazens (12)

Manifestations, délibérations, refus d'obtempérer, mais les élus se démènent au cas où il faudrait quand même appliquer la loi.

Depuis sa mise en place, le 2 juin dernier, la commission cadre de vie, social et service à la personne a travaillé, calendrier oblige, sur la mise en place des nouveaux rythmes scolaires pour la rentrée 2014.

Les élus(e)s, les enseignants et les parents d'élèves ont été invités à diverses réunions avec les partenaires suivants : M. Laffitte, inspecteur de l'Éducation nationale de la circonscription de Villefranche et Decazeville, le centre social du Plateau de Montbazens, la direction départementale de la Cohésion sociale et de la Protection des populations (anciennement appelée Jeunesse et Sport).

La Caisse d'allocations familiales et la Mutualité sociale agricole sont intervenues dans le cadre du contrat enfance jeunesse afin d'expliquer leurs missions.

Bien que l'Association des maires de France ait invité les élus ruraux à délibérer et à manifester pour le report de cette réforme en insistant sur l'impact financier que va entraîner sa mise en place, les élus du Plateau de Montbazens ont poursuivi leur travail au cas où ces démarches n'aboutiraient pas.

Marie-France Petit, vice-présidente de cette commission, renouvelle ses remerciements aux intervenants qui se sont libérés pour venir en aide en urgence aux maires concernés par cette réforme.

...je ne sais pas si elle renouvellera ses remerciements dans qq temps... :devil:

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Merchi en tout cas pour cette veille :)

(Concernant la réforme... je préfère ne rien dire, je risquerais d'être grossier :angry: )

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Pour la veille, c'est simple qq clics :)

Franchement, quand on voit les difficultés financières énormes qui vont impacter la majorité des communes, le gvt devrait prendre conscience de la situation ...et se méfier de ce qui peut arriver, surtout avec une impopularité aussi forte...

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Le bazar, c'est certain. Dommage qu'il n'y ait pas eu un mot d'ordre de grève le jour de la rentrée, seule façon de faire reculer Hamon et le PS sur cette réforme catastrophique.

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Réforme des rythmes scolaires : le maire de Fos sur Mer fait de la résistance

Mardi 19 août 2014 à 12h02






René Raimondi, maire socialiste de Fos-sur-Mer et président du syndicat d'agglomération nouvelle ouest Provence, a annoncé qu'il n'appliquerait pas le décret de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée.
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La réformes des rythmes scolaires devrait s'appliquer à la rentrée de septembre 2014 dans tous les établissements © MaxPPP






Maire socialiste de Fos-sur-Mer, René Raimondi était l'invité, ce mardi matin, de France Bleu Provence. Il a indiqué qu'il n'appliquerait pas le décret qui réforme les rythmes scolaires à la rentrée, le 2 septembre. Le conseil municipal de Fos sur Mer s'y est opposé.



"C'est une bêtise d'aller le mercredi matin à l'école". René Raimondi


René Raimondi parle de "bêtise d'aller le mercredi matin à l'école" et précise que dans sa commune, ils seront des "résistants à partir de la rentrée". Il se dit prêt à aller jusqu'au tribunal administratif, l'audience ayant probablement lieu après la rentrée.








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