DA- Posted May 25, 2004 Posted May 25, 2004 Je vous transmets donc questions ... - Si vous avez d'autres questions concernant ce sujet, pourquoi ne pas les mettre à la suite des miennes ? - Pour les réponses, vous m'envoyer un mail à l'adresse suivante Michel.Deborah@wanadoo.fr et je fais une synthèse suite à vos réponses ! 1) Suffit-il d’être acteur, chercheur pour apprendre et comprendre ? 2) L’enfant qui écoute une histoire, l’adulte qui assiste à une conférence ou à un cours magistral sont-ils nécessairement passifs ? Si non, justifiez. 3) L’enfant peut-il s’approprier des connaissances tout seul ? L'apprentissage n'a-t-il lieu qu'à l'Ecole ? 4) Suffit-il d’agir, de faire, de manipuler, de voir, de percevoir pour savoir, comprendre, apprendre ? 5) Est-ce important, pour tout apprentissage, de partir des représentations des élèves ? 6) Les apprentissages se nourrissent-il de ruptures ? 7) Faut-il toujours adapter les savoirs aux possibilités de compréhension des enfants ? 8) "Rien n'est donné, tout est construit". G. Bachelard. Commentez les 9) L'élève au centre des apprentissages. Quels aspects cela peut-il prendre ? 10) Que peut-on entendre par continuité des apprentissages ? 11) L’intérêt ou le désir est-il une condition suffisante pour la réussite scolaire ?
cornflex Posted June 27, 2004 Posted June 27, 2004 je viens de découvrir cette fiche moi. y a 2 points qui me posent problème..enfin me font me questionner plus que les autres. la question "l'enfant peut il s'approprier des connaissances tout seul"...bon on voit bien qu'apparemment on veut nous pousser à répondre non. n'empêche, ce qu'on apprend par l'expérience (et donc tout seul le cas échéant), c'est pas considéré comme connaissance ?? et la question "les apprentissages se nourissent ils de rupture ?", là j'avoue que je comprends que dalle. rupture de quoi ? par rapport à quoi ? en quel sens rupture ? et l'exemple des activités décrochées >>> c'est quoi les activités décrochées ??
Délia Posted June 30, 2004 Posted June 30, 2004 les ruptures se font par les situations-problème, qui remettent en cause des connaissances qui ne suffisent plus, l'erreur permet d'avancer, on rebondit sur les obstacles pour les activité décrochées c'est par exemple tout ce qui est grammaire et qui se fait en parallèle des activités d'écriture ou lecture par exemple
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