Florent Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 J'ouvre ce sujet en tant que modérateur pour délester un sujet qui a plus ou moins dérivé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mel(yMélo) Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 ha ! un sujet qui commence quasiment par le point Goldwin ! c'est du grand art je me fais ptet' modo à la place du modo, mais çui là risque d'être à surveiller ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Florent Posté(e) 25 janvier 2013 Auteur Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Ah ah, tu as raison, j'y suis allé trop fort. Je reformule donc le sujet. Et tachez d'atteindre le point G le plus loin possible... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
mra Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Humanité ou humanisme? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Ekole Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Bonjour, Cela appelle à une réflexion sur une définition de l'humanité: Voyons le dictionnaire: 1- le fait d'appartenir à l'espèce humaine. 2- le fait de se comporter avec sensibilité, être compréhensif et bienviellant. 3- qui a les qualités et les faiblesses propres à l'homme Et au sens du mot perdre: être dépossédé, abandonner, s'égarer? Ne plus appartenir à l'espèce humaine me paraît difficilement envisageable. Être absolument insensible me paraît difficile. Avoir des qualités et des faiblesses, oui bien sûr. Donc perdre son humanité dans l'absolu, je dirais non. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
giga Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Son humanité par rapport à lui ou par rapport aux autres ? dans le premier cas non, dans le second oui malheureusement ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Posca Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Il est malheureusement des êtres qui naissent hommes et qui deviennent monstres. Un dépeceur d'être humain ou un être qui pénètre une école et tue une trentaine d'être humains a-t-il le droit d'être toujours considéré comme un être humain? Avons nous le droit de le considérer comme un monstre? Et bien je m'y autorise, car pour moi il a perdu toute humanité et en plus s'autorise à nous faire perdre la nôtre . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
papillon2704 Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Je te suis depuis le début du précédent post. Merci de tenir bon. Je suis avec toi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
papillon2704 Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Il est malheureusement des êtres qui naissent hommes et qui deviennent monstres. Un dépeceur d'être humain ou un être qui pénètre une école et tue une trentaine d'être humains a-t-il le droit d'être toujours considéré comme un être humain? Avons nous le droit de le considérer comme un monstre? Et bien je m'y autorise, car pour moi il a perdu toute humanité et en plus s'autorise à nous faire perdre la nôtre . Alors tuons-le et devenons nous même des monstres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
mra Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Non, mais faisons comme Marie José Perce dans les Guignols: "COURS, Marie-Jo COURS!" Plus sérieusement lorsque quelqu'un se comporte de manière inhumaine ben cela fait de lui une personne inhumaine à un moment bien ciblé. Manger ses congénères pour survivre, penser dans sa tête que l'autre est un con, selon la gravité de la situation, ben ouais, on sait pas comment on réagira Après quand on est agresé il est normal d'avoir des sentiments violents et de vouloir réparation (la Réparation, inscrite dans le droit français est un droit qui permet à la victime comme à l'agresseur de retrouver sa dignité et de redevenir un "pair", un citoyen, un être humain) Evidemment on ne peut attacher une personne à un acte isolé. Et la révolte, les larmes qui m'ont submergée le soir où rentrant du boulot et alumant la télé j'ai vu le début du lynchage sans préavis de Kadhafi (parce qu'heureusement j'ai réagis après un moment d'hébétude, je rentrais de l'école et ma gosse était dans la pièce d'à côté) tiennent au fait que derrière cet homme qui a commis ces actes mostrueyx que l'on connait tous, est un être humain comme moi, il a une maman, un papa, des frères des soeurs, des enfants, des amis des gens qui l'aiment et qu'il a aimé Parce qu'il aimait peut-être la musique, certaines odeurs..... J'ai souffert d'avoir lu un instant éphèmère mais marquant la détresse dans son regard et j'en vaux aux gens qui mettent ça à la télé à une heure de grande écoute sans prévenir Cet être avait forcément des moments d'humanité Tous, parfois ou souvent je pense nous perdons notre humanité. Tous. Ou alors on a du bol on a jamais été agressé et tant mieux Après je trouve qu'il est salvateur de s'insurger, de s'indigner contre quelqu'un qui ponctuellement ou s'enferme durablement dans des comportements inhumains. Cette personne est ponctuellement inhumaine et ne pas s'autoriser à le penser retourne la violence contre soi. Et à c'est délétère. Je peux vous le dire parce que j'ai tellement peur, j'ai tellement la boule au ventre que je peux même pas raconter certaines choses. Et ce qui est en train de me faire sortir la tête de l'eau c'est justement de m'autoriser à penser que oui, l'autre a un comportement inhumain. Et que je peux le dire, parce que moi aussi cela a pu peut et pourra aussi m'arriver Merci de ne pas citer, je deviens parano, moi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
papillon2704 Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Bien sûr, Dans un monde civilisé, qui essaie vaille que vaille de sortir de la barbarie, on a créé la Justice, imparfaite, corrompue parfois, elle se pose en tiers séparateur entre les Hommes et leurs pulsions, aussi ontologiques soient-elles. Nul ne peut se faire justice soi-même, c'est le fondement de l'état de droit et de la démocratie, autrement, c'est la barbarie, la dictature ce celui qui gueule ou qui cogne ou qui étrangle le plus fort. relire Jacquard et Badinter, ça fait du bien à l'âme. "tous sublimes, tous minables, tous égaux" (ça, c'est une autre source) Courage Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
nanou69 Posté(e) 25 janvier 2013 Partager Posté(e) 25 janvier 2013 Ah ah, tu as raison, j'y suis allé trop fort. Je reformule donc le sujet. Et tachez d'atteindre le point G le plus loin possible... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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