enviedespoir Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 Tout ca est très intéressant mais assez théorique... Pour ma part je cherche simplement des activités à leur proposer pour qu'ils apprennent à écrire leur prénom. (je ne suis que T1 ^^)Des idées "pratiques" d'activités ? Désolée j'ai croisé beaucoup de recettes pour se faire croire qu'on apprend à écrire aux enfants, mais ce n'est pas mon créneau <_< Glisser dans une pochette plastique, j'ai déjà fait un peu : pour ceux qui ont compris, ils s'approprient l'écriture de leur prénom, pour ceux qui n'ont pas compris, ils colorient les lettres, voire gribouillent. Bref, c'est encore le cas pour au moins la moitié de mes petits. Donc je vois l'intéret de faire ca mais ca n'est pas une solution dans mon cas.... De cette façon-là, les enfants ne s'approprient rien du tout. <_< . Tu as des en PS et des MS. Tu le dis toi-même au moins la moitié n'auront pas compris ; quelques enfants arriveront à reproduire quelque chose qui ressemblera à peu près à leur prénom. Désolée, tu es jeune et j'ai l'air de te malmener. Je suis en colère comme tu l'auras compris. Je viens d'avoir coup sur coup en rééducation 5 enfants de GS qu'on m'annonce en grande difficulté : pour trois d'entre eux l'équipe éducative, ergothérapeute compris, avait dit qu'ils n'arriveraient pas à écrire donc qu'il faudrait utiliser l'ordinateur. Entre 3 et 5 séances de rééducation (complétées, entre les séances, d'environ 1/4 d'heure d'activités ludiques quotidiennes à la maison) et ils ont été mis à niveau. Les 2 autres devaient faire l'objet d'un suivi en ergothérapie ou psychomotricité en CP pour difficultés graphiques alors qu'ils n'avaient aucune vraie difficulté : idem, très peu de séances leur ont permis d'entrer correctement dans l'écrit. Trouves-tu normal qu'un enfant de GS pleure chaque soir en suppliant sa mère : "Dis maman, j'irai pas à l'école demain, je ne veux pas y aller, je sais pas faire, je comprends rien" ? (il s'agit d'un enfant tout ce qu'il y a de plus "standard") Trouves-tu normal que des enfants de GS arrivent en rééducation en disant "je suis nul" ? Trouves-tu normal qu'un enfant ait passé sa maternelle et sa primaire à pleurer chaque fois qu'il s'agissait d'écrire ? Il est maintenant en 1ère ; c'est un jeune plutôt brillant mais dont l'écriture était peu lisible avant la rééducation ( 4 séances). La maternelle et la primaire ont été un calvaire (ce sont ses propres mots, repris aussi par sa mère) à cause de l'écriture. Je pourrais en citer des tonnes, je ne parle que des tout derniers. Je ne m'étends pas sur les enfants de primaire descolarisés parce qu'on voulait leur mettre une AVS à cause de leur lenteur à écrire ! Ceux-là aussi m'arrivent en rééducation (deux d'un coup !). Un autre cas flagrant : il y a une dizaine d'années un enfant de GS ne devait pas monter en CP avec les autres pour cause de mauvais niveau graphique. Cela avait été annoncé à la maman en décembre. Nous avons fait 4 séances. L'année suivante il était en CP avec les autres et l'instit - qui m'avait contactée pour autre chose - m'annonce : c'est lui qui écrit le mieux de la classe. Chez tous ces enfants-là je vois les mêmes cahiers de maternelle. Les mêmes recettes. Je n'ai pas de recettes. j'ai réfléchi à la façon dont fonctionne l'écriture et je me sers de cette réflexion. Si tu poses une question sur le forum, c'est que tu souhaites une réponse utile. Pour mettre en place des "activités " à partir d'idées pratiques, il te faut lire, lire et relire et comprendre et ne pas avoir peur de la théorie. Elle seule te permet de comprendre la pratique et d'éviter les recettes. C'est moins "confortable". Mais l'enseignement, ce n'est pas le confort. Et surtout pas en maternelle. C'est le plus difficile au contraire. Attention, cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas profiter de l'expérience des anciens (ou des moins anciens d'ailleurs ) cela veut dire qu'il faut réfléchir. Pour moi la réflexion doit avoir deux axes : - l'axe pédagogique : que dois-je faire ? pourquoi ? comment ? - l'axe psychologique : quel est l'impact psychologique de mes exigences sur les enfants ? Ce sont des questions phares ; elles n'en excluent aucune autre. C'était un coup de gueule, mais il y a urgence à s'arrêter pour réfléchir aux pratiques. Je sais, l'écriture du prénom est au programme. C'est tout à fait normal quand l'enfant est à même de l'écrire. Sinon, c'est du stress pour rien (pour l'enseignant aussi d'ailleurs : combien sont persuadés que "les autres" arrivent à faire écrire les prénoms alors qu'eux n'y arrivent pas ?? ) quand ce n'est pas pire, ce qui arrive beaucoup trop souvent. Tu as choisi un très beau métier, Tampopo, mais c'est dur. J'espère que ce coup de gueule te sera utile et surtout qu'il ne te décourage pas mais au contraire qu'il t'incite à approfondir Au fait : l'idée pratique ? abandonne le prénom et prépare tes petiots à être en mesure de l'écrire plus tard.
eyelid Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 je suis dans le même cas que Tampopo, tout cela est très théorique, je commence à comprendre ce qu'il ne "faut pas" faire et pourquoi mais ne sais toujours pas ce qu'il faudrait faire concrètement...HELP
enviedespoir Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 je suis dans le même cas que Tampopo, tout cela est très théorique, je commence à comprendre ce qu'il ne "faut pas" faire et pourquoi mais ne sais toujours pas ce qu'il faudrait faire concrètement...HELP Je ne peux que te faire la même réponse qu'à Tampopo : Pour mettre en place des "activités " pratiques il faut connaître la théorie, sinon on applique des recettes. Ce qu'il faut faire ? Tu le trouveras concrètement explicité dans tes lectures. Pour moi, la trame est simple et efficace : gestion statique (= travail des contingences spatiales de l'écriture) et gestion dynamique de l'espace graphique (= points 1, 2, 3 et suivant non numéroté que j'ai évoqués hier à 22 heures 04 dans ce même fil) et latéralité et tenue du crayon se mènent de front. A la fin de ce "programme" l'enfant est à même d'écrire en majuscules typographiques et de commencer à écrire en cursive. Pour ce qui concerne le détail et la pratique que je propose concrètement , je ne peux pas te condenser en quelques lignes un livre de 176 pages ni même ses pages de "mise en pratique", plus un cahier pour l'accès à l'écriture typographique, plus un autre pour l'accès (en plus) à l'écriture cursive, plus les livrets d'accompagnement qui donnent les tableaux de progressions et de liaison interclasses. (Ces derniers sont téléchargeables directement). Le problème quand on débute c'est qu'il faut tout apprendre (ce qui est normal) et qu'on voudrait aller beaucoup plus vite (ce qui est humain) et surtout qu'on trouverait plus rassurant de tout trouver tout prèt (ce qui est tout à fait humain également). Mais la vie, c'est pas comme ça. Courage les filles, vous allez y arriver... et il vaut mieux avoir des petiots qui se sentent bien à l'aise dans leurs baskettes mais qui ne savent pas écrire leur prénom que quelques petiots à qui on fait croire qu'ils savent, qui éventuellement se stressent pour essayer d'y arriver et qui seront tout dépités et parfois découragés lorsqu'ils seront un jour confrontés à la réalité : "c'est pas comme ça qu'il fallait faire !!!" et plusieurs autres qui se traiteront de nuls ouvertement ou intérieurement parce qu'ils n'y arrivent pas.
Moustache Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 Je viens d'avoir coup sur coup en rééducation 5 enfants de GS qu'on m'annonce en grande difficulté : pour trois d'entre eux l'équipe éducative, ergothérapeute compris, avait dit qu'ils n'arriveraient pas à écrire donc qu'il faudrait utiliser l'ordinateur. Entre 3 et 5 séances de rééducation (complétées, entre les séances, d'environ 1/4 d'heure d'activités ludiques quotidiennes à la maison) et ils ont été mis à niveau. Ce ne sont plus seulement les enseignants qui n'y connaissent rien, mais les équipes éducatives au grand complet ! Une fois de plus, quel mépris. Heureusement tu es là ! Je ne m'étends pas sur les enfants de primaire descolarisés parce qu'on voulait leur mettre une AVS à cause de leur lenteur à écrire ! Ceux-là aussi m'arrivent en rééducation (deux d'un coup !). (...) Un autre cas flagrant : il y a une dizaine d'années un enfant de GS ne devait pas monter en CP Deux d'un coup... un exemple qui date d'une dizaine d'année, whaou, c'est énorme :o mais peut être pas suffisant pour généraliser. Chez tous ces enfants-là je vois les mêmes cahiers de maternelle. Les mêmes recettes. Finalement, tu veux dire que pour tous ceux que tu ne cites pas, les cahiers de maternelle, les "recettes" en question fonctionnent plutôt bien ? Tous ces cahiers, toutes ces "recettes" seraient identiques ? Quand je regarde autour de moi, je vois plutôt , et fort heureusement de la diversité, de l'originalité dans les démarches. Pourquoi toujours dénigrer ce qui est différent de soi pour faire passer ses idées, aussi intéressantes soit-elles ? Une fois de plus, on quitte le domaine de l'information et de la discussion pour celui de la propagande. Dommage.
eyelid Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 je quitte la discussion pour le moment...à dans 20 ans, quand j'aurai enfin tout compris!!
enviedespoir Posté(e) 14 avril 2007 Posté(e) 14 avril 2007 Je viens d'avoir coup sur coup en rééducation 5 enfants de GS qu'on m'annonce en grande difficulté : pour trois d'entre eux l'équipe éducative, ergothérapeute compris, avait dit qu'ils n'arriveraient pas à écrire donc qu'il faudrait utiliser l'ordinateur. Entre 3 et 5 séances de rééducation (complétées, entre les séances, d'environ 1/4 d'heure d'activités ludiques quotidiennes à la maison) et ils ont été mis à niveau. Ce ne sont plus seulement les enseignants qui n'y connaissent rien, mais les équipes éducatives au grand complet ! Une fois de plus, quel mépris. Heureusement tu es là ! Je dis simplement les faits. Ils sont têtus : des enfants sont en grandes difficultés parce que certaines pratiques ne leur conviennent pas. C'est un constat. Ni plus. ni moins. Je ne méprise personne. J'analyse des données. De la même façon que je trouverais amère qu'on donne à des maçons de mauvais parpaings pour construire des maisons, je déplore qu'on laisse à de jeunes enseignants des outils pédagogiques (ou plutôt des absences d'outils)susceptibles d'induire des difficultés. On ne m'a pas appris le mépris ni la haine, mais il ne semble pas impossible qu'on soit à bonne école à force de te lire. Si je réagis et si je le fais surtout parce que la demande vient de débutants et non de personnes à six mois de la retraite, c'est parce que j'ai beaucoup d'estime pour le travail fait par les enseignants et tout particulièrement par ceux de maternelle. Bien sûr dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes est plus facile et plus agréable à entendre. Mais ce n'est pas le cas. Certaines erreurs pédagogiques sont aussi tenaces et néfastes que la haine qui ressort de certaines propos, nonobstant les (...) Chez tous ces enfants-là je vois les mêmes cahiers de maternelle. Les mêmes recettes. Finalement, tu veux dire que pour tous ceux que tu ne cites pas, les cahiers de maternelle, les "recettes" en question fonctionnent plutôt bien ? Tous ces cahiers, toutes ces "recettes" seraient identiques ? Quand je regarde autour de moi, je vois plutôt , et fort heureusement de la diversité, de l'originalité dans les démarches. Relis. Relis simplement la citation que tu fais : "Chez tous ces enfants-là je vois les mêmes cahiers de maternelle. Les mêmes recettes. Oui, "chez tous ces enfants-là je vois les mêmes cahiers, les mêmes recettes.". Mêmes causes , mêmes effets. C'est un simple constat. Faut-il obligatoirement rajouter que je ne vois pas les cahiers qui recueillent du travail qui porte normalement ses fruits ? Cela me semble évident puisque le travail que je fais est un travail de rééducation. (Là je pense que ce serait véritablement mépriser nos lecteurs que de penser qu'il faut leur expliquer cela). Quand tu regardes autour de toi tu vois de la diversité, de l'originalité dans les démarches. Quand je regarde les cahiers je vois aussi, à côté de ce que je déplore, de la diversité, de l'originalité dans les démarches. Cela n'empêche pas qu'il y ait des erreurs dommageables. et je le déplore d'autant plus qu'elles sont faites de bonne foi et la plupart du temps par des enseignants très compétents par ailleurs. Si j'avais le temps, le loisir, la possibilité de regarder les préparations à l'écriture dans des cahiers d'enfants qui ne sont pas en difficultés, il est évident que je dirais la plupart du temps comme toi : il y a de la diversité, de l'originalité et rien de dommageable. Mais ce n'est pas ces cahiers là que je vois. Pourquoi toujours dénigrer ce qui est différent de soi pour faire passer ses idées, aussi intéressantes soit-elles ? Une fois de plus, on quitte le domaine de l'information et de la discussion pour celui de la propagande. Dommage. Je ne dénigre pas ce qui est différent de moi : je déplore ce qui ne va pas. Oui, le sort des enfants rejetés du système, le sort des enfants malades de stress, le sort des enfants dont la scolarité ou l'image de soi est perturbée par des ratés en maternelle m'importe. Je n'ai jamais prétendu que c'était la majorité. Je dis : ils existent. Je dis : on peut éviter cela en observant les pratiques de classe. Je dis que, quel que soit leur pourcentage - qui augmente selon ce que je vois - c'est un devoir d'une part d'essayer de les aider et d'autre part d'essayer d'éviter que les suivants rencontrent les mêmes problèmes. Je dis aussi que lorsque de jeunes enseignant(e)s demandent de l'aide je préfère leur donner de la nourriture que de l'opium. C'est mon point de vue. Nul n'est obligé de le partager. Pour ce qui est de ton observation sur l'information la discussion et la porpagande, je ne te suivrai pas pour en parler : mon terrain est volontiers celui des coups de gueule, ce n'est ni celui de la haine ni celui des propos partisans. Pour information : un fort poucentage d'enfants que je rééduque se trouvent être des enfants d'insti. (Faute de temps j'ai limité très fortement les rééducations, mais la proportion d'enfants d'insti reste à peu près constante)
Tampopo Posté(e) 20 avril 2007 Auteur Posté(e) 20 avril 2007 Enviedespoir, je me permets une petite réponse coup de gueule aussi. Je comprends bien ce que tu dis, et je suis d'accord, bien sur il faut passer par la théorire pour pouvoir savoir ce que l'on fait et pourquoi. Je trouve même que c'est essentiel. Mais... <_< Mais quand on est en première année, il faut parfois couper court. Bien sur je voudrais lire la théorie et faire les choses intelligement plutot qu'appliquer betement ce que d'autres ont déjà pensé. Mais quand tu débutes, où trouver le temps de lire la théorie sur l'écrit, sur la lecture, sur l'eps, sur les arts viuels, la musique, les rituels, la socialisation, les maths... Surtout quand on t'a envoyé sur un poste à 80 km de chez toi, que tu pars le matin à 7h et que tu rentres à 19h et te couches à 22h pour etre en forme et disponible pour les enfants le lendemain. Et puis comme on a quand meme envie on essaye, on achète quelques livres, on les lits pendant les vacances. Mais bon, les livres c'est pas gratuit, et quand ton salaire passe pour 1/3 dans ton loyer et 1/3 dans ton essence, il faut bien manger... Alors c'est pas évident on rentabilise, on essaye d'acheter le meilleur livre, de bien le choisir, parce qu'on peut pas en acheter beaucoup. Et quand comme moi tu arrives à la fin de l'année, en avril et que tu te dis mince j'ai rien fait sur l'écrit avec mes petits il faudrait peut-etre faire quelque chose avant la fin pour qu'ils ne soient pas trop largués l'année prochaine...mais tu vas pas acheter des livres de théorie pour 2 mois, parce que tu sais pas où tu seras l'année d'après, et t'auras peut-etre pas des maternelles. Alors un livre de théorie qui va servir deux mois tu te dis ca fait cher pour ce que je vais m'en servir... Alors oui, tu demandes une recette, quelque chose qui puisse faire l'affaire un moment, pour finir l'année en faisant quelque chose, pas le mieux, mais mieux que rien. Et oui la réponse que j'attendais c'était atelier 1 tu fais ca, atelier 2 tu fais ci.... Et tu te dis que l'année prochaine, tu feras mieux et tu te seras mieux documentée. Parce qu'on ne peut pas commencer en sachant déjà tout (sauf si on nous donnait une formation correcte à l'iufm mais ne rêvons pas) et qu'on y va petit à petit...
enviedespoir Posté(e) 20 avril 2007 Posté(e) 20 avril 2007 Enviedespoir, je me permets une petite réponse coup de gueule aussi.Je comprends bien ce que tu dis, et je suis d'accord, bien sur il faut passer par la théorire pour pouvoir savoir ce que l'on fait et pourquoi. Je trouve même que c'est essentiel. Mais... <_< Mais quand on est en première année, il faut parfois couper court. Bien sur je voudrais lire la théorie et faire les choses intelligement plutot qu'appliquer betement ce que d'autres ont déjà pensé. Mais quand tu débutes, où trouver le temps de lire la théorie sur l'écrit, sur la lecture, sur l'eps, sur les arts viuels, la musique, les rituels, la socialisation, les maths... Surtout quand on t'a envoyé sur un poste à 80 km de chez toi, que tu pars le matin à 7h et que tu rentres à 19h et te couches à 22h pour etre en forme et disponible pour les enfants le lendemain. Et puis comme on a quand meme envie on essaye, on achète quelques livres, on les lits pendant les vacances. Mais bon, les livres c'est pas gratuit, et quand ton salaire passe pour 1/3 dans ton loyer et 1/3 dans ton essence, il faut bien manger... Alors c'est pas évident on rentabilise, on essaye d'acheter le meilleur livre, de bien le choisir, parce qu'on peut pas en acheter beaucoup. Et quand comme moi tu arrives à la fin de l'année, en avril et que tu te dis mince j'ai rien fait sur l'écrit avec mes petits il faudrait peut-etre faire quelque chose avant la fin pour qu'ils ne soient pas trop largués l'année prochaine...mais tu vas pas acheter des livres de théorie pour 2 mois, parce que tu sais pas où tu seras l'année d'après, et t'auras peut-etre pas des maternelles. Alors un livre de théorie qui va servir deux mois tu te dis ca fait cher pour ce que je vais m'en servir... Alors oui, tu demandes une recette, quelque chose qui puisse faire l'affaire un moment, pour finir l'année en faisant quelque chose, pas le mieux, mais mieux que rien. Et oui la réponse que j'attendais c'était atelier 1 tu fais ca, atelier 2 tu fais ci.... Et tu te dis que l'année prochaine, tu feras mieux et tu te seras mieux documentée. Parce qu'on ne peut pas commencer en sachant déjà tout (sauf si on nous donnait une formation correcte à l'iufm mais ne rêvons pas) et qu'on y va petit à petit... Je comprends bien ton désarroi devant les difficultés (d’autant plus que les conditions pédagogiques, les conditions de distance, les conditions financières, j’ai connu… il y a bien longtemps + ni ATSEM ni matériel). Je comprends bien aussi ta réaction devant le manque de formation. Je pense qu’on y viendra…(mais tu seras passée trop tôt en tout cas en ce qui concerne la formation initiale). Cela n’empêche que ce n’est malheureusement pas l’application de recettes de dernier moment qui feront que tes petits seront en avance ou moins pour l’an prochain. La réussite ne dépend pas de la quantité, mais de la qualité du travail que tu auras fait faire. Relis l'ensemble du fil peut-être y verras-tu des idées à exploiter ( il y a eu aussi d'autres fils sur le sujet ). A vouloir trop pousser les enfants sans leur donner les moyens de réussir ce qu'on leur propose on risque de les stresser. C'est contre cela que je me bats dans ce fil. Mis à part les réponses que je t’ai déjà faites je ne vois pas que te dire d’autres surtout dans la mesure où tu ne réponds pas à ma question : s’agit-il d’écriture en capitales typographiques ou en cursive ? En ce qui concerne la théorie, je te suggère de lire ceci
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