DA- Posté(e) 12 décembre 2006 Posté(e) 12 décembre 2006 La vie et la croissance de l'arbre Structure des bourgeons Les bourgeons renferment un embryon de rameau feuillé. Ils sont entourés d'écailles qui les protègent du froid, de l'humidité et des chocs. Croissance des arbres et cycles saisonniers La croissance est discontinue et saisonnière (arrêt de la végétation pendant l'hiver) Chaque printemps, les bourgeons s'ouvrent : il en sort une tige qui porte des feuilles et de nouveaux bourgeons. Certains bourgeons contiennent une grappe de fleurs. D'autres bourgeons donnent des tiges avec des feuilles. C'est pourquoi les jardiniers taillent les arbres fruitiers pour favoriser le développement de certains bourgeons à fleur qui donneront des fruits. Les tiges poussent en longueur jusqu'à la fin de l'été, l'arbre grandit ; de nouveaux bourgeons poussent. A l'automne, les feuilles tombent et l'arbre vit au ralenti pendant le froid de l'hiver
DA- Posté(e) 12 décembre 2006 Auteur Posté(e) 12 décembre 2006 De la fleur au fruit La fleur La fleur est formée : - de pièces fertiles : le pistil (appareil reproducteur femelle) qui contient des ovules (répartis en un ou plusieurs carpelles) et les étamines (appareil reproducteur mâle) contenant des milliers de grains de pollen microscopiques. - de pièces stériles qui protègent le bourgeon floral (sépales) ou qui attirent les insectes pollinisateurs (pétales colorées, nectaires dégageant du nectar sucré, glandes odorantes) Les grains de pollen peuvent être transportés par le vent ou par les insectes (en particulier les abeilles). Mais certaines fleurs peuvent s'auto-polliniser : être fécondées par leurs propres grains de pollen. Une fleur est fécondée si un grain de pollen (élément mâle) pénètre dans le pistil et rencontre un ovule (élément femelle). Alors la fleur se transforme progressivement en fruit.
DA- Posté(e) 12 décembre 2006 Auteur Posté(e) 12 décembre 2006 La croissance des animaux Vie d'un individu Tout animal évolue dans le temps en passant par une série de phases : naissance, puis croissance qui s'arrête généralement à l'âge adulte avec la possibilité de se reproduire, sénescence (vieillesse), mort. La croissance correspond à une augmentation irréversible de la taille et de la masse. Petits indépendants ou élevés par les parents Chez les espèces qui pondent beaucoup d'oeufs, les petits sont en général abandonnés par leurs parents et la plupart sont mangés par d'autres animaux avant d'arriver à l'âge adulte. Chez les espèces qui protègent leurs petits à la naissance, le taux de mortalité des petits est beaucoup plus faible, et le nombre de petits par portée ou couvée aussi. Dans tous les cas, on garde un équilibre du nombre d'individus dans un milieu naturel en équilibre.
DA- Posté(e) 12 décembre 2006 Auteur Posté(e) 12 décembre 2006 Les mouvements du corps Le squelette Il est constitué de l'ensemble des os et des cartilages qui forment la charpent qui le soutient. Il fait aussi partie des systèmes respiratoire, circulatoire et nutritif puisque c'est grâce à la moelle que sont fabriqués les globules. Il permet tous les mouvements, tous les changements de position du corps ou d'une de ses parties grâve aux articulations (les mouvements ne sont possibles que sous l'action des commandes nerveuses). Les muscles Organes du mouvement ! Le corps humain comprend environ 600 muscles fixés sur le squelette et correspondent à environ 40% du poids total du corps. En général, les muscles sont fixés aux os de part et d'autre des articulations par de solides liens : les tendons. Les muscles ont des fonctions bien précises : rotation, extension, flexion. Muscles fléchisseurs / Muscles extenseurs = Muscles antagonistes. Les muscles sont fragiles : lésions musculaires : élongation, claquage, déchirure Les articulations Les ligaments maintiennent les os entre eux au niveau d'une articulation. Grâce aux articulations, les os peuvent se déplacer les uns sur les autres. Un liquide, la synovie, facilite encore le glissement des os en lubrifiant les articulations mobiles. Les articulations peuvent subir des traumatismes : luxation, entorse
DA- Posté(e) 13 décembre 2006 Auteur Posté(e) 13 décembre 2006 Respirer pour vivre 3 grandes fonctions caractérisent le vivant : - les fonctions de nutrition - les fonctions de relation - la reproduction (sexuée) Qu'est ce que la respiration ? La respiration qui participe à la fabrication d'énergie, nécessaire à la vie, appartient à la fonction de nutrition. Elle permet la transformation (par des réactions chimiques), après digestation, des aliments en énergie. Elle consiste en l'absorption de dioxygène et le rejet de dioxyde de carbonne, mais aussi de vapeur d'eau et de chaleur. Des mouvements respiratoires Les échanges gazeux entre l'homme et son milieu sont assurés par l'appareil respiratoire, lors de la ventilation pulmonaire. En effet, lors de l'inspiration, le diaphragme se contracte et s'abaisse ; les côtes se soulèvent sous la contraction des muscles intercostaux. Ainsi, le volume de la cage thoracique augmente et fait baisser la pression dans les poumons, ce qui permet à l'air de pénétrer par le nez (ou la bouche), la trachée puis les bronches. L'expiration correspond au relâchement du diaphragme qui se soulève et à celui des muscles intercostaux qui abaissent les côtes. Le volume de la cage thoracique se trouve ainsi diminué tandis que la pression augmente dans les poumons qui expulsent l'air. L'homme respire l'air dont l'oxygène est indispensable à la vie : des mouvements de la cage thoracique et du diaphragme font entrer l'air dans les poumons (inspiration) et le font sortir (expiration). L'appareil pulmonaire se compose d'une trachée qui se divise en deux bronches qui pénétrent dans les poumons droit et gauche et se ramifient à l'intérieur de ceux ci en bronchioles. Une association coeur/poumons Les poumons et le coeur travaillent en étroite collaboration : au cours d'un effort, ils s'accélèrent ensemble. Les vaisseaux qui irriguent les poumons suivent les bronches et entrent avec elles dans les poumons. Les branches de l'artère pulmonaire apportent aux poumons le sang qui est désoxygéné et riche en dioxyde de carbone et les branches des veines pulmonaires emportent le sang fais oxygéné. Des échanges gazeux L'échange des gaz entre les poumons et le sang s'effectue à travers la fine membrane humide des alvéoles et la mince paroi de minuscules capillaires. Le dioxygène de l'air se dissout dans les alvéoles et se diffuse dans le sang où il est capté par l'hémoglobine. Simultanément, le sang rejette le dioxyde de carbone (dissous essentiellement dans le plasma) qu'il rapporte de tout le corps.
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