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Posté(e)

Bonjour,

Je me permet de vous poser une question que j'ai eu l'an dernier à laquelle je n'ai pas trop su répondre, donc si vous avez une réponse.

En fait, j'avais dit que le livre que je présentais était écrit dans une syntaxe simple et que c'était, entre autre, un des arguments qui m'intéressais pour le faire étudier à des élèves.

Le jury m'a alors ensuite poser cette question :

Quel est l'intéret de faire étudier des livres dans une syntaxe compliquée aux élève?

Et des livres dans une syntaxe simple?

Merci pour vos réponse car étant candidate libre, je ne peux pas avoir d'informations par l'iufm.

Posté(e)
Bonjour,

Je me permet de vous poser une question que j'ai eu l'an dernier à laquelle je n'ai pas trop su répondre, donc si vous avez une réponse.

En fait, j'avais dit que le livre que je présentais était écrit dans une syntaxe simple et que c'était, entre autre, un des arguments qui m'intéressais pour le faire étudier à des élèves.

Le jury m'a alors ensuite poser cette question :

Quel est l'intéret de faire étudier des livres dans une syntaxe compliquée aux élève?

Et des livres dans une syntaxe simple?

Merci pour vos réponse car étant candidate libre, je ne peux pas avoir d'informations par l'iufm.

Peut-être que les livres qui sont écrits dans une syntaxe simple permettent, dans un premier temps aux élèves qui ont des difficultés avec la langue d'avoir une première approche de la littérature( à condition que bien qu'écrit dans une syntaxe simple le livre soit quand même une oeuvre littéraire...).

Pour autant il ne faut pas tomber dans la facilité et proposer des textes suffisamment complexes d'un point de vue syntaxique, et préparer le mieux possible les élèves à la lecture autonome.

Bien qu'ayant été à l'iufm cette année, nous n'avons pas abordé cette question alors je te donne simplement mon avis.

Posté(e)

Il est important d'aborder avec les élèves des textes résistants, c'est-à-dire qui ne se comprennent pas à la première lecture, pour effectivement les entrainer à la lecture autonome (pour qu'ils ne se découragent pas à la lecture d'un texte un peu plus difficile que d'habitude) mais aussi pour aboutir à la lecture plaisir: on retire bien plus de plaisir à la lecture d'un texte résistant qu'à la lecture d'un texte facile. Là comme ça à froid il m'est difficile de développer.

Tu peux lire le dossier de synthèse que j'ai eu l'année dernière (aix-marseille 2006) qui traitait de ce sujet.

Je pense qu'aborder des textes faciles se fera avec l'objectif de développer les automatismes de la lecture.

Dans le dossier de synthèse ils parlaient de compréhension littérale et de compréhension fine. Il me semble qu'on travaille ces deux aspects de la lecture en donnant à la fois des textes résistants que l'on interprètera collectivement d'abord(débat), pour arriver ensuite à une interprétation autonome, et des textes non résistatns pour travailler la compréhension littérale (pas de sens caché, il s'agit de comprendre ce que l'on lit)

Bon je m'aperçois que c'est assez brouillon ce que j'ai écris, mais en gros c'est ce que je pense. N'hésitez pas à me dire si je fais fausse route.

Posté(e)

Je vous remercie pour vos réponses qui m'ont permis de comprendre la question à laquelle, je n'avais pas su répondre le jour de l'oral.

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