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Programme Macron pour l'école...


Zarko

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il y a 33 minutes, leene a dit :

mais comment on va faire nous PE pour recevoir les alertes intrusions par sms ????

C'est ce à quoi j'ai pensé ....  

Mais c'est dans quel but ? A cause des ondes ? Pour les enfants uniquement ? 

Ça fait vraiment idée jetée là, résultat d'une lubie...

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c'est comme beaucoup de ses propositions, des trucs proposés là comme ça , sans cohérence , sans savoir le but ni comment ça va être mis en place .

sa mesure pour laisser le libre choix aux communes pour les rythmes c'est pareil, ok sur le principe mais on n'a pas plus de détails  pourra t-on revenir à des journées de 6h? etc..

bref ça fait un peu catalogue de mesures, pas un programme réfléchi!

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il y a une heure, leene a dit :

c'est comme beaucoup de ses propositions, des trucs proposés là comme ça , sans cohérence , sans savoir le but ni comment ça va être mis en place .

sa mesure pour laisser le libre choix aux communes pour les rythmes c'est pareil, ok sur le principe mais on n'a pas plus de détails  pourra t-on revenir à des journées de 6h? etc..

bref ça fait un peu catalogue de mesures, pas un programme réfléchi!

C'est tout à fait ce que je me suis dit : un catalogue de mesures avec des trucs plutôt "futiles" comme cette histoire de téléphone....

Bref rien d'innovant, du vent ! Je ne comprends pas l'engouement pour ce mec....

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Sans oublier que tous ne sont pas équilibrés... A l'heure où on parle sans cesse de sécurité, menaces d'attentats... On va faire rentrer n'importe qui n'importe où... Et on n'aura même plus nos portables pour prévenir qui que ça soit !! 

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Ma soeur bosse en collège, je pense qu'elle apprécierait grandement l'interdiction des téléphones portables (pour les élèves bien sûr) dans les collèges.

Actuellement, comme elle le dit, "je vais pas risquer de me prendre un gnon pour enlever son portable à un gamin..."

Après, c'est comme tout, sur le papier c'est bien mais dans les faits, ça donne quoi ?

Il n'y a aucun chiffre pour dire si ce programme est tenable.

Et sinon, les 12 elèves par classe en cp-ce1 en rep, ok, mais avec seulement 5000 postes supplémentaires, ça veut dire quoi ? Que les autres niveaux et les autres écoles vont avoir des effectifs qui vont augmenter !

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il y a 7 minutes, abel27 a dit :

Ma soeur bosse en collège, je pense qu'elle apprécierait grandement l'interdiction des téléphones portables (pour les élèves bien sûr) dans les collèges.

Actuellement, comme elle le dit, "je vais pas risquer de me prendre un gnon pour enlever son portable à un gamin..."

Après, c'est comme tout, sur le papier c'est bien mais dans les faits, ça donne quoi ?

c'est pour ça qu'à part installer des brouilleurs je ne vois pas trop comment ça pourra être appliqué!

il y a 7 minutes, abel27 a dit :

Il n'y a aucun chiffre pour dire si ce programme est tenable.

Et sinon, les 12 elèves par classe en cp-ce1 en rep, ok, mais avec seulement 5000 postes supplémentaires, ça veut dire quoi ? Que les autres niveaux et les autres écoles vont avoir des effectifs qui vont augmenter !

alors soyons clair, c'est le bordel son programme

il parle de supprimer 120000 fonctionnaires dont 50 000 dans la fonction publique d'Etat.

il parle de mettre 12 000 postes d'enseignants en REP pour dédoubler les classes de CP et CE1 mais uniquement 4 ou 5000 créations!

quand on lit bien (ses discours à gauche à droite) en fait il s'agit de redéployer des postes notamment à des endroits où il envisage de faire des économies (le bac notamment !)

C56hzXWWYAEpl7t.jpg

pour ceux qui ont le courage c'est expliqué dans son discours de Lille de janvier plutôt vers la fin

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Ah ben bizarrement, je me doute bien que c'est de la magouille des chiffres tout comme les 60 000 postes que personne n'a vu...

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Il y a 2 heures, elpissou a dit :

:blink: C'est quoi cette mesure ???? :blink:

Qu'est-ce que ça fait dans un programme électoral ?

Ben moi je trouve cela très bien. Il se substitut aus parents ET je dis pourquoi pas.

avant 15/16 ans un portable ne sert à rien.

un enfant meme de parents divorcés peut appeler du college. Pour ceux qui rentrent à pied je pense que cela veut dire qu ils n'habitent pas loin. Pour les autres ils appellent leurs parents quand ils arrivent à la maison.

a l'heure actuelle il y a de gros problèmes à cause des portables dans les collèges ( photos films .....) ET celà brouille la communication entre les enfants et l égalité entre les enfants puisque c est le dada de certains. Quand je vois des momes de 6eme qui ont des iPhone je me dis là il y a un petit problème ...

 

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Un article intéressant sur le site "Acteurs Publics" : https://www.acteurspublics.com/2017/03/02/ouverture-du-statut-acces-aux-grands-corps-individualisation-des-carrieres-le-projet-sans-tabous-d-emmanuel-macron

Comme il faut être abonné, je le copie ici :

Citation

Statut, grands corps, individualisation des carrières : Macron veut bousculer les fonctionnaires

2 MARS 2017, PAR PIERRE LABERRONDO

Le candidat d’En marche ! à l’élection présidentielle a précisé son programme en indiquant vouloir recruter au moins un quart des directeurs d’administration centrale en dehors de la fonction publique et ouvrir le statut de l’encadrement supérieurIl promet aussi de “mettre fin au système des grands corps”.

 

Un projet relativement précis et assez réformateur. Dans la foulée de ses premières annonces sur la modernisation du secteur public, le 24 février, Emmanuel Macron, le favori de l’élection présidentielle prévue en mai 2017, a confirmé cette semaine, à l’occasion de la publication sur son site Web de son programme, sa volonté de réformer assez nettement la fonction publique et singulièrement la haute administration (cliquez-ici).

À certains égards, bien plus que François Fillon qui a, lui, choisi de faire de la réforme du service public l’un des marqueurs de son programme, mais par le prisme des économies (suppression de 500 000 postes, retour aux 39 heures). Emmanuel Macron, tout en annonçant l’objectif de 120 000 postes non remplacés, développe une approche un peu différente et confirme une préoccupation : réformer la fonction publique passe d’abord par une rupture dans les modes de recrutement de ceux qui la dirigent.

Un spoils system assumé
En même temps qu’une réduction des effectifs des cabinets ministériels, qu’il promet “massive” pour pousser les ministres à travailler plus étroitement avec les directeurs d’administration sans utiliser les cabinets comme des écrans – un vieux débat –, l’ex-secrétaire général adjoint de l’Élysée annonce que les directeurs d’administration centrale et les principaux dirigeants des organismes publics seront nommés ou confirmés “au terme d’une procédure transparente, après revue de compétences et entretien”. Une opération qui devra être réalisée sous “quelques semaines”, a précisé Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse, le 2 mars.
Maintiendra-t-il le principe des auditions préalables, instauré en juin 2016 par le gouvernement Valls, selon lequel 3 candidats sont auditionnés par un comité de hauts fonctionnaires chargé de donner un avis au ministre ? Mystère… Quoi qu’il en soit, le candidat entend, avec ce projet, aller beaucoup plus loin qu’aujourd’hui, où certains postes éminents changent très vite de titulaires après le scrutin présidentiel, mais pas tous. Emmanuel Macron veut ainsi dépasser l’entre-deux français, en appliquant réellement le spoils system à l’américaine, mais sans la confirmation par le Parlement, très chronophage, voire paralysante à certains égards, et pas dans l’esprit de la Constitution de 1958.

Une diversification des profils au sommet avec un quota
“Nous recruterons un quart au moins des directeurs d’administration centrale en dehors de la fonction publique sur la base d’appels à candidatures ouverts visant à identifier les meilleures compétences techniques et managériales”, promet aussi le programme d’En marche ! derrière lequel on reconnaît la patte de celui qui l’a coordonné depuis un mois : l’économiste Jean Pisani-Ferry.
Ce dernier s’est mis au service du candidat le 31 janvier dernier, après avoir démissionné de la direction de France Stratégie, un organisme de réflexion adossé à Matignon et à la tête duquel il avait justement formulé cette proposition en 2014 dans un rapport intitulé “Quelle France dans dix ans ?”. Et ce après avoir relevé qu’à l’époque, seuls 5 postes de directeurs d’administration centrale sur 149 étaient occupés par des non-fonctionnaires.
Sur le plan juridique, le statut laisse le pouvoir politique totalement libre, avec la faculté de recruter des non-fonctionnaire sur les plus hauts emplois pourvus en Conseil des ministres. Mais en réalité, l’exécutif ne recrute que rarement en dehors de la haute fonction publique pour plusieurs raisons : habitudes de l’entre-soi, résistance de la haute administration, écart important entre les rémunérations du public et du privé qui pose un problème d’attractivité, peur d’une phase d’acculturation trop longue, etc. 

Ouvrir l’encadrement supérieur
En revanche, la strate d’en-dessous, celle de l’encadrement supérieur (chefs de service, sous-directeurs, chefs de bureau), reste, elle, corsetée par le statut, compte tenu du modèle français qui place au centre une haute fonction publique de carrière recrutée par concours. S’agissant de cette cible en particulier, le programme “macronien” risque de faire tiquer sérieusement dans le landerneau. “Nous éliminerons les contraintes statutaires qui restreignent l’accès aux postes d’encadrement supérieur dans la fonction publique”, indique le programme, en donnant un élément de justification : “Ceci donnera des perspectives aux agents publics touchés par le « plafond de verre » imposé par les statuts actuels.”

Les grands corps dans le viseur

Mais le candidat d’En marche !, ancien inspecteur des finances formé sur les bancs de la célèbre promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA, n’en reste pas là, puisqu’il s’attaque à un autre totem : les grands corps de l’État (Conseil d’État, inspection générale des Finances, Cour des comptes) dont il est issu. “Nous mettrons en particulier fin au système des grands corps en les rapprochant des corps existants et exerçant des fonctions similaires”, énonce – sans préciser l’objectif RH visé ni les modalités – le programme de celui qui entend réformer de manière générale la “société des statuts”.
À la tête du ministère de la Fonction publique, Marylise Lebranchu s’y est cassé les dents sous la Présidence Hollande en lançant une mission de réflexion sur le sujet où était notamment posée la question d’un maintien de l’accès direct aux grands corps à la sortie de l’ENA. La mission avait répondu qu’un accès direct pouvait être maintenu, mais que des fusions de corps au sommet étaient nécessaires : magistrats de la Cour avec ceux des chambres régionales des comptes, etc. Autant dire que l’idée n’a, jusqu’ici, pas dépassé le stade de la réflexion…

Revoir le système des corps
Sur le plan plus global de la fonction publique, Emmanuel Macron promet que le statut des fonctionnaires ne sera pas remis en cause, mais qu’il sera “modernisé et décloisonné, par un assouplissement du système rigide des corps”, sans entrer dans les détails. Une manière, peut-être, de dépasser le système actuel alors que la politique de fusion des corps menée au cours de cette dernière décennie au sein de la fonction publique de l’État marque le pas (il reste un peu plus de 300 corps, contre près de 700 en 2005).
“Nous introduirons plus de souplesse dans la gestion des carrières avec des rémunérations plus individualisées et la promotion des mobilités”, énonce le programme en indiquant que le recrutement sur contrat dans les fonctions non régaliennes sera développé, afin de permettre au service public d’attirer des professionnels “d’expérience” en fonction des besoins. “Nous alignerons le statut des contractuels publics sur le droit du travail commun”, précise encore le programme.

Vers des lois pluriannuelles
Emmanuel Macron consacre aussi un volet de son programme au pilotage des réformes. “Les ministres seront comptables du respect des objectifs de dépense publique qui leur auront été assignés”, indique-t-il après avoir déjà dit, la semaine passée, que les ministres qui ne réaliseraient pas les économies fixées ne seraient pas maintenus à leur poste.
“Ils auront le choix des moyens pour atteindre [ces objectifs] (investissement, réorganisations, évolution des effectifs, rationalisation des achats...), avance Emmanuel Macron en annonçant qu’une loi fixera pour la durée du quinquennat les objectifs de dépense de chaque grand secteur d’administration. “Les ministères qui dépassent leurs objectifs se verront reverser une partie des gains réalisés”, promet-il…

 

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