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Parfois je craque


mooglicola

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Il y a longtemps que je voulais mettre ce post mais je n'osais pas sans doute par peur d'avouer des moments d'échec.

Je suis quelqu'un de très calme, archi patiente mais parfois je craque en classe et je m'en veux à chaque fois car j'ai perdu mon sang froid et il ne le faut pas.

De temps en temps certains élèves ont des sauts d'humeur qui se traduisent par des refus. Par exemple, aujourd'hui, un élève a décidé qu'il n'allait pas copier ses leçons alors qu'en temps normal il n'y a pas de problème (mais ça arrive régulièrement pour différentes activités). Sa seule raison : j'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Je suis zen, je discute, j'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, le ton monte et la pression aussi, résultat il a encore moins enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Tu ne vas pas en récréation tant que tu n'as pas décidé d'écrire, résultat : rien du tout. Retour de récréation, je lui copie une grande partie de ses leçons et il lui restait 1 ligne. J'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Rebelotte, je me fache, je crie (c'est ce moment que je déteste car je ne devrais pas le faire mais parfois c'est plus fort que moi) et je suis restée au dessus de son épaule pendant 10 minutes pour qu'il écrive ces 8 mots.

Ensuite, l'orage a disparu dès qu'il a cédé. Il me regardais de loin avec ses yeux doux "t'es pas fachée maîtresse" et la suite de la journée s'est très bien passée.

Je m'en veux tellement d'avoir crié sur lui et de mettre acharnée pour ne pas céder.

Et vous, ça vous arrive aussi ? Comment faites vous pour garder votre sans froid ? Est ce que vous acceptez de céder ?

Autre point qui me dérange. Quand un élève refuse de venir comment faites vous ?

Je le prends par le bras et il me suit facilement mais à chaque fois il me sorte "tu fais mal maîtresse" (ils sont 2 dans ce cas). Or je sais que c'est faux. Je sers forcément un peu le bras puisque je le tien mais c'est tout.

La aussi je n'aime pas ça car - même si je n'ai pas le choix - les élèves le traduisent comme un acte de violence de ma part.

Ce qui me fais peur c'est si ils vont raconter ce genre de chose à leurs parents alors que c'est faux. Maintenant, pour éviter tout risque (vis à vis des parents surtout), je les prends par la manche.

Et vous, comment faites vous ? Et vos élèves, comment réagissent-ils ?

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;) ta réaction est tout à fait normale et humaine !

Ca fait du bien et c'est important (je pense) de montrer à nos élèves de clis que leur comportement peut nous mettre véritablement en colère (il faut que ça reste exceptionnel pour que ça marque les esprits).

Dans ces moments-là, je préviens quelques minutes avant que "la moutarde me monte au nez" (ça a le mérite d'en calmer quelques-uns), puis quand je me fâche véritablement, ce n'est pas seulement pas rapport à l'élève, c'est aussi son attitude, son comportement que je mets en cause (pour éviter de stigmatiser et pour permettre à cet élève de "se récupérer" ensuite).

Je m'efforce toujours, après ma "gueulante", de parler très doucement, très calmement à un autre élève pour lui demander quelque chose, pour l'aider dans son travail. Ca montre que je n'en ai pas après toute la classe, qu'un comportement correct d'élève a une réponse calme et sereine.

Pour terminer, la réaction de l'élève qui change d'attitude est courante chez un élève de clis, le fait de ne rien lâcher donne un cadre clair et ceci rassure ce type d'élève.

Dis-toi qu'ils sont en permanence en train de tester les limites, plus qu'un élève ordinaire, et le fait de se heurter à ces limites (incarnées par toi) rassure ces élèves et les aide à intégrer ces règles et à se structurer.

Bon courage ! ;)

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Il y a longtemps que je voulais mettre ce post mais je n'osais pas sans doute par peur d'avouer des moments d'échec.

Je suis quelqu'un de très calme, archi patiente mais parfois je craque en classe et je m'en veux à chaque fois car j'ai perdu mon sang froid et il ne le faut pas.

De temps en temps certains élèves ont des sauts d'humeur qui se traduisent par des refus. Par exemple, aujourd'hui, un élève a décidé qu'il n'allait pas copier ses leçons alors qu'en temps normal il n'y a pas de problème (mais ça arrive régulièrement pour différentes activités). Sa seule raison : j'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Je suis zen, je discute, j'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, le ton monte et la pression aussi, résultat il a encore moins enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Tu ne vas pas en récréation tant que tu n'as pas décidé d'écrire, résultat : rien du tout. Retour de récréation, je lui copie une grande partie de ses leçons et il lui restait 1 ligne. J'ai pas enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie. Rebelotte, je me fache, je crie (c'est ce moment que je déteste car je ne devrais pas le faire mais parfois c'est plus fort que moi) et je suis restée au dessus de son épaule pendant 10 minutes pour qu'il écrive ces 8 mots.

Ensuite, l'orage a disparu dès qu'il a cédé. Il me regardais de loin avec ses yeux doux "t'es pas fachée maîtresse" et la suite de la journée s'est très bien passée.

Je m'en veux tellement d'avoir crié sur lui et de mettre acharnée pour ne pas céder.

Et vous, ça vous arrive aussi ? Comment faites vous pour garder votre sans froid ? Est ce que vous acceptez de céder ?

Autre point qui me dérange. Quand un élève refuse de venir comment faites vous ?

Je le prends par le bras et il me suit facilement mais à chaque fois il me sorte "tu fais mal maîtresse" (ils sont 2 dans ce cas). Or je sais que c'est faux. Je sers forcément un peu le bras puisque je le tien mais c'est tout.

La aussi je n'aime pas ça car - même si je n'ai pas le choix - les élèves le traduisent comme un acte de violence de ma part.

Ce qui me fais peur c'est si ils vont raconter ce genre de chose à leurs parents alors que c'est faux. Maintenant, pour éviter tout risque (vis à vis des parents surtout), je les prends par la manche.

Et vous, comment faites vous ? Et vos élèves, comment réagissent-ils ?

bonjour...

je comprends q tu perdes ton sang froid....

tu as quel niveau?

es tu sure q les enfants savent exactement pourquoi ils viennent avec toi, pourquoi ils doivent écrire?... peut etre qu'ils "ralent" parce qu'ils ne mettent pas sens.... (je ne sais pas)

l'année dernière, en classe ordinaire j'avais un enfant qui refusait d'écrire! je n'écrivais pas à sa place sinon il aurait été trop content.... j'ai fait un contrat avec lui pour qu'il écrive

je fais cette année un contrat avec tous les élèves!!! ils s'engage et doivent me dire ce qu'ils veulent savoir faire...

si les enfants refusent de venir travailler avec toi demande leur de t'expliquer pourquoi? je ne sais pas si tu dois "t'acharner"... en classe ordinaire j'aurais tendance à dire oui mais en tant que maître E on est censé travailler avec l'enfant... il faut que tu en parles avec l'équipe enseignante, peut etre que tu rencontres aussi les parents pour voir comment ils perçoivent ton poste....

peut être aussi que si tu disais à l'enfant "tu ne veux pas venir, d'accord je pars!" il serait peut être étonné et viendrait quand même

un conseil: si tu as un pb avec un enfant n'attend pas que les parents viennent te voir, va les voir et explique leur la situation!! ça éviteraz bien des pb...

bon courage...

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Bonjour,

Ma réaction va peut-être paraître primaire, mais faut-il vraiment culpabiliser chaque fois qu'on élève la voix ou qu'on contraint un élève à faire quelque chose ? Ne sont-ils pas à l'école aussi pour apprendre à respecter un cadre et des règles ?? Moi, ce qui me pèse, c'est quand je sens que je me suis réellement énervée (on peut pousser une gueulante sans l'être vraiment, mais histoire de calmer les élèves). Ceci dit, j'enseigne en SEGPA cette année et beaucoup de mes élèves viennent de CLIS. Pour certains, l'entrée au collège est très difficile car, en plus de leurs difficultés au niveau des apprentissages, ils ont un peu vécu dans un "cocon", surprotégé, au sein de la CLIS. Ce n'est pas une critique, mais il me semble qu'à vouloir trop bien faire, en cherchant à juste titre à comprendre les enfants et les causes de leurs réactions, on en oublie qu'il faut aussi poser des limites et refuser de céder sur certaines règles élémentaires.

A part ça, bon courage à tout le monde, car je crois que c'est difficile pour tous !

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Je comprends tout à fait ce que tu ressens...

mais je crois avoir compris quelque chose après quelques temps passés dans ma clis...(j'ai pas mal d'élèves pour la 2e année...)....quand ils sont dans le refus, ou à tester les limites, ou dans l'opposition parfois agressive et violente, ce n'est pas contre notre personne, mais plutôt contre ce qu'on représente...l'adulte, l'autorité, l'école, enfin tout ça à la fois...alors à partir du moment où on accepte que ce n'est pas contre nous, c'est à dire à partir du moment où on arrive à prendre du recul, on peut réagir de manière plus rationnelle, sans culpabiliser...il y a des règles à respecter, ces règles là, ils les connaissent, donc tant qu'elles sont transgressées, il faut une réaction de notre part...En soi, je n'aime pas du tout perdre mon calme, mais parfois ya vraiment pas le choix...ou alors faut être une sainte!! :blush:

En tout cas, je n'ai pas encore trouvé de solution miracle pour avoir le calme autrement que par une bonne gueulante (du moment que ça ne devienne pas une habitude), suivie bien sûr d'une voix très douce et très posée (dixit Sigfred :) )...

Pour les élèves qui n'ont pas envie...c'est un vrai casse tête...il faut trouver des stratégies, selon la personnalité de l'enfant (pour un de mes élèves, toujours à la recherche d'une stratégie, ça fait plus d'un an maintenant :D )...j'essaie au maximum d'impliquer les parents, après, je ne suis pas certaine qu'on ait toujours le même discours...mais dès qu'il y a un souci, j'essaie de les informer (par écrit pour beaucoup car je ne les vois pas tous).

Le problème, c'est qu'on rentre rapidement dans des rapports de force, et c'est vrai que c'est parfois décourageant. Mais mon objectif, quand je suis face à ce genre de comportement, c'est d'avoir le dernier mot, faire céder l'élève, même si ça dure...

C'est vrai que ce sont beaucoup de sentiments d'échec, mais il faut se dire qu'ils sont compensés par des moments de progrès....Mais je comprends que toute cette tension soit parfois insupportable, il faut toujours lutter, avancer à contre courant (pas pour tous, heureusement!), mais du coup, dès qu'il n'y a pas de tension, on a l'impression que c'est le paradis!!!

bon courage!

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Je comprends tout à fait ce que tu ressens...

mais je crois avoir compris quelque chose après quelques temps passés dans ma clis...(j'ai pas mal d'élèves pour la 2e année...)....quand ils sont dans le refus, ou à tester les limites, ou dans l'opposition parfois agressive et violente, ce n'est pas contre notre personne, mais plutôt contre ce qu'on représente...l'adulte, l'autorité, l'école, enfin tout ça à la fois...alors à partir du moment où on accepte que ce n'est pas contre nous, c'est à dire à partir du moment où on arrive à prendre du recul, on peut réagir de manière plus rationnelle, sans culpabiliser...il y a des règles à respecter, ces règles là, ils les connaissent, donc tant qu'elles sont transgressées, il faut une réaction de notre part...En soi, je n'aime pas du tout perdre mon calme, mais parfois ya vraiment pas le choix...ou alors faut être une sainte!! :blush:

En tout cas, je n'ai pas encore trouvé de solution miracle pour avoir le calme autrement que par une bonne gueulante (du moment que ça ne devienne pas une habitude), suivie bien sûr d'une voix très douce et très posée (dixit Sigfred :) )...

Pour les élèves qui n'ont pas envie...c'est un vrai casse tête...il faut trouver des stratégies, selon la personnalité de l'enfant (pour un de mes élèves, toujours à la recherche d'une stratégie, ça fait plus d'un an maintenant :D )...j'essaie au maximum d'impliquer les parents, après, je ne suis pas certaine qu'on ait toujours le même discours...mais dès qu'il y a un souci, j'essaie de les informer (par écrit pour beaucoup car je ne les vois pas tous).

Le problème, c'est qu'on rentre rapidement dans des rapports de force, et c'est vrai que c'est parfois décourageant. Mais mon objectif, quand je suis face à ce genre de comportement, c'est d'avoir le dernier mot, faire céder l'élève, même si ça dure...

C'est vrai que ce sont beaucoup de sentiments d'échec, mais il faut se dire qu'ils sont compensés par des moments de progrès....Mais je comprends que toute cette tension soit parfois insupportable, il faut toujours lutter, avancer à contre courant (pas pour tous, heureusement!), mais du coup, dès qu'il n'y a pas de tension, on a l'impression que c'est le paradis!!!

bon courage!

:D:D:D Bravo collègue, je suis tout à fait d'accord avec toi !!! Bon courage à tous les maîtres de clis et de segpa !

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Je sais que ce que je fais est bien car je ne dois pas céder mais j'ai du mal à accepter la pression que je dois parfois mettre . Quand j'ai obligé ce garçon à écrire cette malheureuse ligne alors qu'en général cela ne pose pas le moindre problème, j'ai mis une telle pression sur ces épaules que je trouve ça vraiment inhumain. On mettrait cette pression sur mes épaules je serai terrorisée.

Je sais bien que les enfants en général et encore plus les notres ont besoin d'un cadre ( cadre que bien souvent ils n'ont pas en dehors pour mes élèves qui posent des "poblèmes").

J'ai encore du mal à assumer quand je suis obligée de me facher car je leur revoie leur opposition et leur violence en pleine figure. Si je suis obligée de me facher, c'est parceque je n'ai pas réussi par tous les autres moyens à les faire céder en douceur. Je n'aime pas l'idée que l'école puisse être parfois un lieu de pression pour eux.

Alors je sais bien que c'est une des réalités de la clis mais je n'ai pas envie de l'accepter pour l'instant.

Voilà, ma thérapie est finie ;) .

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j'essaie au maximum d'impliquer les parents, après, je ne suis pas certaine qu'on ait toujours le même discours...mais dès qu'il y a un souci, j'essaie de les informer (par écrit pour beaucoup car je ne les vois pas tous).

De manière générale, constates-tu une réaction positive des parents, une aide réelle ?

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Bonjour,

Ma réaction va peut-être paraître primaire, mais faut-il vraiment culpabiliser chaque fois qu'on élève la voix ou qu'on contraint un élève à faire quelque chose ? Ne sont-ils pas à l'école aussi pour apprendre à respecter un cadre et des règles ?? il me semble qu'à vouloir trop bien faire, en cherchant à juste titre à comprendre les enfants et les causes de leurs réactions, on en oublie qu'il faut aussi poser des limites et refuser de céder sur certaines règles élémentaires.

A part ça, bon courage à tout le monde, car je crois que c'est difficile pour tous !

Je suis d'accord avec ce que tu dis; je suis en ce moment en remplacement en maternelle, MS-GS; je suis parfois effarée de ce que les maîtresses acceptent de la part de leurs élèves (école ET maternelle, de l'art de concilier les deux termes et on ne mettra pas le curseur au même endroit entre les 2); ils parlent en même temps qu'elle quand elle veut expliquer quelque chose, il y a un fond sonore dans la classe qui l'oblige à parler à voix haute pour me parler alors que je suis à côté d'elle; résultat, elle est crevée et je le comprends.

Bon rien à voir avec des gamins de CLIS, mais qui a dit que c'était à l'ATSEM de ranger derrière les élèves? Je les encourage chaque fois qu'ils réussissent quelque chose, je suis exigeante même en maternelle.

Je monte le son parfois, mai sla plupart du temps je joue de la voix sinon les élèves parlent fort, je suis obligée d eparler plus fort et hop,!

Et bon courage à tous!! J'essaie de ne pas porter un jugement sur des pratiques qui sont parfois bien éloignées des miennes et de ce que je crois...

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J'implique beaucoup les parents (quand ils l'accèptent !).

Pour ma part, outre les différentes rencontres purement "scolaires" comme la remise des livrets et autre, j'essaie au maximum de les investir dans la vie de la classe : participation aux sorties extérieures, aux ateliers "bricolages"...

Mon but est surtout de permettre aux parents de renouer avec l'école dans des moments agréables (car beaucoup ont eu eux même un parcours scolaire difficile + le parcours de leurs enfants). Ca leur permet de passer un moment agréable avec leur enfant (et les autres élèves) afin de les valoriser (les enfants comme les parents!). Cet après midi, 2 mamans sont venues me dire que ce que l'on a fait leur a fait du bien. J'espère vraiement que cette démarche va porter ses fruits et je le crois.

Maintenant, il me reste à faire venir les quelques familles qui font l'autruche.

En revanche, je ne suis pas du tout convaincue que convoquer les parents pour leur dire "votre enfant pose des problèmes" soit efficace. Dans ma classe, sur les 11 familles, 8 ou 9 n'ont pas de cadre clair et n'ont pas d'autorité sur leur enfant.

J'ai eu l'occasion dans un moment très tragique (suicide d'une maman de ma classe - j'ai retrouvé les enfants dans la rue qui m'ont emmenés chez eux car "maman dort et ont arrive pas à la réveiller") d'aller dans une maison. C'est inimaginable les conditions de vies que certains enfants ont. Alors, demander à ces parents d'avoir une autorité qu'ils n'ont pas (ou plus) me semble impossible.

Sinon, je téléphone régulièrement plutôt que passer par l'écrit car cela permet de créer un lien plus "humain" et surtout ça ne gène pas les parents (car cartains ont parfois des problèmes de lecture et d'écriture).

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