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Grève du 10 décembre


jeanounette

Grève du 10 décembre  

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à l’instant, Yulunga38 a dit :

Il n'y a plus de brigades dispo de toute façon...

Mais disponible ou non il se mettrait hors la loi. 

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il y a 38 minutes, Yulunga38 a dit :

Chez nous l'ien a envoyé un courrier stipulant que la collègue non gréviste (seule sur une école de 12 classes) se devait d'accueillir les élèves,  la commune ne pouvant assurer le sma car trop de grévistes au niveau communal...

N'importe quoi ! Qu'elle ne se laisse pas faire, elle a la loi pour elle. Qu'elle se rapproche d'un syndicat si elle ne se sent pas répondre elle-même. En un coup de fil, ca devrait être réglé. 

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Quand on s'est déclaré gréviste mais que finalement, on est en classe, on est comptabilisé gréviste ou pas ? Parce que jusqu'au moment où on signe la feuille disant qu'on a fait ou pas, nous ne sommes pas payés pour ce jour-là. Vous me suivez ?

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Mais en attendant cette feuille, comment savent-ils le jour-même si oui ou non, j'étais à l'école (pas de SMA, je serais seule sur trop... donc élèves répartis) ?

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Il y a 2 heures, lilie2fr a dit :

Pas de SMA chez nous donc conformément à la loi qui dit que c'est à la commune de gérer si plus de 25 % , les collegues non grevistes n'ont pas accueilli les élèves des collegues grevistes. Ils n'avaient pas à prendre cette responsabilité.

+1, il faut absolument faire tourner cette information partout (et pour toutes les grèves, pas que celles-ci) 

Il y a 1 heure, Yulunga38 a dit :

Chez nous l'ien a envoyé un courrier stipulant que la collègue non gréviste (seule sur une école de 12 classes) se devait d'accueillir les élèves,  la commune ne pouvant assurer le sma car trop de grévistes au niveau communal...

 

Bon, jeudi je serai sans doute la seule gréviste de ma commune... m'enfin... ça semble s'essouffler... :(

Cet IEN est carrément hors la loi, mail à transformer aux OS de ton département! 

Il y a 14 heures, Goëllette a dit :

 

Sinon, question technique sur les préavis de grève :

Jusqu'à quand un TR (qui n'a pas de remplacement en cours) qui a rempli un formulaire d'intention de grève peut-il se déclarer "non gréviste" ?

Jusqu'à la veille ou jusqu'au matin même ?

Doit-il appeler son gestionnaire la veille (ou lui écrire un mail) pour se déclarer non gréviste ou bien peut-il le faire le matin même ? 

Peut-il aussi, simplement, ne pas appeler et se rendre dans son école de rattachement pour signer la feuille ?

Un TR de la circo voisine s'est ramassé un soufflon par la secrétaire (de la part de l'IEN) parce qu'il l'a appelée ce matin pour l'informer qu'il ne faisait finalement pas grève. Elle lui a dit qu'il aurait dû l'en informer la veille par mail pour qu'elle puisse l'affecter quelque part. Il craint même d'avoir des représailles ... d'autant qu'il est en grève demain !

Que dit la Loi à ce sujet ?

Parce que, s'ils ne sont pas tenus de prévenir la veille, les TR effectuant des congés courts (et même les REP+, qui doivent prioritairement être remplacés) peuvent être, finalement, un excellent moyen pour désorganiser le service !

Ils signent tous des déclarations d'intention et sont, au choix, le moment venu, grévistes ou non, donc le remplacement des congés maladie devient extrêmement chaotique et rend l'existence des titulaires non grévistes très compliquée.

 

Tous les enseignants qui le souhaitent déclarent une  intention de faire grève, donc le jour même de la grève il peut décider d'aller ou non dans son école de rattachement. Puisqu'il s'est fait passer une soufflante par la secrétaire, si j'étais lui je n'appellerai plus. Si dans son école de rattachement y'a du monde il sera utile là-bas!

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Et moi je suis contre cette histoire de recul de la retraite, je m'explique : au début c'était 1963, après 68, maintenant 73 voire 75! c'est du routage de gueule, la mise en place sera impossible! 

Il faut abolir ce projet de loi point barre!!!! Dans tous les cas ce projet est inadmissible, injuste quelque soit la génération 

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Il y a 1 heure, Yulunga38 a dit :

Chez nous l'ien a envoyé un courrier stipulant que la collègue non gréviste (seule sur une école de 12 classes) se devait d'accueillir les élèves,  la commune ne pouvant assurer le sma car trop de grévistes au niveau communal...

Un peu facile et très léger, carrément irresponsable d'écrire ça...S'il arrive quelque chose,il va la défendre la collègue? Et les parents qui auraient un minimum de jugeotte ne mettraient pas leur enfant en situation de danger. Potentiellement et au pire elle pourrait donc se retrouver seule à surveiller 11x30 élèves 😨

Les accointances de Macron avec la finance.Il a vendu la France, maintenant il vend les Français.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/est-il-vrai-que-macron-a-rencontré-le-groupe-blackrock-spécialisé-dans-les-fonds-de-pension/ar-BBXZWcc?li=AAaCKnE&fbclid=IwAR1ssjXBTavC1xt46TWgexOVv0QX5OG-49tDCo5jPaQXNdcNRCLQ0i14PHQ

Est-il vrai que Macron a rencontré le groupe BlackRock, spécialisé dans les fonds de pension ?

 
 
 
Luc Peillon, Jacques Pezet
Amundi CEO Yves Perrier (L), chairman and CEO of BlackRock, Larry Fink (C) sit alongside French President Emmanuel Macron as they attend a meeting between the French President and representatives of investment funds and sovereign wealth funds to fight climate change at the Elysee Palace in Paris on July 10, 2019. (Photo by Michel Euler / POOL / AFP)© MICHEL EULER Amundi CEO Yves Perrier (L), chairman and CEO of BlackRock, Larry Fink (C) sit alongside French President Emmanuel Macron as they attend a meeting between the French President and representatives of investment funds and sovereign wealth funds to fight climate change at the Elysee Palace in Paris on July 10, 2019. (Photo by Michel Euler / POOL / AFP)

Les représentants du plus grand fonds d'investissement au monde, très intéressés par la loi Pacte et la réforme des retraites, ont déjà rencontré à plusieurs reprises le président de la République. Le lobby dont fait partie BlackRock en France, l'AFG, a également multiplié les actions d'influence sur la loi Pacte auprès des dirigeants français.

Question posée par Trialon le 09/12/2019

 

Bonjour,

Alors que le Parisien révèle que le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, n’avait pas mentionné sa fonction d’administrateur au sein d’un Institut de formation de l’assurance (Ifpass) dans sa déclaration d’intérêts à l’HATVP (Haute Autorité pour la transparence de la vie publique), de nombreux internautes et le site Arrêt sur images pointent du doigt les proximités entre Emmanuel Macron, son gouvernement et BlackRock, «fonds extrêmement attentif aux opportunités des réformes du système des retraites en France». Et de dénoncer une réforme qui aurait été dictée par le lobbying du géant américain.

 

Les accointances supposées du pouvoir avec ce géant de la finance (plus de 6 000 dollars d’actifs, dont les deux tiers concernent l’épargne retraite) reposent notamment sur un article du Canard enchaîné, dont une capture d’écran a ressurgi la semaine dernière. Dans ce texte, qu’Arrêt sur images a d’abord présenté comme publié «la semaine dernière» avant de corriger en révélation «de l’automne 2017», le palmipède révélait que le 25 octobre 2017, l’Elysée avait reçu en grande pompe durant toute une journée (et non pas seulement durant un dîner comme évoqué dans la presse) «le gratin de la finance mondiale, représenté par les dirigeants de BlackRock, le plus gros investisseur du monde, et par 21 gestionnaires de fonds».

$

Si vous aviez encore un doute...
Tout est désormais écrit noir sur blanc : le fonds de pension américain, Black Rock, explique que les réformes Macron lui permettront de gérer la retraite privée des Français ⬇️https://www.blackrock.com/fr/intermediaries/themes/retirement 

 
 

Autre élément cité : un extrait du documentaire «Ces financiers qui dirigent le monde – BlackRock», diffusé par Arte en septembre 2019, dans lequel le réalisateur Tom Ockers rappelle qu’Emmanuel Macron «avait déjà rencontré Larry Fink [le PDG de BlackRock, ndlr] à plusieurs reprises après sa prise de fonction» et qu’il «veut favoriser les privatisations en France. A cet effet, le président de la République a créé une commission dont l’un des membres n’est autre que le patron de BlackRock France, Jean-François Cirelli. Cet ancien conseiller du président Chirac […] ne cesse de réclamer un recours accru aux fonds spéculatifs pour l’assurance vieillesse.»

 

Macron a invité Larry Fink patron de l'américain BlackRock dans des entretiens à huis clos.
Il nomme Jean-François Cirelli, boss de BlackRock France dans une commission pour favoriser les privatisations. Ce dernier milite pour le recours aux fonds spéculatifs pour les retraites.

 
Vidéo intégrée
 
 
 
 

A la recherche des contacts entre la multinationale et l’Elysée, CheckNews a pu lister les rencontres suivantes évoquées dans la presse. L’Obs rapporte que dès le 6 juin 2017, le PDG de BlackRock, Larry Fink, «a été reçu en toute discrétion à l’Elysée, par le Président, et à Matignon». Trois semaines plus tard, le 28 juin 2017, Bruno Le Maire rencontre Larry Fink lors d’une visite à New York autour d’un «entretien bilatéral» et d’un «dîner d’attractivité». Le ministre de l’Economie s’était rendu aux Etats-Unis pour convaincre Wall Street d’investir en France.

Le 17 octobre 2017, le gouvernement mandate le Comité action publique 2022 (un groupe d’une trentaine d’experts) pour travailler sur la réforme de l’Etat. Parmi ses membres, on retrouve le président de BlackRock France, Jean-François Cirelli. C’est l’homme qu’on voit à la fin de l’extrait du documentaire d’Arte en train de défendre l’épargne-retraite sur le plateau des Echos en juin 2018 ou sur France info en juin 2019.

Une semaine plus tard, le 25 octobre 2017, le PDG américain Larry Fink, accompagné de dirigeants de BlackRock et de 21 gestionnaires de fonds, est de retour à Matignon et l’Elysée, lors de la journée de réception décrite par le Canard enchaîné. Lors de cette visite, les financiers vont être chaleureusement reçus dans les ors du salon Murat de l’Elysée, où a lieu le Conseil des ministres, pour y assister à des exposés de plusieurs ministres : Muriel Pénicaud, Elisabeth Borne, Bruno Le Maire et Benjamin Griveaux. Le soir, ils dînent avec des ministres et Emmanuel Macron.

«Le bon plan retraite» 

Larry Fink répond également présent à l’appel de l’Elysée, le 10 juillet 2019, lorsque Emmanuel Macron y organise une réunion sur le climat et l’investissement, au cours de laquelle «huit des plus importants gestionnaires français et mondiaux se sont engagés à coopérer pour mieux prendre en compte l’impact du changement climatique dans leurs politiques d’investissement», rapportent les Echos.

Blackrock fait également partie de l’AFG (Association française de la gestion financière, lobby des fonds d’investissement en France). Cette organisation n’a pas ménagé sa peine ces derniers mois, afin de défendre ses intérêts dans la loi Pacte (croissance et transformation des entreprises), alors en cours d’élaboration. Sur le site de la HATVP, où les «représentants d’intérêts» doivent, avec plus ou moins de précision, déclarer leur action de lobbying, on dénombre plusieurs rencontres, en 2018 et 2019, avec des membres du cabinet d’Emmanuel Macron, du Premier ministre, de Pénicaud ou encore à Bercy, sur la loi Pacte précisément, et le plus souvent sur la question des nouveaux dispositifs d’épargne retraite contenus dans ce texte.

Dans une note titrée «Loi pacte : le bon plan retraite», de juin 2019, BlackRock listait même publiquement ses recommandations, notamment au gouvernement français, afin de développer l’épargne retraite. Entre autres préconisations : «Pérenniser le dispositif législatif et les incitations fiscales de long terme», «Faciliter ou prévoir la mise en place d’incitations comportementales pour accroître le niveau des contributions volontaires», «Intégrer un volet éducation financière pour soutenir le marché cible d’épargnants qui n’ont pas accès à un conseiller financier», «Faire bénéficier les particuliers à faibles revenus de mesures d’incitations additionnelles», et même «Imposer à terme la mise en place des dispositifs d’épargne-retraite de type auto-enrolment (adhésion automatique)»…

Au-delà de BlackRock, la loi Pacte et la réforme des retraites attisent aussi l’appétit d'autre fonds américains, comme le rappelait en septembre un article des Echos : «"La réforme des retraites, à commencer par la loi Pacte, devrait offrir de nouvelles opportunités pour les gestionnaires d’actifs pour servir le marché français", résume un porte-parole de Pimco (un fonds de gestion, ndlr).»

Part belle aux fonds d’investissement

Si l’on ignore l’influence exacte qu’ont pu avoir ces opérations de lobbying, il n’en reste pas moins que la loi Pacte, comme le projet de loi retraite, complémentaires, font effectivement la part belle aux fonds d’investissement. Entré en vigueur le 1er octobre, le nouveau Plan épargne retraite (PER), qui doit remplacer, à terme, les différents dispositifs existants, est censé rationaliser et développer la retraite par capitalisation en France, avec exonérations fiscales à la clef.

Comme en écho à cette loi, et sans doute pour booster le nombre de clients potentiels à cette épargne par capitalisation, le projet de réforme des retraites prévoit d’exclure désormais une partie des cadres de la retraite par répartition. Comment ? En limitant les cotisations retraites contributives (c’est-à-dire ouvrant des droits) à seulement trois plafonds sécu dans le prochain système par points, au lieu de huit dans le système actuel. Autrement dit, un cadre payé plus de 10 000 euros par mois ne pourra plus ouvrir de droits à la retraite au-delà de cette somme. Seule solution : souscrire un plan d’épargne retraite…

Même les salariés moins bien payés seraient incités à y souscrire. Car d’une manière générale, la réforme par points devrait pénaliser les carrières ascendantes (en prenant en compte toute la carrière et non plus les 25 meilleures années), donc particulièrement les cadres.

 

 
 
 

 

 

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il y a 19 minutes, pimouss26 a dit :

+1, il faut absolument faire tourner cette information partout (et pour toutes les grèves, pas que celles-ci) 

Avec la nuance que c'est à partir de 25%, et non plus de 25% :bleh:

(Mine de rien la nuance est importante pour les écoles à 4 classes)

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Une collègue seule sur une école... Jai envie de dire elle cherche le bâton ! Et en plus il faudrait qu'elle contacte un délégué syndical qui "perd" sa journée de salaire pour les droits de cette "collègue"... ? Dans quel monde vit on? Elle enseigne quoi aujourd'hui à ses élèves ? Le vivre ensemble?/ Les valeurs de solidarité en EMC? Des valeurs dont elle est complètement dépourvues visiblement.

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Une question comme ça, j'espère ne pas m'attirer les foudres 🙄

Est-ce légal d'être présent dans son école mais de ne pas accueillir les élèves ? École fermée aux élèves mais enseignants présents.

Je pense que des actions comme ça auraient plus de poids

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