BLA Posté(e) 10 mars 2007 Posté(e) 10 mars 2007 je me mélange les pinceaux...quelles est la différence entre les deux?
cecmo Posté(e) 11 mars 2007 Posté(e) 11 mars 2007 je me mélange les pinceaux...quelles est la différence entre les deux? Voilà de quoi déméler tes pinceaux: http://www.memo.fr/Article.asp?ID=PAY_FRA_1RE_001
Marie-Claire Posté(e) 11 mars 2007 Posté(e) 11 mars 2007 Les girondins osnt plus modérés alors que les montagnards sont plus offensifs... C'est parmi les montagnards que l'on trouve Robespierre...
BLA Posté(e) 11 mars 2007 Auteur Posté(e) 11 mars 2007 merci! si quelqu'un pouvait m'expliquer rapidement avec ses mots ca m'aiderait...cette pèriode qui ve de 1789 à 1815 est confuse pour moi...j'aimerais y voir clair et ne retenir que les grands moments essentiels...
Anwamanë Posté(e) 11 mars 2007 Posté(e) 11 mars 2007 merci!si quelqu'un pouvait m'expliquer rapidement avec ses mots ca m'aiderait...cette pèriode qui ve de 1789 à 1815 est confuse pour moi...j'aimerais y voir clair et ne retenir que les grands moments essentiels... GIRONDINS ET MONTAGNARDS L'antagonisme entre Girondins et Montagnards avait commencé bien avant la chute de la monarchie. Sous la Législative, quelques députés élus par le département de la Gironde ( Vergniaud, Guadet, etc...) s'étaient liés d'amitié avec Brissot et ses amis ( Buzot, Louvet, Pétion, Roland et sa femme, etc...) Ceux qu'on appelait alors les "Brissotins" ( le nom de Girondins leur fut donné plus tard) poussaient de toutes leurs forces à la déclaration de guerre, s'opposant sur ce point à Robespierre. La monarchie tombée, ils formèrent à la Convention un groupe nombreux. Ils venaient pour la plupart de la province , tandis que les chefs montagnards étaient les élus de Paris. Dès les premières séances, la lutte s'engagea. Effrayés par les troubles qu'ils avaient contribué à susciter, les Girondins s'élevèrent contre l'action de la toute-puissante commune de Paris: ils s'opposaient à la prédominance politique de la capitale et à la centralisation souhaitée par la Montagne, qui, en revanche, les accusait de fédéralisme. En avril 1793, la création du Comité de Salut public, d'où ils furent exclus, diminua encore leur influence. Peu favorables aux mesures de rigueur préconisées par la Montagne en matière économique et sociale, ils furent accusés de paralyser le gouvernement à l'heure du danger. Les défaites militaires et la trahison de Dumouriez, leur ami, augmentèrent leur discrédit. Pour se défendre, les Girondins créèrent une commission de douze membres chargée d'enquêter sur les actes de la Commune ( 18 mai 1793). La Commission fit arrêter Hébert, substitut du procureur. La Commune ayant protesté, le Girondin Isnard prononça un terrible réquisitoire contre Paris. En réponse, le 31 mai, les sections de sans-culottes, soutenues par les Montagnards, vinrent exiger la mise en accusation des principaux Girondins et la suppression de la commission. La majorité n'ayant cédé que sur le second point, elles revinrent à la charge le 2 juin, tandis que la Garde nationale cernait la Convention : 29 députés girondins furent mis hors la loi.
Frezeron Posté(e) 15 mars 2007 Posté(e) 15 mars 2007 merci!si quelqu'un pouvait m'expliquer rapidement avec ses mots ca m'aiderait...cette pèriode qui ve de 1789 à 1815 est confuse pour moi...j'aimerais y voir clair et ne retenir que les grands moments essentiels... GIRONDINS ET MONTAGNARDS L'antagonisme entre Girondins et Montagnards avait commencé bien avant la chute de la monarchie. Sous la Législative, quelques députés élus par le département de la Gironde ( Vergniaud, Guadet, etc...) s'étaient liés d'amitié avec Brissot et ses amis ( Buzot, Louvet, Pétion, Roland et sa femme, etc...) Ceux qu'on appelait alors les "Brissotins" ( le nom de Girondins leur fut donné plus tard) poussaient de toutes leurs forces à la déclaration de guerre, s'opposant sur ce point à Robespierre. La monarchie tombée, ils formèrent à la Convention un groupe nombreux. Ils venaient pour la plupart de la province , tandis que les chefs montagnards étaient les élus de Paris. Dès les premières séances, la lutte s'engagea. Effrayés par les troubles qu'ils avaient contribué à susciter, les Girondins s'élevèrent contre l'action de la toute-puissante commune de Paris: ils s'opposaient à la prédominance politique de la capitale et à la centralisation souhaitée par la Montagne, qui, en revanche, les accusait de fédéralisme. En avril 1793, la création du Comité de Salut public, d'où ils furent exclus, diminua encore leur influence. Peu favorables aux mesures de rigueur préconisées par la Montagne en matière économique et sociale, ils furent accusés de paralyser le gouvernement à l'heure du danger. Les défaites militaires et la trahison de Dumouriez, leur ami, augmentèrent leur discrédit. Pour se défendre, les Girondins créèrent une commission de douze membres chargée d'enquêter sur les actes de la Commune ( 18 mai 1793). La Commission fit arrêter Hébert, substitut du procureur. La Commune ayant protesté, le Girondin Isnard prononça un terrible réquisitoire contre Paris. En réponse, le 31 mai, les sections de sans-culottes, soutenues par les Montagnards, vinrent exiger la mise en accusation des principaux Girondins et la suppression de la commission. La majorité n'ayant cédé que sur le second point, elles revinrent à la charge le 2 juin, tandis que la Garde nationale cernait la Convention : 29 députés girondins furent mis hors la loi. C'est costaud tout ça, ce n'est que le CRPE on dirait une réponse de CAPES HISTOIRE-GEO !
Anwamanë Posté(e) 18 mars 2007 Posté(e) 18 mars 2007 C'est costaud tout ça, ce n'est que le CRPE on dirait une réponse de CAPES HISTOIRE-GEO ! Juste ce que j'ai trouvé de simple ( mais pas trop non plus) via le net. Je veux bien ta réponse CRPE
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