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Vos poésies préférées (cycle III) ?


Charivari

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J'aime beaucoup ce poème :

Le cerf-volant

Soulevé par les vents

Jusqu'aux plus haut des cieux,

Un cerf-volant plein de superbe

Vit, qui dansait au ras de l'herbe,

Un petit papillon, tout vif et tout joyeux.

- Holà ! minable animalcule,

cria du zénith l'orgueilleux,

Ne crains-tu pas le ridicule ?

Pour te voir, il faut de bons yeux

Tu rampes comme un ver...

Moi je grimpe je grimpe

Jusqu'à l'Olympe,

Séjour des dieux.

- C'est vrai, dit l'autre avec souplesse,

Mais moi, libre, à mon gré,

je peux voler partout,

Tandis que toi, pauvre toutou,

Un enfant te promène en laisse.

Jean-Luc Moreau

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Et puis aussi celui-ci :

J’écris

J'écris des mots bizarres

J'écris des longues histoires

J'écris juste pour rire

Des choses qui ne veulent rien dire.

Ecrire c'est jouer

J'écris le soleil

J'écris les étoiles

J'invente des merveilles

Et des bateaux à voiles.

Ecrire c'est rêver

J'écris pour toi

J'écris pour moi

J'écris pour ceux qui liront

Et pour ceux qui ne liront pas.

Ecrire c'est aimer

J'écris pour ceux d'ici

Ou pour ceux qui sont loin

Pour les gens d'aujourd'hui

Et pour ceux de demain.

Ecrire c'est vivre.

Geneviève Rousseau

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"L'heure du crime de Maurice Carême : assez courte mais les enfants adorent.

L'heure du crime

Minuit. Voici l'heure du crime.

Sortant d'une chambre voisine,

Un homme surgit dans le noir.

Il ôte ses souliers

S'approche de l'armoire

Sur la pointe des pieds

Et saisit un couteau

Dont l'acier luit, bien aiguisé.

Puis masquant ses yeux de fouine

Avec un pan de son manteau,

Il pénètre dans la cuisine

Et, d'un seul coup, comme un bourreau

Avant que ne crie la victime,

Ouvre le coeur d'un artichaut.

Maurice Carême

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  • 4 mois plus tard...

Bonjour!

Auriez vous des poèmes courts? Je débute en CE2... :ninja:

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J'aime celles-ci :

Automne

Dans le brouillard s'en vont un paysan cagneux

Et son bœuf lentement dans le brouillard d'automne

Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux

Et s'en allant là-bas le paysan chantonne

Une chanson d'amour et d'infidélité

Qui parle d'une bague et d'un cœur que l'on brise

Oh ! l'automne l'automne a fait mourir l'été

Dans le brouillard s'en vont deux silhouettes grises

Guillaume APOLLINAIRE (1880 - 1918)

____________________________

L'invitation au voyage

Mon enfant, ma sœur,

Songe à la douceur

D'aller là-bas vivre ensemble !

Aimer à loisir,

Aimer et mourir

Au pays qui te ressemble !

Les soleils mouillés

De ces ciels brouillés

Pour mon esprit ont les charmes

Si mystérieux

De tes traîtres yeux,

Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté.

Charles Baudelaire (Les Fleurs du mal)

________________________

Automne en forêt

Un écureuil sur la bruyère

Se lave avec de la lumière

Une feuille morte descend

Doucement portée par le vent

Et le vent balance la feuille

Juste au-dessus de l'écureuil

Le vent attend pour la poser

Légèrement sur la bruyère

Que l'écureuil soit remonté

Sur le chêne de la clairière

Où il aime se balancer

Comme une feuille de lumière.

Maurice Carême (1899-1978)

_______________________

La biche brame au clair de lune

La biche brame au clair de lune

Et pleure à se fondre les yeux :

Son petit faon délicieux

A disparu dans la nuit brune.

Pour raconter son infortune

A la forêt de ses aïeux,

La biche brame au clair de lune

Et pleure à se fondre les yeux.

Mais aucune réponse, aucune,

A ses longs appels anxieux !

Et, le cou tendu vers les cieux,

Folle d'amour et de rancune,

La biche brame au clair de lune.

Maurice Rollinat

_________________________

Il a neigé

Il a neigé dans l'aube rose

Si doucement neigé ,

Que le chaton noir croit rêver.

C'est à peine s'il ose

Marcher.

Il a neigé dans l'aube rose ,

Si doucement neigé ,

Que les choses

Semblent avoir changé.

Et le chaton noir n'ose

S'aventurer dans le verger ,

Se sentant soudain étranger

A cette blancheur où se posent ,

Comme pour le narguer

Des moineaux effrontés.

Maurice Carême (1899-1978)

__________________

Les larmes du crocodile

Si vous passez au bord du Nil

Où le délicat crocodile

Croque en pleurant la tendre Odile,

Emportez un mouchoir de fil.

Essuyez les pleurs du reptile

Perlant aux pointes de ses cils,

Et consolez le crocodile :

C'est un animal très civil.

Sur les bords du Nil en exil,

Pourquoi ce saurien pleure-t-il ?

C'est qu'il a les larmes faciles

Le crocodile qui croque Odile.

Jacques Charpentreau

_______________________

L’oreiller d’une petite fille

Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,

Plein de plume choisie, et blanc! et fait pour moi !

Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,

Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi !

Beaucoup, beaucoup d’enfants pauvres et nus, sans mère,

Sans maison, n’ont jamais d’oreiller pour dormir;

Ils ont toujours sommeil. O destinée amère !

Maman! douce maman! cela me fait gémir.

Marceline Desbordes-Valmore (1786–†1859)

______________

Pour apprendre aux enfants l’usage des gros mots

Prenez un gros mot : éléphant

et découpez-le en rondelles

regardez ce qu’il y a dedans.

Il y a l’aile, il y a le faon

et le total c’est l’aile et faon.

Mais direz-vous c’est étonnant

les éléphants ont-ils des faons ?

Non les éléphants n’ont pas d’ailes

puisqu’ils voyagent en avion

et ils n’ont pas non plus de faons.

Mais ils ont des petits éléphanteaux.

Ils ne vont jamais à l’école

mais ils vont parfois au zoo...

C. Guillot

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Un poil plus long mais tout à fait accesibles en CEII il y a aussi :

Les roses de Saadi

J'ai voulu ce matin te rapporter des roses ;

Mais j'en avais tant pris dans mes ceintures closes

Que les nœuds trop serrés n'ont pu les contenir.

Les nœuds ont éclaté. Les roses envolées

Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées.

Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir ;

La vague en a paru rouge et comme enflammée.

Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée...

Respires-en sur moi l'odorant souvenir.

Marceline Desbordes-Valmore

________________

Le chat

Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ;

Retiens les griffes de ta patte,

Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux,

Mêlés de métal et d'agate.

Lorsque mes doigts caressent à loisir

Ta tête et ton dos élastique,

Et que ma main s'enivre du plaisir

De palper ton corps électrique,

Je vois ma femme en esprit. Son regard,

Comme le tien, aimable bête,

Profond et froid, coupe et fend comme un dard,

Et, des pieds jusques à la tête,

Un air subtil, un dangereux parfum,

Nagent autour de son corps brun.

Charles Baudelaire

_________________

Bleu et blanc

Un petit chat bleu

Semé de pois blancs

Vit un gros rat blanc

Semé de pois bleus.

Leurs mignonnes queues

Différaient de peu.

Oui, mais seulement

Le nez du chat bleu

Etait tout tout blanc,

Le nez du rat blanc

Etait tout tout bleu.

Leurs joues et leurs yeux

Différaient de peu.

Oui, mais seulement

Un cil du chat bleu

Etait tout tout blanc,

Un cil du rat blanc

Etait tout tout bleu.

A cause de ce peu,

De ce petit peu

De blanc et de bleu,

Ils continuèrent

A se faire la guerre.

Maurice CAREME

___________________

Le Pélican

Le Capitaine Jonathan,

Etant âgé de dix-huit ans

Capture un jour un pélican

Dans une île d'Extrême-orient,

Le pélican de Jonathan

Au matin, pond un oeuf tout blanc

Et il en sort un pélican

Lui ressemblant étonnamment.

Et ce deuxième pélican

Pond, à son tour, un oeuf tout blanc

D'où sort, inévitablement

Un autre, qui en fait autant.

Cela peut durer pendant très longtemps

Si l'on ne fait pas d'omelette avant.

Robert Desnos

____________________

L’écureuil peu soigneux

Un écureuil prit pour peindre

Sa jolie queue panachée

Puis, il lui fallut s’astreindre,

Bien sûr, à la nettoyer.

Je ferai cela plus tard

Dit l’animal peu soigneux

Et il fila sans retard

Prendre part à d’autres jeux.

La peinture ayant durci

Dans les poils resta collée

L’écureuil vécut, contrit,

Avec la queue bariolée.

Moralité

Ne remets pas à plus tard

Ce qu’il faut faire au présent

Mieux vaut agir sans retard

Que risquer d’être perdant.

Yvon Danet (Fabulines)

______________

Le blaireau sans gêne

Lui offrait-on quelque gâteau ?

C’est simple il en réclamait deux.

Devant un cadeau, ce blaireau

Faisait la moue, remerciait peu.

Partout il se sentait à l’aise

Se glissant à la meilleure place.

On le vit devenir obèse

Mais toujours faisant la grimace.

Un jour chez la Dame Belette

Il dit un gros mot incongru ;

Alors sa renommée fut faite :

Désormais nul ne le reçut.

Moralité

Soyez polis, soyez courtois

Dites bonjour, dites merci

On vous recevra avec joie,

Et vous aurez beaucoup d’amis

Yvon Danet (Fabulines)

_______________

La moufette imprévoyante

« Dès demain je ferai cueillette

De ce qu’il me faut pour l’hiver ».

Ainsi parlait une moufette

Au reste de ses congénères.

L’été passa, l’automne vint

Elle repoussait à plus tard

Et quand il gela, un matin,

Toujours vide était son placard !

Elle quémanda, payant cher

Ce qu’elle aurait pu amasser

Et pour pouvoir fair’ bonne chère

Elle s’endetta dix années.

Moralité

Jamais on ne travaille en vain ;

D’incidents nul n’est à l’abri

Et nul n’aura à faire demain

Ce qu’il a su faire aujourd’hui.

Yvon Danet (Fabulines)

_________

L’éléphant raciste

Un jour un éléphant d’Asie

Rencontra un autre éléphant

De grandes oreilles muni.

Il s’en moqua fort méchamment.

Quelque temps après il partit

En Afrique et vit sur le champ

Que ce que lui avait petit

Chez tous les autres était fort grand.

Là-bas, les éléphants sont sages :

Aucun ne lui fit remarquer

Qu’il était le seul des parages

Avec des oreilles tronquées.

Moralité

Races et gens sont dissemblables

Mais tous ont le droit au respect !

Si le mépris est exécrable

Pratiquons amour et bonté.

Yvon Danet (Fabulines)

__________

Les hiboux

Ce sont les mères des hiboux

Qui désiraient chercher les poux

De leurs enfants, leurs petits choux,

En les tenant sur les genoux.

Leurs yeux d'or valent des bijoux

Leur bec est dur comme cailloux,

Ils sont doux comme des joujoux,

Mais aux hiboux point de genoux !

Votre histoire se passait où ?

Chez les Zoulous ? Les Andalous ?

Ou dans la cabane bambou ?

A Moscou ? Ou à Tombouctou ?

En Anjou ou dans le Poitou ?

Au Pérou ou chez les Mandchous ?

Hou ! Hou !

Pas du tout, c'était chez les fous.

Robert Desnos

_____________

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Un poil plus long mais tout à fait accesibles en CEII il y a aussi :

Les roses de Saadi

J'ai voulu ce matin te rapporter des roses ;

Mais j'en avais tant pris dans mes ceintures closes

Que les nœuds trop serrés n'ont pu les contenir.

Les nœuds ont éclaté. Les roses envolées

Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées.

Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir ;

La vague en a paru rouge et comme enflammée.

Ce soir, ma robe encore en est tout embaumée...

Respires-en sur moi l'odorant souvenir.

Marceline Desbordes-Valmore

________________

Le chat

Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ;

Retiens les griffes de ta patte,

Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux,

Mêlés de métal et d'agate.

Lorsque mes doigts caressent à loisir

Ta tête et ton dos élastique,

Et que ma main s'enivre du plaisir

De palper ton corps électrique,

Je vois ma femme en esprit. Son regard,

Comme le tien, aimable bête,

Profond et froid, coupe et fend comme un dard,

Et, des pieds jusques à la tête,

Un air subtil, un dangereux parfum,

Nagent autour de son corps brun.

Charles Baudelaire

_________________

Bleu et blanc

Un petit chat bleu

Semé de pois blancs

Vit un gros rat blanc

Semé de pois bleus.

Leurs mignonnes queues

Différaient de peu.

Oui, mais seulement

Le nez du chat bleu

Etait tout tout blanc,

Le nez du rat blanc

Etait tout tout bleu.

Leurs joues et leurs yeux

Différaient de peu.

Oui, mais seulement

Un cil du chat bleu

Etait tout tout blanc,

Un cil du rat blanc

Etait tout tout bleu.

A cause de ce peu,

De ce petit peu

De blanc et de bleu,

Ils continuèrent

A se faire la guerre.

Maurice CAREME

___________________

Le Pélican

Le Capitaine Jonathan,

Etant âgé de dix-huit ans

Capture un jour un pélican

Dans une île d'Extrême-orient,

Le pélican de Jonathan

Au matin, pond un oeuf tout blanc

Et il en sort un pélican

Lui ressemblant étonnamment.

Et ce deuxième pélican

Pond, à son tour, un oeuf tout blanc

D'où sort, inévitablement

Un autre, qui en fait autant.

Cela peut durer pendant très longtemps

Si l'on ne fait pas d'omelette avant.

Robert Desnos

____________________

L'heure du crime

Minuit. Voici l'heure du crime.

Sortant d'une chambre voisine,

Un homme surgit dans le noir.

Il ôte ses souliers

S'approche de l'armoire

Sur la pointe des pieds

Et saisit un couteau

Dont l'acier luit, bien aiguisé.

Puis masquant ses yeux de fouine

Avec un pan de son manteau,

Il pénètre dans la cuisine

Et, d'un seul coup, comme un bourreau

Avant que ne crie la victime,

Ouvre le coeur d'un artichaut.

Maurice Carême (1899-1978)

_____________

L’écureuil peu soigneux

Un écureuil prit pour peindre

Sa jolie queue panachée

Puis, il lui fallut s’astreindre,

Bien sûr, à la nettoyer.

Je ferai cela plus tard

Dit l’animal peu soigneux

Et il fila sans retard

Prendre part à d’autres jeux.

La peinture ayant durci

Dans les poils resta collée

L’écureuil vécut, contrit,

Avec la queue bariolée.

Moralité

Ne remets pas à plus tard

Ce qu’il faut faire au présent

Mieux vaut agir sans retard

Que risquer d’être perdant.

Yvon Danet (Fabulines)

______________

Le blaireau sans gêne

Lui offrait-on quelque gâteau ?

C’est simple il en réclamait deux.

Devant un cadeau, ce blaireau

Faisait la moue, remerciait peu.

Partout il se sentait à l’aise

Se glissant à la meilleure place.

On le vit devenir obèse

Mais toujours faisant la grimace.

Un jour chez la Dame Belette

Il dit un gros mot incongru ;

Alors sa renommée fut faite :

Désormais nul ne le reçut.

Moralité

Soyez polis, soyez courtois

Dites bonjour, dites merci

On vous recevra avec joie,

Et vous aurez beaucoup d’amis

Yvon Danet (Fabulines)

_______________

La moufette imprévoyante

« Dès demain je ferai cueillette

De ce qu’il me faut pour l’hiver ».

Ainsi parlait une moufette

Au reste de ses congénères.

L’été passa, l’automne vint

Elle repoussait à plus tard

Et quand il gela, un matin,

Toujours vide était son placard !

Elle quémanda, payant cher

Ce qu’elle aurait pu amasser

Et pour pouvoir fair’ bonne chère

Elle s’endetta dix années.

Moralité

Jamais on ne travaille en vain ;

D’incidents nul n’est à l’abri

Et nul n’aura à faire demain

Ce qu’il a su faire aujourd’hui.

Yvon Danet (Fabulines)

_________

L’éléphant raciste

Un jour un éléphant d’Asie

Rencontra un autre éléphant

De grandes oreilles muni.

Il s’en moqua fort méchamment.

Quelque temps après il partit

En Afrique et vit sur le champ

Que ce que lui avait petit

Chez tous les autres était fort grand.

Là-bas, les éléphants sont sages :

Aucun ne lui fit remarquer

Qu’il était le seul des parages

Avec des oreilles tronquées.

Moralité

Races et gens sont dissemblables

Mais tous ont le droit au respect !

Si le mépris est exécrable

Pratiquons amour et bonté.

Yvon Danet (Fabulines)

__________

Les hiboux

Ce sont les mères des hiboux

Qui désiraient chercher les poux

De leurs enfants, leurs petits choux,

En les tenant sur les genoux.

Leurs yeux d'or valent des bijoux

Leur bec est dur comme cailloux,

Ils sont doux comme des joujoux,

Mais aux hiboux point de genoux !

Votre histoire se passait où ?

Chez les Zoulous ? Les Andalous ?

Ou dans la cabane bambou ?

A Moscou ? Ou à Tombouctou ?

En Anjou ou dans le Poitou ?

Au Pérou ou chez les Mandchous ?

Hou ! Hou !

Pas du tout, c'était chez les fous.

Robert Desnos

_____________

Merci pour toutes ces belles poésies! :)

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De rien, à part les quelques "trésors" de mon enfance, je les ai presques toutes trouvées grâce à des Edpiens ! ;)

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Ce dernier poème est super chouette! Je l'utiliserai peut-être un peu plus tard, je prendrai le soin de bien le préparer!

(mais personnellement, j'adore la poésie, et celles que vous mettez sont vraiment sympas)

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