sissoucpascher Posté(e) 23 août 2008 Posté(e) 23 août 2008 Bonjour, je m'explique, le directeur s'autorise à ne pas participer aux états de service sans demander aux collègue. en sachant qu'il a une journee de décharge. je voudrais savoir s'il en a le droit. c'est la premiere fois que je vois ça,alors je me questionne. merci
Maïs Posté(e) 23 août 2008 Posté(e) 23 août 2008 Je pense que sissou veut parler des services de récréation sissou les états de services dans l'EN c'est le déroulement de carrière .
liloh Posté(e) 23 août 2008 Posté(e) 23 août 2008 si c'est bien les services récré, même si on n'est pas déchargé on fait partie des services de récré comme tout le monde, mais bien sûr si on est au téléphone pour quelquechose d'urgent ... parfois on se fait remplacer, mais ça ne doit pas être systématique, d'ailleurs on nous l'a rappelé au stage de direction.
thierry fabre Posté(e) 23 août 2008 Posté(e) 23 août 2008 Amusant, ton texte, six-sous-que-c'est-pas-cher.... Déjà sur l'intitulé "états de service" ! On se croirait revenu au temps du service militaire... Parler de service de récrés aurait été plus simple... Ensuite sur certaines expressions: "le directeur s'autorise..." ..."sachant qu'il a une journée de décharge..." ..."sans demander aux collègues..." Fi donc, le vilain ! Tâchons d'examnier le cas de cet insupportable autoritaire ! - sur le service de surveillance: il doit être constant et assuré par l'ensemble des enseignants, dirlo y compris. Ce service comprend la surveillance des récrés, mais aussi des entrées ( 8h 20 / 8h 30 ), mais aussi des sorties (en maternelle, obligatoire, en élémentaire, fortement conseillé...) L'organisation concrête de ce service de surveillance est discuté en Conseil des Maîtres, puis arrêté par ... le dirlo... Ca fait même partie de ses attributions (décret 89-122 du 24 février 89). Partant de là, toutes les configurations sont possibles et ton dirlo est totalement dans son droit. Pour ma part, avec un quart de décharge, je ne fais aucune récréation. En revanche, j'assure la totalité des entrées et sorties, ce qui, au final, me donne un service de surveillance double de celui de tous mes collègues... - sur le fait de ne pas demander aux collègues: Je crains que tu ne confondes directeur d'école et esclave perso. Un dirlo, c'est un collègue dans l'école qui a un certain nombre de tâches qui lui incombent à lui seul, un certain nombre de responsabilités qu'il assume seul et pas mal d'heures de travail qu'il se tape en solo, le tout pour une indemnité de misère et pour une reconnnaissance bien piètre. A partir de là il est deux postures, celle consistant à lui tomber sur le rable en lui réclamant, en plus de son travail de dirlo, qu'il accomplisse, à la minute près, le même service que les instits, l'autre consistant à avoir un minimum de solidarité envers un collègue qui se fade un boulot dont pas grand monde ne veut... Le boulot d'un dirlo est défini par des textes, des décrets, pas par la multiplicité des demandes de ses collègues... - sur la journée de décharge: Une minuscule information, mais qui peut être utile... La journée de décharge dont tu parles n'a pas pour but de se livrer à la lecture extensive et complète du Monde Diplomatique, ou au championnat régional de sudoku ! Ce sont 6 heures de boulot intensif, qui sont très loin de compenser l'ensemble des heures passées à la direction d'école... Tu n'es en rien obligée de me croire, mais il te suffit pour t'en convaincre de... prendre une direction d'école ! Il y en aura, comme chaque année, 4 à 5000 de vacantes. Fais le et on en reparle... Thierry fabre PS Au passage, que ce soit en tant que dirlo envers un de mes collègues, ou en tant qu'instit envers mes dirlos successifs, je n'ai jamais hésité à en parler directement, soit en tête-à-tête, soit en conseil des maîtres. Rien n'interdit de dialoguer, au sein d'une équipe, plutôt que de chercher la faute de l'autre...
sissoucpascher Posté(e) 23 août 2008 Auteur Posté(e) 23 août 2008 Amusant, ton texte, six-sous-que-c'est-pas-cher....Déjà sur l'intitulé "états de service" ! On se croirait revenu au temps du service militaire... Parler de service de récrés aurait été plus simple... Ensuite sur certaines expressions: "le directeur s'autorise..." ..."sachant qu'il a une journée de décharge..." ..."sans demander aux collègues..." Fi donc, le vilain ! Tâchons d'examnier le cas de cet insupportable autoritaire ! - sur le service de surveillance: il doit être constant et assuré par l'ensemble des enseignants, dirlo y compris. Ce service comprend la surveillance des récrés, mais aussi des entrées ( 8h 20 / 8h 30 ), mais aussi des sorties (en maternelle, obligatoire, en élémentaire, fortement conseillé...) L'organisation concrête de ce service de surveillance est discuté en Conseil des Maîtres, puis arrêté par ... le dirlo... Ca fait même partie de ses attributions (décret 89-122 du 24 février 89). Partant de là, toutes les configurations sont possibles et ton dirlo est totalement dans son droit. Pour ma part, avec un quart de décharge, je ne fais aucune récréation. En revanche, j'assure la totalité des entrées et sorties, ce qui, au final, me donne un service de surveillance double de celui de tous mes collègues... - sur le fait de ne pas demander aux collègues: Je crains que tu ne confondes directeur d'école et esclave perso. Un dirlo, c'est un collègue dans l'école qui a un certain nombre de tâches qui lui incombent à lui seul, un certain nombre de responsabilités qu'il assume seul et pas mal d'heures de travail qu'il se tape en solo, le tout pour une indemnité de misère et pour une reconnnaissance bien piètre. A partir de là il est deux postures, celle consistant à lui tomber sur le rable en lui réclamant, en plus de son travail de dirlo, qu'il accomplisse, à la minute près, le même service que les instits, l'autre consistant à avoir un minimum de solidarité envers un collègue qui se fade un boulot dont pas grand monde ne veut... Le boulot d'un dirlo est défini par des textes, des décrets, pas par la multiplicité des demandes de ses collègues... - sur la journée de décharge: Une minuscule information, mais qui peut être utile... La journée de décharge dont tu parles n'a pas pour but de se livrer à la lecture extensive et complète du Monde Diplomatique, ou au championnat régional de sudoku ! Ce sont 6 heures de boulot intensif, qui sont très loin de compenser l'ensemble des heures passées à la direction d'école... Tu n'es en rien obligée de me croire, mais il te suffit pour t'en convaincre de... prendre une direction d'école ! Il y en aura, comme chaque année, 4 à 5000 de vacantes. Fais le et on en reparle... Thierry fabre PS Au passage, que ce soit en tant que dirlo envers un de mes collègues, ou en tant qu'instit envers mes dirlos successifs, je n'ai jamais hésité à en parler directement, soit en tête-à-tête, soit en conseil des maîtres. Rien n'interdit de dialoguer, au sein d'une équipe, plutôt que de chercher la faute de l'autre... Premièrement je m'excuse d'avoir employé des mots militaires, je les ai employés sans le savoir vu que je n'en connais auccun . Ensuite j'ai été moi même directeur, en classe unique peut être, mais j'ai bien conscience de la charge de travaille!! Ne t'inquiètes, mais je te remercie de le faire remarquer, le dialogue est source de bon fonctionnement d'une équipe. Mais avant de dire n'importe quoi, je préfére plutot me renseigner. J'avoue que mon message semble quelque peu agressif, c'était pourtant qu'une question. Ne jugeons pas trop vite les gens avant de leur offrir de bons conseils. Merci pour ta réponse.
Fanoue Posté(e) 24 août 2008 Posté(e) 24 août 2008 Pas de décharge et la surveillance est hélas la même pour toutes même si j'avoue que j'aimerais pouvoir partir de la cour quand le téléphone sonne...ou alors quand j'ai une tâche à faire rapidement
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant