letapisrevant Posté(e) 28 novembre 2006 Posté(e) 28 novembre 2006 Bonjour, Certaines questions du livre du CNED en OP me laissent perplexes, je ne sais pas trop quoi répondre... Ou alors, plus fâcheux encore, je ne comprends pas la question !!! Acceptez vous un petit entrainement avant l'heure ?? Parce que plusieurs cerveaux valent mieux qu'un ! - Quelles sont les valeurs auxquelles un maître doit se référer ? - Quelle attitude possible face aux éventuels conflits identitaires des élèves (communautarisme) ? -En quoi la polyvalence aide à enseigner dans une discipline particulière ? - La polyvalence des enseignants du secondaire est-elle possible ? Donnez des exemples - Il arrive qu'un enseignant garde le même groupe d'élève 2ans ou plus (par exemple assure le CP puis le CE1 avec les mêmes élèves). Que pouvez vous dire de cette pratique ? -Pourquoi, alors que ce métier est dit "impossible", des personnes le choisissent-ils ? ( ) (Les vacances ??? Ils sont fous, masochistes ?? :P ) Voilà pour l'instant, mais je pense qu'au fur et a mesure de l'avancée dans mon cours, il y en aura d'autres !! Merci d'avance pour votre aide !
Rélinette Posté(e) 30 novembre 2006 Posté(e) 30 novembre 2006 Coucou ! Je tente le coup... - Quelles sont les valeurs auxquelles un maître doit se référer ? Les valeurs de la République (à l'école républicaine, les enfants sont tous égaux, et puis... hmmm... je ne sais plus, il faudrait que je révise - ouh, la honte ! ) - Quelle attitude possible face aux éventuels conflits identitaires des élèves (communautarisme) ? Je dirais... discussions lors des temps hebdos prévus pour ça ; représentations en arts visuels pour s'appuyer dessus et en discuter ; je ne sais pas, faire des activités qui puissent valoriser ces enfants et permettre aux autres de s'intéresser à eux, de les ouvrir à un autre pays, une autre culture... par exemple, demander aux enfants en question de nous expliquer une coutume de leur pays, en discuter, mettre en reflet une de nos coutumes, et ainsi ouvrir l'esprit de tous les enfants au fait que tout le monde est différent et que la différence fait la richesse des relations. -En quoi la polyvalence aide à enseigner dans une discipline particulière ? La polyvalence aide à enseigner dans une discipline particulière, parce qu'ayant des connaissances dans un certain nombre de disciplines, on peut faire des "ponts" entre les disciplines ; les disciplines "s'alimentent" entre elles, ce qui permet : à l'enseignant d'avoir une vision globale des choses et d'amener les choses de façon plus claire pour les élèves ; aux élèves de comprendre que toutes les disciplines ont des liens entre elles, et mieux comprendre le sens de l'enseignement de ces disciplines... - La polyvalence des enseignants du secondaire est-elle possible ? Donnez des exemples Je dirais qu'elle est possible puisqu'à une époque, on manquait de professeurs du secondaire et on avait alors fait appel à des instituteurs pour enseigner au collège, et ceux-ci donnaient des cours de façon générale dans 2 matières différentes (si je ne m'abuse, ils s'appelaient les PEGC). Il y avait donc tout à fait possibilité de le faire. Cependant, c'était une solution par défaut, et il semble que la politique actuelle soit que les professeurs du secondaire soient spécialisés en leur matière. Je pense que le PE doit être polyvalent pour pouvoir donner des bases aux élèves, et parce qu'il est plus facile pour les enfants d'avoir une seule personne référente ; mais au secondaire, les élèves travaillent à partir des bases déjà acquises en vue de se spécialiser ensuite, dans le supérieur, et je pense que c'est pour ça qu'il est préférable actuellement de rester sur la spécialisation des professeurs de collèges et lycées... (euuuh ?? je suis complètement à côté de la plaque, là, ouuuu ??? ) - Il arrive qu'un enseignant garde le même groupe d'élève 2ans ou plus (par exemple assure le CP puis le CE1 avec les mêmes élèves). Que pouvez vous dire de cette pratique ? Je pense que, dans l'absolu, cela peut être une bonne chose sur plusieurs plans : - pour les enfants, il peut être sécurisant de garder la même personne référente deux années de suite ; - pour l'enseignant, cela lui permet de suivre l'évolution de ses élèves Cependant, je ne suis pas sûre de la pertinence de cette pratique "dans la pratique" justement : - l'enseignant ne doit pas tomber dans le travers "d'aimer" ses élèves : il n'est pas là pour les aimer, il est là pour les guider dans leurs apprentissages. - les enfants ne doivent pas non plus "s'attacher" à leur enseignant, parce qu'ils ne doivent pas être guidés par l'affectif dans leur travail : ils travaillent pour eux et non pour leur enseignant ; - par ailleurs, garder le même enseignant deux ans de suite peut amener les enfants à prendre des réflexes, des habitudes tellement ancrées qu'ils auront par la suite du mal à s'en défaire quand ils changeront d'enseignant, - de même, l'enseignant peut prendre des habitudes avec des élèves qu'il suit trop longtemps, et avoir du mal ensuite à prendre des repères sur un autre goupe d'élèves; - enfin, et ceci est particulièrement vrai pour les "grandes" classes (cycle 3 particulièrement), cela ne les aidera pas à entrer au collège : s'ils ont eu l'habitude d'avoir le même enseignant toute la journée, toute la semaine, et ce pendant deux ans ou plus, ils risquent d'être sacrément déstabilisés le jour où, entrés au collège, ils auront à changer d'enseignant presque toutes les heures... à mon sens, le CM1 et CM2 devraient justement être rythmés par des séances en décloisonnement pour les familiariser en douceur à ce type de changements fréquents d'enseignant... -Pourquoi, alors que ce métier est dit "impossible", des personnes le choisissent-ils ? ( ) (Les vacances ??? Ils sont fous, masochistes ?? :P ) J'ignorais que ce métier était dit "impossible" ; il me semble que si l'on s'intéresse soi-même aux disciplines enseignées, au développement des enfants, si on a profondément envie de transmettre le savoir, d'avoir des relations très enrichissantes avec les élèves, si on a envie de construire des choses avec les enfants... alors ce métier n'a rien d'impossible, et au contraire, il peut devenir le plus beau métier du monde ! ... voiloù pour ma part... si j'ai écrit des âneries, n'hésitez pas !!!
nomade Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 - Il arrive qu'un enseignant garde le même groupe d'élève 2ans ou plus (par exemple assure le CP puis le CE1 avec les mêmes élèves). Que pouvez vous dire de cette pratique ?Je pense que, dans l'absolu, cela peut être une bonne chose sur plusieurs plans : - pour les enfants, il peut être sécurisant de garder la même personne référente deux années de suite ; - pour l'enseignant, cela lui permet de suivre l'évolution de ses élèves Cependant, je ne suis pas sûre de la pertinence de cette pratique "dans la pratique" justement : - l'enseignant ne doit pas tomber dans le travers "d'aimer" ses élèves : il n'est pas là pour les aimer, il est là pour les guider dans leurs apprentissages. - les enfants ne doivent pas non plus "s'attacher" à leur enseignant, parce qu'ils ne doivent pas être guidés par l'affectif dans leur travail : ils travaillent pour eux et non pour leur enseignant ; - par ailleurs, garder le même enseignant deux ans de suite peut amener les enfants à prendre des réflexes, des habitudes tellement ancrées qu'ils auront par la suite du mal à s'en défaire quand ils changeront d'enseignant, - de même, l'enseignant peut prendre des habitudes avec des élèves qu'il suit trop longtemps, et avoir du mal ensuite à prendre des repères sur un autre goupe d'élèves; - enfin, et ceci est particulièrement vrai pour les "grandes" classes (cycle 3 particulièrement), cela ne les aidera pas à entrer au collège : s'ils ont eu l'habitude d'avoir le même enseignant toute la journée, toute la semaine, et ce pendant deux ans ou plus, ils risquent d'être sacrément déstabilisés le jour où, entrés au collège, ils auront à changer d'enseignant presque toutes les heures... à mon sens, le CM1 et CM2 devraient justement être rythmés par des séances en décloisonnement pour les familiariser en douceur à ce type de changements fréquents d'enseignant... Je n'ai pas eu le temps de tout détailler, mais juste une remarque sur le fait de suivre une classe d'une année sur l'autre... Je n'arrive pas à trouver de document précis (s'il y en a un) sur le sujet (je vais chercher plus longuement) mais je crois que lorsque les enseignants font des voeux en fin d'année pour changer de niveau, ils peuvent demander à suivre leur classe, en général, c'est pédagogiquement reconnu : si le niveau demandé se libère, ils ont la priorité... Cela permet a priori d'assurer une continuité dans les projets entrepris, même si dans la plupart des cas c'est le travail d'équipe et les projets de cycle qui permettent d'assurer cette continuité... Je ne sais pas si ce que je raconte est très clair... Je reviens là-dessus si je trouve ce que je cherche !!!
nomade Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Cependant, je ne suis pas sûre de la pertinence de cette pratique "dans la pratique" justement :- l'enseignant ne doit pas tomber dans le travers "d'aimer" ses élèves : il n'est pas là pour les aimer, il est là pour les guider dans leurs apprentissages. - les enfants ne doivent pas non plus "s'attacher" à leur enseignant, parce qu'ils ne doivent pas être guidés par l'affectif dans leur travail : ils travaillent pour eux et non pour leur enseignant ; Pour l'aspect affectif, qui est indéniable, je sais que tu as raison, mais je ne sais pas si cela fait partie des réponses attendues dans la mesure où l'enseignant doit maintenir des rapports neutres avec ses élèves et que l'affectif ne doit pas influencer ses choix pédagogiques, non ?? Enfin, je n'ai encore jamais passé d'oral
nomade Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Quelles sont les valeurs auxquelles un maître doit se référer ? Parmi les valeurs que l’école (donc le maître) doit transmettre aux nouvelles générations figurent les valeurs de la République : la liberté, l’égalité et la fraternité. Il faut aussi faire référence à la laïcité, fondement de l'enseignement des valeurs car elle renvoie aux notions de respect, de dialogue et de tolérance, au coeur de l'école. Tous les élèves doivent apprendre à vivre ensemble.
letapisrevant Posté(e) 1 décembre 2006 Auteur Posté(e) 1 décembre 2006 Bon eh bien, déjà merci pour vos 1ères idées... Mais je ne comprends tjs pas la 2ème question concernant le communautarisme ?!
nomade Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Bon eh bien, déjà merci pour vos 1ères idées... Mais je ne comprends tjs pas la 2ème question concernant le communautarisme ?! Bah, elle est pas évidente cette question.... J'essaie de trouver des arguments, mais bon... C'est apparemment lié à la laïcité et au principe de neutralité.... Il faut que les valeurs de la laïcité soient présentes dans la vie de l'école de manière significative pour éviter les conflits en encourageant l'esprit critique, la tolérance, et le respect de la diversité religieuse. Il me semble qu'il y a une brochure éditée par l'EN là-dessus pour aider les profs à gérer les problèmes de ce genre... Il faut que je remette la main dessus... Ca doit être utile pour répondre à cette question tordue...
Rélinette Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Cependant, je ne suis pas sûre de la pertinence de cette pratique "dans la pratique" justement : - l'enseignant ne doit pas tomber dans le travers "d'aimer" ses élèves : il n'est pas là pour les aimer, il est là pour les guider dans leurs apprentissages. - les enfants ne doivent pas non plus "s'attacher" à leur enseignant, parce qu'ils ne doivent pas être guidés par l'affectif dans leur travail : ils travaillent pour eux et non pour leur enseignant ; Pour l'aspect affectif, qui est indéniable, je sais que tu as raison, mais je ne sais pas si cela fait partie des réponses attendues dans la mesure où l'enseignant doit maintenir des rapports neutres avec ses élèves et que l'affectif ne doit pas influencer ses choix pédagogiques, non ?? Enfin, je n'ai encore jamais passé d'oral ... hmmm... oui, c'est exactement ce que j'ai dit, non ? Ou bien je me suis mal exprimée ? Mais j'ai comme l'impression qu'on est d'accord : le maître "n'est pas là pour aimer ses élèves, il est là pour les guider dans leurs apprentissages.", en d'autres termes, il doit être neutre avec ses élèves, et en effet, l'affectif ne doit pas le guider dans ses choix pédagogiques. De toute façon c'est justement, le principe de neutralité est en accord avec la valeur d'égalité entre tous les élèves à respecter à l'école républicaine ; parce que si le maître instaure des rapports affectifs avec ses élèves, à un moment ou un autre, il aura un préféré, un qui l'agace plus, etc. et là, les enfants ne seront plus du tout égaux... En somme, j'ai bien l'impression qu'on est d'accord !
Rélinette Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Quelles sont les valeurs auxquelles un maître doit se référer ? Parmi les valeurs que l’école (donc le maître) doit transmettre aux nouvelles générations figurent les valeurs de la République : la liberté, l’égalité et la fraternité. Il faut aussi faire référence à la laïcité, fondement de l'enseignement des valeurs car elle renvoie aux notions de respect, de dialogue et de tolérance, au coeur de l'école. Tous les élèves doivent apprendre à vivre ensemble. Trop balèze, au niveau des valeurs de la République !! Je suis d'accord en tout point sur ces précisions ; en fait, là où résidait mon hésitation, c'est que je me demandais où entre l'obligation de scolarité ainsi que la gratuité de la scolarité : ce sont des piliers de l'école républicaine, mais pas vraiment des "valeurs"... si ? Faut vraiment que je me renseigne sur les valeurs de la République à l'école... (en fait, j'ai un peu de mal avec le terme de "valeur", ce me semble... :P )
Rélinette Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Bon eh bien, déjà merci pour vos 1ères idées... Mais je ne comprends tjs pas la 2ème question concernant le communautarisme ?! Bah, elle est pas évidente cette question.... J'essaie de trouver des arguments, mais bon... C'est apparemment lié à la laïcité et au principe de neutralité.... Il faut que les valeurs de la laïcité soient présentes dans la vie de l'école de manière significative pour éviter les conflits en encourageant l'esprit critique, la tolérance, et le respect de la diversité religieuse. Il me semble qu'il y a une brochure éditée par l'EN là-dessus pour aider les profs à gérer les problèmes de ce genre... Il faut que je remette la main dessus... Ca doit être utile pour répondre à cette question tordue... Là aussi je suis d'accord sur la laïcité, et je pense que, pour éviter le communautarisme, il faut "ouvrir les frontières", et c'est en ce sens que je parlais de discuter, de mettre des coutumes en reflet, etc. Enfin, si tu as d'autres précisions, Nomade, je suis intéressée aussi !
Rélinette Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 - La polyvalence des enseignants du secondaire est-elle possible ? Donnez des exemples Je dirais qu'elle est possible puisqu'à une époque, on manquait de professeurs du secondaire et on avait alors fait appel à des instituteurs pour enseigner au collège, et ceux-ci donnaient des cours de façon générale dans 2 matières différentes (si je ne m'abuse, ils s'appelaient les PEGC). Il y avait donc tout à fait possibilité de le faire. Cependant, c'était une solution par défaut, et il semble que la politique actuelle soit que les professeurs du secondaire soient spécialisés en leur matière. Je pense que le PE doit être polyvalent pour pouvoir donner des bases aux élèves, et parce qu'il est plus facile pour les enfants d'avoir une seule personne référente ; mais au secondaire, les élèves travaillent à partir des bases déjà acquises en vue de se spécialiser ensuite, dans le supérieur, et je pense que c'est pour ça qu'il est préférable actuellement de rester sur la spécialisation des professeurs de collèges et lycées... (euuuh ?? je suis complètement à côté de la plaque, là, ouuuu ??? ) Alors, je viens me contredire moi-même : j'écrivais hier que la politique actuelle veut que les profs du secondaire soient spécialisés en leur matière ; cependant, il semble que la politique actuelle veuille en fait que dans l'avenir, les profs du secondaire enseignent deux matières à la fois... Par ailleurs, dans d'autres pays, en Allemagne par exemple, les profs du secondaire enseignent justement deux matières à la fois... alors : pourquoi pas en France ?
nomade Posté(e) 2 décembre 2006 Posté(e) 2 décembre 2006 ... hmmm... oui, c'est exactement ce que j'ai dit, non ? Ou bien je me suis mal exprimée ? Mais j'ai comme l'impression qu'on est d'accord : le maître "n'est pas là pour aimer ses élèves, il est là pour les guider dans leurs apprentissages.", en d'autres termes, il doit être neutre avec ses élèves, et en effet, l'affectif ne doit pas le guider dans ses choix pédagogiques. De toute façon c'est justement, le principe de neutralité est en accord avec la valeur d'égalité entre tous les élèves à respecter à l'école républicaine ; parce que si le maître instaure des rapports affectifs avec ses élèves, à un moment ou un autre, il aura un préféré, un qui l'agace plus, etc. et là, les enfants ne seront plus du tout égaux... En somme, j'ai bien l'impression qu'on est d'accord ! Oui, oui, c'est bien ce que tu as dit... Je me suis sûrement mal exprimée moi aussi !!! En fait, ce que je voulais dire, c'est que ce n'est peut-être pas bien vu d'intégrer la dimension affective dans nos réponses face au jury en disant par exemple qu'il ne faudrait pas que l'enseignant en vienne à "aimer" ses élèves et vis versa.... Comme cela fait partie du rôle de l'enseignant de rester neutre, il va de soi que le côté affectif n'est pas en cause... Par conséquent, ça ne doit pas être un argument... Même s'il ne faut pas avoir peur de donner son point de vue et d'argumenter, je crois qu'il faut être prudent : le jury peut essayer de nous tester en cherchant la petite bête dans la mesure où nos réponses sont utilisées pour relancer le débat... Et à mon avis, l'aspect affectif est un terrain glissant, car on est humain, et c'est justement super difficile d'être neutre... Je ne veux pas dire non plus qu'il faut contourner leurs questions... Disons qu'il faut garder un certain recul, car nous ne sommes pas expérimentés, et ça ils le savent bien... Enfin, j'avance ici mon point de vue, qui n'est pas forcément le bon... Je vais poser la question à un directeur d'école que je connais sur le fait de suivre une classe. Ca me tracasse.... Je vous dirai ce qu'il m'a dit...
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