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Travailler et s'entrainer l'OP 2008: partie entretien


cococacao

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ne t'inquiète pas felicity ça viendra au fur et à mesure des entrainements! Moi non plus je ne suis pas une experte: 7 à l'OP cette année... par contre je compte bien mettre le paquet en 2008!

Voici le plan de travail que j'ai modifié:

I- intro/plan détaillé/conclu

II- situations de classe rencontrées

III- Définitions de mots-clés

IV- Autres thèmes liés au sujet

V- Questions types jury ou personelles+ éléments de réponse (ou à compléter)

VI- Documents et pédagogues (ou personnes) de référence

Voilà ça me parait bien!

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En cherchant sur l'auteur du T1 voici ce que j'ai trouvé: (d'après l'auteur)

Qu'est-ce que l'Autorité?

un concept évanoui

Pour faire suite au chapitre sur la rupture avec la tradition elle remet en question la notion d'autorité comme concept fondamental de la philosophie politique. Elle nous dit que ce dernier est tellement brouillé, qu'il a pratiquement disparu. C'est au début du XXème siècle que s'effondre la conception traditionnelle de l'autorité. On peut dire qu'elle implosera. Toutes les autorités traditionnelles se sont effondrées sans que celui-ci ne soit le résultat direct du régime ou du mouvement dans lequel elle s'exerçait.

L'autorité, une définition unique ?

Il n'existe pas une définition unique de l'autorité. Il en existe de multiples que se soit chez les philosophes grecs, romains, dans le christianisme ou dans l'œuvre de Machiavel. Pour Hannah Arendt, l'un des indicateurs le plus significatif de l'extinction de l'autorité, est son arrêt dans les sphères pré-politiques comme l'éducation ou l'instruction des enfants. Le concept du rapport maître/élève et le rôle de l'éducation qui est d'assurer la continuité de la civilisation se sont éteints.

S'il fallait donner une définition

L'une des plus grandes erreurs conceptuelles est d'établir une confusion entre obéissance pouvoir et violence. Par définition l'autorité exclut l'usage de moyens extérieurs de coercition. Là où la force est employée l'autorité a échoué. Elle est incompatible avec la persuasion qui présuppose l'égalité et opère par un processus d'argumentation. Cette question sera centrale dans toute la philosophie grecque romaine et même plus tard dans les oeuvres de Saint-Augustin. Le concept d'autorité élaboré par Platon fut constamment repris par celui-ci afin de sortir de la problématique "autorité et violence".

Une crise de la religion

Pour Hannah Arendt, la disparition de l'autorité est une conséquence conjuguée de la disparition de la Tradition et de la Religion. Par Tradition il faut entendre le fil conducteur, qui nous permet de nous retrouver dans le domaine du passé. Il ne s'agit pas, d'opposer tradition et progrès. Elle établit une différence importante entre crise de la foi et crise de la religion. L'une étant la représentation séculière de l'autre. Par crise de la religion elle entend crise des croyances et des dogmes.

Pour l'auteur la question de l'autorité se pose en priorité dans les sociétés à régime autoritaire. La perte de l'autorité est surtout préjudiciable aux êtres faibles, fragiles, car ils se retrouvent sans repères en incapacité de contourner "les agents" des systèmes.

Régime autoritaire, tyrannique ou totalitaire

La compréhension de l'autorité comme d'autres notions qui relèvent de la philosophie politique, dépend du point de vue de celui qui les énonce. Dans cette partie Hannah Arendt développe à la fois ce qu'elle appelle les thèses de l'écrivain libéral (il faut entendre ce mot au sens anglo-saxon du terme) et les thèses défendues par l'écrivain ou le penseur conservateur.

Avant de parler de ces différentes approches, elle s'intéresse à la définition de trois mots, décrivant des formes de gouvernement :

* autoritaire

*tyrannique

*totalitaire.

Ces trois notions, sont des terminologies qui pour l'auteur font confusion dans l'esprit de la plupart des penseurs. A titre d'exemple, elle en compare les technostructures.

Elle établit que le gouvernement autoritaire pourrait s'assimiler à une pyramide chaque strate successive possédant quelque autorité mais moins que la strate supérieure. Le siège du pouvoir, se situe au sommet, le pouvoir descendant vers la base. Les références du pouvoir se situent hors de cette pyramide. La monarchie de droit divin illustre très exactement ce concept.

Quand elle parle du régime tyrannique, il est question d'un seul qui gouverne au-dessus de tous. Tous sont égaux c'est-à-dire sans pouvoir. C'est ce que Platon appelle "un loup à figure humaine".

Dans un régime totalitaire, l'image prise serait celle de l'oignon. Chaque couche est en contact avec la précédente le gouvernement étant au centre. Quoi qu'il fasse il le fait de l'intérieur non de l'extérieur comme dans un gouvernement autoritaire. Toutes les couches extraordinairement multiples de cette organisation: bureaucratie, formation, police…, sont reliées entre elles et forment des couches protectrices autour du gouvernement central.

Le penseur libéral prendra la mesure d'un de ces processus au regard de la désagrégation de la liberté tandis que le conservateur prendra la mesure de celui-ci, au regard d'une régression croissante de l'autorité. Si nous essayons de regarder ces interprétations nous pouvons conclure que l'on est plutôt en présence d'un double processus de régression de la liberté et de l'autorité. L'analyse de l'autorité, d'un point de vue libéral ou conservateur, sera plus le résultat d'une oscillation violente de l'opinion que réellement un processus de pensée.

Durant quelques pages l'auteur continue à expliquer que la lecture interprétative des deux parties en présence, aboutit généralement à la même analyse finale.

L'autorité chez les Grecs

Avant de faire un développement comparatif des nuances ou des différences entre la pensée de Platon et celle d'Aristote, Hannah Arendt, nous explique que chez les Grecs le siège de l'autorité, c'est "la maison" et non la sphère politique de la Cité. Le chef de famille règne en tyran. Il n'est pas possible que les Grecs appliquent cette tyrannie à la politique. Les affaires de la cité, sont par définition, le lieu de la parole, de la liberté, elles rendent le pouvoir coercitif, incompatible avec leur propre liberté, et celle des autres. La notion de despote, est inconcevable chez les Grecs. L'ouvrage fondamental qui traite de l'autorité dans la philosophie politique, est "la République" de Platon. Le pouvoir ne réside pas dans la personne ou dans l'inégalité mais dans les idées qui sont perçues par le philosophe. Chez Platon, ce sont les philosophes qui dirigent la cité. On retrouve ces paraboles dans le chapitre central de la République, "le mythe de la Caverne" .

Dans sa philosophie politique, Aristote tente d'établir un concept d'autorité, en terme de dirigeants et de dirigés. Il est le premier penseur à introduire le concept de domination dans le maniement des affaires humaines. Pour Aristote le gouvernement de "la maison" est fondé sur une seule personne alors que celui de la cité, est par nature composé de nombreux dirigeants.

Ici apparaît le concept de domaine privé et de domaine public. La liberté dans le domaine politique commence après que toutes les nécessités élémentaires de la vie pure et simple ont été maîtrisées par la domination. De ce fait, la domination, le commandement et l'obéissance, le fait d'être dirigé et de diriger sont des conditions préliminaires à l'établissement d'un domaine public. Dans ses écrits, Aristote s'intéresse beaucoup au concept d'éducation, et au rapport qui peut exister entre autorité, direction et domination. Il faut attendre la philosophie romaine, pour prétendre qu'en toutes circonstances, les ancêtres, transmettent la pensée politique et sont l'exemple de la grandeur pour chaque génération. On voit bien que cette idée a profondément nourri l'ensemble des penseurs conservateurs.

La pensée romaine

Au cœur de la pensée romaine se tient la conviction du caractère sacré de la fondation. Une fois que quelque chose a été fondé il demeure une obligation pour toutes les générations futures. Tout l'empire romain était administré de, par et comme Rome. Cette idée forme le contenu politique de la religion romaine. Ici religion signifie "re ligare" c'est-à-dire être relié en arrière. Être religieux signifiait être lié au passé. C'est dans ce contexte que le mot même d'autorité "autorictas" qui signifie "augmenter" apparaît. L'idée de "qui commande" augmente constamment. L'autorité est obtenue par transmission, par héritage. Les Romains pensent que la maturité était dirigée vers le passé. C'est dans ce contexte que le passé est sanctifié par la tradition. Nous retrouverons cette notion dans la pensée chrétienne. La source de la pensée politique romaine, la source de l'autorité, était lié à une Trinité: la religion l'autorité et la tradition.

La pensée Chrétienne

Nous retrouvons ce contexte de résistance de l'esprit romain, de solidité du principe de formation après que Rome eût chuté, quand l'héritage politique et spirituel de cet empire passe à l'église chrétienne. L'église s'adapte si parfaitement à la pensée romaine, qu'elle fait de la résurrection du Christ la pierre angulaire d'une nouvelle "Fondation". À son origine la foi chrétienne était anti politique, anticonstitutionnelle. C'est Constantin Le Grand qui fait appel à elle pour assurer à l'empire la protection "du Dieu le plus puissant". Chez les chrétiens, le concept d'autorité est associé au mot sacré et à son corollaire dans le pouvoir temporel royal. L'analyse approfondie de la pensée politique chrétienne, nous permet de voir qu'elle intègre le concept grec de mesure et de transcendance et le concept romain de commencement et d'acte fondateur. Ce que les penseurs chrétiens ajoutent, c'est un système élaboré de récompenses et de châtiments pour les faits et les méfaits qui n'ont pas trouvé leur juste appréciation sur terre. La notion même d'Enfer naît aux environs du Ve siècle. Cette notion d'Enfer vient de Platon, pour lequel l'immortalité de l'âme du philosophe était déjà décrite. Elle s'étend pour les chrétiens à l'ensemble des humains. Chez Saint-Augustin, on peut lire de subtiles doctrines définissant avec précision l'enfer, le purgatoire, et le paradis. Pour les chrétiens la théologie, science qui permet d'établir des règles de conduite pour la multitude, ouvre les principes de la science politique. L'introduction du concept d'enfer platonicien renforce l'autorité religieuse à tel point qu'elle pouvait espérer demeurer victorieuse de tous les conflits réguliers. Pour la pensée religieuse, il est d'une ironie terrible que la bonne nouvelle des évangiles : "la vie est éternelle" aboutisse par la suite non à un accroissement de la joie, mais à un accroissement de la peur sur la terre.

Les idées de Machiavel

Le concept même de rupture de l'autorité est contenu dans l'idée politique de révolution. Le premier penseur à se représenter la révolution fut Machiavel. L'ensemble de l'œuvre philosophique de Machiavel, son indifférence à l'égard des jugements et son absence de préjugés rendent l'approche de ses théories diabolique. C'est sans doute plus la forme que le fond qui a contribué à sa réputation. Bien qu'il ne soit pas le père de la science politique, il énonce bon nombre de principes qui sont repris ensuite par des philosophes. Il affirme que dans le domaine public de la politique, les hommes doivent apprendre à "pouvoir n'être pas bons" jamais il a dit: "à être mauvais".

Chez Machiavel la vertu qualité spécifiquement politique n'a ni la connotation morale des romains ni l'essence d'une excellence neutre des Grecs. Son mépris des traditions chrétiennes, vise surtout une église qui a corrompu la vie politique de l'Italie de son siècle. Tout au long de ses oeuvres, Machiavel repousse l'idée séculière de l'église. Il est, dans sa volonté patriotique de fonder une Italie unifiée ayant pour pierre angulaire "l'accord politique éternel", le père fondateur de l'état-nation et de la raison d'état. Comme le fait plus tard Robespierre, Machiavel pense que la fondation est l'action politique centrale et que tous les moyens pour créer cette fondation se justifient. On voit la l'écart qui le sépare d'Aristote et de Platon.

Les révolutions

L'autorité comme on la connaissait jadis, naît de l'expérience romaine de la fondation et des lumières de la philosophie grecque. Nulle part elle n'avait été instituée par les révolutions, ni par le moyen encore moins prometteur de "la Restauration". Le concept de révolution délivrant l'ensemble des hommes ne se retrouve pas dans l'état d'esprit des courants conservateurs qui balaie souvent l'opinion. Seul le contre-exemple de la révolution américaine apportera une nouvelle lumière au concept d'évolution de l'Autorité politique. Sans qu'il soit fait référence à une fondation passée les pères fondateurs ont agi sans violence, à l'aide d'une constitution et ont fondé un accord politique totalement nouveau.

site sur H.ARENDT

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ET voici pour le T2:

Bernard Rey

Faire la classe à l'école élémentaire

Paris, ESF, 1998.

Comment mettre les élèves au travail ? Comment préparer la classe ? Comment ramener à la tâche les élèves distraits ou agités ? Comment mettre en place des activités qui fassent réellement apprendre ? Comment réagir à l'agressivité ou à l'insolence de tel ou tel ? Comment et quand évaluer ? Comment aider les élèves en difficulté ?

À ce type de questions ce livre donne des réponses précises et concrètes, et même ce qu'on pourrait appeler des " recettes ". Mais faire la classe n'est pas une activité ordinaire qu'on pourrait pratiquer mécaniquement. Il faut faire des choix et se donner des principes. Ce sont eux que Bernard Rey s'attache à éclairer.

Il s'adresse ainsi aux enseignants débutants. Mais le livre provoquera aussi la réflexion des maîtres chevronnés. Quant aux parents d'élèves, ils trouveront grâce à lui un accès aux coulisses d'une activité qui concerne, jour après jour, leurs enfants.

Table des matières

Introduction

1. Avoir de l'autorité

Peut-on se passer d'autorité et de discipline ?

Qu'est-ce que l'autorité ?

Les élèves difficiles

2. Intéresser les élèves

L'école, un lieu d'apprentissage particulier

Apprentissage et projet

Que faut-il enseigner ?

La question du savoir

Pour une pédagogie du problème…

3. Préparer une séquence

Des dispositifs traditionnels

Le processus d'apprentissage

Concevoir une situation d'apprentissage

Les étapes d'une préparation de séquence

4. Conduire la classe

L'organisation spatiale de la classe

L'organisation temporelle

Travail collectif, travail individuel, travail en groupes

Les règles de fonctionnement de la classe

Les attitudes du maître

5. Différencier

Les cycles et la pédagogie différenciée

L'évaluation, une pratique de différenciation ?

Différencier son attitude : les parents d'élèves

Collègues et collaborateurs

Conclusion

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Et bien dis donc COCOCACAO : quel courage !!!!!

Ne pourrais-tu pas m'en donner un peu car moi, je suis encore en vacances, je ne fais rien, rien, rien... :whistling::blush:

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Et bien dis donc COCOCACAO : quel courage !!!!!

Ne pourrais-tu pas m'en donner un peu car moi, je suis encore en vacances, je ne fais rien, rien, rien... :whistling::blush:

:) hihihi et pourtant je ne suis pas en vacances! je bosse en centre de loisirs, enfin la semaine je fais pas grd chose pr crpe à part pdt la sieste des petits je lis des cours

Mais je me répète je suis ultra motivée! lol :albert:

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coucou, je veux bien me joindre à vous! Je rentre à l'iufm d'Orleans et je passel e concours pour la première fois,il f aut juste m'expliquer comment on fait ?

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sujet OP et +

Nous préparons le sujet 1 d'OP pour fin sept voire mi sept si tt le monde est pret.

Le plan de travail est donné ci dessus.

Tu t'inscris ds la liste des pseudos preparant les textes

Voilà

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J'avais mis une fiche sur le forum oral pro du livre de bernard rey "faire la classe à l'école élémentaire". On doit la trouver en utilisant la fonction recherche

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Pour ma part j'ai fait un 1er jet du plan détaillé en 30 min environ selon moi (tte seule), ensuite je me suis un peu documenté sur le sujet, j'ai rédigé l'intro selon la methode de l'édition foucher et je vais bientot rediger la conclu mais ça ne me dérange pas de potasser des cours sur le sujet, meme si le jour J je n'aurai que mes connaissances: justement je les construis maintenant!

Et tant mieux si je te motive!!!!!!!!

Je voulais aussi vous dire que d'après vos réponses par MP plsrs d'entre vous préfèrent que l'on s'envoie nos prépa par mail perso et débattre sur le forum: vous êtes toutes OK? Pour moi oui!

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Salut! Alors voici les filles qui m'ont répondue:

plouloute

lita3

cachou67

krys84

meliloax

orion144

julie22

lisede

nanny

Soit 9 et on doit être 12 ou 14 je ne sais plus trop. Je pense que certaine sont en vacances et vont me répondre bientot n'est ce pas?!

Dc si je me trompe pas tt le monde m'a dit qu'on s'envoie nos travaux par mail, bcp veulent ensuite debattre sur le forum et qq unes sur msn

Voilà pr le bilan.!

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Salut! Alors voici les filles qui m'ont répondue:

plouloute

lita3

cachou67

krys84

meliloax

orion144

julie22

lisede

nanny

Soit 9 et on doit être 12 ou 14 je ne sais plus trop. Je pense que certaine sont en vacances et vont me répondre bientot n'est ce pas?!

Dc si je me trompe pas tt le monde m'a dit qu'on s'envoie nos travaux par mail, bcp veulent ensuite debattre sur le forum et qq unes sur msn

Voilà pr le bilan.!

ja ne t'ai pas répondu? :o désolée, je suis tête en l'air! Je suis de la partie bien sûr

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Pt etre ai je effacé ton MP par megarde?

ça fait 10 réponses, dc on s'envoie par mail et on débat sur le forum? comme me dit felicity msn serait plus rapide,elle m'a parlé aussi de yahoogroupes...

Envoyer moi votre email par MP et je vous enverrai la liste totale à ttes

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