philippine33 Posté(e) 14 juin 2008 Posté(e) 14 juin 2008 oui mais généralement les cfp ne nous lachent pas dans la nature... ils assurent un suivi avec quelques cours du soir pour permettre de se remettre dans le concours... enfin, c'est comme ça que ça marche chez nous, après je ne sais pas dans les autres cfp
Nath79 Posté(e) 14 juin 2008 Posté(e) 14 juin 2008 Pardon d'intervenir dans la discussion, mais certains semblent exiger le beurre et l'argent du beurre... ce qui est relativement pénible. Je considère comme normal que nos motivations soient examinées à l'occasion de l'agrément et que celui ci soit nécessaire à l'obtention du concours. Je me demande si certains savent véritablement ou ils sont en train de s'inscrire...A propos, une remarque m'a surprise, excusez d'avance mon ignorance mais au sujet des ex-PE1, si on obtient pas le concours à l'issus de la PE1, que se passe t-il ? Y a t-il des redoublements ou les candidats doivent-ils se présenter hors CFP ? moi je rentre au cfp cette année et il n'y a aucun redoublant: une copine à moi y était cette année, elle a raté le concours et sera obligée de se représenter en candidate libre l'année prochaine Ici pour le CFP d'Avrillé pas de redoublant, si tu n'as pas le concours, on te propose des suppléances.
Flo28 Posté(e) 14 juin 2008 Posté(e) 14 juin 2008 Au CFP Ste Geneviève à Paris, on te propose des suppléances si tu n'es pas admis et tu as la possibilité de passer les concours blancs en même temps que les premières années. C'est en tout cas ce dont je suis sure, pour ce qui est du suivi avec des cours du soir, je n'en ai aucune idée.
pepette71 Posté(e) 14 juin 2008 Posté(e) 14 juin 2008 Merci pour vos réposes! belle mentalité... c'est pas une histoire de conviction mais de vocation. je veux vraiment faire ce métier, le choix du privé ou du public m'importe peu, sachant que je n'ai rien contre la religion. voilà pourquoi il y a l'agrément : si on se présente dans le privé, c'est par conviction et non parce qu'on a du mal à entrer dans le public. Mais cela reste un avis, et surtout MON avis. Et une autre question : dans le public, quand un PE1 est recalé, il se représente en tant que ex-PE1 ou en candidat libre ? puisque apparemment cela pose problème dans les taux de réussite .
manou2002 Posté(e) 15 juin 2008 Posté(e) 15 juin 2008 je suis tout a fait d'accord avec pepette71 et flo28 j'ai tenté plusieurs fois le concours dans le public et en ayant travaillé en tant qu'AVS dans des écoles publiques je me suis aperçue que l'idée de ne pas vouloir évoquer le fait religieux en classe sous prétexte de laïcité je trouve ca abhérrant!! la religion explique les croisades et notre culture est basée sur la religion!! moi qui suis croyante et qui fait de ma foi une affaire privée je trouve normal d'entrer dans l'enseignement prive en ayant certaines convictions car certains d'entre nous entre en pe1 pour avoir le concours par tous les moyens!! le pré-accord est nécessaire selon moi et tant pis pour celles qui se font recallées parce qu'elles ne l'ont pas!! d'autre part, en tant pe1 nous avons la chance d'avoir eu une bonne formation mais rien ne nous garanti d'avoir le concours!! vous n'avez qu'a dire cela aux filles de premiere année qui ont été recalée des l'écrit!!!
fileuse2nuit Posté(e) 18 juin 2008 Posté(e) 18 juin 2008 Je suis parfaitement d'accord avec les post précédents, notamment celui de Lady Oscar. Pour être honnête, j'en ai marre d'entendre un peu partout (et pas seulement sur les forums) des gens annoncer avec tranquillité qu'ils se contrefichent de rentrer dans le privé ou dans le public du moment que la formation leur permet de devenir instit ou profs. Moi comme d'autre, je suis profondément convaincue, sur le plan éthique comme religieux, et me sens parfaitement en accord avec les valeurs et le projet de l'école catholique. J'ai la chance de rentrer au CFP contrairement à d'autre personnes pourtant tout aussi motivées que moi. Je l'avoue, ça me désole de voir que leur places sont occupés par certains qui poussent les hauts cris à l'idée d'enseigner la catéchèse une heure par semaine et qui considère l'agrément du diocèse comme un dû sous prétexte qu'ils ont eu le concours. Je m'échauffe un peu mais ça va mieux en le disant, je pense. D'autre part, n'oublions pas aussi que certaines personnes pour ne pas contredire leurs valeurs laïques repasse inlassablement et uniquement les concours du public. Ces gens là méritent davantage d'enseigner que des hypocrites (et je pèse mes mots, nous sommes entre gens bien élevés...) qui ne voient au CFP qu'un avantage statistique.
elisim Posté(e) 18 juin 2008 Posté(e) 18 juin 2008 Je suis entièrement d'accord avec les derniers posts que je viens de lire, et je voudrais également rajouter que si certains seuils d'admissibilité ou d'admission sont moins élevés dans le privé, c'est aussi le cas dans le public, il n'y a qu'à regarder les seuils entre montpellier et créteil dans le public, peut-on vraiment dire que c'est plus facile d'aller à créteil ou blâmer les candidats en disant que c'est plus facile ? C'est un concours !!! et non un examen, les seuils varient en fonction du nombre de candidats et des capacités des uns par rapport aux autres sans qu'on puisse déterminer quoi que ce soit à l'avance. Je suis d'accord également pour dire que le choix public ou privé n'est pas anodin, quand on veut intégrer le privé, il ne faut pas le faire par dépit mais par envie d'adhérer au projet de l'enseignement catholique. Elisim
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