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Pour qui voterez-vous aux présidentielles?


soso

Pour qui voterez vous lors des présidentielles?  

585 membres ont voté

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Messages recommandés

Il y a 2 heures, leene a dit :

Oui le ralliement d'Hamon à Mélenchon serait une garantie pour un accès au second tour mais je suis de plus en plus convaincue (et je l'étais déjà pas mal avant!) que Mélenchon y sera, avec ou sans lui ...

Hier, j'ai entendu à la télé que ça poserait problème à 15 jours du premier tour car il faudrait réunir les deux budgets de campagne en un et qu'ils l'auraient déjà dépassé.

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Il y a 2 heures, leene a dit :

Il n'y a qu'à voir le déchainement médiatique depuis ce week end (où les courbes de Fillon et Mélenchon se sont officiellement croisées) , c'est hallucinant, hier matin aux GG, sur les chaines médias de la TNT, là depuis ce matin c'est Les échos qui s'y mettent ...,

+ 1

Ce matin, Nicolas Doze annonçait de manière anxiogène l'effondrement des bourses si Mélenchon arrivait au 2e tour...

Nicolas-Doze.jpg

 

Allez, un petit clip -totalement improbable , à écouter absolument ! - pour le détendre :

 

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Il y a 2 heures, PommeD'Api a dit :

Allez, je m'auto-cite et je précise (c'est quand même une émission regardée par pas mal de monde, c'est pas de la grande culture mais c'est populaire). Donc sur 178 personnes :

- Mélenchon : 54

- Macron : 32

- Le Pen : 28

- Fillon : 16

- Poutou : 11

- Hamon : 8

(et ensuite il y a les autres entre 3 et 6 voix chacun si je n'ai pas lu trop vite)

Y a quand même Poutou devant Hamon lol.

Le problème, c'est que c'est une émission qui aime les "buzz" et est très "système" donc ce vote est probablement une simple animation, peut-être pour faire peur et faire réagir ceux qui la regardent pour qu'ils se déplacent pour aller voter pour éviter ce "risque".

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il y a 2 minutes, prof désécol a dit :

 

Il y a 2 heures, leene a dit :

Il n'y a qu'à voir le déchainement médiatique depuis ce week end (où les courbes de Fillon et Mélenchon se sont officiellement croisées) , c'est hallucinant, hier matin aux GG, sur les chaines médias de la TNT, là depuis ce matin c'est Les échos qui s'y mettent ...,

 

Ils en parlent beaucoup maintenant pour faire se déplacer les téléspectateurs pour éviter cette "catastrophe".

Je pense que c'est sciemment organisé dans ce sens.

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il y a 9 minutes, tijona a dit :

Hamon ne se retirera pas pour Melenchon il signerait l arret de mort du PS et même si effectivement le PS sera definitivement enterré après les elections il ne peut pas en être le fossoyeur en ayant participé aux primaires et en ayant gagné. 

Par contre qd il annonce qu il votera Melenchon au deuxieme tour plutôt que Macron je me dis que les électeurs potentiels de Hamon devraient voter utiles en votant Melenchon et en permettant enfin à une vraie gauche d accéder au pouvoir.  Une de mes collègues qui pensait.voter Hamon pense finamement voter Melenchon. 

Je pleurerai le 23 , j aimerais que ce soit des larmes de joie mais franchement j ai peur... parce que Macron/ Le Pen aucun des deux n aura ma.voix et ça nous promet des j0urs.bien sombres socialement et humainement. 

+1

Et on peut éviter Macron/Le Pen à gauche.

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c'est évident que c'est voulu , avant on ne parlait pas de lui pensant que les gens "oublieraient" qu'il existe ... erreur,

je pense qu'ils se sont rendu compte qu'au contraire les gens sont allés voir sur internet et comme son programme est complet et plutôt bien ficelé une fois lu on est convaincu ... du coup il monte, les gens vont le voir en meeting, l'écoute, regarde ses émissions etc... donc ils se disent on va parlait de lui comme ça les gens auront les infos et n'iront plus lire sur internet ... et du coup ils biaisent l'info en la présentant comme ils veulent et en racontant tout et surtout n'importe quoi ...

ils manipulent mais manque de pot, les gens s'intéressent , se documentent sans eux ....

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Un article très intéressant ici (avec le résultat détaillé du dernier sondage des fonctionnaires) :  https://www.acteurspublics.com/2017/04/11/sondage-exclusif-percee-de-melenchon-chez-les-fonctionnaires-macron-toujours-en-tete

Il est peut-être nécessaire d'être inscrit pour pouvoir voir l'article (plein de graphiques donc difficile à recopier ici) mais c'est très rapide et ensuite, on a le droit à un article gratuit par jour.

 

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Sondage exclusif : percée de Mélenchon chez les fonctionnaires, Macron toujours en tête

11 AVR. 201704
  • ALLILI MOURAD/SIPA

Le candidat de La France insoumise gagne 4 points à 18 % et se hisse sur le podium, selon la quatrième et dernière vague du baromètre Ifop-Acteurs publics sur les intentions de vote des fonctionnaires. Emmanuel Macron confirme sa première place à 27 % (- 3 points) et devance Marine Le Pen à 23 % (- 1 point).  

La quatrième vague du suivi barométrique Ifop pour Acteurs publics et Radio classique du comportement électoral des agents de la fonction publique est marquée par une certaine érosion du socle électoral d’Emmanuel Macron, après qu’il a atteint son apogée, et par le croisement des courbes d’intentions de vote en faveur de Jean-Luc Mélenchon et de Benoît Hamon.

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Les agents de la fonction publique peinent à se mobiliser dans cette campagne présidentielle. Sensibilisés davantage à la chose publique en raison des fonctions qu’ils occupent, les agents ne se démarquent pourtant pas du reste de la population française s’agissant de la participation électorale. Ainsi, 67 % d’entre eux déclarent aujourd’hui qu’ils devraient prendre part au premier tour de l’élection présidentielle, soit un résultat similaire à celui observé lors de la vague précédente (+ 1) et proche de la moyenne nationale (qui est inférieure de 2 points).

Autrefois prescripteurs en termes de participation électorale, les agents de la fonction publique voient leur indice stagner ou progresser très légèrement, contrairement à l’ensemble des Français, dont la mobilisation semble de plus en plus forte à mesure que le scrutin approche. Emmanuel Macron recule mais reste en tête des intentions de vote des agents de la fonction publique. Malgré une baisse de 3 points par rapport à la vague précédente, il continue de dominer les intentions de vote de premier tour (27 %).

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Bénéficiant d’un « survote » parmi les agents appartenant à la catégorie A (33 %) et dans l’agglomération parisienne (37 %), le leader d’En marche ! devance de 4 points Marine Le Pen (23 %, - 1) et désormais Jean-Luc Mélenchon (18 %, + 4).

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Le candidat de La France insoumise confirme auprès des agents de la fonction publique la dynamique qui lui est favorable : en progression de 4 points, il vient directement concurrencer Benoît Hamon dans un segment qui faisait partie de ses atouts. Jean-Luc Mélenchon est notamment porté par des percées significatives parmi les agents de la fonction publique territoriale (20 %, + 8) et de la fonction publique territoriale (19 %, + 6).

11_04_2017_12_24_4704-Sondage-4.jpg

À un niveau en-dessous, François Fillon progresse d’un point (9 %), mais est toujours lesté par son programme visant notamment la réduction drastique du nombre de fonctionnaires en France.

L’indécision caractérise toujours une proportion importante d’agents de la fonction publique, 62 % d’entre eux déclarant être sûrs de leur choix, soit un score tout de même en hausse de 2 points par rapport à la vague précédente. L’approche du premier tour de l’élection présidentielle permet certes de consolider les intentions de vote, mais les fonctionnaires demeurent à un niveau en-dessous de la moyenne observée auprès de l’ensemble de l’électorat se déclarant sûr de son choix (laquelle s’établit à 69 %).

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Les électorats de Benoît Hamon (56 % de réponses “sûr de son choix”, + 3) et d’Emmanuel Macron (56 %, + 4) apparaissent alors comme les moins sûrs de leur vote, malgré des progressions, à un niveau légèrement en-dessous de ceux de Jean-Luc Mélenchon (60 %, stable) et de François Fillon (64 %, + 6). Celui de Marine Le Pen semble quant à lui le plus assuré (79 %, stable), dans la continuité des résultats observés à chaque vague de ce baromètre.

Esteban Pratviel, chef de groupe au département “Opinion et stratégies d’entreprises” de l’Ifop

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 923 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 958 personnes, représentatif de la population des agents de la fonction publique. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, versant et statut) après stratification par région. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 24 mars au 6 avril 2017.
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Et un autre qui commence à s'inquiéter...

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/04/11/20002-20170411ARTFIG00110-pour-pierre-gattaz-les-projets-le-pen-melenchon-et-hamon-menent-a-la-catastrophe-absolue.php

Citation

Pour Pierre Gattaz, les projets Le Pen, Mélenchon et Hamon mènent à la catastrophe absolueXVM35fce982-1ea0-11e7-be98-e880d1c34148.

«Je suis inquiet»: Pierre Gattaz, le président du Medef, n'y est pas allé par quatre chemins mardi, lors de sa dernière conférence de presse avant le premier tour de la présidentielle. «Deux programmes vont dans le bon sens, celui de François Fillon et d'Emmanuel Macron. Les trois autres, ceux de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon, sont des projets hors sol, de vendeurs d'illusion, d'apprentis sorciers. Cela mènerait à la catastrophe absolue», a-t-il insisté.  [...]

 

 

Modifié par prof désécol
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il y a 2 minutes, jeanounette a dit :

Si quelqu'un est abonné ... moi je ne peux pas lire mais ça me parait intéressant :

http://www.liberation.fr/debats/2017/04/11/hamon-doit-ceder-la-place-a-melenchon_1562006

 

Citation

Hamon doit céder la place à Mélenchon

Par Patrice Maniglier, philosophe

Monsieur Hamon,

Je fais partie de ces gens qui ont souhaité votre victoire aux primaires de feu la «Belle alliance populaire», de ceux qui ont appelé à une candidature unique de cette dernière, des écologistes et de La France Insoumise, quand il semblait naturel que vous la représentiez, quand vous deviez la représenter, de ceux qui ont été agacés par l’attitude de M. Mélenchon lorsqu’il paraissait s’opposer à cette fusion pour des raisons que je croyais alors d’ambition personnelle.

C’est dans la continuité de ce mouvement d'adhésion que je m’adresse à vous pour vous prier d’envisager sérieusement l’hypothèse d’un retrait de votre candidature en faveur de M. Mélenchon.

Nous savons tous combien cette décision paraît invraisemblable, même a priori scandaleuse. Mais seuls les gestes qui trouent la vraisemblance ouvrent des espaces authentiquement politiques, car ils découvrent soudain une brèche dans laquelle s’engouffre l’enthousiasme collectif, celui qui nous donne la force d’inventer ensemble au lieu de nous condamner à gérer la nécessité.

Nous sommes devant une situation exceptionnelle. Aujourd’hui, la perspective d’une victoire de la réorientation de la gauche de gouvernement dans le sens d’une résistance plus décidée aux lois des puissants, que nous avons tant attendue, semble à portée de main. Cette orientation, vous la représentez. C’est elle qui vous a mis dans la position exacte où vous êtes actuellement. Ne pas tout faire pour lui permettre de s’accomplir est tout simplement trahir l’esprit même de votre candidature actuelle.

Or, dans la situation où nous sommes, il semble clair que votre campagne n’a pas su convaincre les électeurs. Certes, vous me direz que les sondages sont incertains, qu’on a toujours des surprises, etc. Mais vous savez bien que, si les sondages ne peuvent pas prédire l’avenir, ils donnent en revanche du présent une image assez exacte ; et surtout, ils ne se trompent jamais du point de vue des tendances. Or les tendances ne laissent aucun doute : votre candidature s’effondre, celle de Jean-Luc Mélenchon explose. A deux semaines de l’élection présidentielle, nous ne pouvons pas nous abuser nous-mêmes en nous faisant croire à un retournement. Vous perdrez, et vous perdrez durement.

Que se passera-t-il à l’issue de votre défaite ? Les cadres du Parti socialiste qui vous ont si honteusement trahi et ont à la fois vidé la primaire de son sens et rendu votre campagne impossible (car comment faire confiance à un homme en qui son propre parti ne fait pas confiance ?) vous attribueront la responsabilité de la défaite. Ils reprendront le Parti socialiste, qui leur appartient, et tout l’effort de rénovation dont vous êtes porteur s’évaporera. Ils auront pour eux la victoire de M. Macron. Vous connaissez votre appareil : c’est un parti d’élus, l’essentiel de ses forces ira vers les forts, ceux qui paraissent les plus susceptibles de les faire élire ou réélire, qui seront ceux qui se sont ralliés à la «majorité présidentielle». Vous serez balayé, vous et tout ce que vous représentez, à quoi, justement, nous tenons.

Il y a une autre hypothèse : vous renoncez maintenant à votre candidature en faveur de Jean-Luc Mélenchon ; la dynamique que ce dernier a acquise lors des dernières semaines sera confirmée à tel point qu’un certain nombre d’électeurs anticipés de M. Macron se diront qu’il n’y a plus lieu de céder à l’argument du vote utile en renonçant à leurs convictions profondes et que Jean-Luc Mélenchon peut, tout aussi bien que l’ancien ministre des Finances, nous éviter un second tour entre ces deux nuances de la droite extrême que sont M. Fillon et Mme Le Pen ; ce mouvement se nourrissant de lui-même, la confiance attirant la confiance, le candidat de La France Insoumise pourra alors très vraisemblablement gagner l’élection présidentielle. C’est vous, et non pas M. Valls et ses amis, qui serez alors en mesure de suggérer à votre parti de rejoindre une alliance autour de la «majorité présidentielle», une majorité de gauche avec des nuances et des couleurs variées. Ne craignez pas de céder tout à M. Mélenchon. L’élection présidentielle est une chose ; les législatives, une autre. Vous pourrez au contraire encourager les Français à doter l’exécutif présidentiel d’une force législative constructive et critique, portée par un Parti socialiste rénové.

Je conçois les objections de principe nombreuses qui vous viennent à l’esprit. Comment pourrais-je priver de candidat les millions de citoyens qui m’ont désigné pour les représenter ? Mais ceux qui ont voté pour vous l’ont fait justement parce qu’ils souhaitaient une authentique alternative au sein de la gauche de gouvernement dont les ont privés depuis des décennies les cadres du Parti socialiste contre lesquels vous avez vous-même lutté. C’est en ne vous retirant pas, et donc en empêchant la victoire de cette réorientation, que vous les trahissez. Et vous ne nous ferez pas croire que M. Mélenchon n’incarne pas cette réorientation : lorsque vous vous croyiez le favori, vous le disiez assez. Certes, il y a d’importantes nuances tant de fond que de forme entre vos deux propositions, mais elles ne sont pas du genre qui méritent de nous condamner à reconduire la situation politique que nous connaissons depuis si longtemps, coincés entre des politiques d’alignement néolibéral et une menace néofasciste toujours croissante, l'une alimentant l'autre.

Vous ne nous ferez pas croire non plus que le même parti qui s'est retiré à l'unisson du deuxième tour des élections régionales pour «faire barrage au Front national», parfois au profit de droites très dures, n’est pas capable d’envisager de se retirer pour des raisons qui ne sont pas, pour une fois, uniquement négatives, qui ne tiennent pas exclusivement à l’épouvantail frontiste, mais visent à construire véritablement quelque chose, porter une espérance et ouvrir une perspective. Brisons la malédiction qui semble mettre depuis tant d’années le Parti socialiste du mauvais côté de l’histoire, du côté qui la rend toujours plus désespérante.

J’entends d’ailleurs avec surprise beaucoup de fidèles électeurs socialistes parmi mes amis s’indigner soudain qu’on les appelle au vote utile. Mais votre candidature n’est pas comme celle de M. Poutou une candidature de témoignage ou d’agit-prop. Cela a des avantages (il vous arrive d’être élu), mais aussi des inconvénients : la cohérence (et donc l’honnêteté véritable) exigent de vous que vous cédiez à l’esprit de responsabilité dont la gauche de gouvernement se revendique depuis toujours, autrement dit que vous fassiez des compromis douloureux pour faire gagner dans les urnes les grandes orientations que vous défendez.

Certes, en prenant seul cette décision, vous court-circuitez les appareils qui ont organisé la primaire. Mais ce sont les têtes dirigeantes du Parti socialiste, et d’abord M. Valls, qui ont vidé la primaire de son sens. L’appareil n’a pas su se défendre, il est même en réalité complice, vous ne lui devez rien. D’ailleurs, vous lui rendrez service. Reste la question des frais de campagne. Mais vous pouvez lancer une souscription populaire et je crois sincèrement que vous verrez alors quel bel élan populaire vous accompagne dans ce geste.

Monsieur Hamon, j’en appelle à votre esprit de responsabilité, à votre rigueur et à votre courage. Je crois en toute bonne foi qu’à la réflexion, vous devez vous-même vous rendre compte qu’aucune des objections au retrait de votre candidature ne tient à l’examen. Ne privez pas ceux qui vous ont porté d’une opportunité historique.

Si vous n’avez pas le courage d’accomplir ce geste d’espoir, alors ce n’est plus à vous que nous devons nous adresser mais à tous vos électeurs, pour les inviter à prendre, eux, cette responsabilité que vous n’avez pas le courage de prendre, pour qu’ils vous abandonnent massivement à la défaite certaine qui vous attend et portent leur suffrage sur le seul candidat aujourd’hui en mesure de rouvrir l’espace politique, Jean-Luc Mélenchon.

Patrice Maniglier philosophe

 

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Oh la super idée de créer un fond pour rembourser les frais de campagne de Hamon s'il se désiste!!Perso, je donne!!! (entre autre pour voir la gueule de Valls et des autres traîtres du PS...)

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