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Signer son travail


tartinette

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Comment faites-vous ?

J'ai essayé de passer derrière chacun des élèves qui travaillaient sur fiches ou sur feuille Canson pour écrire le prénom (Quelle perte de temps et ça les interrompait ....).

J'ai essayé de l'écrire avant qu'ils le mettent dans leur casier (j'ai été débordée et certains m'ont échappé).

J'ai essayé de les écrire avant et de les poser sur les tables mais 7 ou 8 ne reconnaissent pas encore leur prénom et écrivent sur la feuille d'un autre ..

J'ai essayé les étiquettes autocollantes : ils les ont collées en plein milieu du travail, ou ils n'arrivent pas à les décoller de la feuille (pour ceux qui sont arrivés à les reconnaître). Et mes étiquettes sont trop grandes ....

Je ne sais quoi faire ...

Et comment leur faire signer le travail de manipulation (avec leur étiquette prénom ?) car parfois ils quittent la table avant que je puisse valider car je finis avec un autre grooupe et je ne sais plus qui a fait quoi dans la tri ou la pâte à modeler.

Je suis la méthode DUmont donc pas question pour l'instant de leur faire écrire leur prénom même pas l'initiale. De toutes façons, apparemment, très peu savent d'après mon collègue qui m'a remplacée une journée.

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Je suis sur que d'autres edpien te proposeront d'autres solutions. ;)

Quand j'étais élève à la maternelle on avait tous un symbole qui nous permettait de signer notre travail. Moi j'avais une pomme.

Personnellement je trouve l'idée du symbole intéressante car ça les responsabilise et ça leur donne de l'autonomie. Les élèves le dessinent quand ils commencent et quand les travaux sont rangés ça leur permet de trouver tout seul le leur. Cette idée demande certainement du temps pour qu'ils le mémorisent et le dessinent systématiquement mais on est en début d'année, ça sera plus simple de leur faire prendre cette habitude.

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Je suis sur que d'autres edpien te proposeront d'autres solutions. ;)

Quand j'étais élève à la maternelle on avait tous un symbole qui nous permettait de signer notre travail. Moi j'avais une pomme.

Personnellement je trouve l'idée du symbole intéressante car ça les responsabilise et ça leur donne de l'autonomie. Les élèves le dessinent quand ils commencent et quand les travaux sont rangés ça leur permet de trouver tout seul le leur. Cette idée demande certainement du temps pour qu'ils le mémorisent et le dessinent systématiquement mais on est en début d'année, ça sera plus simple de leur faire prendre cette habitude.

Personnellement, je ne trouve pas que ce soit une bonne idée :blush:

Certes, c'est pratique car les élèves peuvent eux-même aposer leur marque... cependant, ça enlève un contexte dans lequel il est utile d'écrire son prénom et donc d'apprendre à le faire ou à le reconnaître. Si ils voient qu'il suffit de mettre une pomme à la place de leur prénom, où sera la motivation pour l'écrire ?

Je peux me tromper mais je ne suis pas sûre que ce soit justement la solution :blush: :P

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Le symobole était utilisé en MS et GS. Dans mon cas, ça n'a pas empecher que tous ceux qui étaient en maternelle zep avec moi de savoir lire et écrire en cp à noël. :P (autre temps, autres méthodes ... quand je lit des sujets traitant d'élève en ce2 qui savent à peine décoder ça me révolte)

Je comprend la question que tu soulèves. Mais la motivation pour écrire ne provient pas que de ce contexte d'écriture de son prénom. L'envie de savoir lire et écrire vient de plein d'autres choses comme : l'envie de dire quelques chose aux autres, de laisser une trace écrite de ce qu'on a fait ou de ce qu'on pense pour s'en souvenir plus tard, l'envie de pouvoir lire soi même une histoire ....

L'utilisation du symbole leur donne une autonomie qui crée une envie d'aller plus loin. Je dirais même que ça leur montre l'utilité de partagé un code visuel ensuite il leur restera à apprendre le code qu'utilise toute la société (signe linguistique) et non uniquement celle de leur classe (signe visuel d'un objet qui est associé à un prénom). Ils savent que le symbole dans mon exemple la pomme n'est pas leur prénom.

Il est ensuite possible en fin de MS ou GS de l'utiliser pour montrer aux élèves que les adultes de l'extérieur ne savent pas associer le symbole à leur personne, qu'eux ils utilisent des lettres qui forme un mot, ici leur prénom et donc qu'il est important d'apprendre ce code écrit utilisé par les adultes. C'est aussi ce code qui se trouve dans les livres, sur les affiches .....

Comme je le disais dans mon 1er message , il y a surement d'autres solutions pour résoudre le problème de tartinette : toutes auront leurs qualités et leurs défauts. :)

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Le symobole était utilisé en MS et GS. Dans mon cas, ça n'a pas empecher que tous ceux qui étaient en maternelle zep avec moi de savoir lire et écrire en cp à noël. :P (autre temps, autres méthodes ... quand je lit des sujets traitant d'élève en ce2 qui savent à peine décoder ça me révolte)

Je comprend la question que tu soulèves. Mais la motivation pour écrire ne provient pas que de ce contexte d'écriture de son prénom. L'envie de savoir lire et écrire vient de plein d'autres choses comme : l'envie de dire quelques chose aux autres, de laisser une trace écrite de ce qu'on a fait ou de ce qu'on pense pour s'en souvenir plus tard, l'envie de pouvoir lire soi même une histoire ....

L'utilisation du symbole leur donne une autonomie qui crée une envie d'aller plus loin. Je dirais même que ça leur montre l'utilité de partagé un code visuel ensuite il leur restera à apprendre le code qu'utilise toute la société (signe linguistique) et non uniquement celle de leur classe (signe visuel d'un objet qui est associé à un prénom). Ils savent que le symbole dans mon exemple la pomme n'est pas leur prénom.

Il est ensuite possible en fin de MS ou GS de l'utiliser pour montrer aux élèves que les adultes de l'extérieur ne savent pas associer le symbole à leur personne, qu'eux ils utilisent des lettres qui forme un mot, ici leur prénom et donc qu'il est important d'apprendre ce code écrit utilisé par les adultes. C'est aussi ce code qui se trouve dans les livres, sur les affiches .....

Comme je le disais dans mon 1er message , il y a surement d'autres solutions pour résoudre le problème de tartinette : toutes auront leurs qualités et leurs défauts.

Le remplacement de l'écrit par un symbole me gêne ....d'autant que je suis inspectée et que cela me sera certainement reproché.

Par ailleurs, entre la poire de l'un et la pomme de l'autre, on risque de confondre ....

Enfin, j'ai décidé de commencer l'année par un travail sur la reconnaissance du prénom, le sens de l'écriture, la différence lettre/mot. Proposer un symbole dans ces conditions me paraît bien mal venu. M^me si je ne doute pas que cela n'empêchera pas ceux qui ont envie d 'apprendre à lire de le faire par la suite .

Mais tant d'élèves baignent dans un environnement où l'écrit est supplanté par l'image (télévision, écran d'ordinateur, pub envahissante , des parents qui lisent de moins en moins sur papier ....) que je tiens à les confronter très tôt aux différentes fonctions de l'écrit.

Comme tu le disais, autres temps , autres moeurs ...

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Au début de l'année, je récupère des petites briques de lait de la collation, je lave les boites et les élèves les décorent. C'est la boite à prénoms.

Ensuite la boite (avec leur photo dessus) va dans leur casier et à chaque fois qu'ils ont font un dessin, une peinture, une fiche... ils commencent par coller leur prénom dessus en se servant des étiquettes rangées dans leur boite.

Les étiquettes sont petites (genre 2X5 cm) et je mets toujours un cadre en haut à gauche des feuilles pour qu'ils la collent dedans.

Au début, je perds du temps pour leur montrer où se trouve la boite, comment coller.... mais très vite les enfants sont autonomes.

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Tu peux utiliser des petites étiquettes (autocollantes ou non) rangées dans un casier à vis sur lequel figurent les prénoms et éventuellement les photos des enfants.

Quant à coller l'étiquette au bon endroit, il faut que tu insistes là-dessus dans les ateliers que tu diriges et dans ceux de l'ATSEM. Pour les fiches qui ont été faites en autonomie, tu peux faire remarquer au moment du bilan: que l'étiquette cache le travail, qu'il n'y a pas d'étiquette donc qu'on ne peut pas ssavoir à qui appartient le travail... Bref, faire verbaliser ce qu'il faut faire. Ils prendront vite le pli, tous mes TPS-PS y arrivaient, alors il n'y a pas de raison.

Pour les ateliers de manip en autonomie, le respect d'une consigne est peut-être encore difficle pour eux, mais tu peux aussi faire remarquer que tu ne sais pas qui a fait quoi, que tu ne sais pas s'ils ont réussi au moment du bilan. Et tu peux définir avec eux un endroit où ils viendront poser ce qu'ils ont réalisé quand ils ont terminé.

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Personnellement, j'opterais pour la solution de Plume.

En ce qui concerne les symboles, il y a un truc qui me chiffonne....La signature, pour moi, indique DE QUI vient le message, ou A QUI appartient l'élément. Donc, le travail appartient à Pomme ou à Poire :o !?! Bizarre.... <_<

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L'an dernier, mes MS pouvaient soit écrire leur prenom, soit le coller. Au début, il le faisait derriere leur travail, pour avoir de la place et pour ne pas gacher leur travail....puis petit à petit dans une case qui est devenu de plus en plus petite !

J'ai dit aux enfants que lorsque leur reserve serait vide, il serait temps de savoir écrire son prenom...Certaisn petits malins ont donc gardé des etiquettes pour les jours où ils seraient fatigués ! :D

Le matin, je les aidais à écrire leur nom sur leurs dessins en ecrivant leur nom lettre par lettre. Ca m'a permis de prendre les enfants plus individuellement !

PS : Quand j'etais petite, j'etais la clementine ! Ca devait etre tendance le coup du symbole ! Je n'aurais pas aimé être la banane ! :D

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Tu peux utiliser des petites étiquettes (autocollantes ou non) rangées dans un casier à vis sur lequel figurent les prénoms et éventuellement les photos des enfants.

Quant à coller l'étiquette au bon endroit, il faut que tu insistes là-dessus dans les ateliers que tu diriges et dans ceux de l'ATSEM. Pour les fiches qui ont été faites en autonomie, tu peux faire remarquer au moment du bilan: que l'étiquette cache le travail, qu'il n'y a pas d'étiquette donc qu'on ne peut pas ssavoir à qui appartient le travail... Bref, faire verbaliser ce qu'il faut faire. Ils prendront vite le pli, tous mes TPS-PS y arrivaient, alors il n'y a pas de raison.

Pour les ateliers de manip en autonomie, le respect d'une consigne est peut-être encore difficle pour eux, mais tu peux aussi faire remarquer que tu ne sais pas qui a fait quoi, que tu ne sais pas s'ils ont réussi au moment du bilan. Et tu peux définir avec eux un endroit où ils viendront poser ce qu'ils ont réalisé quand ils ont terminé.

J'utilise cette solution de la boite à vis tous les ans dès le TPS et aucun souci.

Sur mes fiches, je place un encart spécial pour y coller le prénom.

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:D:D

Depuis de nombreuses années, les enfants de l'école utilisent les étiquettes prénoms qu'ils collent sur leur travail tant qu'ils ne savent pas l'écrire.

Ca demande un apprentissage qui commence dès la PS : Distinguer son prénom des autres, retrouver le tiroir où les étiquettes sont rangées, se répérer sur la feuille pour coller l'étiquette en haut et à gauche, utiliser le bâton de colle à bon escient, ...

Une fois que toutes ces contraintes sont intégrées, pas de soucis !

MCD

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les premiers temps, la plupart des travaux tournent sur les prénoms pour mieux les mémoriser, les reconnaître puis les écrire..

Pour les ps, j'écris chaque prénom à l'ordinateur au milieu de la page , en lettres creuses et avec la photo ensuite ; ce sont mes premières fiches en graphisme et en lecture ; enfin, j'ai tout une série de photocopies toutes prêtes et j'imprime l'autre côté avec les travaux : recto le travail, verso le méga prénom : les enfants s'amusent à le colorier à la fin de leur travail. C'est un peu fadtidieux au début mais après on apprécie car dans la pile des fiches qui restent, on sait qui n'a pas travaillé.

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