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Un collaborateur de Macron identifié en train de frapper un manifestant le 1er mai à Paris


prof désécol

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LR, le FN et même le PS qui connait bien Benala, ont les mêmes barbouzes dans leur rang. On les entend moins sur Cap22 ou la pseudo "réforme" institutionnelle...

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La gueule du barrage à l'extrême droite ... 😁

Chaque jour je me réjouis de ne pas avoir voté pour cette clique d'arrivistes mafieux et dangereux !

Comment les français ont-ils pu se laisser endormir à ce point ?

Il n'y a pas que les sous fifres qui doivent payer ! 😖

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Chaque jour apporte son lot de nouvelles photos, de nouvelles vidéos, de nouvelles révélations...

Jusqu' à quand Emmanuel Macron va-t-il pouvoir rester silencieux ?

Ce Benalla, qu'on prenait d'abord pour un vague conseiller chargé de la sécurité, était manifestement très proche du président.

Il apparaît, à ses côtés, sur des dizaines de photos, publiées chaque jour dans différents organes  de presse.

Il bénéficiait de privilèges ahurissants.

Logement, voiture de fonction, salaire exorbitant ( presque le double de l'indemnité versée à un député, à 26 ans, par le seul fait du prince)...

Il donnait des ordres à de hauts gradés de la police.

Si les trois hauts fonctionnaires actuellement en garde à vue lui ont communiqué des images de caméras de vidéosurveillance auxquelles il n'avait pas légalement accès, c'est, bien évidemment, parce qu'ils savaient qu'il représentait l'Elysée.

Il circulait librement dans l'Assemblée Nationale, comme s'il était député.

Alors même que, le Président ne se rendant jamais à l'Assemblée Nationale, un personnage chargé de la sécurité du président n'avait rien à y faire.

Le 1 er mai, quand d'autres vont cueillir du muguet, il allait, pour se détendre, cogner des manifestants, déguisé en policier, et entouré de vrais CRS, qui le laissaient faire, en sachant bien, pourtant, qu'il n'était pas des leurs.

Ce n'est plus une affaire Benalla.

C'est une affaire Macron.

Citation

Car ce Benalla n'aurait rien été sans le président de la République.

C'est directement du président que lui venaient tous ses pouvoirs, rémunérations, avantages et privilèges, et c'est, de toute évidence, parce qu'il bénéficiait de la protection personnelle d'Emmanuel Macron qu'il agissait sans trop se préoccuper de la loi, estimant manifestement qu'elle ne s'appliquait pas à lui.

Ceci est le commentaire d'un internaute sous cet article, ça me parait être bien résumé :

https://www.mediapart.fr/journal/france/210718/benalla-place-de-la-contrescarpe-une-nouvelle-video-accablante

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Il me tarde d'avoir la version des faits des personnes qui ont été frappées par cet ignoble individu ! Le pouvoir n'a plus peur de rien, casser notre modèle social hérité de la guerre et même remettre en place de véritables chemises brunes !

Nous vivons une période bien nauséabonde...

 

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Dans nombre de pays des têtes seraient déjà tombées ...

Macron va être obligé de sortir de ce silence honteux, plus il tarde plus il s'enfonce.

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Ce matin, c'est matraquage médiatique avec les invités LREM, ils sont partout.

Ils dénoncent la violence des faits mais esquivent les 3 mois où les faits connus de Macron et Collomb ont été dissimulés et non dénoncés à la justice.

Le lavage de cerveau a commencé ...

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https://www.lexpress.fr/actualite/politique/alexandre-benalla-les-secrets-du-m-securite-du-president_2027183.html

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[...]

180 000 euros de travaux quai Branly

Ainsi, Alexandre Benalla s'était vu attribuer un appartement de fonction quai Branly, dans une résidence de la République rassemblant une soixantaine d'appartements, où sont logés aussi bien le chef d'état-major particulier du président que le secrétaire général de l'Elysée ou d'autres collaborateurs ; certains sont fonctionnaires et leur présence en permanence sur les lieux de travail est impérative, d'autres bénéficient d'un appartement de manière discrétionnaire. Ces lieux discrets, doit-on le rappeler, furent dévoilés au grand public lorsqu'on apprit un jour que François Mitterrand y logeait Anne Pingeot et leur fille Mazarine... Selon nos informations, un budget de 180 000 euros aurait été prévu afin de réunir deux appartements pour Alexandre Benalla et en faire un duplex, d'une surface de près de 200 mètres carrés. Sollicité sur ce point, l'Elysée n'avait pas fait de commentaires à l'heure du bouclage. 

Intimant à des chefs policiers d'obéir, dictant des ordres sans ménagement à la base, Benalla s'était vu confier, à la demande de Macron, sous la houlette de son dircab Patrick Strzoda, la délicate mission de réfléchir à une réorganisation de la protection rapprochée du chef de l'Etat et de la sécurité du palais de l'Elysée - piétinant ainsi les plate-bandes du SDLP et du commandement militaire de la présidence. Il voulait débrancher le GSPR de la place Beauvau et créer trois sous-directions : protection, sûreté des bâtiments, logistique et moyens. Le point fort de la réforme proposée par Benalla lui a attiré de fortes inimitiés : ce dernier souhaitait en effet que soient recrutés dans ce nouveau service des militaires et des douaniers, là où la protection du président restait jusqu'à présent la chasse gardée des policiers et des gendarmes... Gérard Collomb, lundi matin, a précisé qu'il devait maintenir un lien entre cette nouvelle direction et l'Intérieur. 

Promotions éclair et décoration

Évoluant, avant d'oeuvrer aux côtés du candidat Macron, dans le petit monde de la sécurité privée - il avait renouvelé en 2014 sa carte du CNAPS, l'organisme régulateur des sociétés privées de sécurité -, Benalla "pouvait recruter ou faire virer un officier de sécurité d'un simple claquement de doigts, souligne un patron de syndicat. Aux côtés de "privés" ou de videurs de boîtes de nuit, il avait engagé d'anciens militaires devenus flics, dont certains avaient pris une disponibilité pour servir comme gros bras pendant la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. C'était la "bande d'Alexandre", comme l'a raconté Le Monde : Vincent Crase, mis en examen lui aussi suite aux faits du 1er mai ; Pierre-Yves Baratier, un ex-militaire ; Christian Guédon, un ancien du GIGN, devenu après avoir fait la campagne de 2017 pour En Marche, "siège" d'Emmanuel Macron, c'est-à-dire l'officier de sécurité assis à côté du chauffeur du président ; Stéphane M., militaire devenu policier, passé lui aussi par la campagne de Macron, propulsé au GSPR après un passage éclair dans une brigade de nuit. Après avoir passé les tests d'entrée au SDLP, certains flics ou gendarmes ont en effet rejoint en promotion express le saint des saints de la sécurité présidentielle. 

En tout cas, les gorilles de la campagne lui restent redevables : l'un d'entre eux, Christian G, un ex-commando marine, a été reçu chevalier dans l'ordre de la Légion d'Honneur le 30 décembre 2017 et devait être décoré dans la soirée de mardi 24 juillet, à l'Elysée, des mains d'Emmanuel Macron. La cérémonie a été in extremis reportée à une date ultérieure... 

 

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Je serais issu du GIGN ou des forces spéciales missionné pour protéger le président, j'aurais un peu de haine contre un arriviste sans diplômes ni qualifications, qui se permet de me donner des ordres...

Remarquez c'est la société tant voulue par Macron: plus de diplômes, de qualifications, seulement de vagues compétences...On voit où cela mène..

 

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Affaire Benalla : et Emmanuel Macron décida de parler, à l'heure de l'apéro, à SES députés, et en mode école des fans

Closermag.fr

Après six jours de silence, le président de la République a décidé de monter au créneau sur l'affaire Benalla. C'était mardi soir, dans un cadre ultra privilégié et peu propice à la contestation, puisque Emmanuel Macron parlait devant ses ministres et ses députés.

Ca y est, Emmanuel Macron a retrouvé l'usage de la parole, et, pour autant qu'on le sache, a décidé de parler cash. Après plus de six jours "d'affaire Benalla", du nom de ce chargé de mission de l'Elysée filmé en train de frapper deux manifestants lors d'une manifestation, le 1er mai 2018, à Paris, le chef de l'Etat est *enfin* sorti de son silence, mardi 24 juillet dans la soirée. Emmanuel Macron n'a pris aucun risque sur son public : il s'est en effet invité au "pot de fin de session" de ses députés, réunis dans les jardins de la maison de l'Amérique latine, à deux pas de l'Assemblée, ainsi que l'ont aussitôt raconté de nombreux députés de la majorité sur les réseaux sociaux.

En court et en résumé, Emmanuel Macron assume :

"S'ils cherchent un responsable, le seul responsable, c'est moi et moi seul.

C'est moi qui ait fait confiance à Alexandre Benalla, c'est moi qui ai confirmé la sanction.

Ca n'est pas la République des fusibles, la République de la haine"

 

Il s'est même volontiers montré ... provocateur, à la limite du trolling :

"On ne peut pas être chef par beau temps.

S'ils veulent un responsable, il est devant vous.

Qu'ils viennent le chercher. Je réponds au peuple français."

 

Avantage énorme pour le chef de l'Etat ? Le seul récit qui est fait de sa prise de parole est celui des tweets énamourés des députés LREM présents.

On vous a compilé tous les relais que l'on a trouvé, par ordre chronologique.

Vous allez voir, c'est ... assez louangeur #euphémisme. Pour ne pas dire franchement "école des fans" :

https://www.closermag.fr/politique/affaire-benalla-et-emmanuel-macron-decida-de-parler-a-l-heure-de-l-apero-a-ses-d-851807

 

 

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C'est surtout un sacré bras d'honneur au peuple entier puisqu'il est intouchable et il le sait grâce à son statut de président ! 

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