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nouvelles modalités d'évaluation


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De toute façon c'est le directeur qui évaluera avec une personne ressource!  Les syndicats majoritaires le souhaitent, l'OCDE le souhaite, les gouvernements succéssifs le souhaitent... C'est à dire un PE ayant une pauvre "aptitude"(qu'on donne à 98% des PE qui s'inscrive sur cette liste) et non une reconnaissance universitaire ou certificative. Ces gens-là n'auront aucune légitimité et cette évolution créera de nombreuses tensions dans les écoles.  Après ils seront certainement là pour évaluer notre assiduité et notre implication.

Clientèlisme à tous les étages!

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Il y a 3 heures, nonau a dit :

De toute façon c'est le directeur qui évaluera avec une personne ressource!  Les syndicats majoritaires le souhaitent, l'OCDE le souhaite, les gouvernements succéssifs le souhaitent... C'est à dire un PE ayant une pauvre "aptitude"(qu'on donne à 98% des PE qui s'inscrive sur cette liste) et non une reconnaissance universitaire ou certificative. Ces gens-là n'auront aucune légitimité et cette évolution créera de nombreuses tensions dans les écoles.  Après ils seront certainement là pour évaluer notre assiduité et notre implication.

Clientèlisme à tous les étages!

Ce n'est pas ce qui ressort du rapport Leloup... pour le moment. Il est plus à parier que, dans la configuration souhaitée par ce rapport, ce soit les principaux de collèges, chefs de ce qui est nommé EPSC, qui évaluent. De fait, eux ont eu le PERDIR, et sont aptes à mettre un avis administratif, la partie pédagogique resterait selon le scénario le champ des IEN.

Cela reste un rapport... pour le moment (bis). Par contre, on peut nommer plein d'outils qui annoncent ce rapprochement: CEC, LSU, réforme de l'évaluation, réforme du collège. Au delà, lissage de l'ISAE/ISOE, des ratios HC. C'est tout du moins mon analyse personnelle.

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Moi je ne comprends rien non plus!!!

 

Ici je suis à l'échelon 8 depuis le 07/09/13, dernière inspection date du 29/09/15

Passage à l'échelon 9 en sept 2017 (choix) ou  mars 2018 (ancienneté).

Qu'en est-il pour moi?Inspection en 2019?

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Il y a 8 heures, nonau a dit :

De toute façon c'est le directeur qui évaluera avec une personne ressource!  Les syndicats majoritaires le souhaitent, l'OCDE le souhaite, les gouvernements succéssifs le souhaitent... C'est à dire un PE ayant une pauvre "aptitude"(qu'on donne à 98% des PE qui s'inscrive sur cette liste) et non une reconnaissance universitaire ou certificative. Ces gens-là n'auront aucune légitimité et cette évolution créera de nombreuses tensions dans les écoles.  Après ils seront certainement là pour évaluer notre assiduité et notre implication.

Clientèlisme à tous les étages!

sauf si un statut est donné au dirlo....:angel_not:

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Il y a 3 heures, amanda5 a dit :

Moi je ne comprends rien non plus!!!

 

Ici je suis à l'échelon 8 depuis le 07/09/13, dernière inspection date du 29/09/15

Passage à l'échelon 9 en sept 2017 (choix) ou  mars 2018 (ancienneté).

Qu'en est-il pour moi?Inspection en 2019?

Reclassement à l'échelon 9 au 01/09/2017.

Inspection en 2019/2020.

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Il y a 19 heures, mayre a dit :

Le rapport Leloup prévoit la disparition des circonscriptions, donc, oui, cpette, ils vont supprimer des postes... Les IEN seraient moins nombreux, le supérieur le principal de collège. Cette réforme de l'évaluation prépare cela. Tout est lié, ne l'oubliez pas.

Comme il est dur à trouver et à lire, je vous mets au moins un lien qui résume bien les choses: http://www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2015/11/23112015Article635838602081268689.aspx

c'est vrai que tout converge cers une remise à plat du pilotage dans l'EN.

Mais l'option avec le collège au-dessus n'est qu'une des deux options reprises dans l'article. La création du statut d'établissement est aussi sur la ligne de départ ; lors d'une journée académique sur le cycle 3 un inspecteur général a commencé son intervention en prenant comme base la fin des circonscriptions et en ajoutant que le pilotage via le collège n'avait pas la cote car les établissements privés qui fonctionnent comme cela n'avaient pas une meilleure cohésion entre le primaire et le secondaire. Ainsi, la création du statut d'établissement pour l'école primaire avait la préférence du groupe de travail.

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il y a 6 minutes, montagny a dit :

Ainsi, la création du statut d'établissement pour l'école primaire avait la préférence du groupe de travail.

Je n'ose pas imaginer l'ambiance de travail dans les écoles, forcément moins grandes que les collèges, si cela se fait. 

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il y a 52 minutes, montagny a dit :

c'est vrai que tout converge cers une remise à plat du pilotage dans l'EN.

Mais l'option avec le collège au-dessus n'est qu'une des deux options reprises dans l'article. La création du statut d'établissement est aussi sur la ligne de départ ; lors d'une journée académique sur le cycle 3 un inspecteur général a commencé son intervention en prenant comme base la fin des circonscriptions et en ajoutant que le pilotage via le collège n'avait pas la cote car les établissements privés qui fonctionnent comme cela n'avaient pas une meilleure cohésion entre le primaire et le secondaire. Ainsi, la création du statut d'établissement pour l'école primaire avait la préférence du groupe de travail.

De quel groupe de travail parles-tu?

Le rapport Leloup (Marie-Hélène Leloup étant inspectrice générale), lui, est très clair: "Le choix entre les deux scenarii appartient au politique. Il semble toutefois à la mission que les évolutions en cours plaident plutôt en faveur de la création d’un établissement public du socle commun qui scolariserait les élèves de l’école maternelle à la classe de troisième." (p: 99 du rapport)

Maintenant, je sais bien que le deuxième rapport de Mme Leloup ne préconise pas le regroupement physique des classes, ce n'est pas pour autant qu'il exclut la solution d'un EPSC. Je précise (j'édite), après relecture, que ce deuxième rapport explique au contraire que "l'unité fonctionnelle" est le secteur de collège. Ceci confortant cela.

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Le groupe de travail est celui sur le cycle 3 et la liaison école collège ; ce groupe a étudié les leviers et les freins sur ces sujets. Il en ressort que le bassin de regroupement d'un collège serait une base géographique pour une unité administrative de terrain ; cependant, les études menées ont montré que la proximité géographique et le pilotage par le haut, secondaire sur primaire, n'était pas efficace car c'est au secondaire de s'inspirer des pratiques du primaires et il est souhaitable que l'école garde ses spécificités pédagogiques. Tout en étant administrativement rattachée à un collège, l'école avec un statut d'établissement serait une option plus efficiente pour la mise en place des préconisations sur le cycle 3 et la liaison école collège. (je n'ai pas le rapport en entier mais seulement les morceaux choisi présentés.)

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Il y a 2 heures, nenuphar a dit :

Je n'ose pas imaginer l'ambiance de travail dans les écoles, forcément moins grandes que les collèges, si cela se fait. 

Pourquoi l'ambiance serait-elle moins bonne si le cadre et les statuts sont bien définis?

Si cette option est mise en marche, les écoles de moins de 4 ou 5 classes n'existeront plus. (ou alors avec un seul directeur). Les maires ruraux ont obtenu que les groupes scolaires ne devront pas dépasser 12 à 15 classes.

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Il y a 11 heures, montagny a dit :

Le groupe de travail est celui sur le cycle 3 et la liaison école collège ; ce groupe a étudié les leviers et les freins sur ces sujets. Il en ressort que le bassin de regroupement d'un collège serait une base géographique pour une unité administrative de terrain ; cependant, les études menées ont montré que la proximité géographique et le pilotage par le haut, secondaire sur primaire, n'était pas efficace car c'est au secondaire de s'inspirer des pratiques du primaires et il est souhaitable que l'école garde ses spécificités pédagogiques. Tout en étant administrativement rattachée à un collège, l'école avec un statut d'établissement serait une option plus efficiente pour la mise en place des préconisations sur le cycle 3 et la liaison école collège. (je n'ai pas le rapport en entier mais seulement les morceaux choisi présentés.)

Je pense que tu parles bien du deuxième rapport Leloup, que j'ai mis en lien plus haut. Je n'en ai pas la même lecture. Je n'y vois aucun passage concernant la non-efficience d'un pilotage secondaire sur primaire, ce qui, d'un point de vue personnel, m'arrangerait bien (vu que je suis opposée au principe du principal qui piloterait les écoles). De fait, soit on ne parle pas du même rapport, et je veux bien que tu me fournisses les références (si ça ne te dérange pas), soit on parle du même, et des éléments ont été précisés depuis juillet 2016 et re-je veux bien que tu me fournisses les références (re-si ça ne te dérange pas :angel_not:)

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