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Enseignant décapité à Conflans-Sainte-Honorine


prof désécol

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Bref on est face à un cancer qui se généralise mais on ne veut toujours pas opérer car on risquerait de s'en prendre à quelques cellules qui seraient encore saines. Du coup on prescrit des tisanes et à chaque poussée de la maladie, on en modifie juste un peu la recette en assurant que ça va aller mieux.

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il y a 23 minutes, Torque a dit :

Je ne suis pas chirurgien.

Ce qui ne vous empêche pas de faire le diagnostique et de proposer un nouveau remède.

Pour ne pas vous prêter des intentions que vous n''auriez pas, je ne sais pas ce que vous mettez sous la dénomination cancer et opération qui sont des termes très vagues et sujet à de multiples interprétations.

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il y a 14 minutes, Melendil a dit :

Ce qui ne vous empêche pas de faire le diagnostique et de proposer un nouveau remède.

Pour ne pas vous prêter des intentions que vous n''auriez pas, je ne sais pas ce que vous mettez sous la dénomination cancer et opération qui sont des termes très vagues et sujet à de multiples interprétations.

Pour qui me lirait depuis le début, je n'ai aucune "intention", juste des idées qui me sont inspirées par un constat que presque tout le monde fait mais que peu sont prêts à y apporter une vraie solution pour ne pas risquer l'anathème de la communauté bienpensante des buveurs de tisane. Ce que j'appelle cancer sont ces cellules qui se multiplient selon un code propre dans un organisme en ayant pour objectif de le détruire. En l'occurrence le code en question serait une certaine lecture du Coran et l'organisme visé, le mode de vie et de pensée des pays non encore soumis à la Charia. Pour soigner un cancer il n'y a pas 36 solutions. On neutralise, extrait ou détruit les cellules malignes. Dans le cas présent on chipote pour ne pas risquer de froisser les musulmans qui vivent tranquillement leur religion sans s'en prendre à l'organisme qui les nourrit. Malheureusement dans toute guerre il y a des victimes innocentes. On appelle ça les civils. On peut aussi faire semblant de faire la guerre pour ne blesser personne. On appelle ça la soumission, la défaite programmée. Il existe une autre issue, celle où l'ennemi abandonne ses velléités de conquête. Depuis 1400 ans l'islam n'a cessé de montrer que telle n'était pas son intention et ce n'est ni l'Iran ni Erdogan qui diront le contraire, pour ne citer qu'eux.

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Qui a échappé au message de l espe inspe iufm du ”c est de votre faute, c est votre cours qui, c est votre préparation de classe qui” fait que les mômes mettent le bazar ou pire dans la classe, dans l école? ( et  quel coût pour la mgen?)

Dès la formation commence le formatage: ce n est pas de la faute des /d’un élève(s) , c est de la faute des profs.

( cela peut! Mais ce n est pas systématique, la situation DOIT être analysée avant toute conclusion)

 

La tribune pointée ci dessus indique une action, non, un changement de philosophie , dans les établissements scolaires (et au niveau des circo, en élémentaire) : 

Que le chef d établissement soit pleinement en soutien de son équipe.  Que le cpe ne torpille pas .

On est arrivé à un point où,  quand le cde et le cpe soutiennent les troupes  , c est vécu comme un miracle! 

Cela nécessite plus d adultes dans les établissements. Au moins le temps ( 3 à 5 ans) d’opérer le changement pour les élèves (au collège, mes aînées ont connu le passage d un nimportawak à une régulation, elles ont eu du mal; fiston n a connu que cela, il n’a pas sourcillé)  et pour les parents.

Mais cela ne suffira pas. L Ecole ne suffira pas. Un membre envisageait plus haut l importance de  l éducation populaire (versant sportif, versant culturel), qui travaille sur du temps long, et qui a un coût.  Les 2 sont en butte avec le temps électoral.  Un maire ”investit” pour les prochaines élections. Il faut un ”retour sur investissement ”  en 4-5 ans. Or on part pour 10 15 ans, pas loin d une génération.

Il y a également les séquelles de l urbanisation des 60 dernières années.  Par chez moi, ”les Mayotte” sont surtout dans tel quartier  ”les Turcs” dans un autre, quartiers de hlm construits dans les années 60 70. Actuellement les logements sociaux s installent ”par mitage” et... je préfère.  Du boulot a été accompli (par ici, destruction de barres, remplacement par de la maison mitoyenne ou du tout petit collectif) ,  mais il en reste beaucoup. L isolement à rompre (jusqu’il y a 5 ans, la cité que je vois depuis chez moi n avait qu’ une seule rue d accès,  un seul bus, un collège pile pour le quartier,  ... ).

 

My 2 cents.

En plus de mesures relevant de la police je pense, concernant les individus soutenant/publiant/encourageant/faisant opinions/actions contraires à nos lois.

 

 

 

 

Je me relis et... en fait, on a besoin de plus de fonctionnaires, dans tous les domaines, quoi.

Oups.

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il y a 30 minutes, Lena a dit :

L'École ne suffira pas.

 Évidemment.

 Nous sommes confrontés à des courants islamistes qui veulent mettre à terre nos sociétés modernes pour les façonner à leur manière et selon leurs normes, que ce soit par l'entrisme, la culpabilisation, la violence ou la peur. Relire notamment le rapport sénatorial que j'ai posté plus haut.

 Ce phénomène dépasse l'école, il dépasse notre pays, et nous devrions encore nous culpabiliser en cherchant à l'expliquer par les insuffisances de notre modèle éducatif et social ?

 

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Propositions pour lutter contre le séparatisme. (extrait) Michel Onfray. 5 oct 2020

"Sur le terrain de la politique intérieure, en finir avec l’islamophilie:  nommer le mal clairement, il s’agit de l’islamisme politique, et lutter contre tout aussi clairement; la République, rien que la République, toute la République; la loi, le droit, rien que la loi et le droit, mais toute la loi et tout le droit; ne montrer aucune faiblesse avec qui fut djihadiste un jour, la repentance semble très improbable; inverser l’inversion qui fait de la police le bourreau et du délinquant la victime; refonder la prison et mettre en place un dispositif qui renvoie chacun à ce dont il a besoin – hôpitaux psychiatriques pour les uns, réinsertions par l’action pour d’autres, isolement géographique sans privation de dignité, la privation de liberté suffit, pour d’autres encore; désidéologiser l’histoire en détruisant les fictions sur la colonisation ou la guerre d’Algérie entretenues à des fins de repentance, toute lamentation et toute repentance sont indignes quand on fait de l’Histoire; rationaliser l’immigration en la soumettant au principe contractuel: est bienvenu quiconque montre qu’il a envie de contribuer à l’Histoire de la France, ne l’est pas quiconque arrive avec en tête un désir inverse; idem avec ces perpétuels migrants de l’intérieur que sont ceux qui, nés là, veulent cependant de façon forcenée être d’ailleurs: la resocialisation dans des dispositifs hors école s’avère impérative et pas seulement sur le principe compassionnel;  cesser de prendre l’Education nationale en otage pour en faire un lieu d’endoctrinement dès le plus jeune âge, trois ans voudrait le chef de l’État: l’école apprend à lire, à écrire, à compter, à juger, elle n’enseigne pas le catéchisme du politiquement correct mais l’art de penser librement.

Je me résume plus encore.

En matière de politique étrangère: respecter l’Islam sur toute la planète et s’en tenir aux souverainetés des musulmans dans leurs pays ;

en matière de politique intérieure: défendre le modèle occidental  qui est le nôtre et ne pas transiger sur les valeurs ayant constitué notre civilisation - à la fois Clovis et Condorcet. "

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Didier Cornara, frère du patron décapité en 2015, à St-Quentin Fallavier, réagit après l'assassinat de Samuel Paty :

Citation

'Ils pensent qu’il faut être patient, qu'il faut éduquer. Mais les responsables politiques devraient faire plus et mieux. Les lois sont là.''

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/didier-cornara-frere-du-patron-decapite-2015-st-quentin-fallavier-reagit-apres-assassinat-samuel-paty-1886440.html

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il y a 31 minutes, prof désécol a dit :

 Évidemment.

 Nous sommes confrontés à des courants islamistes qui veulent mettre à terre nos sociétés modernes pour les façonner à leur manière et selon leurs normes, que ce soit par l'entrisme, la culpabilisation, la violence ou la peur. Relire notamment le rapport sénatorial que j'ai posté plus haut.

 Ce phénomène dépasse l'école, il dépasse notre pays, et nous devrions encore nous culpabiliser en cherchant à l'expliquer par les insuffisances de notre modèle éducatif et social ?

 

Je comprends ce point de vue, 

Mais partout où l Etat laisse un vide, n est ce pas laisser la place à ce terreau de futurs gamins sans repère et à la merci de ceux qui leur "apportent" un cadre/une valeur/une reconnaissance/un objectif ? (Emprise)

L ecole ne pourra pas tout, presque rien même,  mais l Etat et sa gestion de la jeunesse, rien non plus? (En parallèle des structures répressives,  renseignements etc pour démanteler les réseaux terroristes)

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