PapaInquiet Posté(e) 24 janvier 2008 Posté(e) 24 janvier 2008 Bonjour, Mon fils en CE1 rencontre des problèmes avec sa maîtresse, en CP, avec une autre maîtresse ses résultats étaient satisfaisants mais cette année il nous ramène des notes en dents de scie... D'après sa maitresse il est trop rêveur et ne se concentre pas assez sur son travail... je reconnais que mon fils est un peu "tête en l'air" mais pas plus qu'un autre... ce que je constate aussi c'est un blocage avec cette nouvelle maitresse, aux premiers signes (mauvaises notes) nous avons redoublé d'efforts pour la réalisation des devoirs et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il sait ses leçon avant d'arriver à l'école mais après... À son retour les notes sont souvent désastreuses... En fait en cherchant à comprendre, mon fils lui même dit ne pas aimer sa maitresse et la trouver brutale... Mon épouse à plusieurs reprises a tenté de trouver une solution auprès de le maitresse mais sans succès. La seule chose que ça mis en évidence c'est une antipathie entre mon épouse et la maitresse à tel point que le maitresse dit maintenant "ne pas avoir de temps" à consacrer à mon fils et de nous orienter vers le RASED. Après nous être renseignés il s'avère que le RASED est surement une bonne solution pour faire face à ce "manque" de pédagogie. Nous avons donc adhérés à l'idée, il fallait convenir d'un rdv avec un conseiller du RASED et mon fils après la rédaction d'une fiche signalétique de la part de la maitresse. Entre temps l'animosité (agressivité?) de la maitresse n'a pas cessé. Une psy. du RASED est donc venu à l'école mais à la lecture de la fiche rédigée par la maitresse, elle n'a pas souhaité rencontrer mon fils et nous a orienté vers un psychologue...(?) en prétextant que mon fils avait des besoins sur le plan psychologique mais pas sur la plan pédagogique.. Sur quoi pouvait-il se baser ? Nous avons donc demandé à lire la note de la maitresse mais il a refusé en nous disant que c'étais CONFIDENTIEL. Nous sommes restés perplexes... Pourquoi ne pouvons-nous pas lire le contenu de cette note ? La maitresse peut-elle écrire ce quelle veux sur mon fils? Le conseiller du RASED doit-il se baser UNIQUEMENT sur cette note ? Le pire dans cette histoire c'est la tournure que prennent les choses, et surtout tout ce temps perdu pour mon fils qui ne demande que de travailler dans des conditions "normales"... Merci de me lire et merci de vos réponses... Un papa et une maman inquiets.
sihaya Posté(e) 24 janvier 2008 Posté(e) 24 janvier 2008 Bonsoir PapaInquiet, Si je ne me trompe pas, il me semble que la psychologue aurait du vous rencontrer. Vous et la maman de votre enfant. Non, un simple mot de l'enseignante ne peut suffir à se faire une idée de l'enfant, de sa problématique et encore moins de la solution à mettre en oeuvre, dixit l'envoi chez un psy du privé. Peut être qu'un courrier de votre part, visant à demander un RDV avec la psy , l'enseignante et vous, parents, pourrait vous permettre de remettre la situation à plat. Vous devez avoir l'adresse du RASED dans le cahier de liaison de votre enfant, non ? A vous lire.
del-12-01-10 Posté(e) 24 janvier 2008 Posté(e) 24 janvier 2008 Le psy scolaire refuse de voir votre fils?? Vous l'avez contacté? Si c'est le cas, pourquoi pas vous adresser au psychologue du CMP ? Il sera plus neutre. C'est vraiment une situation bizarre... Par contre, le plus important est que votre fils arrive à trouver sa place en classe et pour cela il ne faut pas qu'il ressente votre antipathie pour sa maîtresse car sinon il va se braquer de plus en plus (en voulant être "de votre côté").
Kikie Posté(e) 25 janvier 2008 Posté(e) 25 janvier 2008 D'après ce que je comprends, l'enseignante de votre enfant considère que son problème n'est pas d'ordre pédagogique mais comportemental. Elle a donc fait ce qu'elle devait en remplissant une demande d'aide au RASED : effectivement, cette fiche est conservée par le RASED et n'est pas communiquée aux parents. Mais les rencontres entre enseignants/parents/menmbres du RASED permettent justement de parler de l'enfant et de ses difficultés, chacun put exposer son point de vue et c'est comme cela qu'on avance. Parfois, après sa venue, la psychologue du RASED propose de réunir une "Equipe Educative" suite à quoi un dispositif d'aide pourra être mis en place. C'est au directeur de "convoquer" cette équipe éducative, vous pouvez donc lui en parler (après en avoir parlé en 1er à l'enseignante pour éviter de froisser les susceptibilités !). Le directeur appellera alors le RASED pour convenir d'une date. Chez nous, les parents ne s'adressent jamais directement au RASED, cela passe par le directeur. Que cette réunion ait lieu ou pas, le CMP est aussi une solution "indépendante" pour savoir vraiment si votre enfant souffre à l'école. Quant à la réponse de l'enseignante qui naurait "pas le temps" de mettre en place des choses pour cet enfant, je ne suis pas certaine que ses propos aient été exactement ceux-là (si c'était le cas, elle serait fautive car c'est notre mission de différencier et d'aider au mieux - avec nos petits moyens - les élèves en difficulté). De plus, elle doit avoir un regard bienveillant sur ses élèves. Malgré tout, en tant qu'enseignante, je dois souligner que lorsque les effectifs d'une classe sont importants ou que l'on a un double-niveau (CP-CE1 par exemple), c'est d'autant plus difficile de prendre en charge les élèves dont les difficultés sont moindres : on se concentre beaucoup sur ceux qui ont de lourdes lacunes et on est obligés de faire confiance aux partenaires de l'école (RASED s'il le juge nécessaire ou structures indépendantes comme le CMP ou l'orthophoniste) pour faire avancer les élèves "légèrement" à la traîne. Voilà pourquoi nous défendions hier notre métier : le fait de supprimer des postes d'enseignants impose des classes trop chargées (25 c'est déjà bcp trop si on veut aider efficacement !) ou à double niveau. On fait donc peser sur nos épaules de lourdes responsabilités d'aides et de suivi sans nous en donner les moyens... Je ne connais pas la situation de l'école de votre enfant, ni de sa classe. A vous de prendre dans mon message ce que vous jugerez instructif !
Zedra Posté(e) 25 janvier 2008 Posté(e) 25 janvier 2008 D'après ce que je comprends, l'enseignante de votre enfant considère que son problème n'est pas d'ordre pédagogique mais comportemental. Elle a donc fait ce qu'elle devait en remplissant une demande d'aide au RASED : effectivement, cette fiche est conservée par le RASED et n'est pas communiquée aux parents. Mais les rencontres entre enseignants/parents/menmbres du RASED permettent justement de parler de l'enfant et de ses difficultés, chacun put exposer son point de vue et c'est comme cela qu'on avance. Ca dépend des RASED. Dans notre département c'est le PPRE qui fait office de demande d'aide. Il est signé par l'enseignant, le directeur, les parents et l'enseignant du rased s'il y a prise en charge. La demande d'aide n'est donc pas confidentielle chez nous. Maintenant pour renouer le dialogue, ben je sais pas trop... je dirais demander un rdv avec les différents partenaires (enseignant, 1 membre du rased et le directeur) pas forcément formel comme une équipe éducative, mais pour mettre les choses à plat.
PapaInquiet Posté(e) 25 janvier 2008 Auteur Posté(e) 25 janvier 2008 Bonsoir et merci de vos réponses. Depuis mon post les choses ont un peu avancé... Dans le bon comme dans le mauvais sens jugez plutôt : Pour mémoire et pour être précis, suite à la réunion entre les parents, la maîtresse et le directeur nous avions convenu d'une action commune (je le pensais) et avoir apaisé les esprits. Suite à la venue de la psy. du RASED la maîtresse est venue voir mon épouse et tout en lui remettant un post-it qui contenait un n° de tel du CMPEA elle lui dit (toute souriante) que ce n'étais pas du ressort de l'éducation nationale, sans autre commentaire... Imaginez alors l'état de mon épouse... mis à par le manque de considération envers mon épouse elle a "remis au feu" tous les efforts de conciliation que nous avions engagé... Suite à ce fait, le soir même je rédigeais mon post sur ce site, pour rechercher (entre autre) un peu de réconfort et surtout des conseils. Ce matin je pris la décision de redemander un rdv entre la maîtresse, le directeur et nous pour cette fois ci discuter du manque de civisme et de communication, en trois mots : j'en ai marre A midi je demande à mon fils si cela s'étais bien passé et il me dit que non car elle lui avait dit "ne pas vouloir traumatiser la classe à cause de lui"... voila le travail... sur ce ma femme "Pete un câble" et moi je suis à deux doigts d'aller direct à l'inspection académique... nous nous calmons et après réflexion nous décidons d'aller voir directement le directeur pour lui relater les faits, en effet je ne peux pas croire que tout le monde soit si "négatif". D'ailleurs ce monsieur semble doté d'un humanisme certain, chose qui fait clairement défaut à cette maîtresse. Ce fut une bonne chose, nous nous y sommes rendu avec notre fils qui lui à expliqué CLAIREMENT ce que sa maîtresse lui avait dit... Sur ce, le directeur nous assure qu'il va voir de quoi il en ressort tout en nous rassurant… Sur le cahier ou j'avais demandé explicitement redemandé un rdv (1 page et demi écrit pas très gros) finissant par une formule de politesse, elle à ajouté au feutre rouge : RDV LUNDI 13H30 Sympa la communication.. Nous verrons la suite ce jour la, il faudrait quelle s'attende à une réactivité certaine ce jour la car je suis "plus" que remonté. Je voudrais répondre maintenant à Kikie, il est vrai quelle fait surement son métier, dans le plus strict minimum cela va sans dire. Mais en quoi consiste son métier? Uniquement à dispenser son cours ? De quoi parle-ton au fait... d'une classe de CE1 !!! Un peu de civisme, quelques minutes à la fin de la classe et surtout un peu de tact, je pense que c'est le minimum… Je comprendrais que bien des métiers du secteur public remette en cause ses relations avec ses clients (encore que) mais pas de la part de la maitresse d'un petit à qui elle a le devoir de lui apprendre à aimer l'école. Elle a surtout à mon sens un devoir de médiation entre l'enseignement et les parents. Il est clairement plus difficile d'accepter les problèmes de son propre fils que d’expliquer ceux des autres… D’autre part, je ne crois pas que mettre en avant les suppressions de postes suffise à expliquer son comportement, c’est trop facile… Tout métier (surtout en ce moment) à son lot d’injustices, je bosse plus de 40h et on ne m’en paye que 35h, je n’ai pas de RTT, pas d’heures sup. mais je souris et prend le temps de m’expliquer. Kikie, vous sentez-vous en droit de faire « payer » les enfants le manque d’aménagement des postes dans l’éducation nationale ? Ne décalons pas le problème, je ne l’accepterais pas. Si dans cette histoire mon fils y laisse des plumes, je peux vous assurer alors que personne n’en sortira indemne. Je voudrais résumer, la seule chose que je demande c’est de l’humanisme et de la compréhension pour pouvoir tout mettre en œuvre pour que mon fils ne rate pas cette classe « charnière ». Si mon fils à des problèmes elle se doit de nous aider, tout au moins de nous guider. Je m’emporte et je m’en excuse mais je vous assure qu’il y a de quoi. Nous avons pris un rdv avec un orthophoniste, un psy du CMPEA, un pédo-psy et bien sur… avec la maitresse, nous verrons bien Merci de vos lectures (désolé d’être un peu long)
Petit_Gizmo Posté(e) 26 janvier 2008 Posté(e) 26 janvier 2008 Il est possible que cette enseignante se soit sentie un peu agressée, à tort (je ne vous jette pas du tout la pierre), par votre épouse et votre mot d'une page et demi (c'est long pour demander un RV ). Et que de ce fait, elle se braque désormais (pas contre votre enfant, mais contre vous et votre épouse). C'est envisageable... Parfois, nous enseignants avons l'impression que certains parents ont une dent contre nous, et ces mêmes parents pensent que nous avons une dent contre eux (et contre leur enfant). Souvent, le dialogue permet de remettre les choses à plat et de constater que nos craintes ne sont pas fondées, qu'il y a beaucoup de malentendus... Et il suffit parfois de pas grand chose pour bien repartir. Toutefois, je suis un peu choqué par vos propos. Vous reprochez en effet à cette enseignante un manque de pédagogie, vous annoncez qu'elle se contente du strict minimum dans son travail et estimez que les conditions dans lesquelles travaille votre enfant ne sont pas normales. Ce sont des jugements graves, d'autant plus que vous n'êtes pas en classe pour constater. Vous vous fiez donc seulement aux propos de votre fils, qui peuvent être déformés et sortir du contexte. Et vous semblez rejeter tous les torts sur le dos de la maîtresse, sans vous dire que votre fils a peut-être de vrais soucis, pas forcément scolaires. Quoi qu'il en soit, j'espère que l'entretien que vous aurez lundi avec l'enseignante permettra d'apaiser les tensions, de retrouver une certaine confiance mutuelle et d'aider votre enfant. Euh... Au passage, je ne resiste pas : je bosse pour ma part plus de 50h par semaine, je n’ai pas de RTT, pas d’heures sup non plus Mais comme vous, j'essaye de sourire et de prendre le temps pour expliquer (pas toujours facile quand même après une rude journée de travail).
Kikie Posté(e) 26 janvier 2008 Posté(e) 26 janvier 2008 "Je voudrais répondre maintenant à Kikie, il est vrai quelle fait surement son métier, dans le plus strict minimum cela va sans dire. Mais en quoi consiste son métier? Uniquement à dispenser son cours ? De quoi parle-ton au fait... d'une classe de CE1 !!! Un peu de civisme, quelques minutes à la fin de la classe et surtout un peu de tact, je pense que c'est le minimum… Je comprendrais que bien des métiers du secteur public remette en cause ses relations avec ses clients (encore que) mais pas de la part de la maitresse d'un petit à qui elle a le devoir de lui apprendre à aimer l'école. Elle a surtout à mon sens un devoir de médiation entre l'enseignement et les parents. Il est clairement plus difficile d'accepter les problèmes de son propre fils que d’expliquer ceux des autres… D’autre part, je ne crois pas que mettre en avant les suppressions de postes suffise à expliquer son comportement, c’est trop facile… Tout métier (surtout en ce moment) à son lot d’injustices, je bosse plus de 40h et on ne m’en paye que 35h, je n’ai pas de RTT, pas d’heures sup. mais je souris et prend le temps de m’expliquer. Kikie, vous sentez-vous en droit de faire « payer » les enfants le manque d’aménagement des postes dans l’éducation nationale ? Ne décalons pas le problème, je ne l’accepterais pas. Si dans cette histoire mon fils y laisse des plumes, je peux vous assurer alors que personne n’en sortira indemne." PapInquiet, vous avez, dans votre emportement, mal considéré mes propos : loin de moi l'idée de trouver des excuses à cette enseignante. Je ne connais pas l'école de votre fils, sa situation, je ne connais pas le classe, je n'ai donc pas pu juger précisément de la situation. J'ai simplement voulu donner des pistes de réflexion afin d'apaiser les esprits et j'avais bien précisé qu'il s'agissait de prendre dans mon message seulement ce qui s'appliquait à votre situation, c'est à dire : pas la totalité ! Toutes lexpériences sont différentes : je travaille dans une école où l'on doit accueillir 30 élèves par classe, parfois 32 en maternelle, et toujours en double-niveai. Nous ne sommes pas en ZEP, ce qui fait que le RASED, qui manque de postes, nous aide très peu, privilégiant les écoles classées en ZEP. Or, nous aussi nous en avons, des élèves en difficulté ! Nos conditions de travail nuisent aux élèves et ce, malgré tous les efforts que nous y consacrons. J'avais aussi écrit qu'une enseignante a pour rôle d'aider les élèves en difficulté malgré tout et qu'il était anormal qu'elle s'adresse à vous comme elle l'a fait. Je ne vais pas entrer plus avant dans le débat, mon but était de vous aider en vous donnant des pistes car vous paraissiez assez désemparé. Je ne pensais pas que mes propos seraient mal interprétés.
alloelisa Posté(e) 27 janvier 2008 Posté(e) 27 janvier 2008 La fiche à remplir pour le RASED, personnellement si je voyais les parents rapidement avant de donner la feuille, je leur faisais lire ce que j'avais écrit pour motiver la demande de prise en charge, c'était loin d'être un secret, ce sont des choses évoquées ensemble et il était intéressant pour tout le monde de partager chacun notre opinion sur les difficultés de l'enfant. Après, effectivement c'est le RASED qui décide, d'après ce qu'on a dit et surtout écrit, quel type d'aide aura l'enfant : aide psy, aide pour le comportement (élève qui n'arrive pas à se concentrer, ou qui est trop agité, etc), ou bien si c'est purement scolaire : des difficultés sans problème de comportement, alors aide en maths ou français suivant les besoins. Maintenant si le RASED pense que votre fils a besoin d'une aide psy pourquoi le psy du RASED ne peut pas s'en occuper ? pourquoi ce n'est pas de son ressort ? Ce qui est bizarre dans tout ce que vous racontez, c'est le manque de dialogue ! avoir des explications sur cette décision, sur le pourquoi le RASED ne peut pas s'occuper de votre fils ? etc. Je pense que manque de communication ne fait qu'aggraver les choses, et même si il s'avèrait que les problèmes de votre enfant était plus important que vous ne l'imaginiez (ce que je ne vous souhaite pas), j'espère tout de même que l'enseignante fera un effort pour avoir une vraie discussion avec vous. Bon courage en tous cas, j'espère que les choses vont s'arranger.
mamette Posté(e) 27 janvier 2008 Posté(e) 27 janvier 2008 Maintenant si le RASED pense que votre fils a besoin d'une aide psy pourquoi le psy du RASED ne peut pas s'en occuper ? pourquoi ce n'est pas de son ressort ? Je ne sais pas ce qu'il en est ailleurs mais dans mon secteur, sur demande de l'enseignant qui constate des difficultés qui ne sont pas scolaires, l'enfant est d'abord observé en classe, puis (si les parents l'autorisent) il y a une rencontre individuelle du psy avec l'enfant puis la famille est à son tour reçue... Si l'enfant a besoin d'une aide psychologique, le psy scolaire ne prend pas en charge les thérapies mais adresse les enfants dans un centre médico-psychologique ou chez un psychologue du privé au choix des familles... Pour les difficultés scolaires nécessitant l'intervention de l'enseignant du rased, ça se décide en équipe et les parents sont informés que leur enfant bénéficie d'un soutien en petit groupe...Il y a ensuite des réunions de synthèse pour faire le point sur l'évolution des enfants et le psy du rased assiste à ces réunions. Eventuellement il peut également proposer de recevoir les parents si l'équipe le juge utile...
alloelisa Posté(e) 27 janvier 2008 Posté(e) 27 janvier 2008 Maintenant si le RASED pense que votre fils a besoin d'une aide psy pourquoi le psy du RASED ne peut pas s'en occuper ? pourquoi ce n'est pas de son ressort ? Je ne sais pas ce qu'il en est ailleurs mais dans mon secteur, sur demande de l'enseignant qui constate des difficultés qui ne sont pas scolaires, l'enfant est d'abord observé en classe, puis (si les parents l'autorisent) il y a une rencontre individuelle du psy avec l'enfant puis la famille est à son tour reçue... Si l'enfant a besoin d'une aide psychologique, le psy scolaire ne prend pas en charge les thérapies mais adresse les enfants dans un centre médico-psychologique ou chez un psychologue du privé au choix des familles... Dans mon école, la psy suit certains enfants chaque semaine. Elle les prend inviduellement et continue chaque semaine avec les mêmes...
sihaya Posté(e) 27 janvier 2008 Posté(e) 27 janvier 2008 Chez nous, c'est comme chez mamette, la psy vient en classe sur demande de l'enseignant pour observation de l'enfant, elle convoque ensuite les parents et les dirige vers un psy extérieur ou le cmp. Elle voit sporadiquement quelques élèves mais en aucun cas ne fait un suivi de type thérapie.
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