clem82 Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 bonjour ! auriez-vous un exemple en réponse à ma question ? merci !
yogui Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 bonjour !auriez-vous un exemple en réponse à ma question ? merci ! salut! On peut par exemple citer la création de parcs nationaux et régionaux, en vue de préserver l'environnement, l'intérêt étant porté sur les espèces végétales et animales. Il y a aussi le fait d'utiliser des énergies renouvelables, l'eau pour la géothermie, le soleil pour les panneaux solaires, ou encore le vent pour les éoliennes, au lieu par exemple d'utiliser le gaz, qui lui, dépend d'un stock lent à se revouveler, donc non renouvelable à l'échelle d'une vie humaine. On peut aussi penser au recyclage, au compost, qui permettent de réutiliser les matières, et donc de moins faire appel à l'usage de nouvelles matières tel que le bois... Est-ce que ma réponse est valide? bye
cindy94500 Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 salut, ba moi j'ai déjà: création de parcs nationaux et régionaux, protection d'espèces, utilisations d'engrais naturels c'est sûr qu'on trouve plus facilement des choses néfastes.... j'espère t'avoir aidé un petit peu!
doucefeuille Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 La réintroduction d'espèces en voie de dispariton grâce aux avancées de la science et de la globalisation des moyens de communication (un zoo de honk-hong peut demander une semance de panda au zoo de new-york en vue d'une fécondation in vitro pour faire des bébés pandas qui seront éduqué dans le but d'être lachés dans la nature) Mais ce sont des points de vue "humains" J'aurai tendance à penser que toute intervention de l'homme sur l'environement est artificielle, elle est due à son intelligence plus qu'à la recherche commune de tous les êtres vivants qui sont survivre et procréer. Sans l'intervention humaine, en "mal" ou en "bien", la nature aurait un tout autre visage. L'homme oublie trop souvent que seuls les plus adaptés survivent, ce sont les leçons de l'évolutionisme. Un exemple : afin de préserver les espèces végétales des ravages d'un insecte qui se met à pulluler en raison des conditions climatiques plus favorables ou de la dispartion d'un certain nombre de ses prédateurs à l'état naturel, l'homme va chercher à rétablir "l'équilibre" en introduisant en masse un prédateur de l'insecte. Lequel prédateur remplira son office mais auras d'autres conséquences sur l'environement, car il sera aussi prédateur d'autres insectes qui eux ne pullulent pas... "L'équilibre" en question même s'il est rompu par l'homme, il ne peut être rétablit sans autres conséquences, car la notion d"'équilibre" est humaine. Un autre exemple : les biocarburants, ils sont certes à l'utilisation moins nocifs que les carburants issu d'énergie fossile. Malgrés tout la "fabrication" de biocarburants demande des hectares soient cultivés ce qui n'est pas sans répercussion sur l'environement Encore un exemple : L'agriculture dite "biologique" censée être "meilleure" pour l'environement ne l'est pas forcément. Afin d'éviter que vos fruits et légumes bio pourrissent, les agriculteurs bio utilise un produit 100% naturel : le cuivre. Le-dit cuivre étant bactériostatique (empêche les bactéries de se reproduire) et ayant une trés faible migration dans les sols (aprés la pluie le cuivre se retrouve dans les couches supperficielles du sol et s'accumule car il descent trés trés lentement et ne se dégrade pas) il en résulte une stérilisation des sols assez importante. Quelle que soit l'intervention de l'homme, même si c'est pour "bien faire" les conséquences ne seront pas que bénéfiques pour l'environement. Par ailleurs, l'homme a une idée fixe de la pérénité. Selon la vision humaine, les espèces ne doivent pas disparaitre. Si on doit faire quelque chose pour l'environement c'est pour l'avoir tel qu'on le connait/connaissait il y a peu/tel qu'on l'idéalise. Les espèces n'ont pas attendu l'apparition de l'homme pour disparaitre (cf dinosaures) La nature n'est ni bonne ni mauvaise, elle est, point. toute intervention humaine "bénéfique" ne le sera que d'un point de vue humain et pas environemental.
gretchen Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 ça me fait penser à un documentaire sur les animaux "envahisseurs", importés dans un milieu par les hasards des migrations humaines, ils colonisent entièrement ces millieux où ils trouvent nourriture en abondance et n'ont pas de prédateurs (le crabe chinois, le crapaud buffle, les exemples sont nombreux). La conclusion du reportage : de tous les animaux envahisseurs, c'est l'homme qui s'est le mieux adapté en colonisant tous les milieux et en éradiquant ses prédateurs...
Jiny Posté(e) 10 avril 2008 Posté(e) 10 avril 2008 Je rajouterai aussi le traitement des eaux usées avec les stations d'épuration.
sam-p2m Posté(e) 11 avril 2008 Posté(e) 11 avril 2008 je remarque que toutes ses actions "bénéfiques" de l'Homme sur son environnement ne sont souvent qu'un moyen de compenser ce que ses actions néfastes ont produit par ex : on décime les populations de loups ou d'ours des pyrénées et on les réintroduit
viguillemot Posté(e) 12 avril 2008 Posté(e) 12 avril 2008 Bonjour, en effet, le réintroduction d'espèces, la création de zones de protection,... sont des mesures permettant de compenser les actions néfastes de l'homme sur son environnement ou de prévenir d'autres actions néfastes qu'il pourrait faire. L'homme a façonné les paysages et c'est surtout le développement de l'agriculture qui a obligé l'homme à devenir paysan, c'est à dire modificateur de son paysage. L'homme a ainsi déboisé, creusé des étangs, planté des haies,... et a donné naissance à de nombreux milieux dits "naturels" aujourd'hui mais qui n'auraient pas existé sans lui. Ainsi, le bocage, est une création de l'homme, qui l'a créé pour développer l'élevage. Aujourd'hui, le bocage est le milieu naturel le plus riche de nos campagnes en diversité faunistique et floristique car il présente de nombreux micro-milieux comme les prairies de fauche (production de foin, riches en insectes), les haies variées (nourriture et refuge pour les oiseaux), des bosquets favorables pour les espèces forestières, des vergers... Cette mosaïque de milieux est favorable à une grande biodiversité car de nombreuses espèces peuvent y trouver les conditions nécessaires à leur développement. Sans l'action de l'homme, le paysage français ne serait qu'une grande forêt, sauf aux endroits où les arbres ne peuvent pas pousser (lacs et tourbières, haute altitude et côtes trop ventées). La diversité serait donc moindre. Vincent
clem82 Posté(e) 16 avril 2008 Auteur Posté(e) 16 avril 2008 je remarque que toutes ses actions "bénéfiques" de l'Homme sur son environnement ne sont souvent qu'un moyen de compenser ce que ses actions néfastes ont produitpar ex : on décime les populations de loups ou d'ours des pyrénées et on les réintroduit oui c'est pour ça que je ne trouvais pas. par "action bénéfique" je comprenais une action que l'homme fait mais pas pour compenser ses actions néfastes. euh... je suis pas sûre que ma phrase soit très claire ! enfin merci pour vos réponses ! ça m'aide bien !
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