Alexcheval Posté(e) 28 janvier 2007 Posté(e) 28 janvier 2007 Bonjour, je suis en train de faire des fiches sur certains auteurs incontournables et je n'arrive pas à trouver des renseignements sur Turkheim (rien sur Widipedia par exemple...) Quelqu'un peut-il m'aider?
samanthaf Posté(e) 28 janvier 2007 Posté(e) 28 janvier 2007 Bonjour, je suis en train de faire des fiches sur certains auteurs incontournables et je n'arrive pas à trouver des renseignements sur Turkheim (rien sur Widipedia par exemple...) Quelqu'un peut-il m'aider? Tu confonds pas avec Durkheim?
Charivari Posté(e) 28 janvier 2007 Posté(e) 28 janvier 2007 Pour l'instant on n'en a pas entendu parler à l'iufm. Je ne connais que Charlotte C'est pas Durkheim, plutôt ? " Émile Durkheim refuse la vision de l’éducation présentée par les libéraux, tel John Stuart Mill, qui font de l’éducation un moyen d’accomplissement individuel. Durkheim est marqué par la pensée de Jean-Jacques Rousseau pour lequel l’éducation passe par la reconnaissance de la dépendance de l’individu vis à vis des " choses " et l’adaptation à l’environnement. Selon Durkheim, l’éducation met en contact l’enfant avec une société déterminée. Personne ne peut éduquer un enfant comme il le veut. Les normes de la société s’imposent. Une éducation qui ne tient pas compte des nomes sociales fait de l’enfant un être incapable de s’insérer. Certes chaque groupe social impose ses divergences, cependant, il existe une base commune nécessaire. Aucune société ne peut vivre s‘il n’existe d’homogénéité entre ses membres. L’éducation commence en famille et doit poursuivre à l’école. L’État doit s’intéresser à l’éducation puisqu’elle a pour but de former un être social. II. Le rôle de l’éducation morale. Pour Durkheim, un des rôles fondamentales de l’école est d’enseigner la morale. Selon lui, la morale consiste en un ensemble de règles définies qui déterminent la conduite de l’individu de manière impérative. Elle nécessite de la part de l’individu une discipline pour accepter cette autorité extérieure. Les actes humains dépassent alors les intérêts individuels pour viser des intérêts collectifs. L’éducation morale initie d’abord l’enfant aux divers devoirs puis développe ses vertus morales. L’enfant apprend progressivement à limiter ses goûts et ses désirs et à respecter les règles. Il apprend à reconnaître l’importance de l’organisation sociale et le lien qu’il entretient avec elle. Il devient alors autonome. Pour Durkheim, l’autonomie est l’attitude de la volonté qui applique librement une règle que l’intelligence a épurée et fortifiée. Ainsi se développe l’aptitude générale à la moralité qui transforme l’enfant en un être moral. III. Le rôle de l’éducation intellectuelle. La société exige certaines aptitudes intellectuelles de la part de l’individu. Pour Durkheim, l’enseignement de la grammaire permet d’acquérir les notions de clarté et de rigueur, des langues la notion de logique, des mathématiques les notions de nombre et de forme, de la physique la notion de réalité, de la géographie les notions de milieu local et de milieu planétaire et de l’histoire les notions de durée et de progrès. Avec cette base, l’enfant est capable de donner un sens au monde qui l’entoure. Ces aptitudes intellectuelles doivent être en harmonie avec la personne morale. Pour Emile Durkheim, l’éducation est avant tout sociale. Elle a pour but d’insérer l’enfant dans la société. Cette insertion se fait par le biais de l’éducation morale et intellectuelle. Pour Durkheim, Cette éducation n’a pas pour but de dénaturer l’être humain en n’en faisant qu’une partie d’un tout mais, au contraire, de l’aider à s’accomplir." </EM>
Alexcheval Posté(e) 28 janvier 2007 Auteur Posté(e) 28 janvier 2007 Merci, désolé pour la faute de frappe...
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