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...QUESTIONS/SUJETS oral pro MSN...


PEGOUNETTE

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voci des questions d'oral pro, a completer ou rectifier, bonne lecture....

TD N°2 - ECOLE ET CITOYENNETE

1) Comment définissez-vous l’éducation à la citoyenneté à l’école ?

par l'education civique (connaissance des institutions et de leur fonctionnement), par l'education au civisme (qui se preoccupe de diffuser les valeurs de la republique, les valeurs morales ( justice, equité, solidarité, tolerance) ainsi qie les codes sociaux rattachés a notre culture( politesse))

2) Quelle différence faites-vous entre :

· Citoyenneté d’appartenance=appartenir a un etat en l'occurence democratique reconnaissant à tous des droits fondamentaux et citoyenneté de participation= voter, respecter les valeurs et codes, loi·

Citoyenneté=avoir des droits(le droit a l'education, voter) et des devoirs (respecter la loi, les impots) et civilité= education au civisme

· Education morale=justice, equité, solidarité, tolerance et éducation civique=connaissance des institutions et de leur fonctionnement

3) Comment l’école peut-elle former des citoyens ?

Au sein de la classe, on peut relever comme supports de réflexion les 30minutes hebdomadaires, les débats, institutionnalisés par les programmes de2002, mais aussi la pratique des « Conseils »,l’élaboration des règles de vie de la classe avec les élèves, l'analyse du règlement intérieur de l’école, dès le cycle 2, la gestion de la coopérative de la classe, l'organisation des conseils des élèves pour résoudre des problèmes collectifs de vie dans l’école.

L’école et les conseils ont pour objectif éducatif commun de former de futurs citoyens. L’éducation à la citoyenneté vise à donner les moyens et les connaissances pour comprendre le monde et agir sur lui. L’école prépare à l’exercice de la citoyenneté. Les conseils offrent en plus la possibilité de mettre en pratique sa citoyenneté.

4) Que peut-être l’expérience de la démocratie à l’école ?

Depuis quelques années le désir d'initier les élèves à l'exercice de la démocratie se traduit par la création et des conseils municipaux d'enfants et du parlement des enfants.

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1) Comment définissez-vous l’éducation à la citoyenneté à l’école ?

par l'education civique (connaissance des institutions et de leur fonctionnement), par l'education au civisme (qui se preoccupe de diffuser les valeurs de la republique, les valeurs morales ( justice, equité, solidarité, tolerance) ainsi qie les codes sociaux rattachés a notre culture( politesse))

2) Quelle différence faites-vous entre :

· Citoyenneté d’appartenance=appartenir a un etat en l'occurence democratique reconnaissant à tous des droits fondamentaux et citoyenneté de participation= voter, respecter les valeurs et codes, loi·

Citoyenneté=avoir des droits(le droit a l'education, voter) et des devoirs (respecter la loi, les impots) et civilité= education au civisme

· Education morale=justice, equité, solidarité, tolerance et éducation civique=connaissance des institutions et de leur fonctionnement

3) Comment l’école peut-elle former des citoyens ?

Au sein de la classe, on peut relever comme supports de réflexion les 30minutes hebdomadaires, les débats, institutionnalisés par les programmes de2002, mais aussi la pratique des « Conseils »,l’élaboration des règles de vie de la classe avec les élèves, l'analyse du règlement intérieur de l’école, dès le cycle 2, la gestion de la coopérative de la classe, l'organisation des conseils des élèves pour résoudre des problèmes collectifs de vie dans l’école.

L’école et les conseils ont pour objectif éducatif commun de former de futurs citoyens. L’éducation à la citoyenneté vise à donner les moyens et les connaissances pour comprendre le monde et agir sur lui. L’école prépare à l’exercice de la citoyenneté. Les conseils offrent en plus la possibilité de mettre en pratique sa citoyenneté.

J'ajoute:travailler à travers d'autres disciplines,sur des textes fondateurs de la République comme la DDHC ou encore sur des points forts du programme d'histoire qui amène à respecter les différences...,en svt travailler sur la défense de l'environnement(recyclage...),travailler en projets va permettre de prendre en compte l'autre...

4) Que peut-être l’expérience de la démocratie à l’école ?

Depuis quelques années le désir d'initier les élèves à l'exercice de la démocratie se traduit par la création et des conseils municipaux d'enfants et du parlement des enfants.

Importance de donner son avis sur différents(lors de la lecture d'albums,de textes...)lors de l'analyse d'une oeuvre...et accepter toutes les réponses de ses camarades;chacun a son mot à dire.

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TD 1 fiche sur la POLYVALENCE:

- mission du prof des ecoles: etre polyvalent, maitriser et enseigner l'ensemble des disciplines enseignées a l'ecole primaire (de la maternellle au CM2)

-proposer des activités d'apprentissages pluridisciplinaire

-les prog de 2002: confirment l'organisation en cycles, l'importance des projets, l'interdisciplinarité, ainsi que la polyvalence des maitres.

- les intervenants: certes le maitre est censé enseigner ttes les disciplines, mais ds certaines situations, solliciter un intervenant est alors une solution envisageable. il existe des personnes dt c'est le metier, peuvent apporter un eclairage technique confortant les apprentissages (ecrivains, comediens...)

- les echanges de services: recours limité, car il ne faut pas q les echanges de services dénatures le principe de polyvalence: trops d'echanges de services signifie moins de polyvalence, ce qui peut poser pbl par rapport aux missions du prof des ecoles.

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Mission de l’ecole - ECOLE ET CITOYENNETE

-La citoyenneté : met en jeu

.l’education morale, valeurs

.connaissances des institutions, leur fonctionnement, des droits et devoirs du citoyen

.droits= jouissance individuelle de droits civils(opinion, expression,…) et sociaux ( d’education, santé, loisirs, candidats a tte fonction publique)

.Devoirs=respecter la loi, participer aux depenses collectives

Le citoyen se doit de participer a la vis democratique en votant…

-valeurs democratique : l’ecole doit faire connaître le fonctionnement de la democratie et faire agir en democrate, c'est-à-dire en utilisant la liberté et la responsabilité avec souci de justice, equité, fraternité, solidarité.

-La citoyenneté a l’ecole :

.prog de 2002 : nouveauté consiste à inclure 30min de débats hebdomadaires a partir du cycle 2, qui consiste a aider a la construction de la personnalité des eleves, les responsabiliser ds leur rôle de citoyen.

Renforcer les acquis du cycle1 ds le domaine du vivre ensemble, mais aussi conduire une reflexion sur les pbl de la vie sociale, connaissances des institutions et de leur fonctionnement, droits et devoirs de chacun. Ttes les disciplines sont concernées par ces apprentissages et en moyenne une heure par semaine doit y etre consacré.

.Soucis d’education du citoyen dés la maternelle avec les regles de vie, en classe l’elaboration des regles de vie de la classe, analyse du reglement intérieur, des le cycle 2, l’organisation des conseils des eleves pr les pbls de vie dans l’ecole.

.Education civique= connaisssances des institutions et fonctionnement

Education civisme= valeurs de la republique, morales(justice, equité,solidarité,tolérance), ainsi que les codes sociaux(regles de politesse)

-Un acte civique benefique pr tous les eleves : a un moment ou l’education a la citoyenneté devient une discipline transversale, l’integration d’un eleve handicapé dans une classe constitue un formidable moyen de dvlper l’acceptation de la difference, la tolerance, le respect et bien su la solidarité.

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TD N°4 – PEDAGOGIE

-La pedagogie ? toutes les methodes d’enseignement et toutes les qualités requises pour transmettre un savoir.focalise son attention sur l’organisation de la vie de la classe et la relation maitre eleve.

-La didactique ? science qui etudie les phenomenes d’enseignements d’une discipline, les conditions de la transmission et d’acquisition des savoirs.

-Methode traditionnelle ? l’enseignement a essentiellement pour objet le savoir. L'enseignant est seul acteur.

-Methode active ? la pédagogie est centrée sur l'activité de l'enfant et sur ses intérêts.

-Methode libertaire ? préconise une pédagogie où rien n'est interdit, ni obligatoire. Une liberté totale est donnée à l'enfant, il s'autogére entièrement

-Diffrence entre competence et savoir faire ? une competence est un ensemble de savoir faire

-Difference entre :

Competence= possibilité a réaliser une tache, posseder ou non un savoir ou un savoir faire, et performance= indique ce que l’élève a su faire. Elle désigne la manifestation d’une compétence.

(Competence) et capacité= témoigne de ce que l’élève est capable de faire. Elle est utilisée pour la mise en oeuvre d'une compétence.

(Competence) et aptitude= considérée comme une capacité naturelle propre à chaque individu. Elle dénote du potentiel de l’élève.

-Referentiel de competences ? inventaire des competences a acquerir

-Apprendre ? Apprendre, c'est donc aussi enrichir, modifier son état de connaissance et ses structures cognitives.

_________________

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TD N°5 – QU’EST-CE QU’APPRENDRE ?

1) Dans l’acte d’apprendre, y a-t-il contradiction entre le souci de méthode et la nécessité de pratiquer par essais et erreurs ?

La méthode suppose la décomposition, Lorsque l'enseignant guide par la méthode de manière trop directive, l'élève risque d'être passif, alors que l'apprentissage par essais et erreurs est gage d'activité. l’erreur est un outil pour enseigner. Essayer, échouer, recommencer, analyser ses erreurs est sans doute la seule façon d'apprendre durablement. nul ne peut apprendre sans se mettre en déséquilibre, volontairement ou non. obligeant l'apprenant à se confronter à des obstacles et, pour les surmonter, à dépasser l'état de ses connaissances.

2) En quoi les savoirs élémentaires permettent-ils d'atteindre l'autonomie intellectuelle ? l'école républicaine a le devoir de faire acquérir à chacun des savoirs stratégiques (comme lire, écrire et compter) constituant le minimum sans lequel on ne peut jouir de tous ses droits.

3) Peut-il y avoir contradiction entre la mission d'instruction publique et le respect de l'enfant comme individu ?

l'école ne doit pas être fermée à la vie. Elle ne doit pas non plus oublier sa spécificité, laquelle réside dans l'instruction publique. Malgré tout, l'école doit aussi être scolaire.

4) Apprendre ou apprendre à apprendre ?

Apprendre a apprendre : ce qui est transmis passe au second plan par rapport à la technique de transmission. en classe par de nouvelles pratiques qui consistent à engager un dialogue avec l'élève sur ses difficultés et sur ses pratiques, notamment en essayant de lui faire objectiver les procédures employées pour réaliser une tâche, leurs techniques de mise en mémoire et de rappel, ...

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Apprentissage et enseignement - SITUATION D’APPRENTISSAGE

-Qu’est-ce qu’apprendre ?

•l’activité de l’élève en tant que facteur primordial de son apprentissage.

•apprendre met en œuvre une activité dans laquelle l’élève s'implique personnellement et durablement

•l’activité présente un certain niveau de difficulté, mais toutefois accessible à l’élève.

-Situation d’apprentissage :

•Une des missions de l’ecole est de créer des situations qui suscitent la motivation, elles doit aussi donner du sens aux savoirs.

•De la situation vécue au problème à résoudre, Le point d’ancrage d’une situation d’apprentissage est une interpellation, une question sans réponse immédiate, un obstacle à négocier. C’est une rencontre avec un obstacle lors de la résolution d'un problème où la responsabilité de l'apprenant est engagée.

•Dès le problème exposé, à partir des représentations mentales de chacun, les enjeux sont précisés par l'ensemble du groupe classe, le ou les problèmes sont clairement exposés (un problème de langue à résoudre, un voyage à préparer, un document à présenter, un exposé à préparer...)

•Conséquences sur l’enseignant et ses élèves

Pour l’enseignant

- Accepter de suspendre au moins temporairement toute évaluation notation. On n’apprend qu’en sécurité et non sous surveillance.

- Adopter une posture d’accompagnement.

- Pousser à la collaboration entre les élèves.

- Favoriser un retour sur l’activité, sous forme de rapide bilan, ou de fiches auto-évaluatives.

Pour les élèves

- L’enseignant est plus présent, ses camarades attendent la part du travail, il devient difficile d’échapper à la tâche.

- Les formes d’évaluation proposées exigent des efforts l’explicitation, de mise en mots et une certaine lucidité qui favorise l’apprentissage.

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Bonsoir, merci c'est sympa.

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Connaissance de l’ecole – LOI D’ORIENTATION

I. Les principes

1. Le droit à l’éducation

Le droit à l'éducation est un des grands principes de base du système éducatif reconnu à travers l'obligation scolaire, la gratuité, la liberté de l'enseignement. Ce n'est pas un principe nouveau mais c'est la première fois que ce droit fait l'objet d'une telle insistance : « droit à une formation adaptée, droit à l'orientation et celui à l'éducation permanente ; le droit à l'éducation consacre celui à la pré scolarisation et à la qualification reconnue ; le droit au conseil en orientation ».

La loi ne modifie pas la scolarité obligatoire. On est passé du droit à l'instruction au droit à l'éducation, à la qualification et à la formation permanente.

2. L’élève au centre du système éducatif

L'enseignement, l’éducation ne sont pas organisés pour les élèves mais à partir de la réalité de chacun, de ses qualités, de ses défauts, de ses potentialités à développer.

« Mettre l'enfant au cœur du système éducatif » est une préoccupation qui est entrée dans la loi. L’élève doit : · acquérir des connaissances

· construire sa personnalité

3. Le projet de l’élève

Les élèves, se voient reconnaître la capacité d'élaborer leur projet d'orientation scolaire, universitaire et professionnelle en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités avec l'aide des parents, des enseignants, des personnels d'orientation et des professionnels compétents. En parlant de l'élève et de l'étudiant, le texte souligne la continuité de tout projet.. On note un changement fondamental dans la conception de l'élève : il est reconnu, par sa participation à la communauté éducative, comme construisant son savoir. Il est partie prenante dans cette organisation ; par conséquent, il est reconnu comme acteur co-responsable de son éducation. D'ailleurs, la communauté éducative est définie dans l'article 1er : elle rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l'établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à la formation des élèves. On peut noter au passage un changement important de statut officiel pour les parents : ils sont co-responsables de l'éducation du jeune. par sa propre activité

II. Les missions et les objectifs

1. Les missions principales

Elles peuvent être regroupées autour de trois axes :

· Tout d'abord, l'école a pour mission de transmettre des connaissances, des savoirs, une culture.

· L'école a aussi pour but de préparer à la vie professionnelle : « s’insérer dans la vie sociale et professionnelle... acquisition... d'une qualification reconnue ».

· Enfin, elle doit former à la vie en société, à la citoyenneté c'est-à-dire à participer à la vie de la cité.

2. Les objectifs à atteindre

Certains objectifs avaient déjà été envisagés auparavant comme celui « de conduire d'ici dix ans l'ensemble d'une classe d'âge au minimum au niveau du certificat d'aptitude professionnelle ou du brevet d'études professionnelles et 80 % au niveau du baccalauréat ». Il s'agit d'élever le niveau général de formation de tous les jeunes.

III. Nouveautés introduites par la loi

1. L'organisation de la scolarité en cycles

La scolarité de l’école primaire s’organise en trois cycles, de la maternelle au CM2.

Les cycles contribuent à prendre en compte les différents rythmes d’apprentissage des élèves. Ils assurent la continuité des apprentissages. La grande section de maternelle appartient aux cycles 1 et 2 afin de créer une continuité entre ces deux niveaux de l’école primaire. Les compétences exigibles en fin de cycle 1 sont celles de la grande section. Dans le cours d'un cycle, aucun redoublement ne peut être imposé, les objectifs à atteindre étant fixés par cycle. Il ne s'agit pas d'interdire le redoublement mais simplement de le limiter au maximum car, souvent vécu comme une sanction, il doit être réservé à des cas bien particuliers d'échec scolaire. Lorsque d'importantes difficultés apparaissent, le prolongement d'un an de la durée d'un cycle peut être proposé à l'élève et à sa famille. Chaque cycle se termine par une évaluation nationale.

2. Nouveaux programmes

La loi d’orientation annonce l’édition de nouveaux programmes, assortis de compétences à acquérir à la fin de chaque cycle. De nouvelles compétences sont introduites :

· les compétences transversales,

· les compétences méthodologiques.

Ils mettent l’accent sur l’acquisition du langage, des mathématiques et introduisent l’éducation civique.

3. Les évaluations nationales

Elles permettent d’évaluer l’état du système, de mesurer son efficacité. Cette évaluation concerne tous les niveaux : classes, établissements, académies, régions, nation. Le but est de recueillir des informations pour prendre des décisions permettant d’améliorer le système. Les évaluations sont effectuées par la Direction de l’Evaluation et de la Prospective (DEP).

A l’école primaire, chaque cycle se termine par une évaluation nationale :

· les évaluations en début de CE2, (rentrée 2007 ce sera CE1)

· les évaluations d’entrée en sixième, (rentrée 2008 ce sera en CM2)

· depuis 2001, les évaluations en grande section – CP (facultative).

Les évaluations sont destinées à évaluer les compétences des élèves en français et en mathématiques. Ces compétences sont hiérarchisés selon trois groupes : les compétences de base, les compétences approfondies et les compétences remarquables.

4. Les rythmes scolaires

calendrier sur 3 ans avec un nouveau rythme d’alternance des périodes de travail et de repos. L’année comporte 5 périodes de travail de 7 semaines environ séparées par des périodes de repos de 2 semaines environ et 9 semaines de congés d’été.

5. Le livret scolaire

Institué par le décret du 6 septembre 1990, le livret scolaire est individuel et suivra l'élève toute sa scolarité primaire. Il définit les compétences à acquérir au cours de chaque cycle, dans le cadre des programmes et instructions officielles. Selon le BO n° 15 du 13 avril 1995, le livret scolaire présente deux fonctions :

· C'est un outil pédagogique

Il permet une meilleure évaluation des acquis des élèves, un meilleur suivi dans chacune des compétences, une construction des apprentissages mieux adaptée et une liaison entre les enseignants.

· C’est un outil de communication

Il est un moyen pour les élèves de trouver des repères pour se situer dans les apprentissages, d'être responsabilisés. Il est un moyen pour les parents d'avoir des informations sur l'organisation de l'enseignement et les objectifs visés par le maître.

6. Le projet d’école

La loi d'orientation de 1989 demande à chaque établissement de se doter d'un projet. Il correspond à la nécessité d'assurer la continuité des apprentissages et à la volonté de promouvoir le travail d'équipe. Le projet d'école a pour but de mettre en relation les objectifs nationaux et la situation locale, de définir les stratégies les mieux appropriées pour atteindre ces objectifs.

7. La création des IUFM

La création des IUFM répond à trois objectifs :

· donner une solide formation professionnelle à tous les enseignants en partant du principe qu’enseigner est un véritable métier qui nécessite un apprentissage à la fois théorique et technique ;

· situer la formation des maîtres dans les enseignements supérieurs afin de la mettre au niveau de celle dispensée dans les plupart des pays occidentaux ;

· faire face aux besoins importants d’enseignants.

8. Autres nouveautés

· La modification des procédures d'orientation : le jeune construit son orientation au lieu de la subir.

· La création du conseil des délégués élèves.

· La création du conseil national des programmes et du conseil national supérieur de l'éducation.

IV. Missions et objectifs fixés par la Nation

1. Missions du système éducatif

· Chaque jeune construit progressivement son orientation.

· Tout jeune atteint un niveau de formation reconnu (au minimum le certificat d'aptitude professionnelle ou le brevet d'études professionnelles).

Chaque niveau d'enseignement participe à la réalisation de ces objectifs :

· L'école maternelle permet aux jeunes enfants de développer la pratique du langage et d'épanouir leur personnalité naissante par l'éveil esthétique, la conscience de leur corps, l'acquisition d'habiletés et l'apprentissage de la vie en commun. Elle participe aussi au dépistage des difficultés sensorielles, motrices ou intellectuelles et favorise leur traitement précoce.

· L'école primaire a pour objectif fondamental l'apprentissage des bases de la lecture, de l'écriture et du calcul. Elle permet à l'enfant d'étendre sa conscience du temps, de l'espace, des objets du monde moderne et de son propre corps. L'initiation à une langue étrangère contribue à l'ouverture de l'élève sur le monde.

2. L’école au service des élèves et des étudiants

· Réussir l’accueil.

L'école maternelle constitue une étape fondamentale dans la scolarisation d'un enfant. L'influence particulièrement bénéfique d'une scolarisation précoce sur la réussite ultérieure des enfants, notamment à l'école primaire, est aujourd'hui unanimement reconnue. L'école maternelle joue un rôle manifeste en faveur des enfants les moins favorisés devant l'accès au savoir. L'accueil de ces derniers en école maternelle dès l'âge de deux ans et de tous les enfants dès l'âge de trois ans constitue donc un objectif de la politique éducative et les efforts nécessaires doivent être entrepris pour y parvenir.

· Lutter contre l’exclusion scolaire (ZEP, …).

· Réduire les inégalités d’origine géographique.

· Favoriser les actions médico-sociales et l’éducation pour la santé.

· L’intégration scolaire et sociale des enfants et des adolescents handicapés.

· Les droits et les devoirs des jeunes en formation (contrat de formation, création dans les lycées du conseil des délégués des élèves).

· Aider les familles et les jeunes (gratuité des manuels scolaires de la 6ème à la 3ème, attribution de bourse

3. Offrir une formation moderne

· L’élève au centre du système éducatif.

· Les cycles d’apprentissage.

· Les passages de cycles : la continuité éducative.

· Le jeune construit son orientation au lieu de la subir.

· Une réflexion sur les contenus de l’enseignement.

s scolaires).

· Des apprentissages fondamentaux aux technologies modernes.

· La dimension européenne et internationale des formations.

· Les rythmes scolaires.

· Les activités périscolaires.

4. Mieux former et mieux recruter

· Rôle des enseignants.

· Création des IUFM.

5. Une dynamique nouvelle pour les établissements

· Le projet d’établissement.

· Les parents d’élève membres à part de la communauté éducative.

6. Ouvrir l’école à ses partenaires

· Les relations avec les collectivités locales.

· Les relations avec les entreprises.

7. Une concertation accrue et rationalisée

· Création du conseil supérieur de l’éducation.

8. Evaluer le système éducatif

V. La nouvelle politique pour l’école

En 1990, « La nouvelle politique pour l'école » (BO du 1er mars 1990) présente les grands chantiers à mettre en œuvre, suite aux orientations données par la loi d'orientation de 1989 : · mettre en place une pédagogie centrée sur l'élève ;

· s'adapter au rythme de l'élève ;

· se donner les moyens d'évaluer de façon régulière la progression des élèves (évaluation CE2-6ème) ;

· donner aux enseignants plus de responsabilités et de souplesse :

- assouplir l'horaire hebdomadaire,

- promouvoir un travail d'équipe,

- élaborer le projet d'école,

- favoriser le temps de réunions et travail d'équipe en accordant 36 h de concertation annuelles récupérées sur le temps scolaire à raison de 1 h par semaine.

La maîtrise de la langue fait également l'objet d'une série de mesures :

· publication de « La maîtrise de la langue à l’école »1,

· aide à la création de Bibliothèques Centres de Documentation (BCD),

· mise en œuvre de diverses opérations comme « La fureur de lire » ou « Le défi lecture »,

· mise en place d'actions de prévention : dépistage auditif, visuel, des troubles du langage, campagne pour le sommeil des jeunes.

VI. Le nouveau contrat pour l’école

« Le nouveau contrat pour l'école », publié en 1994 (BO n° 25 du 23 juin) propose un calendrier qui organise les décisions annoncées dans la loi d'orientation et définies par « La nouvelle politique pour l'école ».

Il reprend cinq grands principes :

· La transparence : des objectifs simples seront communiqués à tous, renforcement de la continuité école-collège-lycée.

· Priorité au fondamental : maîtrise de la langue, du calcul et accent sur les méthodes de travail des élèves.

· A chacun sa voie : apporter des réponses pédagogiques individualisées, créer des options nouvelles dans le secondaire.

· La nouvelle organisation fait confiance au terrain : le temps scolaire et carte scolaire seront gérés localement.

· Nouvelles missions : aborder les nouvelles techniques à l'école primaire, étendre et systématiser l'apprentissage des langues vivantes, supprimer les devoirs écrits à la maison et instaurer dans l'emploi du temps des études dirigées (30 minutes par jour).

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Missions de l’ecole - LA MAITRISE DU LANGAGE

- Les programmes de 2002

La maîtrise de la langue est une priorité pour tous les cycles. Ces programmes rappellent qu'à l'issue de l'école maternelle, il ne suffit pas que les élèves aient compris « à quoi sert la langue (et notamment l'écrit) », mais qu'il s'avère décisif qu'ils aient été conduits, à travers des tâches spécifiques, à se demander « comment elle marche ».

- Le langage au cycle 1

Les enjeux de l'école maternelle concernent prioritairement l'accès aux langages, langue orale et langue écrite en premier lieu. C'est déjà à l'école maternelle que les pratiques sociales du lire-écrire-compter sont transformées en culture scolaire. Très tôt, l'enfant est placé devant des situations où il manipule des symboles et signes : dessiner, schématiser, tracer des trajectoires, relier par un trait des objets entre eux, marquer son travail, reconnaître son prénom, ...

Le langage oral est le support indispensable et privilégié, il est vu sous ses fonctions de communication, d'évocation et d'anticipation, de structuration de l'espace. L’accent porte sur l'importance du langage en situation. Le passage au langage d'évocation est une autre étape qui nécessite les interventions de l'adulte. Construire une formulation adéquate relève d'un nouvel apprentissage (construction de repères temporels, de la notion de durée, construction de repères spatiaux, ...).

Les fonctions sociales de l'écrit sont bien évidemment sollicitées, mais pas seulement. La distance entre la langue parlée et la langue écrite est importante. L’enfant doit prendre conscience que l'écrit possède ses propres règles aussi bien pour le lexique que pour la syntaxe.

Une première « culture littéraire » le familiarise avec la langue de l'écrit et les usages du français. Les activités graphiques d'écriture sont liées aux apprentissages linguistiques. de la part de l'enfant : comprendre le fonctionnement du code écrit et le principe alphabétique. comprendre que le mot écrit ne renvoie pas à l'objet qu'il représente mais au mot oral, qu'écrire ce n'est pas seulement maîtriser la trace mais mettre en relation les unités graphiques avec les unités sonores.

- Le langage au cycle 2

La relation au savoir devient plus exigeante. En effet, l'enseignement de la langue devient plus explicite et structuré et fait appel à une réflexivité plus forte chez les élèves. Le langage devient un objet d'étude systématisé et conceptualisé, l'apprentissage des techniques (déchiffrage, segmentation, écriture) prend toute son importance. Le fonctionnement du principe alphabétique associé à l'usage de l'écriture procurent une certaine autonomie par rapport au maniement de la langue.

Parallèlement, les connaissances en mathématiques évoluent et suscitent également de profondes transformations dans le rapport au monde des élèves, par la découverte du système d'écriture des nombres. Le cycle 2 se révèle être une étape fondamentale en ce qui concerne l'apprentissage de la langue et le développement de l'élève.

- Le langage au cycle 3

Au cours de ce cycle, l'élève franchit une étape importante de sa scolarité, il va accéder à d'autres formes de pensée. Les compétences en langue orale, en lecture et écriture, en mathématiques enrichissent ses possibilités d'information et d'expression, lui ouvrent l'accès à de nouveaux apprentissages. Son esprit critique est aiguisé, il doit pouvoir traiter des informations complexes, expérimenter, rendre compte, argumenter. L’élève est de plus en plus autonome. Il peut lire et apprendre seul. Cette autonomie, liée à la maîtrise des langages, lui permet d'utiliser avec plus de facilité les ressources documentaires et les nouvelles techniques de communication. Il doit pouvoir également utiliser le langage dans sa transdisciplinarité.

La littérature de jeunesse, privilégiée tout au long de l'école primaire, devient un véritable outil culturel. Ce cycle est caractérisé par le développement de l'observation réfléchie.

La place de la culture écrite à l’école

•Les difficultés de lecture sont invoquées comme un obstacle à la « culture de l'écrit ».

•Nature des écrits à présenter aux élèves : Une part importante de la littérature enfantine choisie dans les classes répond à ces critères : illustrations abondantes, attirantes et simplicité de la langue. On dit que les enfants lisent ce qui est proche d'eux, de leurs préoccupations. Une part importante de la littérature enfantine met donc en scène, sans grande distance, les questions relatives à la vie que se posent les enfants, appelant à une identification directe aux personnages : lire ne donne pas alors à élaborer la question que l'on se pose, mais y apporte des réponses toute faites.

•La culture de l'écrit a une forte dimension sociale : partage de connaissances, d'émotions, de questions.

- En plus : la langue francaise :

• Domaine transversale :

 Parler : cycle 1 le langage de situation et d’evocation a travers ttes les activités. Pr tous les cycles : acquisition d’un langage scolaire. Mettre la langue orale au service de l’education a la citoyenneté (apprendre a discuter, debattre)

 Lire : lecture des ecrits dst tes les disciplines (documentaire et narratif). Horaires quotideins de lecture a repartir dst tes les disciplines : lire des histoires, doc geo, recit en histoire, textes scientifiques..

 Ecrire : production d’ecrit (textes narratifs et documentaire). Horaire a repartir dst tes les disciplines : inventer une histoire, trace ecrite d’une lecon, pdre des notes…

• Discipline specifique :

 L’oral : qde importance (ex : 1/2h de debat hebdomadaire cycle 2 et 3), necessite la mise en place d’un apprentissage programmé/ structuré et inclure la communication ( pdre la parole, tenir compte de l’autre.

 Lecture : cycle2,(9/10h) simultanéité entre code et sens, choisir des supports de lecture qui intègrent litterature et documentaire. Cycle3, (4/5h) se centre sur la litterature, comprehension, interpretation. Ateliers de lecture

• ORL : cycle2 (2h), privilégie un apprentissage ou l(eleve observe, compare, manipule, ture des conclusions et regles afin de se construire des outils pr lire et ecrire plus efficacement.

• Articuler oral/ lecture/ ecriture :

 Lecture et ecriture : ds les 2sens, la lecture peut declencher l’ecriture (inversement). L’apprentissage de la l’ecriture donne des outils pr mieux lire et les performances en lecture facilite l’ecriture.

 Oral/ecrit : l’oral utilisé pr soutenir l’apprentissage de la lecture et l’ecriture :cycle3 debat interpretatif pr lecture litt, lecture a haute voix, moments d’oralisation collectifs…

 ORLl et lecture-ecriture : ORL donne dus outils pr la lecture / ecriture

• Donner du sens : proposer dee reelles situations de communication, un projet motivant, alterner les phases d’hypothese, d’observation et de validation.

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