stages de rattrapage CM1/CM2

[nougamiel]

D'accord ! sauf que c'est réellement ignorer, voire même augmenter, les risques de faire passer les 60 heures qu'il reste à caser pour rattraper les samedis matins, pendant les vacances scolaires, dés septembre 2008.

Nous ne l'ignorons pas mais personnellement (je me répète désolée), je suis prête à faire ce sacrifice contre de vrais week-end.

Moins de vacances, ça ne me pose pas de problème, si il ne s'agit que de quelques jours par-ci par-là..

Chacun ses préférences.

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

Explique-moi un peu sur quoi tu bases ton jugement sur ma qualité d'enseignante et mon implication dans mon travail?

Modère tes propos, reste correct et relis-toi!!

Parler d'intérêt financier dans la fonction publique, de surcroit pour une somme de 350 euros, c'est complètement ridicule.

Quant à ta proposition d'aller voir ailleurs, je te remercie mais je suis assez grande pour savoir ce que je dois faire.

[steph.stephy3]

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

On a beau être enseignant, nous aussi nous avons le droit d'avoir un logement correct, une nourriture saine et quelques plaisirs, de pouvoir payer des études à nos enfants.

Et tout ceci, ô grand donneur de leçons, passe par l'argent, tu sais, cette saleté qui se fait de plus en rare dans les poches des français depuis quelques années.

Je ne vais pas travailler par plaisir, mais parce qu'il le faut, pour pouvoir bouffer notamment.

Peut-être es-tu rentier ou entretenu et ne travailles que pour ton plaisir ? Ce n'est pas le cas de bon nombre de personnes.

Et je ne vois pas pourquoi, sous prétexte d'avoir un métier presque "social", nous devrions travailler pour la beauté du geste.

J'aime mon métier, mais j'ai travaillé très dur pour y arriver, je travaille encore très dur et je trouve très insultant :

- de nous faire constamment traiter de feignasses

- des augmentations ridicules de 0.8% au moment où les prix des logements et de la nourriture ont doublé en 10 ans.

- de chercher le moyen de nous enlever notre seul "avantage" : le temps.

Moi aussi, je veux vivre mieux, comme Sarkozy, le président du pouvoir d'achat. Surtout du sien.

Si l'argent ne t'intéresse pas, tu peux virer ton salaire sur mon compte chaque mois et continuer de bosser pour la gloire.

Je suis enseignante, pas religieuse et n'ai pas le sens du sacrifice.

La pauvreté, j'ai déjà testé, j'en suis sortie et ne compte pas y goûter à nouveau.

Si tu la veux, je te la laisse.

[JBB]

Un petit bémol, la suppression du samedi matin ne représente pas, je crois, 18 jours mais 12. En effet, on ne travaillait pas en présence des élèves tous les samedis (ou tous les mercredis) mais deux sur trois, soit un total de 72h sur l'année, donc 12 jours. Ce qui représente toutefois, nous sommes bien d'accord, une grosse perte.

Autant pour moi... Tu avoueras qu'avec tous ces horaires... On (je) s'y perd...

certes en 15 heures on ne va pas le transformer en premier de la classe, mais c'est mieux que rien... il me semble...

Honnêtement, je ne sais pas. Tout dépend du public. N'y a-t-il pas un risque, pour certains élèves, de les dégouter encore plus de l'école ? Je sais que tous les élèves n'ont pas la chance de profiter pleinement de leurs vacances, mais n'a-t-on vraiment rien de mieux à leur proposer que de revenir à l'école pendant les congés scolaires ? Quand un môme n'aime pas la soupe, est-ce que c'est en le gavant de soupe qu'on parvient à la lui faire apprécier (l'exemple vaut ce qu'il vaut....) ?

Si l'on se pose vraiment la question de l'inadaptation de certains élèves, on est aussi obligé de se poser la question des structures (classes spés) et de leur disparition. J'ai une des dernières clad (dites fermées) du département, 20 à 30 % de retour en classe "normale" avec 1 à 2 ans de retard. La question posée est de savoir si ces élèves profitent du petit groupe, de l'individualisation "forcenée", du fait qu'on vient travailler pour soi, que le peu (ou le beaucoup) qu'on aprrend, on le doit à la "force du poignet" (le travail), qu'on se rend compte des progrès même si les "autres" dans les autres classes sont plus loin... La logique de la remédiation, car il s'agit bien de ça, n'obéit pas à à la contrainte horaire, heure de soutien, stages, l'instit doit se "contenter" de ce que les clients peuvent faire le jour même, fiche de prép, progression, séquences, séances sont accessoires. Je pratique déjà les "horaires renforcés ministériel" en leur donnant la possibilité de choisir leur activité dans le domaine (français, maths ..), celui qui ne "veut pas faire problème" en début de séance demande souvent à en faire 1/2 heure après et fait des opés, s'entraîne aux tables avant.. Les causes d'erreurs sont parfois insoupçonnables, ce qui paraît du domaine de "l'inné" chez les "bons", pose problème chez mes clients.

Je pense que les heures et les stages ne sont pas à la mesure des "client visés" qui sont ceux que j'ai toute la journée (les fameux 15% en grande difficulté)

Autrement dit, faut-il rouvrir des classes spécialisées en n'acceptant plus quoi qu'en disent les parents une orientation par défaut (élèves qui ont d'autres profils)? mais je vois déjà les opposants aux "filières " "monter au créneau"... Mais peut-être font-ils mieux que moi, dans leur classe, les élèves sont peut-être plus heureux dans ce grand déluge de connaissances dans lequel ils surnagent sans trop y comprendre grand-chose...

Je vous souhaite de la réussite dans toutes ces tentatives de remédiation, pour moi, je vais continuer ce que je fais (finalement pas si mal que ça), rien à changer... La difficulté scolaire, c'est mon job...

JBB

[vlms]

D'accord ! sauf que c'est réellement ignorer, voire même augmenter, les risques de faire passer les 60 heures qu'il reste à caser pour rattraper les samedis matins, pendant les vacances scolaires, dés septembre 2008.

Nous ne l'ignorons pas mais personnellement (je me répète désolée), je suis prête à faire ce sacrifice contre de vrais week-end.

Moins de vacances, ça ne me pose pas de problème, si il ne s'agit que de quelques jours par-ci par-là..

Chacun ses préférences.

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

waouah, que de belles leçons vraiment!! Que fais-tu, toi pour l'intérêt collectif?

1 Tout simplement je n'accepte pas ce qui met en danger notre profession pour satisfaire mon intérêt perso

2 je participe à tous les mouvements de grève (je perds de l'argent pour défendre l'intérêt de tous)!!

3 je suis syndiquée (idem ; aucun intérêt personnel)

4 je consacre une partie de mon énergie et de mon temps de vacances à préparer correctement mes cours dans l'intérêt de mes élèves je ne me disperse pas dans des heures supplémentaires au détriment du reste

... j'en ai d'autres si tu as besoin de comprendre à quel point il est important de ne pas être perso dans ce métier...

[vlms]

D'accord ! sauf que c'est réellement ignorer, voire même augmenter, les risques de faire passer les 60 heures qu'il reste à caser pour rattraper les samedis matins, pendant les vacances scolaires, dés septembre 2008.

Nous ne l'ignorons pas mais personnellement (je me répète désolée), je suis prête à faire ce sacrifice contre de vrais week-end.

Moins de vacances, ça ne me pose pas de problème, si il ne s'agit que de quelques jours par-ci par-là..

Chacun ses préférences.

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

Explique-moi un peu sur quoi tu bases ton jugement sur ma qualité d'enseignante et mon implication dans mon travail?

Modère tes propos, reste correct et relis-toi!!

Parler d'intérêt financier dans la fonction publique, de surcroit pour une somme de 350 euros, c'est complètement ridicule.

Alors refuse de les faire et raisonne à long terme au lieu de mettre péril notre statut ......... ne venez pas vous plaindre si vous êtes ensuite montrés du doigt :-((

Quant à ta proposition d'aller voir ailleurs, je te remercie mais je suis assez grande pour savoir ce que je dois faire.

A toi de voir

[nougamiel]

vlms, visiblement tu n'as pas compris que nous sommes là pour échanger de façon respectueuse et courtoise.

Tu es en train de faire dévier le post par le biais de tes attaques personnelles infondées et inutiles.

Ton attitude ne permet en rien de continuer le débat et les échanges de manière intéressante et constructive.

Si tu poursuis sur ce mode, je pense que tes interventions ne seront plus relevées (en tout cas par les personnes qui ne sont pas dans "ton moule").

J'édite suite à ta dernière réponse.

Raisonner à long terme? Tu penses donc que j'ai une cervelle de moineau, c'est ton droit. Si ta peur est de perdre quelques jours de vacances, ce n'est pas la mienne.

[vlms]

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

On a beau être enseignant, nous aussi nous avons le droit d'avoir un logement correct, une nourriture saine et quelques plaisirs, de pouvoir payer des études à nos enfants.

Et tout ceci, ô grand donneur de leçons, passe par l'argent, tu sais, cette saleté qui se fait de plus en rare dans les poches des français depuis quelques années.

Je ne vais pas travailler par plaisir, mais parce qu'il le faut, pour pouvoir bouffer notamment.

Peut-être es-tu rentier ou entretenu et ne travailles que pour ton plaisir ? Ce n'est pas le cas de bon nombre de personnes.

Et je ne vois pas pourquoi, sous prétexte d'avoir un métier presque "social", nous devrions travailler pour la beauté du geste.

J'aime mon métier, mais j'ai travaillé très dur pour y arriver, je travaille encore très dur et je trouve très insultant :

- de nous faire constamment traiter de feignasses

- des augmentations ridicules de 0.8% au moment où les prix des logements et de la nourriture ont doublé en 10 ans.

- de chercher le moyen de nous enlever notre seul "avantage" : le temps.

Moi aussi, je veux vivre mieux, comme Sarkozy, le président du pouvoir d'achat. Surtout du sien.

Si l'argent ne t'intéresse pas, tu peux virer ton salaire sur mon compte chaque mois et continuer de bosser pour la gloire.

Je suis enseignante, pas religieuse et n'ai pas le sens du sacrifice.

La pauvreté, j'ai déjà testé, j'en suis sortie et ne compte pas y goûter à nouveau.

Si tu la veux, je te la laisse.

Si ça peut de satisfaire pour cette année tant mieux pour toi mais profites-en bien car tu ne sembles pas avoir compris que dés septembre c'en est fini avec les heures sup !! n'oublie pas que nous leur devrons 60 heures pour les élèves en difficultés; ils n'auront alors plus aucune raison de verser des heures sup ........

Pas folle la guêpe (enfin là haut je veux dire).........

[karinath]

D'accord ! sauf que c'est réellement ignorer, voire même augmenter, les risques de faire passer les 60 heures qu'il reste à caser pour rattraper les samedis matins, pendant les vacances scolaires, dés septembre 2008.

Nous ne l'ignorons pas mais personnellement (je me répète désolée), je suis prête à faire ce sacrifice contre de vrais week-end.

Moins de vacances, ça ne me pose pas de problème, si il ne s'agit que de quelques jours par-ci par-là..

Chacun ses préférences.

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

waouah, que de belles leçons vraiment!! Que fais-tu, toi pour l'intérêt collectif?

1 Tout simplement je n'accepte pas ce qui met en danger notre profession pour satisfaire mon intérêt perso

2 je participe à tous les mouvements de grève (je perds de l'argent pour défendre l'intérêt de tous)!!

3 je suis syndiquée (idem ; aucun intérêt personnel)

4 je consacre une partie de mon énergie et de mon temps de vacances à préparer correctement mes cours dans l'intérêt de mes élèves je ne me disperse pas dans des heures supplémentaires au détriment du reste

... j'en ai d'autres si tu as besoin de comprendre à quel point il est important de ne pas être perso dans ce métier...

Et bien tu vois, je suis dans le même cas que toi, syndiquée, faisant toutes les grèves. Je travaille aussi dans une école difficile ( et oui je ne travaille en ZEP que pour le côté financier me diras-tu ah ah), je fais aussi du bénévolat quand l'asso des parents d'élèves peine pour faire vivre l'école.

Mais la différence entre nous c'est que j'accepte le choix des autres quand je fais grève et d'autres non car ils ne veulent pas perdre une journée de travail je PEUX le comprendre et surtout ne pas les juger.

Je serais d'ailleurs la 1ere dans la rue pour défendre notre droit aux vacances.

Mais du coup j'estime aussi que je peux faire des heures supp, si j'en ai besoin car oui pour certains et à certains moments, c'est un besoin.

[vlms]

vlms, visiblement tu n'as pas compris que nous sommes là pour échanger de façon respectueuse et courtoise.

Tu es en train de faire dévier le post par le biais de tes attaques personnelles infondées et inutiles.

Ton attitude ne permet en rien de continuer le débat et les échanges de manière intéressante et constructive.

Si tu poursuis sur ce mode, je pense que tes interventions ne seront plus relevées (en tout cas par les personnes qui ne sont pas dans "ton moule").

Tu sais les discussions qui relatent des intérêts perso sont pour moi des discussions peu intéressantes et peu constructives ...

J'édite suite à ta dernière réponse.

Raisonner à long terme? Tu penses donc que j'ai une cervelle de moineau, c'est ton droit. Si ta peur est de perdre quelques jours de vacances, ce n'est pas la mienne.

Nougamiel ne soit pas naïve je ne suis pas la seule à raisonner de cette manière !! ne lis pas que les messages qui te correspondent; tu vas voir il y en a plein d'autres comme ça ... désolée :-)

[vlms]

D'accord ! sauf que c'est réellement ignorer, voire même augmenter, les risques de faire passer les 60 heures qu'il reste à caser pour rattraper les samedis matins, pendant les vacances scolaires, dés septembre 2008.

Nous ne l'ignorons pas mais personnellement (je me répète désolée), je suis prête à faire ce sacrifice contre de vrais week-end.

Moins de vacances, ça ne me pose pas de problème, si il ne s'agit que de quelques jours par-ci par-là..

Chacun ses préférences.

On se demande vraiment pourquoi certains font ce métier!! Si l'intérêt financier et individuel prime je pense qu'il vaut mieux aller ailleurs!!

waouah, que de belles leçons vraiment!! Que fais-tu, toi pour l'intérêt collectif?

1 Tout simplement je n'accepte pas ce qui met en danger notre profession pour satisfaire mon intérêt perso

2 je participe à tous les mouvements de grève (je perds de l'argent pour défendre l'intérêt de tous)!!

3 je suis syndiquée (idem ; aucun intérêt personnel)

4 je consacre une partie de mon énergie et de mon temps de vacances à préparer correctement mes cours dans l'intérêt de mes élèves je ne me disperse pas dans des heures supplémentaires au détriment du reste

... j'en ai d'autres si tu as besoin de comprendre à quel point il est important de ne pas être perso dans ce métier...

Et bien tu vois, je suis dans le même cas que toi, syndiquée, faisant toutes les grèves. Je travaille aussi dans une école difficile ( et oui je ne travaille en ZEP que pour le côté financier me diras-tu ah ah), je fais aussi du bénévolat quand l'asso des parents d'élèves peine pour faire vivre l'école.

Mais la différence entre nous c'est que j'accepte le choix des autres quand je fais grève et d'autres non car ils ne veulent pas perdre une journée de travail je PEUX le comprendre et surtout ne pas les juger.

Je serais d'ailleurs la 1ere dans la rue pour défendre notre droit aux vacances.

Mais du coup j'estime aussi que je peux faire des heures supp, si j'en ai besoin car oui pour certains et à certains moments, c'est un besoin.

Euh !!!! la question c'était "que fais tu pour l'intérêt collectif ? " et voilà ce que k'ai répondu; je n'ai en auun cas visé ceux qui ne font pas comme moi :--)) lis entre les lignes avant d'intervenir... merci

[°Vanille°]

Pfff la notion d'intérêt collectif me fait bien rire quand c'est pour donner des leçons.

Et quand on est débutant et qu'on se tape la classe la plus pourrie, que personne ne veut dans l'école, et où l'ancienneté donne le droit de choisir la classe que l'on préfère, il est où l'intérêt pour les élèves ?? Car excusez-moi, refiler les niveaux multiples aux débutants (et ça je le vois dans beaucoup d'écoles) et se garder les niveaux simples, quand on a pourtant de la bouteille, ne croyez-vous pas que l'intérêt pour les enfants serait d'avoir des enseignants de bouteille dans les classes dures ? Et bien là, non, personne ne parle de l'intérêt des enfants !!! (je ne généralise pas, mais je constate que, c'est chacun pour soi, un peu dans tous les domaines, et pas que pour l'argent...)

[Xtophe]

Intérêt personnel ou pas, c'est à un beau merdier (dont l'EN a le secret!!!! ) qu'il faut s'attendre à l'échelon national dans maintenant 5 semaines.

Ecoles fermées à clef, armoires cadenassées, photocopieuses en panne, enseignants perdus sur la route, gamins et parents en retard, centres aérés cohabitant avec ces stages au même endroit...

On ouvre les pronostics?? :lol: