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Nouvelle Urgence Réseau Education Sans Frontières


Dominique

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merci de cette bonne nouvelle.... d'un an .

ca me fait penser que tu m'as pas envoyé le tract ;o)

en te lisant, j'ai cru que cette nouvelle était dépassée d'un an alors que j'ai reçu le mail ce soir....Mais je viens de comprendre...Oui un an bon c'est toujours ça de pris et en général ça augure encore un an puis encore un an et enfin plus, enfin si ça bouge pas trop niveau loi.

pour le tract, je ne l'ai plus sur mon pc, j'ai fait du ménage dernièrement :blush: , mais bon je connais quelqu'un qui doit encore avoir ça dans ses tablettes ;)

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Voilà, malheureusement, encore du nouveau...

A voir, en bas de mail des adresses où nous pouvons / devons protester contre le sort fait à ces personnes... :cry:

ENCORE TROIS ENFANTS AU TABLEAU DE CHASSE DU MINISTRE

La famille HADZIKIC est bosniaque, originaire de la partie serbe de la

Bosnie-Herzégovine. Mirsad et Jasmina Hadzikic ont fui pendant la guerre et

se sont réfugiés en Allemagne plusieurs années durant lesquelles leur

deuxième enfant est née. Ils ont ensuite tenté de rentrer chez eux. Ils y

ont trouvé la maison familiale détruite et un "accueil" des plus hostiles ce

qui les a contraints à reprendre le chemin de l'exil. C'est ainsi qu'ils

sont arrivés en Haute Savoie.

Les aînés sont scolarisés : Amina, 16 ans, est en BEP vente action marchande

au lycée des Carillons à Annecy, elle est bien intégrée, a rapidement appris

le français et envisage des études longues. Elle bénéficie du soutien de ses

enseignants. Sa soeur, Melisa, 13 ans, a toujours un livre à la main, elle

est en 5ième au collège de Saint Jorioz et est, elle aussi, très appréciée

de son entourage. Himzo, 17 mois, est né en France, c'est un petit enjoué et

curieux de ce qui l'entoure.

La mère et les trois enfants ont été arrêtés le 3 janvier à leur domicile,

en l'absence du père qui est recherché par la police mais se démène pour

faire sortir sa femme et ses enfants du centre de rétention de Lyon-Saint

Exupéry. Ils n'ont pas pu emporter d'effets personnels, pas même des couches

pour le petit. Ils sont logés dans une cellule de 4 lits dont la vétusté et

la promiscuité ont été dénoncées par le passé.

Jusqu'où les autorités ont-elles l'intention de pousser l'acharnement contre

une famille et des enfants dont la vie a déjà été saccagée par la guerre et

plusieurs exils. Monsieur le Préfet de Haute-Savoie et son supérieur le

ministre de la Chasse à l'enfant sont-ils réellement obligés de démembrer

cette famille et d'ajouter un exil supplémentaires à ceux qu'elle a déjà

endurés ?

Pour demander qu'Amina, Melisa et Himzo Hadzikic soient libérés et que leurs

parents soient régularisés (Envoyer copie à RESF Haute-Savoie 5, rue

Paul-Cabaud 74000 ANNECY resf74@yahoo.fr)

prefecture.haute-savoie@haute-savoie.pref.gouv.fr

remi.caron@haute-savoie.pref.gouv.fr (Préfet de Haute-Savoie)

philippe.leraitre@haute-savoie.pref.gouv.fr (directeur de cabinet)

eric.canizares@haute-savoie.pref.gouv.fr (chef du service des étrangers)

Téléphone : 04 50 33 60 00 fax : 04 50 52 90 05

Courrier : M. Rémi Caron préfet, rue du 30ème régiment d'infanterie,

B.P.2332, 74034 ANNECY cedex.

Ministère de l'Intérieur : Standard 01 40 07 60 60 Fax 01 40 07 21 09

Directeur de Cabinet, C. GUEANT Fax 01 40 07 13 90

claude.gueant@interieur.gouv.fr

sec.gueant@interieur.gouv.fr

G. Larrivé (Conseiller chargé de l'immigration et, par ailleurs, député

suppléant de M. Soisson - UMP)

sec.larrive@interieur.gouv.fr

guillaume.larrive@interieur.gouv.fr

M. Tandonnet (Conseiller chargé de l'immigration)

sec.tandonnet@interieur.gouv.fr

maxime.tandonnet@interieur.gouv.fr

Quand on n'a pas de fax : http://www.alliancemca.net/faxgratuit.html

En vrac quelques adresses de responsables qui seront ravis de savoir combien

leurs décisions ou celles dont ils sont solidaires sont appréciées. Petits

conseils pratiques pour être entendus :

Quand on a le choix, le fax est préférable au mail, l'idéal étant les deux.

Certains responsables ne veulent pas entendre ce que les gens ont à leur

dire. Ils mettent des filtres sur leurs boîtes mail, par exemple en

éliminant tous les messages portant le nom de telle ou telle famille. Il

suffit d'introduire une faute d'orthogrpahe sur le nom. Ceux qui écrivent

régulièrement peuvent se trouver en liste noire : envoyer son message d'une

autre adresse.

frederic.lefebvre@interieur.gouv.fr

constance.le-grip@interieur.gouv.fr

florence.berthout@pm.gouv.fr

marion.delaigue-natali@pm.gouv.fr

laetitia.de-la-maisonneuve@pm.gouv.fr

bruno.souchon@pm.gouv.fr

jacques.gerault@interieur.gouv.fr

laurent.solly@interieur.gouv.fr

bruno.le-maire@pm.gouv.fr

michel.cadot@pm.gouv.fr

Henri-michel.comet@pm.gouv.fr

lionel.beffre@pm.gouv.fr

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  • 3 semaines plus tard...

La manifestation à Vesoul a été un succès :

http://www.dailymotion.com/video/x12zlf_manif270107

http://www.dailymotion.com/gargarone/video/x1316k_interv1

http://www.dailymotion.com/gargarone/video/x132xz_interv2

Plus d'infos ici :

http://www.educationsansfrontieres.org/art...id_article=2625

et là :

http://www.collectif-raba.fr/

Continuons à faire pression en envoyant mails, fax etc.

La famille Raba doit pouvoir revenir en France.

post-1381-1170185741.jpg

--

Cordialement,

Dominique P.

http://pernoux.perso.orange.fr [ beurk ! c'est des maths ]

http://dpernoux.free.fr/ExPE1/anim.htm [ là, elles sont "animées" ;-) ]

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  • 4 semaines plus tard...

L'arrestation de sans-papiers se rendant à la préfecture est jugée illégale

LE MONDE | 22.02.07 | 14h35

La Cour de cassation considère que l'arrestation d'un sans-papiers convoqué au guichet d'une préfecture est illégale. Dans une décision datée du 6 février, la plus haute instance judiciaire estime que "l'administration ne peut utiliser la convocation à la préfecture d'un étranger (...) qui sollicite l'examen de sa situation administrative nécessitant sa présence personnelle, pour faire procéder à son interpellation". Cette décision est rendue publique alors que les ministres de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, et de la justice, Pascal Clément, ont encouragé, par circulaire du 21 février 2006, les préfets et les procureurs à effectuer ce type d'arrestations.

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  • 2 semaines plus tard...

Pétition nationale : Laissez-les grandir ici :

Comment est né ce film et cet appel

Collectif des cinéastes pour les « sans-papiers »

Professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en soutien au Réseau Education Sans Frontières et à tous les « sans-papiers » de France

Dans les écoles, les collèges et les lycées, un grand mouvement de solidarité entoure les enfants d’hommes et de femmes sans-papiers menacés d’expulsion.

Ce mouvement est essentiel à la société française : les enfants des écoles, ce sont les enfants de ce pays, ce sont les enfants de la République.

A titre individuel ou au sein d’associations, des cinéastes se sont engagés en parrainant et en protégeant ces familles en difficulté et en danger.

La décision de faire un film collectif s’est vite imposée à nous.

Pour réaliser ce film, nous nous sommes adressés au Réseau Éducation Sans Frontière (RESF) et à des enseignants, qui nous ont présenté certains de leurs élèves, des enfants de ceux qu’on appelle « sans-papiers ».

Avec l’accord de leurs parents, nous avons travaillé avec eux en ateliers d’écriture. Les enfants ont raconté leurs situations, confronté leurs expériences. De ces échanges est né un texte (ci-dessous) et de ce texte est né un film. Leur film. Une forme simple qui porte leur parole et leur histoire. Une histoire de peur et de souffrance.

Les enfants ont participé à ce travail avec leur passion et leurs espoirs. Espoir de voir cesser l’arbitraire, qui fait toujours d’eux des enfants de « sans-papiers », des enfants de déboutés. Espoir de vivre sans la peur quotidienne d’être expulsés. Passion d’apprendre et de grandir dans un pays qui est le leur comme il est le nôtre.

Ces enfants doivent vivre parmi nous. Il est aujourd’hui urgent d’affirmer :

Laissez les grandir ici !

Ce film sera projeté dans les salles de cinéma à partir de mercredi 7 mars 2007 (salles d’Art et Essais, réseau MK2...) et 400 copies sont d’ores et déjà disponibles pour une diffusion nationale. De plus, des DVD seront bientôt disponibles.

http://www.educationsansfrontieres.org/?article4633

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vu, lu, signé.

Itou... :cry:

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Copié-collé mail RESF :

Chacun d'entre vous a eu l'écho, dans la presse, à la télévision, au cinéma du film produit par un collectif des 350 cinéastes Laissez les grandir ici et de la sortie de la pétition qui porte le même titre.

C'est un renfort de la plus grande importance qui doit, selon nous, trouver le relais le plus large possible auprès de toutes celles et de tous ceux qui depuis des mois et des mois se sont lancés dans la défense des enfants étrangers menacés de bannissement.

Si ce que certains appellent la question de l'immigration est abordée dans la campagne, c'est principalement par la voix de Le Pen et de son émule Sarkozy. Les candidats qui se prononcent en faveur des sans papiers sont des "petits" candidats dont l'accès aux médias est limité et qui, pour certains, ne font pas de la question leur cheval de bataille. Quant à François Bayrou et Ségolène Royal, ils font preuve sur la question d'une discrétion remarquable se contentant, au mieux, de vagues généralités sur la régularisation sur critères et au cas par cas.

Cela ne peut pas nous satisfaire. L'initiative des cinéastes est destinée, justement, à replacer la question des enfants de sans papiers et des sans papiers en général dans la campagne, d'une façon honnête et positive.

Il faut que chacun des collectifs du réseau, chacun de ceux qui veut que les choses avancent, s'en empare. Des DVD du film seront disponibles dès le début de la semaine prochaine. La pétition est en ligne. Il faut que chacun la signe, bien sûr, invite ses amis et tout son carnet d'abresse à en faire autant. Mais ce n'est pas assez. Il faut aussi que dans chaque école, dans chaque établissement, sur chaque marché, devant chaque cinéma où le film est projeté, des tables proposant la signature de la pétition soient dressées. C'est par milliers, par dizaines de milliers que les signatures doivent rentrer.

Pour voir le film :

http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article4631

Pour signer la pétition :

http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article4633

Pour se procurer le DVD : educsansfrontieres@free.fr ou par la poste Chèque à l'ordre du RESF (10€ port compris) à RESF, 8 impasse Crozatier 75012 PARIS.

Nous disposons d'autre part de quelques exemplaires du DVD de l'interview de Shpresa RABA (10 €) qui peuvent être commandés à la même adresse.

L’APPEL

Nous sommes des enfants de « sans papiers ».

Un sans-papier, c’est quelqu’un qui n’a pas de carte de séjour même s’il est en France depuis longtemps.

Comme beaucoup d’entre vous, nos parents sont venus d’ailleurs. Ils ont fui la violence, la misère. Ils sont venus pour travailler et nous donner une vie meilleure. Certains d’entre nous sont nés ici. Avec ou sans papiers la France est notre pays.

On vit dans des hôtels meublés, des appartements, des chambres où on s’entasse. Tous les jours on a peur. On a peur que nos parents soient arrêtés par la police quand ils vont au travail, quand ils prennent le métro. On a peur qu’on les mette en prison, que nos familles soient séparées et qu’ils nous renvoient dans des pays qu’on ne connaît pas. On y pense tout le temps. A l’école aussi. Est ce que c’est normal d’avoir peur quand on va à l’école ?

L’été dernier nos parents et nous, on a eu l’espoir d’avoir enfin des papiers. On a fait des dossiers, on a passé des jours et des nuits à faire la queue devant des préfectures. On s’est inscrit dans des bureaux. On a cru qu’on serait régularisés, que le cauchemar serait terminé. On remplissait tous les critères, mais on nous a dit : non.

Nous sommes venus à visage découvert avec nos noms, nos adresses. Ceux qui ont eu leurs papiers avaient le même dossier que nous. Et pourtant on nous a dit : non. Arbitrairement.

Maintenant on est en danger et on doit se cacher. Pourquoi cette injustice ?

Nous ne voulons plus vivre dans la peur. Nous voulons que la France nous adopte. Nous voulons être régularisés. Laissez nous grandir ici.

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C'est bien de s'abonner à la liste info du réseau Education sans frontières. On est très rapidement et directement informé des infos et des actions en cours.

Pour ceux qui veulent :

Resf.info

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  • 2 semaines plus tard...

Pour info....

Urgent : Alter Egaux lance un appel à la mobilisation...

Lundi 19 mars, à 18 H place de la préfecture à Laval.

9 Guinéens ont été arrêtés jeudis à la fonderie de Port Brillet où ils

travaillaient. 7 ont été jugés dès le lendemain en comparution

immédiate, pour possession de faux titres de séjour. En France, pour

certains depuis de nombreuses années, ils étaient dans l'attente de

papiers... Ils travaillaient pour pouvoir nourrir leur famille, payer le

loyer, se nourrir... C'est ce qu'à plaider l'avocat commis d'office, qui

a invoqué le fait qu'ils sont à "mille lieux de la délinquance pur

jus"... leur souhait était de vivre et de s'intégrer.

Le tribunal, devant les faits, a été "relativement indulgent"(le

procureur souhaite d'ailleurs faire appel)... condamnant les 7 hommes à

des peines de prison avec sursis de 1 à 3 mois. Aucune expulsion n'a été

prononcée à leur égard... Mais à l'issue de l'audience, seul l'un d'eux,

père d'enfants français a été libéré. Les autres, sur ordre de la

préfecture, ont été placés en rétention et trois sont actuellement à

Toulouse. Ils peuvent être expulsés à tout moment alors même que la vie

de certains est en danger en Guinée.

Dès la fin du procès, vendredi soir, des représentants d'Alter Egaux se

sont présentés à la préfecture pour demander une entrevue au préfet...

Aucun rendez-vous n'a été accordé. Les personnes sont revenues samedi

matin et malgré de multiples démarches n'ont rien obtenu...

Lundi, la mobilisation doit absolument être forte, pour apporter notre

soutien à ces hommes dont le tort était de vouloir travailler !

Merci de faire passer l'information à un maximum de personnes !

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  • 3 mois plus tard...

Un exemple de reconduite à la frontière :

Suite à l’expulsion de Mme Moussaoui, lundi 25 juin 2007, le RESF 24 dénonce

vigoureusement les méthodes employées par le Préfet de la Dordogne.

Aux yeux de tous les habitants, il était déjà scandaleux d’expulser une

femme handicapée en la séparant de sa fille, agée de 13 ans, et de son

mari.

Cela ne suffisait sans doute pas, il fallait monter d’un cran dans

l’ignominie

en embarquant de force Mme Mouzaoui, menottée comme une terroriste, vers

une destination inconnue, Mr le Préfet souhaitait sans doute humilier un peu

plus la famille, les amis et les militants venus nombreux la soutenir.

Il est d’autant plus inquiétant que ces décisions n’ont été prises qu’en

fonction de la susceptibilité du représentant de l’Etat. Selon les sources

policières, les pressions étaient très fortes pour que l’expulsion se passe

au plus vite, et ce en réaction à la régularisation récente de la famille

Kiki.

Nous déplorons que des persécutions soient ainsi engagées avec pour seul

motif la vexation.

La France reconnaissante ! Nous rappelons aussi que M. Mouzaoui est ancien

combattant et retraité après 40 années d’activité en France.

http://www.educationsansfrontieres.org/?article6862

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