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oups! je me suis trompée de voie...


diana25

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Bonjour,

Suis je la seule à m'être mise à douter au sujet de mon futur metier et ayant envie de reprendre mes très cheres études universitaires? pour, dans mon cas reprendre la psychologie qui me manque tellement (jamais je n'aurais cru dire ça un jour :noelunsure: ...)

Tout le monde autour de moi, essaie de me faire changer d'avis, limite de me culpabiliser, personne ne comprend... J'ai l impression d'avoir dit que j'arretais mes études pour partir au fin fond de la planete avec un inconnu rencontré la veille en discothèque...alors que je veux un master :noelhuh:

Mais non, je me suis simplement rendu compte que je ne voulais pas être instit, que je n'etais pas faite pour ça, et que je préfère aider un enfant à la fois, ou un adulte, être psy quoi... :noelrolleyes:

En tous cas, si je suis la seule à prendre cette décision :noelwacko: , je vous conseille à tous de faire des stages, d'aller voir ce qui se passe réellement en classe et de mettre a l'epreuve sa motivation, avant de se lancer, surtout comme moi dans un institut de preparation au concours privé aux prix exorbitant (ce que j ai malheureusement fait!).

J'avais fait un tout petit stage d'une semaine en maternelle, lors de ma derniere année de licence, mais ça ne m'a pas suffit, c'est seulement depuis que je suis avs (mi novembre) que j'ai réellement réalisé ce qui me plaisait (et surtout ce qui ne me plaisait pas).

Dans mon cas la psychologie, est plus ou moins en lien avec mon poste d'avs, étant donné que je travaille avec un petit autiste et un autre ayant des problèmes familiaux...

Je tente quand même le concours cette année pour pouvoir me dire que je n'ai pas cassé ma tirelire (euh... un petit pret à la banque serait plus adapté à mon cas mais bon...) pour rien et puis si je l'ai :noelhuh::noellaugh: j'attendrai 3 ans pour passer le concours de psy scolaire.

Enfin, tout ça pour dire, ne pas se lancer tête baissée sans savoir où on va!

Par contre je ne regrette pas (mis à part le coté financier) cette année, puisque j'ai enfin compris ce que je voulais( il etait temps), j'ai appris beaucoup de choses, je me suis remise à niveau sur certains points, j'ai gagné de la culture G en sciences et histoire, et j'ai fais de nombreuses connaissances très enrichissantes, et ce n'est pas fini puisque je continue ma formation, puisque que de toute façon j'ai tout à y gagner(et j'ai pas payé pour rien :noellaugh:) , tout en revisant petit à petit certains cours de psycho pour l'an prochain, et toujours en travaillant pour compenser la grosse dépense de début d'année pour cette fameuse école, qui d'ailleur ne me convenait pas mais c'est une autre histoire...

Sur ce, courage à tous pour le concours, et mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année

(bon j'ai beaucoup écrit, j'ai un peu raconté ma vie, mais j'en avais besoin, désolée...)

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Merci de m'avoir répondu (si vite en plus), je me sens moins seule, parce que je pensais vraiment l'être. Même si je sais que beaucoup d'enseignants veulent se réorienter, ce n'est pas le cas chez nos collègues qui préparent le concours.

Est ce que toi aussi on te prend pour un illuminé depuis que tu t'es mis à douter?? :noelwink:

C'est vrai qu'AVS est un super "métier" tres enrichissant, mais il serait quand même bien qu'il en devienne un vrai (de métier) parceque pour le moment c'est pas super, je suis toujours à me demander si on ne va pas être évincé du jour au lendemain suite à une décision (pas fondée évidemment de notre cher gouvernement) :noelhuh:

J'espere pour toi que tu ne sera pas jeté de ton emploi actuel, mais meme si c'était le cas je pense qu'un poste d'avs serait rapidement trouvé, surtout que tu as déjà de l'experience en école, et de toute façon ils recherchent tout le temps, c'est la pénurie (j'ai été appelée sans rien demander à êrsonne, je n'ai meme pas envoyé de courrier, juste inscrite sur le site pour être assistant d'éducation)...

Et c'est sûr que faire des supléances, ça ne peut être que bénéfique pour ton choix futur, mais, je pense que si dès maintenant tu te pose des questions c'est peut être que tu n'es pas réellement motivé, "que tu n'ai pas la vocation" pour ce métier qui en necessite vraiment pour ne pas se rater et ne pas rater les p'tiots et qu'un jour ou l'autre tu auras envie de changer, mais bon, il se peut aussi qu'en enseignant, qu'en faisant tes prép le soir... tu auras un déclic et découvriras que ça te plait vraiment.

En tous cas tu as raison il faut tout faire, stage, remplacements si tu en as l'occasion pour vraiment savoir tu vas.

Encore merci de m'avoir fait me sentir moins seule et d'avoir pris le temps de me répondre.

Diana

Tu as fait quel cursus, quelles études?

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le point positif que vous vous soyez rendu compte que cela ne vous convenait pas avant d'avoir été trop loin dans la démarche.

Franchement j'en connai pas mal qui se remettent en question vis à vis de ce futur métier après leurs stages. Pour ma part ce n'est pas le cas mais je comprends tout à fait un tel revirement car je l'ai fait auparavant (quand je me suis rendu compte qu'ingénieur c'était pas pour moi).

Quand j'ai changé d'orientation j'étais seule avec ma décision que personne n'approuvait et tout compte fait aujourd'hui les gens sont derrière moi puisque j'ai pris ma décision et que je pouvais plus faire marche arrière.

Courage c'est toujours dur de douter mais il n'est jamais trop tard pour faire un métier qu'on aime !

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Moi je trouve ça bien de se rendre compte qu'on s'est trompé...

Mais êtes-vous sûres d'avoir réussi à cerner ce en quoi consistait le métier? Enfin tout ça pour dire que selon moi, entre observer + bosser le concours et prendre la classe, il y a un monde ;)

Bonne continuation à toutes les deux :wub:

Aurore

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Moi je trouve ça bien de se rendre compte qu'on s'est trompé...

Mais êtes-vous sûres d'avoir réussi à cerner ce en quoi consistait le métier? Enfin tout ça pour dire que selon moi, entre observer + bosser le concours et prendre la classe, il y a un monde ;)

Bonne continuation à toutes les deux :wub:

Aurore

oui c'est vrai que je n'ai jamais tenu une classe, mais même l'ambiance, si on peut dire ça comme ça, ne me plait pas. 25 enfants bruyants avec lesquels il faut faire la police non merci. De plus, être obligée d'en laisser un "de coté" parce qu'il aurait besoin de plus d'attention et qu'on ne peut pas parce que 24 autres à gérer, je ne suporterais pas.

Et puis moi, c'est surtout que je suis arrivée là par suite logique, alors que depuis que j'ai quitté la psycho ça me manquait, j'étais même presque jalouse de mes copines qui continuaient :noelclosedeyes::noelbiggrin:

Mais je suis totalement d'accord, observer et faire c'est totalement différent.

(il me semble que koba est un garçon :noelwink: )

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hello diana5

Je comprends ce que tu veux dire "psycho me manque" moi aussi ! J'ai une maîtrise de psycho de l'enfant, j'ai longtemps hésiter à passer le concours. En 2001 j'étais prise en DEA et DESS de psy mais je ne me voyais pas psy à 25 ans devant la misère du monde. EN fait tout dépend ce que tu aimes la cognitive ou la clinique pur et dure si c'est cognitive et troubles apprentissage alors voici une autre solution :

Je suis comme toi je préfère aider un enfant ou un groupe d'enfants en remédiation et soutien mais j'aime aussi la classe...Donc j'ai trouvé un bon compromis : déjà avoir ce schreugneugneu de concours, enseigner qq années (max 5ans histoire de se forger un peu) et passer le CAPASH option D ou E ou DEPS " psychologue scolaire".

http://daniel.calin.free.fr/textoff/psychologues_1991.html psychologue scolaire

Voici un autre site ou tu trouveras plein de renseignement : http://www.aideeleves.net/

J'espère avoir éclairer ta lanterne :noelsmile:

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c'est marrant parce que moi c'est totalement le contraire :noelbiggrin:

je veux être prof depuis toute petite, ça ne s'explique pas et en dernière année de licence, j'ai fait un stage: ça m'a plu mais sans plus. Je savais plus trop si c'était ce que je voulais faire :noelunsure:

depuis la rentrée je suis AVS en CP-CE1 et là ça a été la révélation!! de suivre cette classe sur le long terme, de tous les connaître et qu'ils me connaissent tous, d'avoir une "relation" humaine avec eux, ça m'a confirmé que c'est ce que je voulais absolument faire :noellaugh: je suis déjà triste à l'idée de savoir qu'en fin d'année je ne les verrai plus :noelhuh:

c'est vraiment pas le même ressenti qu'un simple stage où les élèves (pour ma part c'était des CM2 en ZEP mixte) te testent et toi tu connais même pas leurs prénoms pour les reprendre à l'ordre :noelohmy:

tant mieux que tu aies trouvé la voie qui te corresponde :noelwink:

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Diana,

J'ai l'impression de lire mon propre post en te lisant.

Ton parcours ressemble étrangement au mien.

J'ai fait des études de Psycho: c'était assez difficile mais j'aimais beaucoup. La psycho est une passion, je pense.

Mais les débouchés étant très largement incertaines, je me suis orientée vers autre chose: 1 an de reflexion plus tard, j'ai décidé de passer le CRPE.

Cette préparation n'était pas la plus interessante qui soit (quoique j'ai appris des choses en sciences et revu l'histoire-géo: ca ne fait pas de mal).

Cette année, je suis en PE2. On ne peut pas dire que ce soit hyper interessant, les stages sont stressants et ce qu'on prévoit ne marche pas tout le temps.. sans compter le bruit, etc..

N'empêche que quand ca marche ou quand sur une journée merdique, tu as un échange privilégié avec un gamin ou tu vois qu'il vient de comprendre un truc, c'est extra! Ca vaut toutes les peines!

Et franchement, une classe de maternelle, où les élèves apprennent tout le temps quelque chose, avec lesquels tu mets en place des exercices de correspondance terme à terme, chez qui tu vois apparaitre la conservance, etc.. Ou encore, des plus grands qui entrent dans le calcul ou dans la lecture par différents entrées ou procesus que tu dois comprendre pour les faire avancer..: C'est un laboratoire de psycho pure!

Puis, tu peux devenir psy scolaire par la suite..

Dans mon cas, je pense bien utiliser mon congé formation plus tard pour retourner en Psycho (quand ce sera moins bouché ou juste par plaisir).

Mais la psycho me manque toujours, j'en rage de ne pas pouvoir de ne pas pouvoir lire des bouquins par manque de temps ou me tenir informée des avancées!

Tout ça pour dire que je te comprends mais que tu n'es pas dans la plus mauvaise situation pour faire ou refaire de la Psycho par la suite..

P.S.:

Je viens seulement de lire la réponse d'EmmaLise: c'est marrant ce manque que crée la Psycho sur ses étudiants. Je ne pensais pas qu'on était plusieurs dans ce cas..

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Diana,

J'ai l'impression de lire mon propre post en te lisant.

Ton parcours ressemble étrangement au mien.

J'ai fait des études de Psycho: c'était assez difficile mais j'aimais beaucoup. La psycho est une passion, je pense.

Mais les débouchés étant très largement incertaines, je me suis orientée vers autre chose: 1 an de reflexion plus tard, j'ai décidé de passer le CRPE.

Cette préparation n'était pas la plus interessante qui soit (quoique j'ai appris des choses en sciences et revu l'histoire-géo: ca ne fait pas de mal).

Cette année, je suis en PE2. On ne peut pas dire que ce soit hyper interessant, les stages sont stressants et ce qu'on prévoit ne marche pas tout le temps.. sans compter le bruit, etc..

N'empêche que quand ca marche ou quand sur une journée merdique, tu as un échange privilégié avec un gamin ou tu vois qu'il vient de comprendre un truc, c'est extra! Ca vaut toutes les peines!

Et franchement, une classe de maternelle, où les élèves apprennent tout le temps quelque chose, avec lesquels tu mets en place des exercices de correspondance terme à terme, chez qui tu vois apparaitre la conservance, etc.. Ou encore, des plus grands qui entrent dans le calcul ou dans la lecture par différents entrées ou procesus que tu dois comprendre pour les faire avancer..: C'est un laboratoire de psycho pure!

Puis, tu peux devenir psy scolaire par la suite..

Dans mon cas, je pense bien utiliser mon congé formation plus tard pour retourner en Psycho (quand ce sera moins bouché ou juste par plaisir).

Mais la psycho me manque toujours, j'en rage de ne pas pouvoir de ne pas pouvoir lire des bouquins par manque de temps ou me tenir informée des avancées!

Tout ça pour dire que je te comprends mais que tu n'es pas dans la plus mauvaise situation pour faire ou refaire de la Psycho par la suite..

P.S.:

Je viens seulement de lire la réponse d'EmmaLise: c'est marrant ce manque que crée la Psycho sur ses étudiants. Je ne pensais pas qu'on était plusieurs dans ce cas..

pareil pour la littérature. Je n'ai pas le temps d'en profiter

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