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Posté(e)

Oui, de peu... :lol::wink:

Pour approfondir un peu nos connaissances et enrichir notre savoir (l'inverse est permis :lol: ), lisez un peu ce qu'on trouve sur wikipedia...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Savoir

Sans savoir qui il est, ni le connaître , je suis certain que le rédacteur de cet article est un spécialiste des sciences éduc et de psychologie cognitive... :lol:

Ah, un point positif:

En français, le terme de savoir a un sens qui ne coïncide pas exactement avec celui de connaissances alors que par exemple l'anglais utilise « knowledge » dans tous les cas.

Tiens, si j'essayais d'aller passer le cafimschtrouph dans un pays anglophone ? :D:D

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Posté(e)

Allez, relançons un peu ce débat sur les mots (les maux ?) des experts en pédagogie...Par exemple, l'emploi du mot "projet" dans le langage scolaire est devenu un terrible contre-sens ...On parle de projets pour la mise en place d'une activité éducative, de la simple application du programme, d'une sortie scolaire, d'un goûter, de la rénovation ou de la propreté des chiottes des toilettes... :lol:

En réalité, ce terme tel qu'on le conçoit actuellement, date des années 80 essentiellement à l'usage des entreprises, mais totalement inadapté et galvaudé par les sciences éduc et la loi Jospin de 89...

petite précision: http://fr.wikipedia.org/wiki/Projet

Posté(e)

Part plutôt de la question : Où veux-tu qu'ils en arrivent à la fin de l'année dans cette matière ?

Faut-il vraiment une progression, ou la Production d'Ecrits peut-elle n'être qu'une succession d'occasions pour "coucher sur le papier" tout ce que vous allez vivre en classe, en mettant en application les règles d'orthographe, de conjugaison et de grammaire que vous aurez vues ?

Posté(e)

D'accord avec Goëlette...J'irais même plus loin en te disant que ces termes :"productions d'écrits"..., je les trouve déjà fantaisistes...Mais, bon...Avant de rentrer dans le débat, lis un peu cet article (avec évaluations d'élèves de 6°, en 2004...) et on en reparle...

http://www.sauv.net/evaluation.php

Posté(e)

Tu peux aussi leur "ouvrir" un cahier d'expression écrite libre, type travaux pratiques, sur lequel ils écrivent un texte, au crayon d'abord, que tu corrriges à la demande, et quils recopient sans erreur et illustrent voire lisent à leurs camarades.

Posté(e)
Merci, beaucoup Akwabon, pour cette réponse complète.

Je vais m'en servir pour établir mon plan d'attaque cette année.

Je pense aussi qu'il faut partir de la construction de phrases avant d'aborder l'écriture d'un texte.

Où trouves-tu tes séries d'images séquentielles ?

As-tu un manuel, même ancien, à me conseiller ?

Bonjour,

voici des sites :

3 images

http://aulapt.files.wordpress.com/2008/03/...s-3-vinetas.pdf

5 images

http://membres.lycos.fr/toucan1734/les_ima...temporelles.htm

3 à 6 images

http://www.orthoedition.com/temporel.htm

http://go.pedago.free.fr/cycle1-2-3_historiettesenimages.htm

Posté(e)
En manuel ancien, il y a le "Dumas" (Le livre unique de français, cours élémentaire, Hachette) que l'on arrive à trouver en occasion sur les sites de librairie. Il est très vieillot mais en revanche, on peut s'inspirer de la progression en "préparation à la rédaction". C'est à peu près ce que j'ai fait l'année dernière avec mes phrases à trous de plus en plus larges, mes questions et mes petits textes en fin d'année.

Comme quoi, c'est parfois dans les plus vieux pots qu'on fait la meilleure soupe !

Posté(e)

Comme quoi, c'est parfois dans les plus vieux pots qu'on fait la meilleure soupe !

Bien d'accord !

Et les opinions ou les démarches proposées ici montrent bien "l'abîme" qui sépare l'IUFM et ses experts en pédagogie de la réalité du terrain...Je me souviens des discours d'IUFM ou de la dernière conférence pédagogique sur "la production d'écrits"...

De longs discours sur les textes narratifs, descriptifs, prescriptifs ou autres productions poétiques (pauvres poètes!). De longues injonctions prouvant tout l'intérêt des "projets" ou des démarches pédagogiques originales, novatrices et motivantes afin que les apprenants se sentent véritablement "acteurs de leur production textuelle"... :cry:

Mais bien entendu, rien sur le niveau réel des élèves. Surtout, se garder de poser des questions sur la prise en compte de l'écriture, de l'orthographe ou de la syntaxe...Sinon, c'est une séance d'exorcisme pédagogique assurée pour l'hérétique qui ne connait pas ou n'applique pas les commandements pédagogiques: "On est dans un exercice de production d'écrit!! Vous confondez avec une séance d'ORL !!! (observation réfléchie de la langue, dont on n'entend plus parler d'ailleurs).

Ensuite, écriture de la "séquence": nombre de séances, énumération des objectifs: général, spécifique, notionnel, factuel (si, si !!); puis des compétences, prérequis, découpage du temps imparti (ne pas oublier les 5 min pour la distribution du matériel :lol: ), consignes, "remédiation"éventuelle etc. :cry:

"Voilà une très bonne fiche de préparation !"

( Si l'élève ne sait pas écrire trois lignes correctes et cohérentes...Rien à foutre, c'est pas l'objectif !) :lol::cry:

Posté(e)

Oui, l'expression écrite c'est un gros mangeur de temps...Voilà pourquoi il est préférable de faire des exercices très courts mais réguliers plutôt que des "projets" d'écriture beaucoup trop difficiles à gérer et qui risquent de décourager l'enseignant puisqu'ils ne font pas progresser les élèves ... On remarquera d'ailleurs, et c'est évident, qu'un enfant déjà faible en lecture et dans les autres domaines de la langue ne suivra pas et décrochera totalement dans ce style de "projets"...Une aide personnalisée pour ces projets d'écriture n'apporte rien tant que les bases ne sont pas acquises.

Posté(e)

La Production d'écrits, si on arrive à trouver une bonne organisation, c'est le moyen idéal de différencier le travail, et aussi une occasion intéressante de prendre 5 minutes avec chaque enfant sans stress.

Posté(e)

Je me méfie énormément de la différenciation, je préfère donner à tous le même travail, même s'il est un peu trop facile pour certains et qu'il réclame au contraire beaucoup d'efforts à d'autres.

Au gros maximum, je donne plus d'aide à ceux qui "rament" vraiment, en leur signalant toutefois que cette aide est temporaire et que l'idéal serait qu'ils y arrivent seuls.

En effet, j'ai très peur qu'en "différenciant", les écarts se creusent et que les plus faibles en fassent de moins en moins.

c'est exactement ce que je pense: malheureusement, j'ai une IEN pour qui c'est le cheval de bataille, même si on fait un effort de différenciation, elle trouve toujours que ce n'est pas assez!!

La dernière fois que j'ai été inspectée, j'avais adapté le travail en lecture pour trois élèves (deux enfants du voyage et une élève en grande difficulté), surtout parce que c'était le début de l'année.

Mais en maths, j'ai fait une dictée de nombres jusqu'à 80, pour tous les élèves la même puisque je pense que c'est à force de les pratiquer qu'on les connaît et bien madame aurait voulu que je donne des nombres différents aux élèves qui ne connaissaient pas ces nombres là et lors de l'entretien, pas la peine d'essayer d'expliquer son point de vue, madame ne daigne même pas écouter, elle est IEN elle a donc toujours raison. Donc la solution: dire oui madame l'inspectrice et surtout continuer à faire comme on le sent.

Donner une phrase de moins à faire. aggrandir les lignes d'écriture j'accepte de faire ce genre de choses mais donner toujours des choses différentes ça non!!

Invité
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