emilieroland Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 il y a 8 minutes, orchidée a dit : Bonsoir .Peux tu m'expliquer pourquoi ? Je ne saisis pas bien . Encore de la récupération, comme toujours dans ces moments là... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
orchidée Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 @emilierolandOK.Merci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
montagny Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 il y a 29 minutes, emilieroland a dit : Encore de la récupération, comme toujours dans ces moments là... de la récupération quand quelqu'un admet avoir failli.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Torque Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 @emilieroland Si une association de Directeurs se battant depuis ses débuts pour la reconnaissance du métier de Directeur ne te semble pas légitime à déplorer le geste définitif de désespoir d'une des siennes en regrettant de ne pas avoir pu/su faire assez pour éviter ce genre de drame, alors qui selon toi a le droit de pleurer notre collègue et de rager contre une administration coupable sans se voir accusé de vouloir le "récupérer" ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Adan Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 C est honteux. Le ressenti est partagé par tous. Les professeurs en classe n en peuvent plus, ceux qui n ont pas de classe aussi ( conseillers pédagogiques, rased...). Il existe bien une maltraitance institutionnelle. Le gdid devrait avoir honte d écrire ça. La directrice était déchargée à temps plein et avait de la bouteille. Elle subissait de la maltraitance comme nous tous. Beaucoup sont pas loin de craquer. En tant que maître E, je le vois et je culpabilise de ne pas faire plus : mon secteur a été augmenté en même temps que celle de mon ien, la psy et de maître g, du coup les moyens humains sont dispersés et dilués. Je travaille énormement avec les équipes et en étroite collaboration avec les directeurs. Ce n est pas un statut qui va tout arranger mais une véritable considération matérielle et financière 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
montagny Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 il y a 7 minutes, Adan a dit : mais une véritable considération matérielle et financière ça fait partie d'un statut.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
emilieroland Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 il y a 8 minutes, Adan a dit : C est honteux. Le ressenti est partagé par tous. Les professeurs en classe n en peuvent plus, ceux qui n ont pas de classe aussi ( conseillers pédagogiques, rased...). Il existe bien une maltraitance institutionnelle. Le gdid devrait avoir honte d écrire ça. La directrice était déchargée à temps plein et avait de la bouteille. Elle subissait de la maltraitance comme nous tous. Beaucoup sont pas loin de craquer. En tant que maître E, je le vois et je culpabilise de ne pas faire plus : mon secteur a été augmenté en même temps que celle de mon ien, la psy et de maître g, du coup les moyens humains sont dispersés et dilués. Je travaille énormement avec les équipes et en étroite collaboration avec les directeurs. Ce n est pas un statut qui va tout arranger mais une véritable considération matérielle et financière Il y a encore des enseignants qui comprennent notre métier, un grand merci... Je ne sais d'où sort cette association GDPI mais elle est inconnue chez nous, heureusement... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Goëllette Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 Il y a 6 heures, Torque a dit : A chacun de s'approprier l'idée et de la concrétiser. Nous ne pouvons malheureusement pas, de nous-même, nous mettre en grève ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Torque Posté(e) 29 septembre 2019 Partager Posté(e) 29 septembre 2019 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
bdisse Posté(e) 30 septembre 2019 Partager Posté(e) 30 septembre 2019 14 hours ago, Goëllette said: Grève dans le 93 ou bien la France entière ? Organisée par qui ? Suicide de Christine Renon : ne laissons pas le travail nous tuer ! Grève et rassemblements jeudi 3 octobre Communiqué de la fédération SUD éducation Publié le dimanche 29 septembre 2019 sur https://www.sudeducation.org/Suicide-de-Christine-Renon-ne-laissons-pas-le-travail-nous-tuer-Greve-et.html L’administration est pleinement responsable du suicide de Christine Renon dans son école à Pantin. Dans ces lettres, Elle pointe l’autoritarisme, l’infantilisation, l’humiliation, l’intimidation, les pressions hiérarchiques qui affectent le travail des personnels et dégradent les conditions de travail. SUD éducation revendique la reconnaissance immédiate des suicides liés au travail. Le management tue dans l’Éducation nationale, comme à France Télécom ou à la SNCF. La souffrance au travail existe bel et bien. Elle touche l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale, tou-te-s exposé-e-s à des conditions de travail pathogènes. Ces enseignant-e-s qui subissent l’extrême dégradation de leurs conditions de travail mettent fin à leur calvaire professionnel en s’ôtant la vie. L’Institution est responsable ! Il est essentiel de rappeler ici le devoir de protection des agent-e-s qui incombe à l’administration. Comme le prévoit le Code du travail, l’Éducation nationale a des responsabilités et se doit en tant qu’employeur de « prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs ». En Seine-Saint-Denis, un CHSCT départemental extraordinaire aura lieu jeudi 3 octobre à 14h afin qu’une enquête soit menée par les représentant-e-s du personnel pour établir le lien entre la mort de notre collègue et ses conditions de travail et exiger des vraies mesures de prévention et de protection de la part de la hiérarchie. SUD éducation exige que chaque suicide soit porté sans délai à la connaissance d’un CHSCT et des organisations syndicales. L’intersyndicale du 93 appelle à la grève et à un rassemblement ce jour-là. Partout en France, les collègues témoignent de leur émotion et de leur révolte face à cette situation inacceptable et des initiatives diverses (grèves, rassemblements) auront lieu. SUD éducation met à la disposition des personnels son préavis de grève pour couvrir tous les personnels qui souhaiteront s’y joindre, et appelle l’ensemble des personnels à y participer. SUD éducation exige du Ministre que cesse la mise en place d’organisations du travail pathogènes et demande de réelles mesures de prévention et de protection des personnels afin d’éviter que ce drame se reproduise encore. Le préavis de grève généraliste de SUD éducation qui couvre tous les personnels de la maternelle à l’université permet à toutes et tous de s’emparer des initiatives prévues le 3 octobre. SUD éducation : soutient toutes les initiatives prises localement pour le 3 octobre (rassemblements, grève) et appelle les collègues à y participer appelle à construire de manière unitaire un mouvement d’ampleur sur cette question revendique le droit des collègues de s’absenter pour assister aux obsèques de leurs collègues - - - - - - Fédération SUD Éducation 31 rue de la Grange aux Belles, 75010 Paris Tél. : 01 58 39 30 12 Mél : fede@sudeducation.org Site : www.sudeducation.org 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
jeanounette Posté(e) 30 septembre 2019 Partager Posté(e) 30 septembre 2019 https://www.sudeducation.org/Minute-de-silence-lundi-en-hommage-a-Chirac-l-indecence.html Citation Compte tenu de l’actualité, les personnels auraient pu légitimement s’attendre à ce qu’une minute de silence soit observée à la mémoire de Christine Renon, directrice d’école à Pantin qui s’est suicidée sur son lieu de travail samedi 21 septembre. Il n’en sera rien. En revanche, le Premier ministre n’a pas perdu de temps pour publier une circulaire dans laquelle il invite les personnels à observer une minute de silence en hommage à Jacques Chirac lundi à 15 heures. La circulaire ne prévoit aucun caractère obligatoire à cette minute de silence : elle “permet” aux agent-e-s d’y participer. https://blogs.mediapart.fr/patchanka/blog/280919/ne-commemore-pas-la-memoire-dun-delinquant-dans-les-ecoles-2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
papillon2704 Posté(e) 30 septembre 2019 Partager Posté(e) 30 septembre 2019 Il y a 15 heures, Adan a dit : C est honteux. Le ressenti est partagé par tous. Les professeurs en classe n en peuvent plus, ceux qui n ont pas de classe aussi ( conseillers pédagogiques, rased...). Il existe bien une maltraitance institutionnelle. Le gdid devrait avoir honte d écrire ça. La directrice était déchargée à temps plein et avait de la bouteille. Elle subissait de la maltraitance comme nous tous. Beaucoup sont pas loin de craquer. En tant que maître E, je le vois et je culpabilise de ne pas faire plus : mon secteur a été augmenté en même temps que celle de mon ien, la psy et de maître g, du coup les moyens humains sont dispersés et dilués. Je travaille énormement avec les équipes et en étroite collaboration avec les directeurs. Ce n est pas un statut qui va tout arranger mais une véritable considération matérielle et financière Pas mieux, merci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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