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alphabet vivant


eunice

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En tout cas, si on regarde bien, les lettres ne sont pas toutes correctement tracées de cette manière...

Envie d'espoir tu es allée un peu fort là non ?

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On ne trace pas les lettres là, Roserouge100....on apprend à les nommer !

On peut connâitre le nom d'une lettre, l'identifier visuellement , apprendre à la tracer ce graphème plus tard et apprendre son bruit "phonème" à un atre moment sans les "embrouiller"...bien au contraire !

L'entrée dans l'écrit est fort bien résumé dans le nouveau dossier du mois du CDDP du Haut Rhin . ne pas oublier de cliquer sur chaque entrée :D

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On ne trace pas les lettres là, Roserouge100....on apprend à les nommer !

On peut connâitre le nom d'une lettre, l'identifier visuellement , apprendre à la tracer ce graphème plus tard et apprendre son bruit "phonème" à un atre moment sans les "embrouiller"...bien au contraire !

L'entrée dans l'écrit est fort bien résumé dans le nouveau dossier du mois du CDDP du Haut Rhin . ne pas oublier de cliquer sur chaque entrée :D

Je suis la méthode d'Envie d'espoir pour la préparation à l'écriture ....

Mais, j'ai déjà fait avec mes MS un abécédaire en pâtes alimentaires et lettre découpées dans des journaux, pour apprendre à nommer et reconnaître les lettres de l'alphabet (comme le précise Watteau c'est le'objectif connaissance du principe alphabétique qui est visé là, pas celui de l'écriture des lettres). Mes élèves de MS ne les ont pas encore écrites, même pas en capitales d'imprimerie (avec moi en tout cas, car ils ont 2 maîtresses)

Bien sûr, et comme le dit justement Envie d'Espoir dans ses interventions (si je les ai bien comprises), il est indispensable que les enfants connaissent (donc la nomment et l'identifient comme étant un ..L, un I, UN T ....)la lettre qu'ils écrivent pour l'écrire, qu'ils fassent le lien entre le signifiant des lettres tracées (par exemple L E L I T = cet objet où l'on s'allonge pour dormir formé des lettres L, I, T qui assemblées font "li" et la trace volontairement laissée par leur "plume" pour qu'ils aient conscience d'écrire et non pas de reproduire une forme (qui n'est pas écrire mais dessiner (c'est ça, Envie D'espoir ? ça fait 2 ou 3 fois que je relis le livre, j'espère ne pa savoir tout compris tout de travers ...).

Alors, j'ai du mal à comprendre pourquoi l'alphabet avec le corps est un problème. Est-ce parce que dès lors, ils verraient les lettres comme des formes , des dessins particuliers et non plus comme un code servant à l'écriture? Mais avant de les écrire, il faut bien en passer par une reconnaissance de leur graphie (donc de leur trace écrite, donc de leur forme écrite) et pouvoir les nommer ?

Ouh, là,je croyais être au clair et maintenant, j'ai un gros doute.

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(…) Je suis la méthode d'Envie d'espoir pour la préparation à l'écriture ....

Mais, j'ai déjà fait avec mes MS un abécédaire en pâtes alimentaires et lettre découpées dans des journaux, pour apprendre à nommer et reconnaître les lettres de l'alphabet (comme le précise Watteau c'est l'objectif connaissance du principe alphabétique qui est visé là, pas celui de l'écriture des lettres). (…)

Mais cela n’apprend pas du tout le principe alphabétique. Comme tu le dis, cela apprend à nommer et reconnaître les lettres de l'alphabet. Ce n’est pas la même chose. Tu pourrais apprendre aussi aux enfants de la même façon à reconnaître et nommer toutes sortes de signes symboliques (par exemple < plus petit que, > plus grand que, = égal etc.) , mais aussi des formes géométriques (un carré, un triangle etc.) et sans doute d'autres choses.

L’alphabet est évidemment la base du principe alphabétique, mais il n’est pas le principe à lui tout seul, il faut aussi la connaissance de la façon dont les lettres de l’alphabet s’agencent pour être lues.

Si tu suis ma méthode et que tu veuilles faire ce travail, alors tu ne peux le faire qu’avec des lettres capitales, sinon, tu ne suis pas ma méthode. Je t’invite à relire les chapitres 6 et 7 (pages 80 à 126) et à t’attarder sur le paragraphe de la page 94 qui précède le titre « la boucle » puis les pages 102 à 104. Tu peux aussi compléter par la lecture de cet article qui met un coup de projecteur sur la façon dont on peut exploiter la connaissance des formes de l’écriture (cf. le métalangage) pour reconnaître les lettres.

Bien sûr, et comme le dit justement Envie d'Espoir dans ses interventions (si je les ai bien comprises), il est indispensable que les enfants connaissent (donc la nomment et l'identifient comme étant un ..L, un I, UN T ....) la lettre qu'ils écrivent pour l'écrire, qu'ils fassent le lien entre le signifiant des lettres tracées (par exemple L E L I T = cet objet où l'on s'allonge pour dormir formé des lettres L, I, T qui assemblées font "li" et la trace volontairement laissée par leur "plume" pour qu'ils aient conscience d'écrire et non pas de reproduire une forme (qui n'est pas écrire mais dessiner (c'est ça, Envie D'espoir ? ça fait 2 ou 3 fois que je relis le livre, j'espère ne pas avoir tout compris tout de travers ...).

Oui, cela, tu l’as bien compris. En revanche, ce qui t’a échappé c’est la façon d’accéder à la connaissance des formes (ce n’est pas anormal que quelque chose t’ait échappé, je pense qu’il faut 4 lectures au minimum pour avoir des chances de « ne rien avoir perdu en route ») Tu le dis ici :

(…) Alors, j'ai du mal à comprendre pourquoi l'alphabet avec le corps est un problème. Est-ce parce que dès lors, ils verraient les lettres comme des formes, des dessins particuliers et non plus comme un code servant à l'écriture? Mais avant de les écrire, il faut bien en passer par une reconnaissance de leur graphie (donc de leur trace écrite, donc de leur forme écrite) et pouvoir les nommer ?

Ne t’inquiète pas, c’est le plus difficile à saisir (surtout parce qu’on n’a pas du tout l’habitude de voir les choses sous cet angle. Au sujet de la difficulté à accéder à cette façon d’appréhender l’écriture, tu trouveras des échanges sur le forum, au sujet de vagues je crois). Pourtant c’est parfaitement dans la modernité qui veut que l’enfant découvre.

Donc, je réexplique. Pas tout mais l’essentiel pour t’éclairer.

Ma méthode ne propose pas une autre façon de « faire dessiner les lettres ». Elle propose une modélisation. C'est-à-dire un processus de création en quelque sorte. Il s’agit de faire acquérir à l’enfant le processus qui lui permettra d’écrire. Pour bien comprendre comment ça fonctionne, il est très important de bien faire la différence entre ton objectif et celui de l’enfant (tu retrouveras ça dans le livre). Je me limite ici à répondre à ta question. En l’occurrence – pour rester uniquement centrée sur ta question – la première unité minimale étant la boucle, il s’agit d’apprendre à l’enfant à tracer la forme de base correspondante, soit la boucle. Pour faire court je dirai que la boucle se définit par un point d’attaque et un sens de rotation. C’est cela qu’il faut lui apprendre. Ensuite tu travailles sur la fluidité et la régularité du geste. Une fois cela fait, l’enfant refait le même geste en laissant la trace de son mouvement sur un plan vertical. C’est alors qu’il voit que cela fait une suite de boucles. Donc « avant de les écrire », l’enfant n’est pas amené à « passer par une reconnaissance de leur graphie (donc de leur trace écrite, donc de leur forme écrite) et pouvoir les nommer ? » C’est au moment où il différencie les boucles en hauteur (e / l) puis très tôt ensuite en largeur (e, l / i, u, t) donc au moment où il les écrit que l’enfant apprend à connaître les lettres, les nommer et à entrer directement dans le principe alphabétique en prenant contact en même temps avec le continuum de la trace écrite et, de façon implicite avec le principe de la combinatoire.

Ouh, là,je croyais être au clair et maintenant, j'ai un gros doute.
Si tu as lu la 2ème édition (2006), là, maintenant, tu devrais être au clair. ;)
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Si tout cela est pour faire de la chorégraphie, c'est bien, amusant, intéressant.

Mais si c'est pour apprendre aux enfants à écrire ou pour leur faire comprendre ce qu'est l'écrit, je crains fort que vous ne fassiez faute route et que vous perdiez les enfants en route si j'ose dire.

Désolée, de freiner les enthousiasmes.

Bonjour,

Je suis utilisatrice novice et satisfaite de votre méthode.

Il s'agissait simplement de permettre aux enfants de reconnaître les lettres d'imprimerie. Serait-ce contraire à ce que vous préconisez ? Sinon, que proposez vous pour aborder la reconnaissance des lettres de l'alphabet et , plus tard, la même lettre dans ses différentes écritures ?

Merci par avance !

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Si tout cela est pour faire de la chorégraphie, c'est bien, amusant, intéressant.

Mais si c'est pour apprendre aux enfants à écrire ou pour leur faire comprendre ce qu'est l'écrit, je crains fort que vous ne fassiez faute route et que vous perdiez les enfants en route si j'ose dire.

Désolée, de freiner les enthousiasmes.

Bonjour,

Je suis utilisatrice novice et satisfaite de votre méthode.

Il s'agissait simplement de permettre aux enfants de reconnaître les lettres d'imprimerie. Serait-ce contraire à ce que vous préconisez ? Sinon, que proposez vous pour aborder la reconnaissance des lettres de l'alphabet et , plus tard, la même lettre dans ses différentes écritures ?

Merci par avance !

Bonjour Eunice,

la réponse est juste au-dessus. Pour les capitales d'imprimerie :

(...) Si tu suis ma méthode et que tu veuilles faire ce travail, alors tu ne peux le faire qu’avec des lettres capitales, (...)

Pour les autres formes en commençant par l'écriture cursive, elle est dans l'ensemble du message. Pour l'écriture en minuscules d'imprimerie elle est dans le lien, . L'article montre comment le processus de création des formes dote l'enfant d'un métalangage lui permettant d'identifier les lettres cursives et les "lettres script des livres".

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Mon abécédaire est uniquement en capitales d'imprimerie.

L'alphabet avec le corps dont on parle au début du post aussi.

Oui, je sais, mais la question était bien :

Bonjour,

(...) Mais j'aimerai commencer par leur faire vivre les lettres en salle de motricité. Je sais qu'il est possible de " mimer" les lettres avec les élèves. (...)

Il s'agissait bien de "vivre les lettres", de "mimer les lettres". Ce type de travail, dans cet esprit, est pour moi à réserver à la fin du cycle 3. Là il devient intéressant car les enfants peuvent apporter leur idées pour la chorégraphie. Ce n'est pas tout du souhaitable de le faire faire avant (je pense que ma position se déduit de ce que j'ai expliqué).

Maintenant, s'il s'agit de faire réaliser des formes en plaçant les enfants au sol de telle façon pour ensuite montrer que les corps allongés dessinent telle lettre. Peut-être. C'est une façon amusante de montrer la forme de lettres capitales. C'est la raison de ma réponse : "si tu veux le faire, tu ne peux le faire qu'avec des lettres capitales". Cela signifie que ça peut être fait avec des capitales. Mais cela ne signifie pas que j'adhère. A mon avis, c'est trop tôt pour faire ça. Ce n'est pas quelque chose à faire en amont. C'est plutôt quelque chose à faire faire à ceux qui connaissent déjà les lettres plutôt que pour une découverte de l'alphabet et en tout cas pas pour une découverte du principe alphabétique (mais je viens d'en expliquer la raison en détail).

J'ai interviewé des enfants de GS (d'écoles différentes et pas formés à ma méthode) sur ce qu'ils faisaient à l'école ; ça a donné ce genre de réponses : "moi, je fais de l'alphabet chez moi", "quand on est plus grand on va au collège et au collège on nous dit de bien écrire des o" , "bien écrire ça sert que si tu travaille mal et bien tu iras pas au CP" bien écrire au CP "ça sert à aller au collège". Ça laisse mal augurer de leur perception de l'écriture. C'étaient pourtant des GS au milieu du 2ème trimestre ou au début du 3ème.

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Mon abécédaire est uniquement en capitales d'imprimerie.

L'alphabet avec le corps dont on parle au début du post aussi.

Oui, je sais, mais la question était bien :

Bonjour,

(...) Mais j'aimerai commencer par leur faire vivre les lettres en salle de motricité. Je sais qu'il est possible de " mimer" les lettres avec les élèves. (...)

Il s'agissait bien de "vivre les lettres", de "mimer les lettres". Ce type de travail, dans cet esprit, est pour moi à réserver à la fin du cycle 3. Là il devient intéressant car les enfants peuvent apporter leur idées pour la chorégraphie. Ce n'est pas tout du souhaitable de le faire faire avant (je pense que ma position se déduit de ce que j'ai expliqué).

Maintenant, s'il s'agit de faire réaliser des formes en plaçant les enfants au sol de telle façon pour ensuite montrer que les corps allongés dessinent telle lettre. Peut-être. C'est une façon amusante de montrer la forme de lettres capitales. C'est la raison de ma réponse : "si tu veux le faire, tu ne peux le faire qu'avec des lettres capitales". Cela signifie que ça peut être fait avec des capitales. Mais cela ne signifie pas que j'adhère. A mon avis, c'est trop tôt pour faire ça. Ce n'est pas quelque chose à faire en amont. C'est plutôt quelque chose à faire faire à ceux qui connaissent déjà les lettres plutôt que pour une découverte de l'alphabet et en tout cas pas pour une découverte du principe alphabétique (mais je viens d'en expliquer la raison en détail).

J'ai interviewé des enfants de GS (d'écoles différentes et pas formés à ma méthode) sur ce qu'ils faisaient à l'école ; ça a donné ce genre de réponses : "moi, je fais de l'alphabet chez moi", "quand on est plus grand on va au collège et au collège on nous dit de bien écrire des o" , "bien écrire ça sert que si tu travaille mal et bien tu iras pas au CP" bien écrire au CP "ça sert à aller au collège". Ça laisse mal augurer de leur perception de l'écriture. C'étaient pourtant des GS au milieu du 2ème trimestre ou au début du 3ème.

Peut être me suis - je mal exprimée en disant" vivre les lettres". Il s'agissait effectivement de réaliser les formes des lettres au sol.

En tout cas, j'entends bien vos arguments et j'en tiendrais compte !

Encore merci !

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Quand j'ai fait cet "alphabet vivant", mon objectif premier était de l'expression corporelle (d'ailleurs on a fait ça pendant le créneau" sport ". Et ça m'a permis d'aborder la reconnaissance des lettres et savoir les nommer. En effet, ils ont commencé par faire les lettres qu'ils connaissaient, puis ils ont comparé avec l'abécédaire classique de la classe afin de faire des modifications si nécessaire et du coup ils se sont interessés aux autres lettres qu'ils ne connaissaient pas.

Cette activité était un "déclencheur" pour s'intéresser aux noms des lettres, qu'on a travaillé par la suite sous une forme plus classique.

Mais on n'a pas du tout appris à les écrire en se servant de cet abécédaire

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Quand j'ai fait cet "alphabet vivant", mon objectif premier était de l'expression corporelle (d'ailleurs on a fait ça pendant le créneau" sport ". Et ça m'a permis d'aborder la reconnaissance des lettres et savoir les nommer. En effet, ils ont commencé par faire les lettres qu'ils connaissaient, puis ils ont comparé avec l'abécédaire classique de la classe afin de faire des modifications si nécessaire et du coup ils se sont interessés aux autres lettres qu'ils ne connaissaient pas.

Cette activité était un "déclencheur" pour s'intéresser aux noms des lettres, qu'on a travaillé par la suite sous une forme plus classique.

Mais on n'a pas du tout appris à les écrire en se servant de cet abécédaire

Au fil de la discussion, j'ai bien compris que ce travail concerne la représentation imagée des lettres d'imprimerie (ce qui n'est pas dénué d'intéret, surtout s'il motive les enfants) et qu'il sert à montrer et nommer les lettres d'imprimerie en tant que produit fini, sans prétendre faire entrer l'enfant dans le principe alphabétique (il en donne un élément : le nom des lettres ainsi reproduites).

J'ai bien compris que ce travail ne constitue pas la dérive que j'ai eu à connaître de lettres "vécues" avec le corps qui mimait leurs formes et que j'ai craint en lisant le titre.

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Quand j'ai fait cet "alphabet vivant", mon objectif premier était de l'expression corporelle (d'ailleurs on a fait ça pendant le créneau" sport ". Et ça m'a permis d'aborder la reconnaissance des lettres et savoir les nommer. En effet, ils ont commencé par faire les lettres qu'ils connaissaient, puis ils ont comparé avec l'abécédaire classique de la classe afin de faire des modifications si nécessaire et du coup ils se sont interessés aux autres lettres qu'ils ne connaissaient pas.

Cette activité était un "déclencheur" pour s'intéresser aux noms des lettres, qu'on a travaillé par la suite sous une forme plus classique.

Mais on n'a pas du tout appris à les écrire en se servant de cet abécédaire

Au fil de la discussion, j'ai bien compris que ce travail concerne la représentation imagée des lettres d'imprimerie (ce qui n'est pas dénué d'intéret, surtout s'il motive les enfants) et qu'il sert à montrer et nommer les lettres d'imprimerie en tant que produit fini, sans prétendre faire entrer l'enfant dans le principe alphabétique (il en donne un élément : le nom des lettres ainsi reproduites).

J'ai bien compris que ce travail ne constitue pas la dérive que j'ai eu à connaître de lettres "vécues" avec le corps qui mimait leurs formes et que j'ai craint en lisant le titre.

J'en profite pour vous demander quand aborder l'écriture des chiffres en respectant le sens des tracés. Ecrit-on sur une ligne et ensuite entre deux en fin de Grande Section ?

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