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Avis sur message IEN


ChinGoN

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il y a 33 minutes, Chubaka a dit :

Encore une vérité révélée dont sont friands les petits IEN zélés qui n'ont vraiment rien d'autre chose à foutre et attestent ainsi de leur inutilité. Moi un mail de ce genre c intervention syndicale et TA illico.. Non mais sans déconner on va où là?!?  Un IEN "plus haut placé"? C quoi cette espèce? Un glandu de la Dasen chargé encore d'une "mission" genre compter les trombones et remplir des tableaux à double entrée pour un salaire de ministre?? Il consulte Twtitter sur son temps de travail je suppose histoire de faire passer le temps... Pfff..... 

Ce flicage est scandaleux. Mais malheureusement annonciateur de la société au fascisme doux vers laquelle on s'oriente. 

Il s'agit effectivement d'un IEN chargé de mission à l'échelle académique. Me tourner vers les syndicats ? Dans quel but ?

 

il y a 29 minutes, Arnocodi a dit :

Cela veut donc dire que si tu mentionnes que tu es prof, tu t'exprimes au nom de l'éducation nationale ?

Il vaut mieux dans ce cas là avoir des comptes bien différenciés, un compte pro et un compte perso.

Je ne vois pas mon compte Twitter comme un compte pro mais juste une plateforme d'échange.

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il y a une heure, ChinGoN a dit :

Effectivement je suis professeur des écoles, ce que je mentionne sur mon profil Twitter. D'ailleurs cela m'a également été reproché puisque : "Lorsque l'on utilise Twitter en précisant sur son profil que l'on est professeur des écoles, le compte devient donc un compte professionnel, on veille au respect du devoir de réserve inhérent à son statut de fonctionnaire. Ce qui vous laisse toute liberté d'exprimer vos opinions sur un compte personnel..."

Voici la fin de son message.

Donc, si on va par là, quand à un apéro entre potes, on précise qu'on est prof, on rentre dans un cadre professionnel et on doit fermer sa gueule (et accessoirement ne plus boire des téquilas jusqu'à rouler sous la table parce que là, en plus, on n'agit plus de façon éthique et responsable ...).

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Pourquoi ne pas contacter les médias pour parler des nouvelles missions des IEN ??? C'est plutôt pas mal comme sujet d'article à écrire !!! Zut, j'ai dit un truc que je ne devais pas dire ...! je:sort:

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Le glissement entre propos privés et propos publics n'est pas anodin. Cet IEN n'a pas complètement tort en exprimant qu'à partir du moment où on donne son opinion en tant que professeur ou directeur, cette opinion peut laisser croire que c'est le fonctionnaire qui critique l'institution et donc dépasse son devoir de discrétion. Je rappelle que nous n'avons AUCUN devoir de réserve, qui n'existe pas pour nous qui ne sommes pas fonctionnaires d'autorité. Nous avons donc parfaitement le droit de critiquer comme nous le voulons et de la manière qui nous sied notre institution tant que nous ne sommes pas dans l'insulte ou autre. Cet IEN a totalement tort légalement, a presque raison moralement. Il se mêle surtout de ce qui ne le regarde pas. Néanmoins j'engage tous les professeurs et directeurs d'école (qui ne sont pas fonctionnaires d'autorité) à se méfier de leurs comptes Twitter ou Facebook, tant il est facile d'extraire un propos de son contexte. J'en ai été victime récemment. Mon conseil dans ce cas précis: laisser tomber; cet IEN ne peut RIEN faire sans s'engager d'une manière qui lui sera ensuite reprochée dans un système qui le dépasse.

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Il y a 3 heures, Pascal Oudot a dit :

Le glissement entre propos privés et propos publics n'est pas anodin. Cet IEN n'a pas complètement tort en exprimant qu'à partir du moment où on donne son opinion en tant que professeur ou directeur, cette opinion peut laisser croire que c'est le fonctionnaire qui critique l'institution et donc dépasse son devoir de discrétion. Je rappelle que nous n'avons AUCUN devoir de réserve, qui n'existe pas pour nous qui ne sommes pas fonctionnaires d'autorité. Nous avons donc parfaitement le droit de critiquer comme nous le voulons et de la manière qui nous sied notre institution tant que nous ne sommes pas dans l'insulte ou autre. Cet IEN a totalement tort légalement, a presque raison moralement. Il se mêle surtout de ce qui ne le regarde pas. Néanmoins j'engage tous les professeurs et directeurs d'école (qui ne sont pas fonctionnaires d'autorité) à se méfier de leurs comptes Twitter ou Facebook, tant il est facile d'extraire un propos de son contexte. J'en ai été victime récemment. Mon conseil dans ce cas précis: laisser tomber; cet IEN ne peut RIEN faire sans s'engager d'une manière qui lui sera ensuite reprochée dans un système qui le dépasse.

Et petite question idiote : a-t-on le droit de discuter entre nous sur ce forum de  temps à autres de nos ministres, de leur propositions, de la semaine des 4 jours ou 4 jours et demi  ou encore d'autres sujets ??? il est difficile de rester neutres lorsque nous le faisons et nous sommes bien obligés de prendre partis pour défendre nos idées...??! mais que dit le droit à ce propos là ?

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Je suis d'accord avec ce qui a été écrit mais franchement, si ChinGon a juste écrit

Le 18/07/2017 à 09:41, ChinGoN a dit :

un collègue qui expliquait que la proposition du ministre autour de la chorale du jour de la rentrée était irréalisable. Mon tweet était composé de 2 mots : "Pas mieux".

c'est quand même pas une critique virulente ! C'est juste un point de vue. Quand mon IEN me dit certaines choses, il m'arrive de lui dire que ce n'est pas réalisable ou pas "raisonnable / réaliste / ...". D'accord, ce n'est pas sur le net et public mais bon... On a quand même le droit de donner son avis si ça reste dans la limite de la politesse.

En effet, il vaut mieux faire attention comme l'a dit @Pascal Oudot. Mais je trouve l'intervention de l'IEN un peu gonflée...

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Désolé pour le retard, je prends du recul en ce moment par rapport à l'école (entre la mienne, le GDiD, etc, je sature un peu). Oui, nous pouvons dire ce que nous voulons dans les limites de la bienséance. Je le répète,  cet IEN se mêle de ce qui ne le regarde pas, et il a totalement tort d'évoquer un "droit de réserve" qui n'existe que dans son imagination. Lui est fonctionnaire d'autorité, il en a un. Pas les enseignants ni les directeurs d'école. Il est donc légalement totalement en porte-à-faux, et n'importe quel syndicat, ou l'Autonome, ou le GDiD si tu es directrice, sera facilement à même de lui mettre les points sur les "i" s'il renouvelait une tentative d'intimidation. Qu'il occupe donc ses vacances à se reposer plutôt que se balader sur le net à faire chier le monde.

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Je veux apporter une précision pour ne pas être mal compris. Nous n'avons aucun "devoir de réserve", mais nous avons un "devoir de discrétion". Ceci signifie que nous n'avons pas à divulguer des informations qui nous sont connues de par notre fonction: une info sur un de nos élèves, par exemple, ou un document interne à une circonscription et qui n'est donc pas public, etc. En revanche nous avons parfaitement le droit de discuter et de donner notre opinion sur tout ce qui est public (une décision ministérielle, une interview malencontreuse d'un ministre trop bavard, un document paru au JO, etc...) dans les limites de la bienséance et hors calomnie. Néanmoins, je répète ce que j'ai écrit plus haut, tout propos tenu sur le net ou un réseau social peut être extrait de son contexte et apporter des emmerdements sans nom, je recommande donc à chacun d'être attentif à ce qu'il publie et où. Personnellement je suis contre l'anonymat, c'est pourquoi ce que je publie l'est en général sous mon propre nom, d'autant que le fais souvent comme membre du bureau du GDiD, et que je m'abstiens de toute manière de toute insulte ou mise en doute des qualités d'autrui (je trouve l'anonymat trop facile pour écrire les pires mensonges ou les pires saloperies). Répondre violemment à un agresseur anonyme est en revanche souvent jouissif, mais si on ne maîtrise pas la chose mieux vaut s'abstenir de répondre pour ne pas alimenter le troll. Mais faites très attention! Un mauvais plaisant prend une phrase qui peut être interprétée, et les ennuis commencent. Soyez donc extrêmement attentifs.

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