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Que mettez vous dans l introduction en oral de maths?


Kioceli

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Bonjour,

Pour ma part je pense mettre les références aux instuctions officielles, le cycle, la place de la séquence dans la programmation annuelle, éventuellement ce que l'on a fait dans le cycle d'avant, le nombre de séance. Je pensais aussi expliquer les supports que j'utiliserais et une petit phrase du genre: J'expliciterais dans chaque séance les prérequis, traces écrites et démarches utilisées.

Mais ça dépend aussi de ton sujet, si c'est un sujet que tu maîtrise bien (pour moi il y en a trop peu) tu peux mettre quelques références de didactique ou expliquer les concepts mis en jeu.

Qu'en pensez-vous ?

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Ok je comptais faire comme ça aussi, mais je me demandais si vous mettiez les difficultés que l on peut rencontrer au cours des séances?

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En ce qui concerne les difficultés tu peux les énoncer au fur et à mesure ou à la fin, il n'y a pas de préférence, mais il est plus pertinent de le faire au fur et à mesure pour ne pas être trop redondant et ennuyer le jury, mais quoiqu'il arrive n'oubliez pas de réfléchir au préalable aux solutions des difficultés que vous énoncez. Il serait dommage de tendre le bâton pour se faire battre, à moins que cela soit calculé dans l'objectif que le jury le reprennent lors de l'entretien.

* les membres du jury reprennent

oups!

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Je pense qu'il ne faut pas oublier de préciser ce que signifie la compétence sur laquelle on vous demande de travailler.

Quelques-unes ne sont pas très ambiguës, mais dans la plupart des cas l'énoncé des textes officiels ne dit pas clairement ce qu'on veut que les enfants sachent (ou sachent faire de nouveau) à la fin de la séquence.

Par exemple si vous travaillez sur "- Utiliser un tableau ou la “règle de trois” dans des situations très simples de proportionnalité."

il faudra commencer par préciser à l'aide de quelques exemples ce que vous considérez comme un problème très simple, et quelles types de solutions vous espérez que les élèves sauront mettre en œuvre.

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En ce qui concerne les difficultés tu peux les énoncer au fur et à mesure ou à la fin, il n'y a pas de préférence, mais il est plus pertinent de le faire au fur et à mesure pour ne pas être trop redondant et ennuyer le jury, mais quoiqu'il arrive n'oubliez pas de réfléchir au préalable aux solutions des difficultés que vous énoncez. Il serait dommage de tendre le bâton pour se faire battre, à moins que cela soit calculé dans l'objectif que le jury le reprennent lors de l'entretien.

* les membres du jury reprennent

oups!

C'est effectivement une question que je me posais ! Vaut-il mieux énoncer les difficultés des élèves ou attendre que le jury les demande? Parfois les sujets précisent les éléments qui seront abordés lors de l'entretien mais je ne sais pas si c'est stratégique!

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Ce qui est possible aussi, c'est d'énumérer quelques difficultés et d'en garder d'autres pour l'entretien, car il arrive souvent que certains membres du jury rebondissent lors de l'entretien sur une difficulté citée : "Vous avez évoqué telle difficulté dans la séance n°..., pensez-vous qu'il puisse en avoir d'autres avec du recul ?", un truc dans le genre afin de juger de votre capacité à vous remettre en question. De toute manière, on peut jouer sur les questions que l'on peut aborder lors des entretiens, mais il faut le faire avec finesse car les membres du jury ne sont pas bêtes et peuvent préférer de pas s'en occuper car ils savent très bien que certains candidats n'attendent que ça.

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Personnellement, je mets les prérequis dans mon introuction et non au cours de l'explicitation des séances. Après chacun sa sauce, l'important c'est qu'elle prenne ^^.

Courage!

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Pour ce qui est des séquences que j'ai préparé, j'ai débuté mon introduction en rappelant la compétence visée ainsi que le cycle. J'ai précisé les pré-requis et j'ai situé la séquences dans une programmation plus large. Je me suis également attachée à mettre en avant les enjeux d'une telle séquence, en quelque sorte j'ai justifié le caractère fondamental des apprentissages que visent la séquence.

Dans le cas de sujets peu explicites, j'ai justifié mes choix d'orientation dans la construction de ma séquence. C'était le cas par exemple pour des compétences qui selon moi ne peuvent se construire au cours d'une seule et unique séquence mais nécessitent d'être approfondies sur une progression tout au long de l'année (je vous cite un exemple: Reconnaître et Produire les décompositions additives des nombres inférieurs à 20 au CP.).

Enfin dans la présentation de chaque séance, je mets en avant les objectifs visés, la tâche demandée aux élèves en citant la consigne de façon précise (le travail sur les consignes est essentiel il me semble), les modalités de travail, les difficultés que peuvent rencontrer les élèves et les procédés de différenciation que je peux leur apporter et enfin la trace écrite de la séance.

Il me semble que je n'oublie rien. Bonne fin de préparation à tous.

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Par ailleurs je me demandais si vous comptiez faire une évaluation diagnostique en début de séquence pour l'oral ?

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Pour l'évaluation diagnostique, oui j'en fait toujours une -ma première séance-.

Il est vrai que ce qui m'embête ce sont les sujets dans lesquels ce qui doit être dans l'exposé puis dans l'entretien est séparé. Ça me semble moyennement pertinent pour présenter une séquence béton -exemple : les difficultés ou la procédure d'évaluation en entretien-. Du coup, vous en parlez également un peu dans votre exposé ou pas du tout ( à part en conclusion pour dire qu'on peut revenir dessus...).

Pauline

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Il n'y a aucune raison de s'interdire de parler dans l'exposé des aspects sur lesquels peuvent porter les questions du jury.

Par exemple si l'évaluation ou la différenciation sont mentionnées dans la rubrique "les questions du jury peuvent porter notamment sur..." c'est seulement une invite à vous pencher sur la question (si vous ne l'abordez pas de vous même, le jury le fera probablement) pas une interdiction d'anticiper sur les questions.

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