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Posté(e)

Coucou tout le monde,

Voilà : nous commençons les partie "grammaire" et "didactique" de l'épreuve de français du CRPE, et là, je suis désespérée, parce que je crois que je ne saisis pas du tout ce qu'on attend de nous...

Là, j'ai un sujet (dont je suis absolument incapable de vous donner les références : j'ai cherché sur le net, pas moyen de trouver : je sais simplement que c'est un sujet du groupement 1, mais je ne sais pas de quelle année), où j'ai un extrait de 20 000 lieues sous les mers, et une première question dida sur "quelles difficultés de compréhension présente ce texte pour les élèves ?"... et là, franchement, je n'ai aucune idée des critères sur lesquels il faut se baser : perso, les seules "difficultés" que je peux y voir, c'est éventuellement du vocabulaire, encore que... :

- le fait que le capitaine Nemo se batte contre des poulpes géants, donc difficulté à se représenter le poulpe géant ??? (mais il est tellement bien décrit, et en plus il y a une illustration, donc je ne vois pas en quoi ce serait une difficulté de compréhension...)

- difficulté sur le vocabulaire propre à l'équipage et à l'équipement du Nautilus ?? ... mais bon, franchement, ça n'est pas si compliqué que ça...

- difficulté à comprendre pourquoi les occupants du Nautilus se battent à coups de hache et de harpon et pas d'armes plus perfectionnées, vu que les élèves sont abreuvés de films violents et autres ???

... enfin, tout ce que je donne là, ça me semble vraiment être du vent...

Bien sûr, je suis consciente que ça vous est difficile de m'aider vu que vous n'avez pas le sujet, mais je ne sais pas... s'il y a des critères bien particuliers (et communs à n'importe quelle analyse péda en français) sur lesquels baser mon analyse, ça m'aiderait...

Merci aux bonnes âmes qui auront quelques idées pour m'aiguiller... :)

Posté(e)

Pas facile de répondre sans le texte en effet,

Vu que je n'ai rien trouvé de précis dans les bouquins, je te propose des idées sorties tout droit de ma matière grise (qui surchauffe pas mal ces temps-ci... et c'est pas fini)...

Je ne sais pas trop ce que ça vaut (tu tries, il doit y avoir des trucs à jeter !!), mais peut-être que ça t'aidera...

- Est-ce que l'extrait raconté fait référence à des événements qui se sont produits plus tôt dans l'oeuvre, et qui ne permettent pas aux élèves de saisir toutes les actions ?

Y a-t-il par exemple avant l'extrait un petit texte facilitateur (genre résumé en italique) permettant de se situer sans avoir lu le début de l'oeuvre : qui sont les personnages, pourquoi sont-ils dans cette situation, etc...? Si oui, cela facilite la compréhension des élèves, si non, ils vont devoir partir de "rien" pour entrer directement dans l'action, pas évident pour eux !

- La situation d'énonciation est-elle clairement définie ? Qui parle ? S'il s'agit du "je", est-ce que les élèves savent dans le contexte à qui correspond ce "je" ?

Est-ce que les personnages de l'extrait sont clairement identifiés ? Ou bien l'extrait met-il en scène de nombreux personnages nommés dont les élèves ne saisissent pas forcément les rôles dans l'histoire...

- La construction du récit : est-ce que les phrases sont conjuguées à des temps moins utilisés pour les élèves (passé simple), s'agit-il d'un style plus "ancien" (car oeuvre classique) ?

Les phrases sont-elles plutôt longues ou plutôt courtes ?

La densité de la page peut jouer : petits caractères avec paragraphes bien tassés ou plutôt édition pour la jeunesse plus aérée... (je suis pas très crédible là-dessus mais ça doit bien jouer, surtout pour les moins bons lecteurs !!)... :huh:

- Le vocabulaire, comme tu le disais : à quel registre de langue appartiennent ces mots ? Sont-ils toujours employés dans la langue courante ? Par tous ? Seulement par des adultes ?

- Est-ce que les élèves savent quel est le genre de l'oeuvre ? Y a-t-il des indices clairs sur le côté surnaturel de l'histoire, ou bien y a-t-il au contraire une certaine vraisemblance dans le texte qui déconcerte le lecteur ?

Je me base que sur des suppositions, car je ne me rappelle plus du style de Jules Verne, mais je crois que c'est pas évident pour des classes de primaire.

Il faudrait que j'aille voir ça de plus près... ;)

Bon courage !!!

Posté(e)

Salut,

C'est un sujet de Créteil, Versailles 2005.

Partie didactique

Les difficultés de compréhension

A Complexité du lexique

lexique très technique ou lexique biologique : harpon, ventous, tentacule etc

B Plus important sont les difficultés tenant au nombre important des personnages et à leurs désignationvariées. Les élèves peuvent en effet ne pas les identifier comme les m^mes et ajouter des personnages, ce qui nuit à la compréhension globale du texte?

Malgré le chapeau introducteur, il n'est pas facile de repérer les deux groupes de personnages présents dans le sous-marin et donc leurs relations : celui du capitaine Nemo et de son équipage (son second et ses marins, dont celui qui est tué par le poulpes), celui du narrateur, le professeur Aronax, qui raconte la scène et témoigne de son émotion (son domestique Conseil et le harponneur canadien Ned Land).

Chaque personnage est représenté par plusieurs désignateurs ou substituts lexicaux :

le marin qui meurt etc

Enfin la comoplexité des actions peut rende difficile leur mémorisation et engager à les faire repérer dans leur succession chronologique par les élèves.

Analyse de la démarche proposée

Intérêt culturel

Aides à la lecture

difficultés relatives à l'écriture

etc

Nomade t'a précisé les bonnes démarches pour ananlyser un dossier didactique.

Qu'est ce que tu as eu en grammaire?

J'espère que j'ai pu t'aider.

Posté(e)

Merci infiniment à toutes les deux !!!

Tes pistes, Nomade, sont de très bons axes, je trouve ; Doudou, je suis rassurée de voir qu'après y avoir passé toute la soirée hier soir plus la matinée ce matin, j'avais fini par trouver des pistes vraisemblables, notamment le vocabulaire technique et biologique. Ouuuuuuuuf ! Merci beaucoup à vous deux ! :wub:

Par ailleurs, je précise aussi que j'ai depuis hier soir lu quelques extraits de La maîtrise de la langue à l'école (CNDP, 1992), et qu'il y a dedans toute une partie sur la compréhension en lecture, justement... je pense que ça va m'aider dans mon analyse pour jargonner un peu :P et pour approfondir un peu ma réflexion.

Doudou, pour la partie grammaire, j'ai eu les questions posées sur le même sujet, à savoir l'étude des temps verbaux, des embrayeurs et des modalisateurs.

Merci encore !! Vous m'avez beaucoup aidée ! :thumbsup:

Auré :)

Posté(e)

Bonjour Rélinette il n'y avait pas de questions propre à la grammaire car c'était un sujet 2005 c'était sur une analyse de production d'élève. Par contre si tu as le tps est-ce que tu peux nous donner la question de grammaire car je ne suis pas aà l'IUFM et je le prépare toute seule.C'est quoi les embrayeurs et modalisateurs ? Merci

Posté(e)
Bonjour Rélinette il n'y avait pas de questions propre à la grammaire car c'était un sujet 2005 c'était sur une analyse de production d'élève. Par contre si tu as le tps est-ce que tu peux nous donner la question de grammaire car je ne suis pas aà l'IUFM et je le prépare toute seule.C'est quoi les embrayeurs et modalisateurs ? Merci

Ah ok ! Bon, alors voilà les deux questions de grammaire que j'ai :

"1 - Analysez, de la ligne 14 à la ligne 24 de l'extrait de Jules Verne, les variations de formes verbales (temps et personnes surtout)

2 - En élargissant votre étude aux embrayeurs et aux modalisateurs, montrez comment le texte alterne des passages de discours et des passages de récit. "

Sinon, pour les embrayeurs et les modalisateurs, en gros :

- les embrayeurs, c'est les éléments permettant d'ancrer le texte dans la situation d'énonciation : tout ce qui est relatif au narrateur, entre autres ;

- les modalisateurs, c'est toutes les marques de subjectivité du texte, tout ce qui peut donner l'opinion du narrateur ou de l'auteur du texte.

Pour en savoir plus :

-> sur les embrayeurs :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Embrayeur

-> sur les modalisateurs :

http://emile.simonnet.free.fr/sitfen/narrat/enonciation.htm

(un paragraphe sur les modalisateurs)

Sinon, tu dois pouvoir trouver je pense sur des bouquins (cned ou hatier, ce genre de livres).

Enfin, si tu as besoin d'aide ou de plus de précisions, n'hésite pas, j'essairai de t'aider ! :)

Posté(e)

bonjour a toutes!

j'ai travaillé ce sujet l'annee derniere sur un td consacré à la lecture au C3 et comme question de grammaire nous avions eu "Relevez, classez et commentez les procédés de reprises renvoyant aux poulpes et au marin emporté."

Voila, cela peut vous faire une autre piste de travail en ce qui concerne la question de grammaire.

Posté(e)

tyfou je vais essayer de répondre à la question de grammaire que vous avez eu

Les différents personnages sont représentés par plusieurs substitiuts lexicaux :

Le marin qui meurt : un marin placé devant lui, le malheureux, un compatriote, l'infortuné, la victime, l'un de ses compagnons.

Les poulpes sont nommés monstres, poulpes, calmars, et serpents, ils sont souvent désignés par les parties de leurs corps : ventouses, longs bras, visqueux tentacules, tronçons de serpent, masse charnues, bec.

J'ai pu relever mais classez (comment?) et commentez (à par que c'est difficile pour les élèves de s'y retrouver par le nombre important de substitus lexicaux) je ne vois pas. Si tu peux nous donner le corrigé je te remercie.

Maintenent je vais essayer de faire la question de grammaire proposée par Rélinette.

Posté(e)

Une fois relevé, tu peux distinguer les anaphores grammaticaux d'une part :

Référent : les poulpes

pronoms relatifs

qui (en bloquent)

qui (glissa)

qui (rampaient)

qui (tressautaient)

qu'(n'avait plus)

pronoms personnels :

se (glissa)

s'(agiterent)

se (tordant)

s'(abattirent)

l'(arracher)

lui(avait)

se (tordait)

lui (animal)

les (crevait)

s'(état ouvert)

adj possessifs :

A sa puissante succion

Référent : le marin emporté

pronoms personnels

il(*3) (ralait, étouffait, criait)

l'(arracher)

adj poossessifs

mon infortuné compatriote

l'un de ses compagnons

et anaphores lexicaux

pour les poulpes : les monstres, la ventouse d'un bras de poulpe, ce formidable tentacule, ces masses charnues, le poulpe, l'animal, cette enorme trompe, un bras....

pour le marin emporté : le marin, le malheureux, l'infortuné, la victime

commentez[/b

Ds le domaine des anaphores grammaticales, lorsqu'il s'agit des poulpes, Jules Vernes utilise principalemt les pronoms relatifs et les pronoms personnels compléments pr jouer le rôle des substituts. Ils st soit associés à l'animal soit à ses tentacules. On notera également l'emploi d'un adj possessifs pour caractériser "sa puissante succion".

Le marin emporté est pronominalisé par "il" aà plusieurs reprises et par "l'" ; habile substitution de la part de l'auteur qui utilise des pronoms sujets pour l'homme et des pronoms compléments pour l'animal comme pour signifier que son personnage de prédilection est "il" et non l'affreux "lui" !

C'est néanmoins ds l'usage des anaphores lexicales c'est à dire des reprises nominales que l'auteur excelle. En effet, elles permettent au marin emporté une caractérisation qui vise un effet de pitié chez le lecteur.Les anaphores infidèles nous font passer du "malheureux", à "l'infortuné", à la "victime"; les substituts portent en eux son tragique destin.

Les reprises lexicales utilisées pour le poulpe foisonnent et sont d'une richesses au moins égale au nombre de ses tentacules ! Le système est constitué d'anaphores fidèles avec une caractérisation précise (des poulpes/ les poulpes), d'anaphores infidèles incluant l'utilisation d'hypéronymes (l'animal) ou de métaphores (tronçons de serpents). Mais c'est surtout à l'aide d'anaphores associatives (tentacules, bec, mandibules) que Jules Verne parvient à depeindre l'insoutenable cruauté de l'animal et l'aspact inéluctablement dramatique de la scène.

Posté(e)
Une fois relevé, tu peux distinguer les anaphores grammaticaux d'une part :

Référent : les poulpes

pronoms relatifs

qui (en bloquent)

qui (glissa)

qui (rampaient)

qui (tressautaient)

qu'(n'avait plus)

pronoms personnels :

se (glissa)

s'(agiterent)

se (tordant)

s'(abattirent)

l'(arracher)

lui(avait)

se (tordait)

lui (animal)

les (crevait)

s'(état ouvert)

adj possessifs :

A sa puissante succion

Référent : le marin emporté

pronoms personnels

il(*3) (ralait, étouffait, criait)

l'(arracher)

adj poossessifs

mon infortuné compatriote

l'un de ses compagnons

et anaphores lexicaux

pour les poulpes : les monstres, la ventouse d'un bras de poulpe, ce formidable tentacule, ces masses charnues, le poulpe, l'animal, cette enorme trompe, un bras....

pour le marin emporté : le marin, le malheureux, l'infortuné, la victime

commentez[/b

Ds le domaine des anaphores grammaticales, lorsqu'il s'agit des poulpes, Jules Vernes utilise principalemt les pronoms relatifs et les pronoms personnels compléments pr jouer le rôle des substituts. Ils st soit associés à l'animal soit à ses tentacules. On notera également l'emploi d'un adj possessifs pour caractériser "sa puissante succion".

Le marin emporté est pronominalisé par "il" aà plusieurs reprises et par "l'" ; habile substitution de la part de l'auteur qui utilise des pronoms sujets pour l'homme et des pronoms compléments pour l'animal comme pour signifier que son personnage de prédilection est "il" et non l'affreux "lui" !

C'est néanmoins ds l'usage des anaphores lexicales c'est à dire des reprises nominales que l'auteur excelle. En effet, elles permettent au marin emporté une caractérisation qui vise un effet de pitié chez le lecteur.Les anaphores infidèles nous font passer du "malheureux", à "l'infortuné", à la "victime"; les substituts portent en eux son tragique destin.

Les reprises lexicales utilisées pour le poulpe foisonnent et sont d'une richesses au moins égale au nombre de ses tentacules ! Le système est constitué d'anaphores fidèles avec une caractérisation précise (des poulpes/ les poulpes), d'anaphores infidèles incluant l'utilisation d'hypéronymes (l'animal) ou de métaphores (tronçons de serpents). Mais c'est surtout à l'aide d'anaphores associatives (tentacules, bec, mandibules) que Jules Verne parvient à depeindre l'insoutenable cruauté de l'animal et l'aspact inéluctablement dramatique de la scène.

Eh bien quelle analyse ! J'ai complètement oublié ananphores grammaticaux. Le jour du concours il ne faut surtout pas se précipiter. Merci ;)

Posté(e)

Une fois relevé, tu peux distinguer les anaphores grammaticaux d'une part :

Référent : les poulpes

pronoms relatifs

qui (en bloquent)

qui (glissa)

qui (rampaient)

qui (tressautaient)

qu'(n'avait plus)

pronoms personnels :

se (glissa)

s'(agiterent)

se (tordant)

s'(abattirent)

l'(arracher)

lui(avait)

se (tordait)

lui (animal)

les (crevait)

s'(état ouvert)

adj possessifs :

A sa puissante succion

Référent : le marin emporté

pronoms personnels

il(*3) (ralait, étouffait, criait)

l'(arracher)

adj poossessifs

mon infortuné compatriote

l'un de ses compagnons

et anaphores lexicaux

pour les poulpes : les monstres, la ventouse d'un bras de poulpe, ce formidable tentacule, ces masses charnues, le poulpe, l'animal, cette enorme trompe, un bras....

pour le marin emporté : le marin, le malheureux, l'infortuné, la victime

commentez[/b

Ds le domaine des anaphores grammaticales, lorsqu'il s'agit des poulpes, Jules Vernes utilise principalemt les pronoms relatifs et les pronoms personnels compléments pr jouer le rôle des substituts. Ils st soit associés à l'animal soit à ses tentacules. On notera également l'emploi d'un adj possessifs pour caractériser "sa puissante succion".

Le marin emporté est pronominalisé par "il" aà plusieurs reprises et par "l'" ; habile substitution de la part de l'auteur qui utilise des pronoms sujets pour l'homme et des pronoms compléments pour l'animal comme pour signifier que son personnage de prédilection est "il" et non l'affreux "lui" !

C'est néanmoins ds l'usage des anaphores lexicales c'est à dire des reprises nominales que l'auteur excelle. En effet, elles permettent au marin emporté une caractérisation qui vise un effet de pitié chez le lecteur.Les anaphores infidèles nous font passer du "malheureux", à "l'infortuné", à la "victime"; les substituts portent en eux son tragique destin.

Les reprises lexicales utilisées pour le poulpe foisonnent et sont d'une richesses au moins égale au nombre de ses tentacules ! Le système est constitué d'anaphores fidèles avec une caractérisation précise (des poulpes/ les poulpes), d'anaphores infidèles incluant l'utilisation d'hypéronymes (l'animal) ou de métaphores (tronçons de serpents). Mais c'est surtout à l'aide d'anaphores associatives (tentacules, bec, mandibules) que Jules Verne parvient à depeindre l'insoutenable cruauté de l'animal et l'aspact inéluctablement dramatique de la scène.

Eh bien quelle analyse ! J'ai complètement oublié ananphores grammaticaux. Le jour du concours il ne faut surtout pas se précipiter. Merci ;)

Tyfou, c'est génial, cette analyse ; moi aussi je suis passée à côté des anaphores grammaticaux !!! Et pourtant, c'est génial de les analyser comme ça, en faisant notamment l'opposition de la fonction des anaphores grammaticaux pour le marin versus ceux pour le poulpe !!!

Sinon, je me suis posé une question, justement à propos de ces histoires de "malheureux", "infortuné", etc. : d'après ce que j'ai pu trouver sur le sujet, des noms communs ne peuvent pas être des modalisateurs : et pourtant, il me semblent hautement modalisateurs, ici, ils donnent clairement le point de vue du narrateur, non ??? Qu'en pensez- vous ??

Doudou, j'aurai la correction en cours demain aprèm ; je repasserai par là donner le corrigé des questions de grammaire.

Bonne soirée ! :)

Coucou, je m'édite juste pour vous dire que finalement, on n'a pas fait la correction aujourd'hui... à voir la semaine prochaine ? Je vous donnerai le corrigé quand je l'aurai. :)

Posté(e)

Voilà je vous mets ce que j'ai trouvé par rapport au sujet de grammaire de Rélinette

"Le capitaine Nemo poussa un cri et s'élança au dehors" 1ere pers du sing temps passé simple temps du récit.

"Nous étions précipités.." 1ère pers du pluriel plus que parfait temps du discours

"Quelle scène! le malheurerux, saisi par le tentacule... " 3ème personne du singulier temps plus que parfait temps du récit.

"Il râlait, il étouffait, il criait :" 3ème personne du singulier temps du récit.

"Ces mots prononcés en français, me causèrent un profonde stupeur" temps du discours

prononcés plus que parfait 3ème pers du pluriel

causèrent passé simple 3ème personne du pluriel

ces, mes : embrayeurs

causèrent un profonde stupeur : modalisateur

"J'avais donc un compatriote .. peut être" 1ère personne du singulier temps imparfait temps du discours

donc : embrayeur

peut être modalisateur

"Cet appel déchirant, je l'entendrai toute ma vie" 1ère pers du singulier futur temps du discours

Cet, je, ma : embrayeur

déchirant : modalisateur

"L'infortuné était perdu" plus que parfait 3ème pers du singulier temps du récit

"Cependant, le capitaine Némo sétait précipité..." plus que parfait 3ème pers du singulier temps du récit

"...il lui avait.. " imarfait 3ème personne du singulier temps du récit.

Le professeur Aronax racont la scène à travaers le récit et témoigne son émotion à travers le discours. Il peut donc à la fois s'identifier au " nous, me .." en revivant les émotions ou au contraire, il peut prendre du recul en ayant une vision critique sur ce souvenir ce qui permet de rendre l'histoire beaucoup plus vivante.

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