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Langage oral : système des jetons (Pierre Peroz). Quel support?


manou36

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Manou, tu pourrais modifier ton titre en intégrant "Pierre Peroz" dedans ? Je pense que beaucoup de Pe ne connaissent pas ... Comme moi hier matin !!!

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Manou, tu pourrais modifier ton titre en intégrant "Pierre Peroz" dedans ? Je pense que beaucoup de Pe ne connaissent pas ... Comme moi hier matin !!!

J'ai moi aussi découvert... Merci !

(après 15 ans en maternelle... :blush: )

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Mais je n'ai pas parlé des jetons. (comment vous faites pour les donner ? ça ne casse pas la spontanéité ? ) Et si je faisais des traits sur une ardoise devant moi ?

Idem je n'utilise pas car cela casse la spontanéité. Par contre j'ai déjà utilisé dans d'autres conditions.

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merci Delfff pour ce document,

Cette année j'ai la chance d'avoir en GS, l'intervention d'une maîtresse supplémentaire 3 fois par semaine. Uniquement dans la domaine du langage et du coup nous partons sur un travail à la manière de Pierre Péroz... nous allons essayé de permettre à chacun de prendre la parole. Les séances se feront 1/2 groupe et en parallèle.

j'espère que cela aidera les petits parleurs.

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merci Delfff pour ce document,

Cette année j'ai la chance d'avoir en GS, l'intervention d'une maîtresse supplémentaire 3 fois par semaine. Uniquement dans la domaine du langage et du coup nous partons sur un travail à la manière de Pierre Péroz... nous allons essayé de permettre à chacun de prendre la parole. Les séances se feront 1/2 groupe et en parallèle.

j'espère que cela aidera les petits parleurs.

C'est chouette !

mais je suppose que tu dois cette "aide" à un tout petit niveau de tes élèves ...

Tu nous raconteras ce que vous faites ? les textes que vous choisissez ?

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oui bien sur!

Je vais intégrer l'intervention de la maîtresse supp dans les projets de la classe. Nous commencerons par le tapuscrit de l'album "une pomme dans un trou de souris". de façon à ne pas montrer les images de suite.

Pour l'instant nous terminons des évaluations de compréhension. et nous commençons.

je reviendrai vous raconter.

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je pense aussi que ce serai bien de changer le titre du post. Je ne connaissais pas non plus et ça m'à l'air bien intéressant. Personne n'en parle dans ma region, est-ce que d'autres en ont entendu parlé lors de formation ou autres?

Je finis d'ecouter la conference puis je vais acheter le livre.

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Natachalala,

Pas toujours facile de mettre en pratique ce qu'on peut trouver dans un bouquin!! Moi aussi je rencontre des difficultés qui ne sont pas du même ordre : certains ne prennent toujours pas la parole malgré les jetons et d'autres reprennent toujours les propos des autres.

Mais est-ce que Marwane et Yassine n'apprennent-ils rien de ses séances? Cela va peut être ressortir plus tard ou avec le temps non? Progresseraient-ils plus vite avec un autre type de séance de langage "plus traditionnel"? Sinon il y a aussi Philippe Boissaud qui fait un très bon travail sur le langage avec les albums echo. Peut être est-il possible de faire les deux? D'autre part, Inaya, Yassine et Marwane sont-ils toujours en séance ensembles?

La question renvoie à une situation très précise, comme on ne la connaît pas dans son ensemble, il est difficile d'y répondre directement. Je ferai donc un certain nombre de remarques, qui prennent parfois l'allure de questions.

- il n'y a pas de méthode miracle, la Pédagogie de l'écoute pas plus qu'une autre ne résoudra tous les problèmes des élèves.

- la question de la prise de parole (rare, mécanique, intéressante, répétitive, fragile, développée, etc.) mobilise tous les paramètres pédagogiques, jusques et y compris la personnalité de l'enfant considéré. Parmi les paramètres auxquels je pense, il y a le questionnement, ouverture, rythme, régularité. La conférence déjà citée par un participant au forum donne sur ce point des indications. http://www.cndp.fr/crdp-reims/ressources/conferences/peroz/peroz.htm.

- la question de la répétition peut-être liée à la nouveauté du dispositif pour les élèves qui au début "profitent" de manière un peu mécanique du système des jetons qui rend possible la répétition "payante". C'est normal, ceci se règle soit naturellement soit par une réflexion de l'enseignante au bout de quelques séances quand il devient possible d'en faire état de manière explicite. Mais là aussi il faut être souple, quand on aborde une nouvelle histoire, les répétitions vont être plus nombreuses, c'est à la suite des relectures du texte que les enfants découvrent de nouveaux aspects de l'histoire qu'ils peuvent réemployer dans leurs réponses qui deviennent alors plus variées. Enfin il ne faut pas oublier que pour certains élèves, les plus fragiles, la répétition est d'abord le seul moyen pour eux de prendre la parole. Il faut l'accepter de leur part. Le progrès suivra. La fin du livre traite des bilans de langage qui peuvent aussi être un des moyens d'aborder cette question.

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Je ne connaissais pas du tout Pierre Péroz mais voilà enfin une conférence passionnante que je vais visionner avec plaisir . Merci à vous d'en avoir parlé

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Deux remarques. 1) Sur les questions à poser. La clé de la compréhension de l'histoire repose sur la compréhension de ce que pensent et veulent (ou souhaitent) les personnages. Donc dans les questions sur les personnages (les et pas seulement Le personnage principal) après les avoir identifiés et avoir demandé ce que les élèves en pensent, il est essentiel d'en arriver assez vite à la question Que veut X?, que veut Y?. Ces questions permettent de dire le sens de l'histoire et sont plus faciles à comprendre que les questions "en pourquoi". Ces questions peuvent aussi être couplées avec les questions du type "X (ou Y) a-t-il obtenu ce qu'il voulait?" qui permettent de donner une image globale de l'histoire et d'aborder en des termes simples la question de l'inversion des situations qui est une des caractéristiques des contes traditionnels et de nombreux récits de fiction. 2) Sur le groupe. Pour que les élèves trouvent des appuis et leur place à l'intérieur du groupe, il ne faut pas qu'il soit trop réduit. 7 ou 8 élèves est la fourchette basse, 12 ou 13 la fourchette haute. Cela dit, il faut une certaine expérience pour progressivement arriver à la fourchette haute le nombre d'élèves.

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