gandalf Posté(e) 3 avril 2015 Partager Posté(e) 3 avril 2015 Mon Quotidien Violences sexuelles Cliquez ici Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
33milou Posté(e) 3 avril 2015 Partager Posté(e) 3 avril 2015 merci de l'info. malheureusement ça peut servir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
than17 Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 Merci aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
HappyPomme Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 Vous savez comment vous allez l'aborder en classe ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Alex'Sandra Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 merci pour l'info ! document téléchargé ! PommeD'Api, pourquoi aborder ce sujet en classe si les élèves n'en parlent pas ? personnellement, ça ne me viendrait pas à l'idée... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
emse85 Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 merci de l'info. malheureusement ça peut servir +1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
HappyPomme Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 merci pour l'info ! document téléchargé ! PommeD'Api, pourquoi aborder ce sujet en classe si les élèves n'en parlent pas ? personnellement, ça ne me viendrait pas à l'idée... Alors, il y a plusieurs choses. La classe (CE2) sur laquelle je suis actuellement est abonnée au Petit Quotidien. Je ne me vois pas ne pas donner, comme par hasard, cet exemplaire là. Je ne vais pas non plus le leur donner sans aucune explication. Cette semaine, par deux fois, j'ai entendu de la bouche des élèves le mot "viol" (travail sur le vocabulaire du policier pour projet d'écriture, puis travail en vocabulaire sur "donne le nom qui correspond à l'adjectif" où entre autres il y avait l'adjectif violent). Et puis surtout, c'est certes un sujet délicat et compliqué à aborder mais TRES important. Mettre des mots sur certains comportements, c'est aider à la prise de parole si jamais ça nous arrive. Si on n'a pas les mots, on peut difficilement parler parce qu'on ne définit par forcément bien les événements (et l'agresseur en profite largement). Si on ne nous dit pas que si ça nous arrive, on est en aucun cas coupable et qu'il n'y a aucune honte à avoir, il est fort à parier que la culpabilité et la honte seront immenses... et empêcheront la prise de parole. Ne pas informer, c'est continuer à protéger les agresseurs. On n'empêchera pas les violences, mais on peut aider à parler et à limiter la violence du traumatisme, à limiter aussi, peut-être, à la continuation des violences si la personne victime est toujours exposée à son agresseur. En tout état de cause, c'est un sujet qui me tient particulièrement à cœur... Informer. Prévenir. Protéger. Accompagner. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
professeurdesécoles Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 Merci pour l'info Gandalf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
HappyPomme Posté(e) 4 avril 2015 Partager Posté(e) 4 avril 2015 J'ajoute : D'après une enquête parue il y a un mois environ, 80% des victimes de violences sexuelles le sont avant 18 ans. Pour une grande partie, c'est même avant 12 ans. Donc nos élèves sont très concernés, malheureusement, par ce sujet. A lire ici une synthèse de cette enquête : http://memoiretraumatique.org/assets/files/doc_violences_sex/Synthese-Rapport2015-AMTV-Web.pdf Voir aussi le site Mémoire traumatique et victimologie, très riche d'informations : http://memoiretraumatique.org/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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