Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

Je voudrais bien une réponse concrète sur le rôle des membres de RASED vis à vis le prof principal. Quelle est l'aide précise qu'ils donneront au prof ?

Je ne voyais pas ce que les jurys cherchaient à me faire dire.

:sad:

Posté(e)
Je voudrais bien une réponse concrète sur le rôle des membres de RASED vis à vis le prof principal. Quelle est l'aide précise qu'ils donneront au prof ? Je ne voyais pas ce que les jurys cherchaient à me faire dire. :sad:

Mouais... :glare: Voir ce que dit une collège de son boulot: http://rased.clovisjacquiert.org/index.php...8&Itemid=27 (en bas de la page, les rapports aux collègues de l'école). Cela me parait bien. Les gens du rased ne peuvent travailler seuls dans leur coin, il faut bien qu'il y ait communication et complémentarité avec les enseignants...

Question posée lors d'un CAPA SH ? d'un CAFIPEMF ? d'un oral pour une direction d'école? Concernant l'école ? le collège ?

Parce que prof principal, ça fait penser au collège, mais le rased n'intervient pas au collège...

Personnellement, quand j'ai passé mon capa sh, y'a encore une question dont je me demande toujours ce qu'elle voulait bien dire. :blink: L'un des deux IEN présents était un copain, donc par la suite, je lui ai demandé des éclaircissements: il m'a dit qu'il ne l'avait pas comprise non plus, qu'il n'aurait pas pu y répondre et qu'il se demandait si celui qui l'avait posée ne s'était pas tout simplement mélangé les pinceaux :devil_2: ... Les jurys ne sont pas toujours inspirés, cette année-là, ils faisaient ça à la chaine et parfois la fatigue l'emporte! Je me demande toujours ce que l'autre IEN attendait de moi! :sad: Mais alors, ça ne m'empêche pas de dormir: peut-être parce que j'ai réussi l'épreuve malgré l'air parfaitement idiot que je pense avoir affiché à ce moment-là! :cry:

Posté(e)
Je voudrais bien une réponse concrète sur le rôle des membres de RASED vis à vis le prof principal. Quelle est l'aide précise qu'ils donneront au prof ? Je ne voyais pas ce que les jurys cherchaient à me faire dire. :sad:

Mouais... :glare: Voir ce que dit une collège de son boulot: http://rased.clovisjacquiert.org/index.php...8&Itemid=27 (en bas de la page, les rapports aux collègues de l'école). Cela me parait bien. Les gens du rased ne peuvent travailler seuls dans leur coin, il faut bien qu'il y ait communication et complémentarité avec les enseignants...

Question posée lors d'un CAPA SH ? d'un CAFIPEMF ? d'un oral pour une direction d'école? Concernant l'école ? le collège ?

Parce que prof principal, ça fait penser au collège, mais le rased n'intervient pas au collège...

Personnellement, quand j'ai passé mon capa sh, y'a encore une question dont je me demande toujours ce qu'elle voulait bien dire. :blink: L'un des deux IEN présents était un copain, donc par la suite, je lui ai demandé des éclaircissements: il m'a dit qu'il ne l'avait pas comprise non plus, qu'il n'aurait pas pu y répondre et qu'il se demandait si celui qui l'avait posée ne s'était pas tout simplement mélangé les pinceaux :devil_2: ... Les jurys ne sont pas toujours inspirés, cette année-là, ils faisaient ça à la chaine et parfois la fatigue l'emporte! Je me demande toujours ce que l'autre IEN attendait de moi! :sad: Mais alors, ça ne m'empêche pas de dormir: peut-être parce que j'ai réussi l'épreuve malgré l'air parfaitement idiot que je pense avoir affiché à ce moment-là! :cry:

J'ai passé l'oral du CRPE et j'ai eu 11. Bonne connaissance du dossier à commenter avec une référence au contexte mais je suis de nature stresée -ce qui ne plaît pas à bp- J'ai insisté sur cette question que le prof de l'école est le noyau de n'importe quelle aide demandé PPRE ou RASED mais on m'a dit (plus pratiquement) ce que les RASED donnent en plus au prof. J'ai souri bêtement en disant que je ne sais pas quoi dire. Ils font des tests plus scientifiques? Je ne me rappelle plus ce que j'ai balbutié.

Tant pis

Et toi quelle question on t'as posé qui était incompréhensible?

Posté(e)
Et toi quelle question on t'as posé qui était incompréhensible?

J'avais présenté un mémoire sur la compréhension et comment amener les élèves à mieux comprendre les codes dont l'écrit... et dans les transferts aux autres matières que j'ai mis en oeuvre, il y avait la compréhension de la frise chronologique. Je ne me rappelle pas exactement la question, ça fait déjà 3 ans et je ne l'avais pas comprise mais ça avait un rapport avec la symbolique du temps ou de la frise chronologique, bref, il attendait une interprétation psy et cherchait à élever le débat, mais moi, je suis du genre pieds dans la glaise, la nénette bien terre à terre et là, j'avais totalement atteint mes limites et j'étais tellement enfoncée dans mon truc que le reste... j'étais dans "pour se débrouiller dans la vie, il faut que les élèves puissent comprendre ce type de représentation et comment je fais pour les y amener" et l'interprétation psy et philo, pfff... d'ailleurs, aujourd'hui, sur le sujet, à part dire que travailler sur une frise, ça renvoit au passé, au présent, au futur, c'est à dire d'où on vient et où on va, aujourd'hui, je ne serai pas capable de développer beaucoup plus, sinon dire que pour certains élèves, c'est effectivement renvoyer à des souffrances en ce qui concerne le passé et à la peur de l'inconnu en ce qui concerne l'avenir! (certains de nos élèves ont beaucoup souffert et sont placés en foyer en attente d'une décision judiciaire de placement ou de retour dans la famille).

...

Ah, ben tiens, finalement, avec ce que j'ai dit, j'ai quand même un bon début de réponse que je n'avais pas il y a 3 ans! Merci d'avoir posé la question... :lol: Mais je ne sais pas si c'est bien ça qu'il attendait. Le fait que l'autre IEN n'ait pas trop compris le truc non plus me laisse toujours perplexe... va donc savoir!

En fait, lors des oraux, on a la tête vide et des choses parfois simples nous désarçonnent totalement. A la sortie, on se dit "mais pourquoi j'ai pas dit ça?" et on passe deux jours à repasser en boucle ce qu'on aurait du développer.

Et ton concours, tu as eu 11 à l'oral, mais avec le reste, tu es bon pour le service? Personnellement, mon expérience est différente, j'ai fait partie de la dernière année de recrutement "école normale", j'ai eu un oral sur le sujet "sciences de l'éducation": j'étais tombé sur un texte qui parlait de mai 68 et je devais développer ce que ça avait entrainé comme changement dans l'éducation et à l'école et j'avais été inspirée et pas trop dit de bêtises malgré ma méconnaissance du sujet, j'ai réussi puis j'ai passé le concours interne de PE quelques années plus tard, il y avait un écrit puis un oral sur le mémoire. Là, j'avais été plus inspirée, je maitrisais particulièrement le sujet: la classe coopérative. Rien que du vécu dans une classe unique de campagne!

Posté(e)

C'est très intéressant tes réflexions sur la frise chronologique. Je prends notes.

Moi malheuresement je vais retenter encore une 3ème fois le CRPe car avec les notes des écrits il fallait cartonner aux oraux. J'espère qu'un jour avoir ton âge et être enseignante; malgrè les conditions du concours qui filtrent les candidats selon leur QI et leur capacité mnémonique je trouve que ce métier va embellir ma vie.

Et toi comment tu considères ton métier avec l'expérience et le contact avec des enfants non favorisés par la vie?

Posté(e)
J'espère qu'un jour avoir ton âge et être enseignante; malgrè les conditions du concours qui filtrent les candidats selon leur QI et leur capacité mnémonique je trouve que ce métier va embellir ma vie.

Pour l'âge, t'inquiète pas, ça finira par arriver très vite! :lol:

Je ne connais pas les épreuves du concours actuel donc je ne peux commenter ce qu'on y attend des candidats, pas plus que la pertinence des épreuves, seulement t'encourager si c'est ce que tu veux faire, tu y arriveras. Mais pour réussir le concours, il faut comprendre un truc très important: on doit se couler dans le moule qu'on nous tend pour réussir. Comprendre ce qu'on attend de nous aux épreuves du concours et le donner sans état d'âme. :wink: Plus tard, on sera libre, mais la condition pour rentrer, c'est ça! Je te donne un exemple: j'avais une belle-soeur brillante qui avait une licence d'histoire et qui a passé le concours en même temps que moi (au moment où c'était bac+2). Perso, je n'avais pas le bac (pas vraiment passé), une expérience de musicienne pro et de prof de musique, ainsi que d'animation et de formation avec une vague équivalence de niveau III obtenue sur un stage de formation pour adultes d'une durée de 6 mois, ce qui me donnait le droit de passer le concours. De plus, j'avais suivi les cours du soir à l'école normale et on nous avait expliqué qu'en histoire géo, il fallait montrer qu'on était capable de commenter et d'utiliser les documents joints au sujet (un instit ne fait que ça: utiliser et adapter des documents source pour préparer sa classe). J'étais crasse en histoire-géo: pas mon truc du tout (mégo blocage du à des parents historiens)! Mais j'ai utilisé les documents comme demandé (en géo, j'ai pas pris de risque avec les dates), je me suis appuyée dessus et je les ai commentés avec bon sens et j'ai eu 14. Ouf: inespéré. La belle-soeur avait des tas de connaissances, était largement au-dessus de moi, n'a pas séché sur le sujet, mais elle n'a eu que 7. Et je suis sure que c'est qu'elle n'a pas exploité à fond les documents et est tombée dans le piège de montrer ses connaissances... Faut dire que perso, je ne pouvais pas tomber dans le piège! Pour chaque matière, c'est la même chose: il faut lire les instructions officielles et comprendre ce qu'on attend du candidat. Chercher sur le net s'il y a des grilles de correction d'épreuves des années précédentes. Prendre les annales du concours et regarder attentivement les barêmes pour comprendre la logique, l'attente des examinateurs.

A l'oral, si on n'a pas les diplomes requis, il ne faut surtout pas le dire: pas dire qu'on passe le concours sans diplome parce qu'on a 3 enfants, pas dire qu'on a une équivalence machin chose qui nous exempte du diplome requis, surtout, ne rien dire, sinon le jury sacque... ça énerve les gens en place qu'en ont bavé pour passer leurs diplomes que certains aient des passe-droits qu'ils considèrent douteux! De nos jours, vaut mieux éviter aussi de défendre aussi bien la méthode globale que la méthode syllabique, citer les textes et circulaires quand on sent que donner son avis perso devient dangereux politiquement parlant, bref, savoir louvoyer pour pas facher le système! Cela montre qu'on saura aussi respecter le devoir de réserve plus tard!

Enfin, si tu es libre de toute attache, il faut peut-être aussi aller dans un département où il y a moins de candidats par rapport au nombre de places disponibles? Ouais, je sais, c'est pas une décision facile!

Et toi comment tu considères ton métier avec l'expérience et le contact avec des enfants non favorisés par la vie?

Je voulais être instit ou animatrice à 14-15 ans mais mes parents voulaient que je sois médecin, ingénieur ou architecte. Ils ont refusé de me laisser passer le concours (à l'époque, on le passait en 3ème ou en 2nde, il fallait donc l'autorisation parentale). J'ai d'ailleurs commencé des études d'architecture après avoir réussi le concours des Beaux arts à 16 ans pile, après ma classe de seconde, à l'époque, c'était encore possible! Puis comme mes parents ne voulaient pas que je suive la voie des arts plastiques (je voulais faire de la sculpture), j'ai fait l'école normale de musique, parce que ça me plaisait et aussi pour les em... Puis un jour, quelques années plus tard, je suis devenue animatrice socio-culturelle, puis animatrice de formation pour ados et adultes et enfin j'ai passé et réussi le concours d'instit, alors que tout le monde m'avait prédit que je le raterai, c'était sûr! Non mais...

Puis après, j'ai voulu travailler dans l'ASH: l'enseignement spé avec des élèves en grande difficulté. Je n'étais pas très sure de moi et j'avais peur de commettre une grave erreur: peur de pas y arriver, de ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir la bonne personnalité et un peu de problème avec l'image renvoyée aux autres, ce qu'ils en pensaient, etc... (faut voir ce qu'on vous dit...) mais aujourd'hui, je suis en phase avec ce que je fais, très heureuse de le faire, je trouve que c'est très valorisant de faire réussir des élèves en grande difficulté... Je m'éclate avec le site (voir en bas) même si j'ai un peu mis la pédale douce ces derniers temps... le site me permet des échanges très intéressants avec des gens qui me contactent, je travaille avec certains, ça me fait avancer...

Entre mon désir d'être instit et le moment où je suis rentrée à l'EN, il s'est écoulé presque 15 années! Je ne regrette rien, ni de ce que j'ai fait avant d'y arriver, ni ce que j'ai fait depuis. Je suis heureuse avec ce que j'ai. J'ai ma place là où je suis. Franchement, merci de poser la question, je m'aperçois que globalement, je suis bien malgré les petits (gros) soucis de la vie! :smile:

Posté(e)

Je suis d'accord avec toi mais face aux jurys (j'avais besoin de 14 pour avoir le concours) j'ai pas joué bien le jeu. Je vais travailler sur ça cette année (yoga, dialogue avec mon compagnon et si possible une place comme AVS). Je veux non seulement réussir le concours mais avoir plus d'aisance dans la communication et être plus heureuse avec ce que j'ai.

Pour faire un peu de psy, mon problème c'est que je suis très pessimiste au fond de moi, -on me dit que je suis susceptible, je ne l'accepte pas mais plutôt j'avoue que je prends la vie très au sérieux -

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...