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Un collaborateur de Macron identifié en train de frapper un manifestant le 1er mai à Paris


prof désécol

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Comment expliquez-vous que cette information soit aussi tardive (1 mai-20 juillet)? Est-ce que c'est dû à la difficulté de reconnaître les protagonistes? Je m'interroge...

 

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En tout cas , même si une procédure de licenciement est engagée , tout l'entourage du PR savait et a minimisé voire tenté d'étouffer. Le crédit moral de ce gouvernement et son chef se trouvent  donc largement entamés  avec un nouveau monde un peu sépia couleur barbouzes à la Pasqua ! 

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Plus de logements de fonction pour les instits et PE par contre no problemo pour les barbouzes de l'Elysée et dans le 7ème arrondissement de Paris  je vous prie , manantes et manants !

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Et les deux victimes ? Qui sont-elles ? Ont-elles déposées plainte depuis, maintenant qu'elles savent  que ce n'est pas un policier qui les a frappées ? Est-ce qu'elles se sont manifestées ?Pourquoi personne ne parle de ce jeune homme et de cette jeune femme sauf par le biais d'Alexandre Benatta ?

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Il y a 9 heures, cyrille1 a dit :

Et les deux victimes ? Qui sont-elles ? Ont-elles déposées plainte depuis, maintenant qu'elles savent  que ce n'est pas un policier qui les a frappées ? Est-ce qu'elles se sont manifestées ?Pourquoi personne ne parle de ce jeune homme et de cette jeune femme sauf par le biais d'Alexandre Benatta ?

Ils sont peut-être en vacances loin de tout ce raffut médiatique...

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Il y a 21 heures, André Jorge a dit :

Il a été placé en garde à vue ce matin pour violence et usurpation de fonction + procédeure de licenciement.

D'autres sont en train de tomber, des commissaires et des officiers qui ont protégés cet individu dangereux. Les ordres venaient ils de plus haut? Dans aucun doute...

 

 

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https://www.paris-normandie.fr/accueil/mensonge-de-l-elysee--benalla-assurait-encore-la-protection-rapprochee-du-president-le-13-juillet-a-giverny-FE13424100

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Mensonge de l’Élysée : Benalla assurait encore la protection rapprochée du Président le 13 juillet à Giverny

Publié 20/07/2018 23:18

C’est la photo du mensonge, celle en tout cas qui prouve que le porte-parole de la présidence de la République a menti pour défendre les intérêts du « château » et du chef de l’État. Sur cette image, on voit Emmanuel Macron et son épouse Brigitte prendre la pause avec le personnel du restaurant étoilé « Le Jardin des Plumes », à Giverny dans l’Eure. Jusque-là, rien de très grave. Sauf que sur cette photo apparaît, au premier plan, Alexandre Benalla...

Ce cliché a été pris le vendredi 13 juillet en début d’après-midi. Or, jeudi matin, au lendemain des révélations du journal Le Monde, Bruno Roger-Petit assurait lors d’une déclaration officielle qu’Alexandre Benalla avait été « mis à pied pendant quinze jours avec suspension de salaire », du 4 au 19 mai, et entièrement « démis de ses fonctions en matière d’organisation de la sécurité des déplacements du président ». L’entourage du chef de l’État indique que, jusqu’au 1er mai, l’adjoint au chef de cabinet de l’Elysée faisait « l’interface entre les différents services chargés de la sécurité du président et le cabinet ». Mais qu’ensuite, « il s’est uniquement occupé d’organiser des événements au Palais de l’Elysée, à l’exception de deux gros événements : la panthéonisation de Simone Veil et la réception des Bleus ».

Mensonge, car sur la photo prise à Giverny la veille du défilé militaire sur les Champs-Elysées - où il a également été vu en compagnie du chef de l’État... -, Alexandre Benalla, en blazer bleu et chemise blanche, devance de quelques pas à peine le couple Macron et semble clairement assurer la protection du couple présidentiel. [...]

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https://m6info.yahoo.com/info-m6-le-ministere-de-linterieur-avait-refuse-le-port-darme-benalla-des-novembre-2013-155231587.html

Citation

INFO M6 - Le ministère de l’Intérieur avait refusé le port d’arme à Benalla dès novembre 2013

Alors que le ministère de l’Intérieur a refusé à plusieurs reprises le port d’arme à Alexandre Benalla, c’est une intervention de l’Élysée qui lui a permis d’obtenir une arme.

Selon nos informations, le ministère de l’Intérieur a refusé le port d’arme à Alexandre Benalla dès novembre 2013. Une intervention de l’Élysée l’année dernière aurait permis de lui accorder cette arme. Retour sur un incroyable imbroglio.

Le 27 novembre 2013, l’avocat de Karim Achoui sollicite le ministère de l’Intérieur. Ce dernier, avocat controversé radié du barreau de Paris, notamment pour des manquements déontologiques, a sollicité la protection d’un garde du corps. Karim Achoui a reçu des menaces de mort après avoir créé en 2013 la ligue de défense judiciaire des Musulmans.

Dans son courrier, le conseil de Karim Achoui demande que le garde du corps de son client, Alexandre Benalla, ait un permis de port d’arme. La direction juridique des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l’Intérieur n’y est pas favorable, selon un ancien de Beauvau. La demande de port d’arme ne peut se faire qu’à titre individuel et le profil de Karim Achoui laisse dubitatif les policiers qui ont examiné le dossier. Le port d’arme est donc refusé.

Alexandre Benalla, “furieux” toujours selon cet ancien de Beauvau, reviendra à la charge plusieurs fois, toujours avec cette réponse négative. Il aura son autorisation de port d’arme, selon nos informations, grâce à une intervention de l’Élysée.

Le Parisien évoque un épisode qui va dans ce sens. Le 26 novembre dernier, Alexandre Benalla est secouru par un photographe alors qu’il avait crevé en scooter, avant une émission politique d’Emmanuel Macron. Il indique au photographe qu’il “a oublié son arme sous la selle de son deux-roues”. Alexandre Benalla ajoute qu’il n’a pas reçu encore sa demande d’autorisation de port d’arme, qui est toujours “en cours”.

Interrogé sur ce point, l’entourage de Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, n’a pas souhaité faire de commentaire, indiquant “que des enquêtes étaient en cours et que le ministre de l’Intérieur serait entendu en début de semaine”.

 

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https://www.huffingtonpost.fr/2018/07/21/alexandre-benalla-disposait-dun-badge-dacces-a-lassemblee-et-les-deputes-lr-sen-indignent_a_23486799/

Citation

Alexandre Benalla disposait d'un badge d'accès à l'Assemblée et les députés LR s'en indignent

ALEXANDRE BENALLA - Inutile d'essayer de débattre de la révision de la Constitution ce samedi 21 juillet. A l'Assemblée Nationale, les députés n'ont que le nom d'Alexandre Benalla à la bouche, et ce d'autant plus qu'ils viennent d'apprendre une information qui les concerne directement (et les met en rogne).

L'après-midi a commencé comme la matinée, par une succession de rappels au règlement qui permettent aux élus d'écarter le sujet de débat initialement prévu à l'agenda. C'est à ce moment que le député Les Républicains Marc Le Fur a lâché sa bombe (voir la vidéo en tête d'article).

"Il y a des badges de collaborateurs ordinaires, au-dessus, des badges de collaborateurs de missions et de vice-président, puis au-dessus il y a les badges de collaborateurs du président qui peuvent accéder à un maximum de choses", dont l'hémicycle, a commencé par rappeler le député des Côtes d'Armor. "Nous avons appris que monsieur Benalla disposait d'un tel badge", a-t-il lancé, suscitant immédiatement un murmure de désapprobation dans l'hémicycle.

Le badge, attribué à Alexandre Benalla le 24 juillet 2017 selon les dires de Marc Le Fur, lui aurait "été retiré il y a trois jours", soit au moment des révélations du journal Le Monde. "Jusqu'à présent, monsieur Benalla ne disposait pas de fonctions politiques. Or, ceux qui disposent d'un tel badge font de la politique", a lancé le député, sommant François de Rugy de lui expliquer les raisons pour lesquelles Alexandre Benalla disposait d'un accès à l'hémicycle.

Après l'intervention de Marc Le Fur, François de Rugy a confirmé qu'Alexandre Benalla disposait bien d'un badge d'accès. Mais le président de l'Assemblée Nationale a démenti toute procédure irrégulière sur l'attribution du badge, affirmant "qu'une demi-douzaine" de badges était attribuée au cabinet du président de la République". Dans un communiqué, il a ensuite indiqué que le badge avait été désactivé le 20 juillet, après le licenciement d'Alexandre Benalla.

"Ce barbouze vient ici avec un badge (qui lui permet) de rentrer dans l'hémicycle!"

Mais sa déclaration n'a pas du tout calmé les députés. Et surtout pas le président du groupe Les Républicains Christian Jacob, qui n'a pas caché sa colère. "Le ministre de l'Intérieur ment devant le Sénat. Le porte-parole du président de la République ment devant la presse, sciemment, sur ordre. (...) Et là, on apprend que ce barbouze, parce que c'est bien de ça dont il s'agit, qui ne figure pas au Journal Officiel, vient ici, avec un badge (qui lui permet) de rentrer dans l'hémicycle! Au nom de quoi! Quel est le rapport entre la sécurité du président de la République et être ici dans l'hémicycle?", a tonné le chef du groupe LR. Et de demander aussi sec une suspension de séance qui lui a été accordée, interrompant une nouvelle fois les débats.

Comme le reste de l'opposition, les Républicains renvoient la responsabilité de cette affaire au plus haut sommet de l'Etat et réclament la tête du gouvernement... voire d'Emmanuel Macron. C'est dans cette optique que le député LR Patrick Hetzel a mis sur le tapis la question d'un amendement sur la procédure de destitution du président à inclure dans la réforme de la Constitution. Et d'appeler la ministre de la Justice présente dans la salle à "tirer les leçons" de la situation, en soulignant la nécessité de "contrôler le pouvoir du président de la République" et aussi "ce qu'il se passe dans les cabinets ministériels".

Depuis la réforme de la Constitution de 2007, la procédure de destitution du président peut être déclenchée "en cas de manquement du chef de l'État à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat", qu'il s'agisse d'un comportement politique ou privé, qui a porté atteinte à "la dignité de ses fonctions". Elle peut être déclenchée par l'Assemblée Nationale ou le Sénat avant d'être soumise à la Haute Cour, qui doit obtenir la majorité des deux-tiers lors du vote pour prononcer la destitution.

"Alexandre Benalla disposait d'un badge d'accès à l'Assemblée et les députés LR s'en indignent."

Quand on pense que Mme Fillon, qui était pourtant assistante parlementaire, ne disposait même pas de badge, il y a vraiment de quoi s'indigner dans les rangs des députés LR !

:closedeyes:

 

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