nonau Posté(e) 13 janvier 2018 Partager Posté(e) 13 janvier 2018 Je croyais que la "solidarité" était une valeur noble enseignée dans nos écoles et faisant partie des valeurs de la République... On se croirait revenu en des temps très sombres... Il faut toujours trouvé un "bouc émissaire" quand le business va mal... https://www.bastamag.net/Col-de-l-Echelle-une-quarantaine-de-benevoles-convoques-pour-delit-de "Quand ce ne sont pas les journalistes qui sont visés, les bénévoles locaux, engagés notamment dans les maraudes de soutien, sont les autres victimes de ces contrôles : une quarantaine de personnes aurait ainsi déjà été convoquée au titre de l’article L. 622-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, qui sanctionne l’aide à l’entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d’un étranger en France – ce que l’on appelle plus communément le « délit de solidarité ». « Les bénévoles qui aident ne sont pas des délinquants, ce sont des héros » défend Eric Piolle. Une situation qui ne fait que confirmer le tour de vis anti-migratoire des politiques françaises en la matière, condamnées ce week-end pour « complicité de crime contre l’humanité » par le Tribunal permanent des peuples. " Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Mirobolande Posté(e) 13 janvier 2018 Partager Posté(e) 13 janvier 2018 Je me demande si ça tiendrait devant la cour européenne des droits de l'homme, cette accusation. Je vois quelqu'un qui a soif, je lui donne à boire, je vois quelqu'un qui a faim, je lui donne à manger et je ne demande pas ses papiers d'abord. Ou alors, soyons moins hypocrites, si on n'en veut pas, pendons-les haut et court, ouvrons un camp de concentration et qu'on n'en parle plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
nonau Posté(e) 13 janvier 2018 Auteur Partager Posté(e) 13 janvier 2018 il y a 14 minutes, Mirobolande a dit : Je me demande si ça tiendrait devant la cour européenne des droits de l'homme, cette accusation. Je vois quelqu'un qui a soif, je lui donne à boire, je vois quelqu'un qui a faim, je lui donne à manger et je ne demande pas ses papiers d'abord. Ou alors, soyons moins hypocrites, si on n'en veut pas, pendons-les haut et court, ouvrons un camp de concentration et qu'on n'en parle plus. S'ils le pouvaient... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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