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Vers un deuxième jour férié travaillé pour financer la prise en charge des personnes dépendantes ?


nonau

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Comment ça se passe chez vous la journée de solidarité ? Chez nous, c'est deux mercredis am travaillés avec thème imposé par l'IEN (on est trop contents !) .Pour le personnel municipal attaché à l'école c'est 1 journée de vacances en moins.Pour un ami qui est prof c'est un samedi matin journée portes ouvertes, pour mon frère dans le privé c'est une journée de rtt en moins, pour un copain dans le privé aussi, c'est payé par la boite.

J'ai l'impression que c'est encore un coup de "ballon sonde" pour voir comment ça passe dans l'opinion non ? 

 

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Ici aussi je suis la seule truffe a m'y coller. Une demi-journée déduit de la fête de l'école qui dure toute le journée ( trop généreux l'inspecteur) et un mercredi a-m. Pour mon conjoint qui est fonctionnaire territorial c'est cadeau, pour nos atsem aussi. A ma connaissance les profs du secondaire ne le rattrape pas.

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Normalement l'un ne remplace pas l'autre, on est censé faire la journée de solidarité ET la 2ème journée de pré-rentrée, qui s'appelle d'alleurs maintenant "la journée du recteur".

Ici, On attend toujours ses "ordres", quelle sera sa nouvelle lubie? Ce serait bien qu'il se décide avant juin...ou bien qu'il oublie carrément parceque là entre les formations qui se font à  l'arrache et où il te reste encore 9h de formation "vous vous réunissez entre vous et vous vous démerdez mais on veut un rapport pour vérifier que vous ne vous êtes pas tourné les pouces", les réunions de constitution des classes, de préparation de fête, du dernier conseil d'école, de liaison gs/cp, ah oui et les nouvelles lubies pour le nouveau projet d'école... ben on a quasiment tous nos mercredis de mai et juin occupés !

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il y a 38 minutes, zelda a dit :

Normalement l'un ne remplace pas l'autre, on est censé faire la journée de solidarité ET la 2ème journée de pré-rentrée, qui s'appelle d'alleurs maintenant "la journée du recteur".

Ici, On attend toujours ses "ordres", quelle sera sa nouvelle lubie? Ce serait bien qu'il se décide avant juin...ou bien qu'il oublie carrément parceque là entre les formations qui se font à  l'arrache et où il te reste encore 9h de formation "vous vous réunissez entre vous et vous vous démerdez mais on veut un rapport pour vérifier que vous ne vous êtes pas tourné les pouces", les réunions de constitution des classes, de préparation de fête, du dernier conseil d'école, de liaison gs/cp, ah oui et les nouvelles lubies pour le nouveau projet d'école... ben on a quasiment tous nos mercredis de mai et juin occupés !

Avec un tel inspecteur, je tiendrais biiiiiien scrupuleusement le décompte de mes heures et lui enverrais une fois les 108h atteintes pour lui demander comment faire. :closedeyes:

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6 hours ago, zelda said:

Ici aussi je suis la seule truffe a m'y coller. Une demi-journée déduit de la fête de l'école qui dure toute le journée ( trop généreux l'inspecteur) et un mercredi a-m. Pour mon conjoint qui est fonctionnaire territorial c'est cadeau, pour nos atsem aussi. A ma connaissance les profs du secondaire ne le rattrape pas.

Faux, on a les portes ouvertes de l'établissement plus une demi-journée de "grande messe" (généralement un mercredi après-midi) suite au second conseil d'administration de l'année.

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Il y a 10 heures, Cordelia a dit :

La deuxième journée de pré-rentrée n'existe pas :

http://www.snudifo02.fr/spip.php?article250

+1 

Si une 2ème journée est imposée malgré tout,  il faut la faire rentrer dans les 108h ou éventuellement la faire coïncider avec justement cette journée de solidarité. En aucun cas, "on" a le droit de nous imposer un travail gratuit.

 

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Il y a 15 heures, flore49 a dit :

+1 

Si une 2ème journée est imposée malgré tout,  il faut la faire rentrer dans les 108h ou éventuellement la faire coïncider avec justement cette journée de solidarité. En aucun cas, "on" a le droit de nous imposer un travail gratuit.

 

C'est pour ça que depuis plusieurs années, dans ma précédente école, on faisait une deuxième journée de pré-rentrée (on en avait besoin) et on notait ça comme journée de solidarité. Idem dans ma nouvelle école, l'IEN était d'accord jusqu'à présent. Nouveauté : j'ai appris il y a quelques semaines que en fait l'IEN refusait que la journée de prérentrée soit comptée comme journée de solidarité et qu'on devait faire des réunions pour rédiger le projet d'école , 6h réparties comme bon nous semble à prendre sur cette fameuse journée de solidarité!!!  :mad:

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C'est une porte d'entrée vers l'esclavagisme le travail gratuit : non seulement ma génération cotise pour une génération économiquement gâtée par les 30 Glorieuses et supérieure en nombre (le baby boom) mais en plus, il faudrait qu'on travaille gratuitement pour elle (alors que, du fait de son nombre, elle s'est accaparée le travail disponible).

C'est la double peine...

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Le 14/04/2018 à 10:41, borneo a dit :

Pas d'accord pour financer les mouroirs où on force les gens à continuer à vivre dans des conditions indignes, alors qu'ils pourraient depuis longtemps avoir rejoint l'autre monde, sans crainte ni souffrance.

Je rappelle que parmi les nombreuses promesses électorales de Hollande, il y avait la légalisation du droit à mourir. Absolument pas tenue...

Un peu raide, non ?
Toute personne ne pouvant (souhaitant) vivre seule et suffir à tous ses besoins doit donc être éliminée puis qu'elle ne continue pas à vivre "dignement" ?

Pour avoir travaillé dans un EHPAD, je confirme que ça n'est pas un lieu parfait pour vivre (les contraintes de la vie en collectivité empiétant nécessairement sur les habitudes et souhaits de chacun), mais beaucoup de personnes y trouvent leur compte. Bien sûr, quand on y est placé contre son gré, c'est très dur ... mais pas si souvent au point de demander à mourir.
Personnellement, je suis contre le financement des EHPAD par des capitaux privés, car cela implique forcément une "rentabilité" qui vient concurrencer les financements des besoins des personnes. Je suis pour le maintien à domicile dans de bonnes conditions de tous ceux qui le souhaitent (mais c'est parfois impossible : escaliers, maisons très isolées, charge d'entretien trop grande: il faudrait là aussi anticiper en famille !), et , pour les autres, la création de structures d'hébergement respectant au mieux les besoins et envies de ses résidents.
Mais le mal-être  des personnes âgées en EHPAD relève plus de la solitude, du manque de prise en compte personnalisée de leurs désirs et du regret de leur autonomie passée, que de l'envie de rejoindre l'autre monde ! La légalisation du droit à mourir de ce point de vue serait plutôt la légalisation d'un sentiment de devoir débarrasser le plancher ....

 

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