Aquacrea Posté(e) 17 juin 2007 Posté(e) 17 juin 2007 Non, je ne pense pas que c'est payant ! C'est au bon vouloir du PE non, peut-être dans le cadre d'un CEL.. ou une autre personne du type EVS... Je ne sais pas..
Charivari Posté(e) 18 juin 2007 Posté(e) 18 juin 2007 Les études dirigées n'existent plus non ?? SI, elles sont citées dans le préambule des programmes ! Mais les études dirigées c'est EN CLASSE, donc c'est très différent : on peut très bien donner des exercices écrit,s puisque c'est en classe justement : ça n'allonge pas la journée de travail des élèves, et le maître est là pour décoincer els élèves empêtrés dans leurs divisions. Il ne faut pas confondre Etudes dirigées et Etude du soir, que certaines municipalités organisent.
Charivari Posté(e) 18 juin 2007 Posté(e) 18 juin 2007 Extraitd e la loi de 1956 qui, je trouve, reste très actuel : "Les études du soir, rappelons-le, si elles n’ont rien d’obligatoire, correspondent en bien des milieux à une nécessité sociale. Travail extérieur de la mère, conditions médiocres de logement, autant de justifications du maintien et du développement des études. [...] Mais, exonérées de l’exécution des devoirs écrits, les études sont-elles destinées à devenir de simples garderies ? S’y résigner serait, malgré leur rôle social, les condamner à brève échéance. Il faut donc qu’elles conservent leur fonction éducative et que, sans être indispensable à l’instruction des enfants, le temps que ceux-ci y passeront ne soit pas, et même ne semble pas être du temps perdu. Vue sous cet angle, que sera donc l’étude du soir ? Elle aura pour objet essentiel l’étude des leçons. Le maître surveillant s’assurera que le texte de la leçon est compris. Au besoin des interrogations orales rapides, des interrogations par procédé La Martinière précéderont et appelleront les explications nécessaires. C’est à ces occupations que sera employée la première partie de l’étude du soir. Le reste en sera consacré soit à des occupations individuelles, soit à des occupations collectives. En ce qui concerne les premières, nous n’en voyons guère de plus profitable que la lecture d’un livre de la bibliothèque, d’un livre récréatif et attrayant, capable d’intéresser des enfants tout en contribuant à leur éducation. La littérature enfantine, tant française qu’étrangère, offre un choix plus que suffisant d’ouvrages de cette sorte. Ainsi sera encouragé chez les élèves le goût de la lecture, goût qu’ils auront des chances de conserver".
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