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Sujet mémoire...


ae_kinou

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Mais justement, rapprochez-vous des formateurs, ESPE ou en circo, une fois que vous aurez déterminé un objet d'étude. Il y a des incontournables, ils vous aideront.

Modifié par missnina
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Missnina a raison j'ai contacté mon ancienne formatrice ESPE en lui donnant dans les grandes lignes ce que serait mon mémoire et elle m'a donné une première liste d'oeuvres ou de site à lire.

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il y a 6 minutes, Lexdra a dit :

Missnina a raison j'ai contacté mon ancienne formatrice ESPE en lui donnant dans les grandes lignes ce que serait mon mémoire et elle m'a donné une première liste d'oeuvres ou de site à lire.

ben oui! m'enfin!

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Certes, mais je n'ai pas fait de PE2, pas de formation universitaire et ai beaucoup à absorber avant de me mettre dans la rédaction....

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et moi pas la moindre idées des grandes lignes dont tu parles Lexdra! Je n'ai même pas le début d'une idée... :scratch:et le problème est que je suis dans l'ash donc ma circo n'a pas trop l'habitude d'accompagner des capa-sh et encore moins avec la nouvelle formule. Je les ai bien sûr appelés mais je vais me rapprocher de l'ESPE je pense.

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Le 09/04/2016 à 15:10, titoune59 a dit :

et moi pas la moindre idées des grandes lignes dont tu parles Lexdra! Je n'ai même pas le début d'une idée... :scratch:

Le but du jeu est, dans un premier temps, de te forcer à l'introspection et à l'analyse de ta propre pratique. Y a-t-il des projets, des réussites dont tu es particulièrement fière et qui pourraient mériter une analyse un peu plus détaillée ? Ou au contraire, des difficultés spécifiques que tu as réussi à surmonter, et à propos desquelles ton expérience pourrait être utile à d'autres ?

Si tu envisages le CAFIPEMF, c'est que tu estimes avoir un peu de bouteille (et le jury aussi : félicitations pour ton admissibilité, au passage !) : il y a forcément dans ton parcours des choses qui pourraient intéresser les collègues, et dont tu pourrais parler.

La question suivante, après avoir déterminé ces "grandes lignes" de ton sujet, c'est : comment les aborder, avec un peu de recul, en contextualisant et en basculant du point de vue de l'enseignante de terrain, avec lequel tu les as vécues, vers celui, plus analytique, de la (future) formatrice. Et cette bascule est un vrai travail — mais qui n'arrive que dans un second temps.

 

 

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Argon : sauf erreur de ma part, ce que tu expliques correspond au mémoire ancienne mouture. La problématique doit maintenant être liée à l'accompagnement/formation.

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il y a 12 minutes, am51 a dit :

Argon : sauf erreur de ma part, ce que tu expliques correspond au mémoire ancienne mouture. La problématique doit maintenant être liée à l'accompagnement/formation.

Oui et non. Titoune disait ne pas avoir de point de départ, et mon commentaire ne parlait que de cela, qui n'a pas vraiment changé : c'est un examen professionnel, qui doit s'appuyer sur sa propre expérience. Pour citer le BO : le mémoire "implique un engagement personnel du candidat pour réfléchir à sa pratique et l'améliorer". Or la plupart des enseignants n'ayant pas beaucoup d'expérience personnelle de la formation de formateurs (si c'était le cas de Titoune, il me semble qu'elle ne se poserait pas la question en ces termes !), il faut bien partir de quelque chose.

Cela dit, il s'agit bien en effet d'un "travail de réflexion personnelle portant sur une problématique professionnelle d'accompagnement ou de formation." Je n'ai peut être pas été assez clair sur le fait que, une fois le sujet choisi, il faut rapidement dépasser ce point de départ pour l'inscrire dans une réflexion plus large sur ce que cette expérience personnelle pourrait apporter aux autres, sur les différentes façons de la transmettre à de jeunes collègues, ou d'aider ceux qui rencontreraient des difficultés similaires, etc.

 

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En effet Argon, il faut bien partir de quelque chose...! et surtout être sûr de bien cerner le cadre du mémoire car si j'ai bien compris on ne peut plus demander si notre problématique est valide, d'où tous nos questionnements.

Personnellement, j'attends d'avoir des informations plus précises concernant le mémoire car ce que je comprends c'est qu'on nous demande une réflexion sur la pratique d'accompagnement/formation, qu'on n'a pas encore entamée pour la plupart d'entre nous.

C'est pour cela que je comparais le mémoire CAFIPEMF au mémoire CRPE : on traite une problématique sur une pratique professionnelle toute nouvelle (former pour le CAFIPEMF, enseigner pour le CRPE).

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Merci de m'aider argon et am, c'est vraiment gentil.

En fait j'ai réfléchi et muri un peu tout ça dans ma tête depuis une semaine.

Je n'ai pas beaucoup d'actions de formations à mon actif et uniquement dans l'enseignement spécialisé. Certes les méthodes d'accompagnement ne sont pas différentes mais en tous cas je ne les avais jamais formalisées. La rédaction et la forme du mémoire ne me font pas peur, j'ai une maîtrise de lettres et j'ai déjà rédigé plusieurs écrits professionnels ou non. C'est vraiment cette question de l'accompagnement qui me questionne. (c'est le cas de le dire!)

Finalement, j'ai réfléchi comme tu me l'as conseillée argon et j'ai cherché ce qui me tenais le plus à cœur dans mon parcours et j'en suis arrivée à la conclusion que je rage de voir la violence institutionnelle imposée parfois à certains élèves (consciemment ou pas) parce qu'ils sont différents (ou même pas d'ailleurs!) que ce soit les IEP ou les troublés divers. Je pense donc partir dans cette direction en traitant la question de la bienveillance. Dans cette optique, je vois exactement ce que je fais dans ma classe, pourquoi et comment je le fais, ce que je voudrais transmettre. Reste la question du comment sensibiliser les enseignants à ce thème, en formation initiale et continue....(quoique, il faut peut être se limiter à un cadre de formation spécifique?).

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J'ai trouvé ça et je ne sais pas si quelqu'un (voir ma pomme...je fatigue un peu...) l'a déjà mis sur le forum...

 

Je trouve que c'est aidant pour la mise ne route...

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