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Journée théorie du genre à l'école ?


Gianna

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Pour moi la violence c'est de refuser à quiconque d'être qui il est; et la maltraitance c'est de nier qui est l'autre.

Plutôt que de perdre son énergie dans les théories. ..

j'aimerais mieux travailler et réfléchir sur la discrimination et mieux sur l'altérité car le mot est positif et montre le verre à moitié plein et non le verre à moitié vide.

Et pour préciser ma pensée

noirs,blancs,jaunes, gros,maigres,grands,petits,jeunes,vieux, hommes,femmes,intelligents, limités, ...

Quelle place puisje accepter de donner à l autre...

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Je dirai juste que quand l oms écrit que la France irait mieux si tous les enfants de 6 àns savaient mettre un préservatif !

Il faudrait que tu cites tes sources, parce que là...

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Kmillo, en suivant ton lien, en 2 clics on arrive sur Boulevard Voltaire, un des noeuds de la toile extrême-droite/conspirationniste, juste pour info. Donc autant se fier au rapport de l'OMS que ces gens dénoncent, j'en ai trouvé une version en français ICI que je n'ai pas encore entièrement lue. Le document intial était en allemand et date de 2010.

La polémique actuelle (apprentissage de la masturbation à l'école) semble découler d'un article mis en ligne par La manif pour tous (ICI).

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voilà le rapport de l'OMS, traduit en français

je n'ai pas lu qu'il faut encourager à jouer au docteur, mais permettre de jouer au docteur ; ça ne me paraît pas tout à fait la même chose.

Quand à informer sur le plaisir enfantin, je gage que ça ne soit pas en conférence d'amphitéatre à la crèche ...

je suis abasourdie par ce déferlement de mauvaise foi (haha!).

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je n'ai pas lu qu'il faut encourager à jouer au dpcteur, mais permettre de jouer au docteur ; ça ne me paraît pas tout à fait la même chose.

+1

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Qu'on laisse les enfants jouer à ce qu'ils veulent, à nous de tout proposer en maternelle ( jeux dit pour filles ou garçons) et laissons les enfants se diriger spontanément vers ceux qu'ils aiment. Ils jouent spontanément au docteur si on leur laisse une malette de docteur. Ils jouent à la voiture si on leur donne des voitures ( et assez pour qu'il y en ai autant pour les filles et les garçons)

Pourquoi vouloir forcer la petite fille qui joue à la cuisinière à aller vers les powers rangers si ellen'aime pas ça. Si elle veut jouer à la cuisine pour faire ( comme papa ou maman à la maison) laissons-là! Si le petit garçon veut jouer au bricoleur, laissons-le.

Que les hommes politiques commencent à donner l'exemple en arrêtant de chahuter les femmes comme des coq dans l'hémicycle, ce gouvernement cherche la parité à tout prix, quitte à ne pas respecter les envies de chacun.

Pourquoi tout vouloir changer comme ça? Qu'Hello Kitty porte du bleu, du rose, du orange, qu'est ce que ça change? Si nos filles mettent du rose ou du bleu qu'est ce que ça change? Tout cela est dans la tête de ceux qui justement projettent des fantasmes de : le rose va affaiblir les filles, c'est la couleur des nunuches ( habiilez vous en total look rose demain et vous verrez les réactions).

Je ne suis ni pour, ni contre cette étude (j'édit : ke parle de l'étude de genre hein) je dis juste que ce n'est pas forcèment notre rôle. Ouvrir les consciences oui, les formater non.

(ps: vous avez le droit d'être en désaccord mais s'il vous plait faites le correctement sans émoticone outragé, sans " je suis choqué, je suis outré" préférez les formulations " je ne suis pas d'accord", je ne pense pas..

Et dire que j'avais dit que je sortais, décidément j'ai vu de la lumière....

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Pour moi la violence c'est de refuser à quiconque d'être qui il est; et la maltraitance c'est de nier qui est l'autre.

Plutôt que de perdre son énergie dans les théories. ..

Théories et définitions ont leur importance. On peut toujours s'amuser à redéfinir les mots selon son caprice ou la mode du moment, mais c'est toujours au détriment du consensus.

Tes définitions de la violence et de la maltraitance valent ce qu'elles valent, mais elles ont un inconvénient majeur : à ce tarif, les deux deviennent des concepts subjectifs. A partir de là, deux possibilités : soit on désigne une nouvelle cléricature dont la subjectivité prime sur les autres, pour décider arbitrairement quel comportement "accorde" à l'autre d'être ce qu'il est et quel le "refuse", quelles idées sont "violentes" et quelles ne le sont pas, qui est bien gentil est qui doit être enfermé parce que son comportement "nie qui est l'autre" ; et le totalitarisme n'est pas loin. Soit tout se vaut, et on renonce à sanctionner la violence — à commencer celles des vrais gnons, qui ne "refusent" ni ne "nient" grand chose...

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loin de moi l'idée de donner une définition exhausticve de la violence ou de la maltraitance, seulement essayer de qualifier des actes de refus de dénigrement ,

Celui qui donne un gnon est à minima dans la violence encore faut-il savoir qui de l'oeuf ou de la poule ....

L'acceptation de l'autre est un chemin pas si simple dans les sociétés humaines,

La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ....

et comment construire une société où chacun peut avoir sa place ???

Une simple réflexion qui ne cherche pas à construire un système , mais qui se pose la question de l'empathie.

Le devoir de respecter l'autre et le devoir d'être respecté

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Qu'on laisse les enfants jouer à ce qu'ils veulent, à nous de tout proposer en maternelle ( jeux dit pour filles ou garçons) et laissons les enfants se diriger spontanément vers ceux qu'ils aiment. Ils jouent spontanément au docteur si on leur laisse une malette de docteur. Ils jouent à la voiture si on leur donne des voitures ( et assez pour qu'il y en ai autant pour les filles et les garçons)

Pourquoi vouloir forcer la petite fille qui joue à la cuisinière à aller vers les powers rangers si ellen'aime pas ça. Si elle veut jouer à la cuisine pour faire ( comme papa ou maman à la maison) laissons-là! Si le petit garçon veut jouer au bricoleur, laissons-le.

Que les hommes politiques commencent à donner l'exemple en arrêtant de chahuter les femmes comme des coq dans l'hémicycle, ce gouvernement cherche la parité à tout prix, quitte à ne pas respecter les envies de chacun.

Pourquoi tout vouloir changer comme ça? Qu'Hello Kitty porte du bleu, du rose, du orange, qu'est ce que ça change? Si nos filles mettent du rose ou du bleu qu'est ce que ça change? Tout cela est dans la tête de ceux qui justement projettent des fantasmes de : le rose va affaiblir les filles, c'est la couleur des nunuches ( habiilez vous en total look rose demain et vous verrez les réactions).

Je ne suis ni pour, ni contre cette étude (j'édit : ke parle de l'étude de genre hein) je dis juste que ce n'est pas forcèment notre rôle. Ouvrir les consciences oui, les formater non.

(ps: vous avez le droit d'être en désaccord mais s'il vous plait faites le correctement sans émoticone outragé, sans " je suis choqué, je suis outré" préférez les formulations " je ne suis pas d'accord", je ne pense pas..

Et dire que j'avais dit que je sortais, décidément j'ai vu de la lumière....

Pour moi, il ne s'agit pas de forcer une petite fille toute vetue de rose et qui ne joue qu'à la poupée et à faire la cuisine à s'habiller de bleu et marron, jouer aux power rangers et compagnie, mais de prendre conscience que ce n'est pas "par hasard" que "toutes" les petites filles aiment le rose et que "tous" les petits garçons aiment jouer aux voiture, que ça résulte de constructions sociales, de roles socialement dévolus à tel ou telle, et que l'on retrouve chez les adultes : dans l'émission que je citais plus haut, il était édifiant d'entendre que la répartition des taches domestiques n'avait que très peu été modifiée.

Et je ne pense pas que ce soit parce que les femmes viennent de venus et les hommes de mars...

Une expérience (dont je n'ai pas les références) constate que lorsque l'on montre une vidéo d'un bébé qui pleure, l'interprétation des pleurs diffère selon que l'on dit que c'est une fille ou un garçon.

Dans un symposium au collège de France, un chercheur a montré que si l'on ne dit rien, en demandant à des élèves/ étudiants de faire des exercices type maths, logique, les filles réussissent systématiquement moins bien que les garçons. En revanche dire "sur ce type d'exercice, on n'attend pas de différences entre les filles et les garçons", tous réussissent mieux, mais surtout les filles.

Donc n'obliger personne, mais avoir conscience que ce sont des constructions sociales, et ne pas les alimenter...

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Mely mélo je suis d'accord sur cette idée de construction de stéréotypes ( que nous alimentons tous sans même le faire exprès des fois) mais est-ce notre rôle que de modifier cela? Si les parents à la maison inculquent à leur fille l'idée qu'elle doit devenir une bonne maitresse de maison et au petit garçon qu'il devienne un jeune homme viril qui ne pleure jamais, c'est leur problème , leur éducation, de quel droit devons nus chercher à modifier à tout prix cela. Les parents s'occupent de l'éducation et nous de l'instruction ( avec une belle louche d'éducation aussi)

Déjà il faudrait modifier certaines expression " garçon manqué" par exemple. A ce compte là il faudrait aussi changer la grammaire et ne plus dire que "le masculin l'emporte sur le féminin" et arrêter de donner des noms féminins aux ouragans. Et puis mettre autant d'exemples dans les livres de grammaire avec les pronoms féminins que masculins ( voilà de quoi j'ai peur, le trop est l'ennemi du bien, on serait capable de les compter pour vérifier)

Ce que je cherche à dire c'est qu'il ne s'agit là que d'une mode d'un gouvernement qui cherche à tout prix à se faire ancrer dans l'Histoire.

Je suis contre toute ce ramdam, ces lobbys, bien évidemment, là dessus on s'accorde tous. Mais je pense que dans le fond on a tous conscience de mettre sur le même pied d'égalité filles et garçons, on n a pas attendu Hollande, ni Peillon. On avait connaissance de ces stéréotypes bien avant qu'on nous incite à y penser.

Ce qui me fait peur c'est lorsqu'on fera cours d'Histoire par exemple il faudra systématiquement se reprendre "les hommes préhistoriques" euh... " les hommes et les femmes de la préhistoire" ( alors qu'on parle des femmes dans nos cours de toute manière) I faudrait dès lors changer tout un tas de formulation pour faire croire qu'on est contre les stéréotypes.

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