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Posté(e)

A Rased32

Je pars du principe que tu as lu le texte.

Je pars du principe que ton post n'est pas une provocation.

Les faits: Le directeur EPEP applique les décisions du CA. Au CA la voix des enseignants est minoritaire. Le texte ignore complètement la notion de directeur d'école. Le texte (contrairement à celui des collèges) ne prévoit pas de recrutement du directeur EPEP dans L'EN.

On ne doit pas avoir la même lecture sous les yeux...

"Le directeur EPEP applique les décisions du CA"

C'est le contraire qui serait bien anormal... S'il y a un conseil d'administration, c'est bien pour qu'il délibère, discute, vote et décide. Le directeur d'EPEP aura à appliquer ces décisions. Acutuellement, un dirlo d'une école a bien, parmi ses tâches diverses et variées à appliquer les décisions du conseil d'école, non ?

"Au CA la voix des enseignants est minoritaire"

Exact, un tiers, d'après ce texte. 4 enseignants ( 3 instits et le dirlo), 4 élus, 4 parents, 1 personnel. Soit, en gros, la même répartition que dans le secondaire. REt je n'ai jamais entendu dire que les Conseils Généraux, pour les collèges ou les Conseils Régionaux, pour les lycées, s'arrogeaient la main-mise sur les établissements...

"ce texte ignore complétement la notion de directeur d'école"

Ce qui est somme toute bien normal, puisque l'on parle d'établissement... Tu retrouveras le même dirlo sous le vocale "directeur d'établissement" tout au long du texte...

"Le texte ne prévoit pas de recrutement du directeur EPEP dans L'EN"

C'est faux... Article 8 de ce projet de loi: "le directeur de l'EPEP, désigné par l'autorité académique..;" Quelle que soit la toute puissance de nos IA, ils ne peuvent désigner que quelqu'un appartenant à l'EN...

Le texte est déjà assez complexe, les zones d'ombre nombreuses, les craintes à pointer fréquentes, pour ne pas s'amuser à y rajouter des choses ne s'y trouvant pas....

Thierry fabre

PS Tu peux partir du principe que j'ai lu le texte et que tout ce qui précède n'est en rien une provocation...

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Posté(e)

Amusant M Thierry Fabre.

Nous ne sommes pas d'accord sur une interprétation.

Le recrutement du directeur EPEP est une zone d'ombre, très inquiétante. On ne peut pas considérer cela comme suffisant. Le texte est extrèmement flou sur le profil de ce poste clé. Alors je ne vois pas l'intérêt de minimiser le danger de voir l'école aller vers un fonctionnement très local.

Je suis personnellement inquiet et je prétends avoir le droit de m'exprimer, que cela vous plaise ou non.

Posté(e)
Amusant M Thierry Fabre.

Nous ne sommes pas d'accord sur une interprétation.

Le recrutement du directeur EPEP est une zone d'ombre, très inquiétante. On ne peut pas considérer cela comme suffisant. Le texte est extrèmement flou sur le profil de ce poste clé. Alors je ne vois pas l'intérêt de minimiser le danger de voir l'école aller vers un fonctionnement très local.

Je suis personnellement inquiet et je prétends avoir le droit de m'exprimer, que cela vous plaise ou non.

Laisse tomber le Mossieu et le vouvoiement, collègue, on est entre nous...

Et désolé, je ne pense pas que "nous ne sommes pas d'accord sur une interprétation"

On est au contraire parfaitement d'accord avec les zones d'ombre sur le recrutement des dirlos d'EPEP. C'est effectivement un point central bien mal défini dans ce texte...

Par contre, je maintiens, avancer que "le dirlo ne serait pas de l'Educ Nat", comme tu l'as fait, c'est de l'invention pure et simple...

Ce texte est assez riche de dangers potentiels pour ne pas s'en inventer qui seraient imaginaires....

Autant donc rester sur le texte et en dicuter tranquillement, sans te croire obligé, à l'encontre de Namas ou à ma propre encontre, de tomber dans une agressivité bien inutile...

Thierry fabre

PS En relevant une erreur manifeste de ta part, je ne t'empêche en rien de t'exprimer, comme je ne m'empêche en rien de te le signaler à l'occase....

Posté(e)

Ca fait un bon moment que ça court, cette histoire d'EPEP. Demandez donc qui est au courant et ce que c'est. Et pourtant, le projet de loi est sorti.

De ce que j'ai pu lire et entendre jusqu'à présent, le directeur serait un élu et non quelqu'un de l'EN (on a fait la même chose avec les MDPH) et les enseignants qui feraient parti des différents conseils répondraient à des critères bien précis.

En tous les cas et là, ça reste mon avis: c'est la porte ouverte à bien des excès, à la mort de l'école publique et à la fin de la liberté d'expression au sein des écoles. Marche ou crève, collègue. Et si t'es pas content, tu peux toujours aller voir dans une autre école. La classe, quoi...

Posté(e)

Plutôt d'accord avec Thierry (on se tutoie hein ?).

Concernant la minorité au CA, les enseignants ne sont pas sous représentés puisqu'à part égale avec les autres personnels. Tout dépend si lon parle de majorité absolue ou de majorité relative. Oui, les enseignants représentent moins de 50 % du CA, mais comme toutes les autres catégories (30 %).

Concernant la présidence du CA, le directeur peut tout y fait s'y présenter. Ce qui représente une force pour l'ensemble des enseignants.

Enfin concernant le directeur, l'article 8 du projet de loi nous dit ceci :

Article 8

L’article L. 413-7 du code de l’éducation est ainsi rédigé : « Art. 413-7 : Les établissements publics locaux d’enseignement primaire sont dirigés par un directeur. Le directeur est désigné par l’autorité académique.

Perso, je ne vois pas comment l'inspection académique (c'est ça l'autorité en question) pourrait nommer un personnel autre qu'issu de l'Education Nationale. Elle n'a pas encore ce pouvoir.

Je rappelle les conditions de nominations actuellement en vigueur pour les directeurs d'école :

Décret n° 89-122 du 24 février 1989

Chapitre II

CONDITIONS DE NOMINATION ET D'AVANCEMENT DANS L'EMPLOI

DE DIRECTEUR D'ÉCOLE

Art. 8 (idem) – Les candidatures aux emplois de directeur d'école sont adressées à l'inspecteur

d'académie, directeur des services départementaux de l'Éducation nationale, dont relèvent les

instituteurs et professeurs des écoles.

Elles font l'objet d'un avis motivé de l'inspecteur départemental de l'Éducation nationale de la

circonscription.

Lorsqu'un instituteur et un professeur des écoles candidat à l'emploi de directeur d'école n'est

pas en fonctions dans une école, sa candidature fait l'objet d'un avis motivé de l'autorité

administrative auprès de laquelle il est placé.

Art. 9 (idem) – Les candidatures aux emplois de directeur d'école sont soumises à l'avis d'une

commission départementale présidée par l'inspecteur d'académie, directeur des services

départementaux de l'Éducation nationale ou son représentant et comportant un inspecteur

départemental de l'Éducation nationale ainsi qu'un directeur d'école.

Lorsque les effectifs des candidats le justifient, l'inspecteur d'académie, directeur des services

départementaux de l'Éducation nationale, peut constituer plusieurs commissions

départementales.

Les membres de la commission départementale sont nommés par l'inspecteur d'académie,

directeur des services départementaux de l'Éducation nationale parmi les fonctionnaires

exerçant dans le ressort du département.

La commission formule ses avis après examen des dossiers et un entretien avec chacun des

candidats.

Art. 10 (idem) – Dans la limite des emplois vacants et après avis de la commission

administrative paritaire départementale unique, compétente à l'égard des instituteurs et des

professeurs des écoles, sont nommés par l'inspecteur d'académie, directeur des services

départementaux de l'éducation nationale, dans l'emploi de directeur d'école :

1° les candidats inscrits sur la liste d'aptitude départementale ;

2° sur leur demande, les instituteurs et les professeurs des écoles qui avaient été nommés dans

un emploi de directeur d'école dans un autre département et qui sont nouvellement affectés

dans le département dans lequel sont effectuées les nominations ;

3° sur leur demande, les instituteurs et les professeurs des écoles qui, nommés dans le même

département ou dans un autre département dans un emploi de directeur d'école, ont occupé ces

fonctions durant trois années scolaires au moins.

En bref, que ce soit pour une école ou un EPEP, c'est bien l'IA qui nomme le directeur (issu de l'Education Nationale cela s'entend)..

Posté(e)

Ok Thierry.....le directeur de l'établissement serait, jusqu'à preuve du contraire ,un enseignant.et c'est tant mieux...

Cependant ,il est écrit ,dans l'article du Monde ,que j'ai pioché sur le site du GDID :bleh: ..que le président du conseil d'administration pourrait être soit le directeur d'établissement,soit un représentant des collectivités ..

Te connaissant bien,je sais que tu n es pas naïf au point de croire que certains de nos chers élus locaux ne vont laisser passer cette splendide occasion de mettre la main -mise sur l'école de leur commune......

dis moi si je me trompe... :sad:

J'aimerais tellement me tromper....!!!

Posté(e)

Je ne comprends pas d'où vient cette idée qu'un directeur EPEP puisse être issu de l'EN.

Aucune disposition, aucun article ne le prévoit. Il revient à l'IA de nommer. Cela ne signifie pas qu'il s'agisse d'un subordonné, mais qu'il donne son accord, je crois. Qu'il s'agisse d'un ancien directeur, cela "s'entendrait"... Ce n'est pas suffisant pour moi dans le cadre d'un texte de loi et heureusement, ce n'est encore qu'un projet de loi.

Donc, je souhaite que les "échanges stériles dont nous avons été capables" sur ce sujet évoluent dans le sens d'une véritable demande d'éclaircissement.

En effet, si le texte est flou, tout est permis. Les MDPH ont été créées de cette façon. Les fonctionnements y sont très variables en fonction de là où l'on travaille. Je ne prétends pas que c'est mieux ou pire que la CDES où je siegeais, mais j'affirme que lors des équipes pluridisciplinaires, il est visible que le fonctionnement est "approximatif".

La MDPH ne concernant que peu des élèves (quoique), cela est invisible pour beaucoup d'enseignants. Pour ce qui est des EPEP, tous sont directement concernés. Et malheureusement, utiliser les écoles comme vitrine ou comme terrain d'expérimentation est un travers plutôt courant chez les femmes et hommes politiques locaux. Le CA leur appartient déjà dans le texte, très clairement. Il serait bon, à mon avis, que l'exécutant du CA (directeur EPEP) ait une culture d'enseignant. Mais encore une fois, rien ne le prévoit.

Posté(e)

Un personnel "EN" n'est pas forcément un enseignant...

Que les futurs directeurs d'EPEP ne soient pas les directeurs d'école actuels est fort probable, se référer aux divers projets:

1. "désigné par l’autorité académique parmi les enseignants inscrits sur la liste d’aptitude aux fonctions de directeur d’école (…)"

2. "désigné par l’autorité académique dans les conditions fixées par le décret du 24 février 1989 susvisé"

3. (actuel projet) "désigné par l’autorité académique "

Plus aucune référence aux directeurs d'école... Faut-il préciser davantage ?

Posté(e)

A Pavi

Ok Thierry.....le directeur de l'établissement serait, jusqu'à preuve du contraire ,un enseignant.et c'est tant mieux...

Cependant ,il est écrit ,dans l'article du Monde ,que j'ai pioché sur le site du GDID ..que le président du conseil d'administration pourrait être soit le directeur d'établissement,soit un représentant des collectivités ..

Te connaissant bien,je sais que tu n es pas naïf au point de croire que certains de nos chers élus locaux ne vont laisser passer cette splendide occasion de mettre la main -mise sur l'école de leur commune...... dis moi si je me trompe...

J'aimerais tellement me tromper....!!!

Exact, et Cédelle, le journaliste du Monde, ne fait là que relater l'état exact du texte, qui prévoit, sous sa forme actuelle:

- un directeur d'établissement

- un président du CA

Le texte prévoit que ce président du CA serait élu et que seuls deux catégories de membres du CA pourraient postuler à cette place: les dirlos des EPEP et les élus locaux membres du CA.

Tous points qui tirent soucis...

- la présidence du CA devrait être assurée par le directeur d'EPEP

- elle ne devrait faire l'objet d'aucune élection ( où alors, cette élection devrait être ouverte à tout membre du CA...)

C'est du moins notre petit avis, aux collègues rassemblés dans une minuscule association dont le nom m'échappe...

Par contre, je te suis moins sur la volonté de main-mise des élus locaux et sur leur capacité à la mettre en oeuvre...

Même dans le cadre du projet de loi actuel, les élus locaux n'ont qu'un peu moins d'un tiers des voix. Tout le reste ( dirlo, instits, parents, personnels ) appartient à des personnes travaillant dans l'école ou proches d el'école (parents) . J ene les vois pas s'opposer au dirlo pour le seul chafoin plaisir de plaire au bon Maire...

Et où serait cette volonté, d'ailleurs ?

Je le répéte, les élus locaux ont dans les CA des collèges et des lycées un tiers des voix. Y ont-ils jamais pris le pouvoir et infligé mille sévices aux enseignants ?

Et, au fait, quels maires ?

Les maires des grandes villes ? Je vois mal le maire de marseille devenir président des 400 CA des 4OO écoles, il ne ferait plus que ça...

Les maires des communes rurales ? Pas grand danger non plus. Tout d'abord parce que les schémas intercommunaux, le partage quasi obligatoire de la compétence scolaire au sein d'un SIVOM favorise peu les volontés totalitaires d'un potentat local.

Ensuite, parce que, faudrait quand même pas l'oublier, les élus locaux sont des élus du peuple, non leurs bourreaux... Et plus le pouvoir est proche de l'électeur, plus la relation de proximité démocratique est forte. On trouve plus souvent des politicards au sénat qu'au fin fond du conseil municipal d'une petite commune de la Creuse ou de l'Aveyron...

Les élus ici décriés à tort et à travers, ce sont bien souvent des gens honnêtes attachés sincérement à l'école de leur commune. Leur faire par avance un procès de sorcellerie serait oublier bien vite que ce sont ces maires de communes rurales qui se bagarrent le mieux pour l'Ecole Publique...

Reste qu'effectivement, processus de choix des dirlos, situation des dirlos en poste actuellement, présidence du CA, etc... gagneraient à être éclaircis de façon positive...

Thierry Fabre

Posté(e)

Au delà de cette discussion sur l'interprétation du texte(qui est bien certainement voulue car je pense également que ce ne seront pas d'anciens dirlos) sur qui dirigera, ce qui m'ennuie surtout c'est le fond du problème : j'ai l'impression à vous lire que la fonction est nécessaire. Nécessaire à quoi : créer une strate supplémentaire de personnel qui fera tt ce que les IEN ne veulent pas faire ( compilation de chiffres SMA, acc. éducatif, 60h, d'indicateurs...etc) et donc on aura des dirlos à 2 vitesses : la base telle qu'aujourd'hui mais avec une fonction d'exécution(certains diront que çà ne changera pas beaucoup, quoique...) sans plus de 'statut' qu'aujourd'hui et les autres. C'est l'entrée de la gestion bureaucratique telle que le citoyen l'exècre aujourd'ui à tous les échelons, de la municipalité à l'agglo....

Je ne crois aucunement à la notion de projet partagé SUBI et je pense que celà ne fera que contribuer à une forme de 'déresponsabilisation' due à l'éloignement des prises d'orientation et de fonctionnement (bien loin de l'autonomie souhaitée par certains). Et quand je vois qu'une certaine 'petite asso' comme dirait Thierry Fabre dont on pouvait comprendre la revendication d'encadrement des missions, cautionne cette démarche voire l'initie(rdv avec les dépositaires de loi par ex), je pense que nous ne partageons pas les mêmes valeurs et je remarque que les discours originaux sur la gestion de proximité(il n'y a pas forcément plus de proximité dans 3 écoles de ville-3x6- qu'en campagne), la pléthore de personnel hors murs(cpc...) ont bien évolués...

Posté(e)

A Balkis...

j'ai l'impression à vous lire que la fonction est nécessaire.

C'est uen bonne lecture...

Nécessaire à quoi : créer une strate supplémentaire de personnel qui fera tt ce que les IEN ne veulent pas faire ( compilation de chiffres SMA, acc. éducatif, 60h, d'indicateurs...etc)

Faut sortir un peu, Balkis. Tout ce que tu énumères, c'est, point par point, tout ce qu'un dirlo lambda a eu à faire à cette rentrée... Pas à craindre en la matière qu'un statut complique les choses...

je vois qu'une certaine 'petite asso' comme dirait Thierry Fabre dont on pouvait comprendre la revendication d'encadrement des missions, cautionne cette démarche voire l'initie(rdv avec les dépositaires de loi par ex),

Faux sur le premier verbe, vrai sur le second...

On ne cautionne rien, on n'est complices de personne. L'auteur de ce projet de loi est rapporteur de la commission des finances pour le budget 2009. Il a voulu traiter de la direction d'école dans son rapport et a donc invité la quasi totalité des syndicats enseignants et... notre-petite-asso-dont-le-nom-t'échappe. Nous y sommes allés, et y avons dit ce que nous avions à y dire. Seule différence entre nous et d'autres: nous sommes pour l'instant les seuls à avoir rendu public cette entrevue, à en avoir publié le compte-rendu et l'ensemble des documents et propositions que nous lui avons soumis. On espère que les syndicats enseignants, quels qu'il soient, auront à coeur d'avoir la même clarté et la même transparence...

Aucune caution donc, mais sans doute une initiation...

Bien que prétendre "initier" une idée soit un bien grand mot, il est certain que nous n'avons pas attendu ce député pour nous préoccuper de la situation des écoles. Dès sa création, en 2001, le GDID, dans l'article 1 de ses statuts se définissait comme une association voulant:

- contribuer à la création d'un statut des dirlos

- contribuer à la création d'établissements publics des écoles

Pas grande déviance de notre part sur ces deux points, en huit ans...

Et c'est bien le même souci d'une école réelle, existante juridiquement et administrativement, tout en gardant taille humaine pour les minots comme pour les parents et les collègues, qui nous a conduit:

- à refuser les projets de réseaux Darcos en 2004

- à refuser les EPEP en 2006

- à continuer à nous bagarrer pour que ce projet de loi évolue dans le bon sens (taille des EPE plis restreinte, pas de présidence du CA élue, sort des dirlos en poste actuellement, refus du statut d'emploi et demande d'un statut réel, etc...)

Il y en a qui parlent, il y en a qui font...

Thierry fabre

Posté(e)

Je viens de découvrir le GDID. Oui, après renseignement auprès des collègues, ce n'était pas arrivé jusque dans les petits départements où les directeurs enseignent. C'est un site extrémement riche en documents, textes commentés, ressources etc...

Merci donc à monsieur Favre pour ce travail.

Je comprends maintenant pourquoi après des années de lutte pour essayer d'obtenir un statut pour les directeurs, il est difficile d'accepter l'idée d'être peut-être écarté au moment où un statut de direction va être créé.

Mais, encore une fois, la question du recrutement du directeur EPEP mérite d'être éclaircie, car en matière de politique, ce qui semble "s'entendre" pour les uns fait souvent bien rire les autres.

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