bisounours Posté(e) 28 avril 2007 Posté(e) 28 avril 2007 Alors voila, tout est dans le titre, je sais qu'il y a 2 façon de travailler les notions d'ORL en cycle 3, la voie longue pour une petite quantité de notions importantes et les activités courtes et ritualisées pour le reste. Le problème c'est que j'ai beau chercher je ne trouve pas en quoi consiste cette voie longue et quelles notions y sont rapportées ! A 5 jours du concours, j'ai bien besoin de vos lumières !!!!
Piron83 Posté(e) 28 avril 2007 Posté(e) 28 avril 2007 Alors voila, tout est dans le titre, je sais qu'il y a 2 façon de travailler les notions d'ORL en cycle 3, la voie longue pour une petite quantité de notions importantes et les activités courtes et ritualisées pour le reste. Le problème c'est que j'ai beau chercher je ne trouve pas en quoi consiste cette voie longue et quelles notions y sont rapportées ! A 5 jours du concours, j'ai bien besoin de vos lumières !!!! Je te fais un copier-coller du document d'accompagnement ORL où tout est très bien expliqué avec en rouge les exemples, les notions abordées (p. 7) Emilie Les modalités de travail en ORL et en atelier Les modalités de travail sont fonction de la nature des faits de langue étudiés : 1. L'ORL Au coeur de l'ORL, la voie longue est réservée aux notions essentielles. Il s'agit de travailler sur certains faits de langue, à forte rentabilité morphologique et orthographique1, qui méritent de ce fait qu'on y passe du temps (constituer un corpus d’observations, formuler des régularités, structurer les acquisitions pour les mémoriser…). Ces faits de langue sont en nombre limité et doivent être traités dans le cadre de l'horaire hebdomadaire réservé à l'observation réfléchie de la langue. Ils supposent une programmation des activités et des contenus. Certes, dans la langue tout fait système, chaque mot est en relation étroite avec les autres et il est donc difficile d'établir une progression linéaire rigoureuse. Toutefois, une programmation est possible et absolument nécessaire à l'organisation des enseignements. Ces activités sont programmées a priori pour l'ensemble du cycle, en ménageant des retours et des approfondissements. Exemple : distinction nom/verbe ==> relation sujet/verbe ==> marques d’accord ==> orthographe des finales verbales en /e/ s'écrivant é, és, ées, er, ez etc. Des activités ritualisées, courtes et fréquentes Ces activités, par leur fréquence, visent à construire des attitudes intellectuelles de questionnement, de mise en pratique des savoirs acquis, de transfert dans des situations nouvelles. Elles permettent d'éprouver le plaisir de jouer avec la langue. Exemples : faire une phrase la plus longue possible pour travailler les expansions de la phrase, faire un groupe nominal le plus long possible pour travailler l’expansion du nom… Dans ce cadre par exemple, les phrases-problèmes permettent de sensibiliser les élèves à la compréhension de structures syntaxiques qui leur sont peu familières. Cette activité est brève mais régulière. Exemples : Le maître, lui, enfonce un bonnet sur la tête. L’as-tu, cet as ? Les jeux d’écriture renforcent ce travail et permettent une pratique contrôlée de la langue. (voir chapitre méthodes et outils, page ). 2. Les ateliers partent de la résolution d’un problème rencontré dans la lecture ou l’écriture d’un texte en littérature ou dans l’un des domaines disciplinaires. Les notions sous-jacentes à un tel problème font l'objet d'un travail systématique, mais l'ordre de leur traitement ne s'impose pas. Il s'agit de questions linguistiques rencontrées au cours de la lecture ou de l'écriture d'un texte en littérature ou dans l'un des domaines disciplinaires. Exemples : valeur générique de l’article dans des écrits documentaires (le chat appartient à la même famille que la panthère des calanques), nominalisation en sciences (digérer ÀÆ la digestion).
pitgam59 Posté(e) 28 avril 2007 Posté(e) 28 avril 2007 donc voie longue= programmation activités courtes = petits exercices pour acquérir les notions de la programmation non????
Aquacrea Posté(e) 28 avril 2007 Posté(e) 28 avril 2007 Alors voila, tout est dans le titre, je sais qu'il y a 2 façon de travailler les notions d'ORL en cycle 3, la voie longue pour une petite quantité de notions importantes et les activités courtes et ritualisées pour le reste. Le problème c'est que j'ai beau chercher je ne trouve pas en quoi consiste cette voie longue et quelles notions y sont rapportées ! A 5 jours du concours, j'ai bien besoin de vos lumières !!!! Je te fais un copier-coller du document d'accompagnement ORL où tout est très bien expliqué avec en rouge les exemples, les notions abordées (p. 7) Emilie Les modalités de travail en ORL et en atelier Les modalités de travail sont fonction de la nature des faits de langue étudiés : 1. L'ORL Au coeur de l'ORL, la voie longue est réservée aux notions essentielles. Il s'agit de travailler sur certains faits de langue, à forte rentabilité morphologique et orthographique1, qui méritent de ce fait qu'on y passe du temps (constituer un corpus d'observations, formuler des régularités, structurer les acquisitions pour les mémoriser…). Ces faits de langue sont en nombre limité et doivent être traités dans le cadre de l'horaire hebdomadaire réservé à l'observation réfléchie de la langue. Ils supposent une programmation des activités et des contenus. Certes, dans la langue tout fait système, chaque mot est en relation étroite avec les autres et il est donc difficile d'établir une progression linéaire rigoureuse. Toutefois, une programmation est possible et absolument nécessaire à l'organisation des enseignements. Ces activités sont programmées a priori pour l'ensemble du cycle, en ménageant des retours et des approfondissements. Exemple : distinction nom/verbe ==> relation sujet/verbe ==> marques d'accord ==> orthographe des finales verbales en /e/ s'écrivant é, és, ées, er, ez etc. Des activités ritualisées, courtes et fréquentes Ces activités, par leur fréquence, visent à construire des attitudes intellectuelles de questionnement, de mise en pratique des savoirs acquis, de transfert dans des situations nouvelles. Elles permettent d'éprouver le plaisir de jouer avec la langue. Exemples : faire une phrase la plus longue possible pour travailler les expansions de la phrase, faire un groupe nominal le plus long possible pour travailler l'expansion du nom… Dans ce cadre par exemple, les phrases-problèmes permettent de sensibiliser les élèves à la compréhension de structures syntaxiques qui leur sont peu familières. Cette activité est brève mais régulière. Exemples : Le maître, lui, enfonce un bonnet sur la tête. L'as-tu, cet as ? Les jeux d'écriture renforcent ce travail et permettent une pratique contrôlée de la langue. (voir chapitre méthodes et outils, page ). 2. Les ateliers partent de la résolution d'un problème rencontré dans la lecture ou l'écriture d'un texte en littérature ou dans l'un des domaines disciplinaires. Les notions sous-jacentes à un tel problème font l'objet d'un travail systématique, mais l'ordre de leur traitement ne s'impose pas. Il s'agit de questions linguistiques rencontrées au cours de la lecture ou de l'écriture d'un texte en littérature ou dans l'un des domaines disciplinaires. Exemples : valeur générique de l'article dans des écrits documentaires (le chat appartient à la même famille que la panthère des calanques), nominalisation en sciences (digérer ÀÆ la digestion). Pourrais-tu nous donner le lien ? STP
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