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Résultats Paris crpe 2007


lydia2454

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Bon l'oral pro est fini... maintenant ma prestation :(

Le dossier était sur l'égalité des chances. Je suis partie plutôt confiante, trouvant le moyen de parler des ZEP, du socle commun, des PPRE, j'ai même réussi à caser quelques trucs de Bentolila que j'avais lu la veille. Donc à la fin de mon exposé (un brin court je crois), je suis confiante.

Et bien, c'était mal connaitre le jury !!

J'ai eu droit à un déluge de questions déstabilisantes : pourquoi l'académie de Rennes est meilleure que celle de Paris ? (j'ai tenté d'expliquer ça par l'immigration mais ce n'est pas ça qu'ils voulaient entendre). Elles m'ont posé une ou deux questions fastoches sur le socle commun et puis comme elles avaient plus l'air de savoir quoi dire, elles ont enchainé en prenant des extraits des textes (écrits par des profs de philo) et j'ai du faire de l'explication de textes :cry:

Vient ensuite l'exposé sur mon livre, là je me dis encore que ça va bien se passer. Et bien non, une des filles a viruleusement critiqué mon dispositif de découverte de l'oeuvre (que j'avais pourtant modélisé par rapport aux docs d'accompagnement) disant que c'était trop scolaire comme dispositif (à l'école on doit faire quoi alors ?).

Elles m'ont reproché de trop décortiquer et de pas laisser les élèves découvrir le plaisir de lire : en gros ce qu'elle trouvait bien c'était de laisser le livre aux élèves et qu'ils le lisent s'ils en ont envie :cry:

J'ai essayé de défendre mon bout de gras comme j'ai pu, avec le sourire en disant calmement que je comprenais son point de vue mais que le mien était valable.

La jury, regardait par la fenêtre, ça avait l'air de la passionner ce que je disais :cry:

Bilan : je suis bien dégoutée, heureusement que je n'étais pas stressée car je crois bien qu'avec un tel jury, on peut facilement se mettre à pleurer :bye2:

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j'ai eu un peu le meme problème que toi lilly_kiitos ils trouvaient que ce que je proposais était trop basé sur le travail suite à la lecture. Ils sont bien gentil mais on va pas faire un exposé en disant ben je leur faire lire le livre si ils en ont envie et puis pendant ce temps je fais autre chose. Si c'est pour faire de la lecture plaisir ils ont pas besoin de l'école... Enfin bon c'est fini c'est le principal ;)

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Bon l'oral pro est fini... maintenant ma prestation :(

Le dossier était sur l'égalité des chances. Je suis partie plutôt confiante, trouvant le moyen de parler des ZEP, du socle commun, des PPRE, j'ai même réussi à caser quelques trucs de Bentolila que j'avais lu la veille. Donc à la fin de mon exposé (un brin court je crois), je suis confiante.

Et bien, c'était mal connaitre le jury !! (3 femmes dont celle en face de moi qui n'avait pas l'air très bien lunée).

J'ai eu droit à un déluge de questions déstabilisantes : pourquoi l'académie de Rennes est meilleure que celle de Paris ? (j'ai tenté d'expliquer ça par l'immigration mais ce n'est pas ça qu'ils voulaient entendre). Elles m'ont posé une ou deux questions fastoches sur le socle commun et puis comme elles avaient plus l'air de savoir quoi dire, elles ont enchainé en prenant des extraits des textes (écrits par des profs de philo) et j'ai du faire de l'explication de textes :cry:

Vient ensuite l'exposé sur mon livre, là je me dis encore que ça va bien se passer. Et bien non, une des filles a viruleusement critiqué mon dispositif de découverte de l'oeuvre (que j'avais pourtant modélisé par rapport aux docs d'accompagnement) disant que c'était trop scolaire comme dispositif (à l'école on doit faire quoi alors ?).

Elles m'ont reproché de trop décortiquer et de pas laisser les élèves découvrir le plaisir de lire : en gros ce qu'elle trouvait bien c'était de laisser le livre aux élèves et qu'ils le lisent s'ils en ont envie :cry:

J'ai essayé de défendre mon bout de gras comme j'ai pu, avec le sourire en disant calmement que je comprenais son point de vue mais que le mien était valable.

La jury mal lunée, regardait par la fenêtre, ça avait l'air de la passionner ce que je disais :cry:

Bilan : je suis bien dégoutée, heureusement que je n'étais pas stressée car je crois bien qu'avec un tel jury, on peut facilement se mettre à pleurer :bye2:

Eh bien j'ai eu exactement le même sentiment que toi. Jamais l'impression d'avoir une réponse satisfaisante... Et les correcteurs qui restent les yeux baissés collés sur leurs feuilles sans nous regarder dans les yeux :angry: . Bon sinon en tant que bretonne, l'explication que j'ai toujours entendu c'est qu'ici on a une très forte tradition scolaire (on se doit de travailler à l'école) et que la compétition a toujours été et est toujours ancrée entre privé et public surtout dans les "campagnes": Peu d'élèves donc un vrai enjeu pour les écoles de savoir les accueillir.

Voilà, maintenant vivement le 4 juillet!! Est ce que quelqu'un aurait plus d'infos sur l'heure des résultats par hasard et sur cette fameuse réunion du lendemain?

Merci!! Et bonne rencontre au fait!

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Tout d'abord, cette petite rencontre etait très sympa et j'espère qu'on pourra se revoir souvent!

Je n'ai pas trop envie de raconter en détail mes oraux car ça fait déjà 5 fois que je le fais aujourd'hui..Pour faire vite, j'ai une bonne impression, j'ai réussi à dire des choses, mon jury était agréable mais assez impassible, je sais pas trop!.. :huh: J'ai peur d'être trop optimiste puis deçue.. Et puis là, j'ai pas assez de recul et un besoin de dormir impérieux!

EDIT : pour celles qui m'ont demandé qui est CREAMY

Maintenant, j'ai un peu honte de ce pseudo.. Je crois que vous me verrez bientot sous un autre..Il me faut juste une inspiration..

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Je suis rentrée. La rencontre très sympa. :)

Ma cheville droite à n'a pas tenu le coup jusqu'à la gare. Là je peux à nouveau plus poser le pied par terre. :(

Sans rentrer dans les détails, je suis écœuré par op aussi bien par le texte, que par l'attitude de mon jury qui m'a enfoncé dans le texte en op et coupé à 6min dans mon exposé de LJ. <_<

La réussite aux concours dépend de la chance, cette année j'ai eut que des jury bizzares (entre anglais qui partent en pause, les questions bizzares d'eps, et aujourd'hui ça a été le summum). Les connaissances et compétences ne suffisent pas, ni le fait d'etre à l'aise à, oral: le plus grand facteur c'est le facteur jury.

Et je n'ai pas été gaté. Mon thème op et son texte ne pas aider. Pour moi le seul suspens qui me reste c'est le relevé de note pour valeur les maths, sciences et le français.

Comme promis aux filles voici un extrait du texte qui a fait foiré mon concours (il manque presque la moitié)

L'école et l'autorité

L'aggravation du désordre et des difficultés de tous ordres rencontrés par l'institution scolaire, conduit à réclamer le retour de l'autorité.

par Jean LOMBARD (Inspecteur d'Académie honoraire)

Jean LOMBARD

Ce dont nous déplorons le manque, pouvons-nous en même temps l’invoquer comme remède ? On attendait de l’école, il n’y a guère, qu’elle mette fin à la violence qui la gagnait par un apport d’éducation à la citoyenneté qui aurait aussi constitué un traitement des maux de la société. A présent, l’aggravation du désordre, qui compromet à terme jusqu’à la possibilité même d’enseigner, conduit à chercher le salut dans le retour de l’autorité, c’est-à-dire de ce qui précisément semble faire défaut.

Prescrire ainsi le renforcement de ce qu’on juge affaibli ou la réaffirmation de ce qui s’est absenté, tout comme on décide de restaurer l’autorité de l’Etat avec les moyens d’un Etat qui est par hypothèse sans autorité, c’est traiter le problème en le supposant d’une certaine manière résolu , c’est recourir à une méthode de supplémentation à la manière des nutritionnistes, par laquelle on ajouterait à point nommé au système éducatif ce qu’il n’aurait pas su produire. C’est en même temps reconnaître implicitement la responsabilité de l’école dans le déficit d’autorité, que ce soit celui qu’elle subit ou celui qu’elle fait subir à la cité tout entière, qui attend d’elle des citoyens disciplinés.

C’est que le rapport de l’école à l’autorité n’est pas un aspect parmi d’autres de l’action éducative mais sa condition fondamentale. Dans le dialogue platonicien qui porte son nom, Lysis, un jeune garçon de bonne famille questionné par Socrate, doit reconnaître que ses parents, qui pourtant ont pour lui un grande affection, ne lui accordent aucune liberté et l’empêchent, dans toute une série de domaines, de faire ce qu’il désire. Plus encore, ils le soumettent, lui, si bien né et futur homme libre, au bon vouloir d’esclaves, et notamment du pédagogue et du maître d’école, pour décider à sa place de ce qu’il doit faire. " Pourquoi, d’un bout à l’autre de la journée, l’éducation qu’ils te donnent consiste-t-elle à faire constamment de toi l’esclave de quelqu’un ? " feint de s’étonner Socrate. " C’est que je n’ai pas encore l’âge ", répond Lysis avec lucidité, avant d’admettre, après réflexion, que ce n’est pas tant de son âge qu’il s’agit mais plutôt d’un savoir et d’une compétence qui lui font pour le moment défaut et dont l’acquisition le libèrera, plus tard, de l’autorité d’abord subie, au terme d’un processus qui est l’éducation même.

En d’autres termes, l’inégalité de savoir et de savoir-faire entre le maître et son élève fonde à elle seule l’autorité comme première condition de l’action pédagogique. Mais le conducteur d’enfants qu’est le pédagogue se distingue radicalement, à cet égard, du conducteur d’hommes. Le respect de l’autorité est à la fois la condition et l’objet de l’activité scolaire : ce qui permet d’apprendre s’identifie, d’une certaine façon, à ce qui est à apprendre. Il y a ainsi une autorité propre à la relation éducative, qui ne vise pas simplement à obtenir, contrairement à l’autorité du chef, l’obéissance nécessaire à l’exécution d’une tâche ou d’une mission extérieure à son propre champ d’action. Son originalité est qu’elle n’a d’autre fin que de produire des effets qui entraîneront sa disparition, ultime expression de son pouvoir. Et dans la tradition scolaire humaniste qui est jusqu’ici la nôtre, les savoirs ne sont pas seulement le résultat de la formation dispensée, ils sont eux-mêmes formateurs, ils contribuent par leur fonction éducative propre, par delà les contenus transmis, à l’édification de la personne. Avec le pouvoir de transmettre ces savoirs à leurs élèves, auprès de qui ils sont, selon le mot d’Hannah Arendt les " représentants du monde ", et à partir de l’autorité que leur confère la nature même de la relation pédagogique, les maîtres semblent bien détenir les clés de la cité d’aujourd’hui et de demain.

Les défaillances de l’autorité et sa mise en cause sont aussi anciennes que l’institution scolaire, si du moins on en juge par leurs symptômes les plus habituels. Depuis toujours, selon le mot de Saint Augustin, " les jeunes troublent l’ordre institué pour leur bien ". Le pédagogue ne peut jusqu’au bout s’appuyer sur la contrainte - même s’il y recourt d’abord - car l’objectif qu’il poursuit est d’élever des sujets libres. Et à ce titre, son autorité est paradoxale : selon les cas, la résistance qu’elle rencontre est un effet positif et souhaité ou un obstacle au processus engagé. Car l’accès des élèves aux savoirs ne s’accommode pas d’un totale docilité, il suppose, au contraire, une capacité de refuser et de s’opposer : c’est le vrai que l’élève doit rechercher et non l’approbation du maître ou la soumission à sa volonté. La curiosité, l’impatience, l’originalité, le sens critique, l’autonomie, sont des facteurs d’indocilité mais ils sont aussi des atouts pour les acquisitions intellectuelles et morales que vise l’école. Le pédagogue est ainsi partagé entre deux obligations d’égale importance : se faire obéir et promouvoir l’initiative et la responsabilité. Le processus d’éducation est à tout instant un mouvement pour transférer l’autorité, mais dans les intervalles, faits d’hésitations, de lenteurs et d’errements, de ce transfert prend naissance le risque de voir l’autorité se perdre et n’être plus nulle part.

Non qu’il ne puisse se concevoir de tentative d’éducation sur un modèle fondamentalement autoritaire dans ses objectifs et dans ses méthodes. Le contre-exemple antique de Sparte, cité conservatrice et réactionnaire, montre bien ce que peut être une éducation d’inspiration totalitaire, au sens premier du terme. A l’école spartiate, l’autorité des maîtres était de nature militaire beaucoup plus qu’éducative. Le risque d’anarchie paraissait donc totalement écarté. Du moins pour un temps, car l’histoire montre que le renforcement de l’autorité et la spécialisation obstinée des exigences scolaires sont constamment allés de pair avec le déclin de la cité, même après la victoire militaire sur Athènes, marquant ainsi l’échec d’un système de formation qui avant toute chose avait pour but d’assurer une sorte de dressage d’Etat, c’est-à-dire d’exercer une autorité qui vise à principalement à s’imposer plutôt qu’à se léguer. Une autorité immédiate, qui se dispense de la médiation des savoirs, ne peut en réalité obtenir d’effets proprement éducatifs. " Il n’y a rien qui soit plus fort que le savoir ", affirme Socrate, mais seulement si, comme à l’école, il n’est pas visé pour lui-même, si on " n’apprend pas les choses comme si on devait être un professionnel, mais en vue de l’éducation, comme il convient que le fasse celui qui n’est pas un spécialiste et qui est un homme libre ". Encore faut-il, évidemment, que les conditions soient réunies pour que la fonction éducative des savoirs puisse avoir ses pleins effets, ce que ne garantit guère le contexte dans lequel fonctionnent aujourd’hui la plupart des systèmes scolaires.

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XXXXXXXX

Et moi il m'ont coupé au bout de 9min 30 en LDJ donc moins pire que toi mais bon. Et j'ai aussi eu l'autorité mais pas avec le meme texte....

Claire

Bonjour

il n'est pas permis pour vous éviter des soucis et nous en éviter aussi, de citer les numéros de jurys et de les décrire de manière à ce qu'ils puissent se reconnaitre.

Merci

Modifié par lilie2fr
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La rencontre de cet après midi était très sympa en effet.

Merci Lydia2454 pour le texte (je le lirai demain pour être franche)

Soigne bien ta cheville !

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Bon courage pour patienter jusqu'au 4...

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Merci Emmanuelle. :)

Je ne peux pas plus poser le pied par terre ce matin, ça va être sympa de descendre les 4 étages pour mon rendez-vous anpe et de les remonter. <_<

Les numéros de jury changent d'un jour à l'autre. Il y a avait un homme et deux femmes. Je laisse volontairement la description imprécise pour pouvoir vous expliquer mon oral en n'étant pas contraire à la charte du forum. Je pense que pour faire mon deuil, j'ai besoin de l'écrire même si je l'ai raconté à plusieurs d'entre vous hier. :cry:

Pour préparer il y avait des travaux dans la cours d'à coté un boucan d'enfer. J'ai quand même réussi à faire un vrai plan intro, une problématique, 2 parties, conclusion. J'ai compris que les 2/3 du 1er texte que je vous ais mis j'ai donc utilisé que les 2/3 des idées. L'accompagnant m'emmène le jury a pas du apprécier qu'on interrompe ça pause. Bref ils me disent de m'installer. J'appuie sur mon chrono et j'attaque. Je tiens presque 6mim. L'homme me demande si veux ajouter quelque chose car il me reste du temps. Vu les conditions de préparation et le texte je ne voyais rien à ajouter j'ai donc répondu que je préférais passer aux questions.

Et en avant la galère. Là j'ai eut le droit qu'à des questions sur le texte, mais que dit l'auteur dans le paragraphe truc, que veut t-il dire dans la phrase machin. Quand j'arrivais à répondre car ça tombait une partie que j'avais comprise j'avais le droit à un "vous pouvez détailler". J'ai eut que 3 questions pas sur le texte en 19 minutes :cry: Comment vous définissez la culture ? Qui a t-il dans un pilier du socle ? (j'avais parle du pilier autonomie et responsabilité) la dame me dit sur un ton agacé "attitude, compétence et connaissance, ça vous dit quelque chose ?" :cry: Enfin on me demande à quelle autorité les élèves se sousmettent à l'école à part celle du maitre ? je réponds les règles de vie à respecter et le règlement intérieur.

Je suis restée zen durant tout l'oral, je les ais regardé ou bien quand ils faisaient référence au texte je relisais le texte. Je n'ai pas fuit le contact de communication mais ils m'ont enfoncé. Au lieu d'élargir à des questions d'un autre domaine (motivation, réussite, violence, égalité des chances) ou de me demander concrètement en classe comment je ferait pour mêttre en oeuvre mon autorité, les deux femmes n'ont fait que m'enfoncer sur le texte dont elle savaient très bien que je n'avais pas compris 100% seulement 70%. Est ce que ne pas comprendre 100% d'un texte aussi dur sur un thème que je n'apprécie pas "le retour à l'autorité et au tradition" fait de moi quelqu'un qui ne peux pas être Pe?

Bref arrive le moment de mon exposé. Je rallume le chronomètre. Déjà on m'oblige à lire l'extrait en 1 et sans que j'ai peux faire mon introduction et justifier le choix du passage. Alors que je pensais que comme toute les académie on pouvait le lire au milieu de son introduction. Puis j'attaque mon exposé. Toujours calme et zen en les regardant tour à tour. Contrairement à eps je parlais, je ne donnais pas l'imprécision de réciter. Mais à 6min quand j'annonce "quelles pistes pédagogiques" ils me coupent en me disant qu'il est temps de conclure. J'essaie quand même de caser mes piste à la va vite en ne détaillant rien : lecture, regroupement, écriture", j'arrive à pour conclure, il devait être 7min et on me dit "stop". Même pas eut le temps de parler de mes deux débats en éducation civiques. Vient ensuite les questions:

- vous parler d'extrait central mais pas au centre du livre donc pourquoi ? je réponds que c'est de là que provient intrigue; "mais au niveau du schéma narratif?" c'est l'élément déclencheur

- à quel autre genre vous pourrez mettre en réseau : je parle de documentaire pour ma partie écologie, ils voulaient entendre fable.

- Ils voulaient que j'étudie la vie des chat en sciences: alors non désolé mais en fin de cm2 j'en voit pas l'intérêt ça aura déjà été fait dans les classes antérieurs et là ils secouent tous la tête en signe de protestation

- Quelle fable de la fontaine: je répond la cigale et la fourmi. Elle me dit : "mes les valeurs ne sont -elles pas contraires" je répond que c'est l'intérêt avoir un roman sur la solidarité et une fable traitant de la non solidarité.

- On me demande où est la morale de mon livre: je réponds que c'est implicite, qu'avec les débats ça apparaitra la morale c'est ne pas avoir peur et l'acceptation de soi.

- puis si il était possible de faire du théâtre à parti de mon dialogue : je répond que oui mais qu'il faudrait refaire le texte pour l'adapter au genre. On me demande de relire le passage.

Je suis toujours ecoeurée. J'ai craqué dans le train à nouveau ce matin. Ce que je n'arrive pas à digérer c'est tout le travail des 6 dernières moi, toutes les connaissances, les 4 aller-retour à paris tous ça pour en arriver là , à tombé sur un texte pareil avec un jury qui enfonce, qui n'essaie même pas voir si j'ai des connaissances sur autre chose, qui me fait faire un commentaire de texte comme en fac de lettre.

Là j'attends même plus le 4 juillet. A moins d'une erreur de saisie et l'ajout de 1 devant le chiffre c'est mort. Tous ce que j'attends c'est mon relevé de note pour savoir en maths, science et français pour pouvoir commencer à bosser. Je pense que la questions sur le socle où elle voulait que je réponde les 3 points était pouvoir me mettre une note éliminatoire pour "méconnaissance des programmes".

Je suis même pas sur le 4 de regarder les résultats, les jeux sont fait ça sert à rien d'enfoncer le clou.

Bonne chance à toutes :clover:

Courage pour l'attente :wub:

J'ajoute que je vais disparaitre du forum un certain temps, si vous avez besoin que j'édite le 1er message pour mettre des infos demande à creamys de me contacter , elle a mon email, sinon pour celles du rendez-vous vous avez mon n° de téléphone , vous pouvez envoyer un sms.

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on ne sait jamais lydia. Comme je t'ai dit apparemment il y a beaucoup de surprises le jour des résultats ! Et parfois un jury est cassant mais donne de bonnes notes, il teste les candidats.

Enfin on verra, en tout cas pour tes 6 minutes d'exposé en LDJ, je pense qu'il aurait fallu protester (gentiment, sans s'énerver :D) Mais je sais, pas facile de le faire sur le coup !

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Oui 6 min tu as le droit de dire quelque chose quand même, mais sans s'énerver ;) Bon plus facile à dire qu'à faire!

Pour ma part j'ai enfin fait une bonne nuit, j'ai dormi comme un bébé, ça fait du bien :D Me reste plus qu'à ranger toute cette paperasse de révisions et les livres qui s'entassent...

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Bonjour,

je ne laisse pas souvent de message sur ce site mais je le trouve vraiment sympa! je passais aussi le concours dans l'académie de Paris et j'ai fini mes oraux depuis lundi... enfin...!!

Dans l'ensemble je resors de ces oraux avec une bonne impression..mais je sais qu'il y a une telle part de subjectif dans tout ça que je ne préfère pas m'avancer...d'autant plus que je ne sais pas du tout où je me situe au niveau des écrits.

J'ai vraiment eu très peur de l'oral pro mais je suis tombée sur un sujet qui m'a beaucoup plu...l'enseignement scientifique à l'école et vu que j'étais en option sciences en majeur je n'ai pas été géné pour monter une situation dinvestigation concrête de manière spontané...ça n'autait pas forcément été le cas si j'étais tombé sur l'histoire... :o

en tout cas, je ne regrette rien, même si je ne l'ai pas... je serai déçue bien entendu mais je pense avoir fait ce que j'avais à faire...

maintenant il faut attendre les résultats..c loooooonng... :cry: et dire qu'il y en a qui n'ont pas encore fini...

en tout cas, à tout ceux-là je leur dis le mot de 5 lettres et du courage...surtout du courage.... :blush:

je vais tâcher de participer de manière plus active au forum

Alors a bientôt!! :wub:

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