CILOU Posté(e) 13 avril 2004 Posté(e) 13 avril 2004 p. 240 du Hatier : "Le procès peut être présenté comme enfermé dans des limites et situé de facçon globale. On parle dans ce cas de vision bornée ou non sécante. Le passé simple marque une vision bornée : Durant l'été 97, il écrivit son roman. La durée du procès est incluse dans l'été 97. L'auteur a commencé son roman et l'a terminé durant l'été. Le procès peut être présenté comme ouvert et sans limite. L'imparfait marque une vision non bornée : Durant l'été 97, il écrivait son roman. Le procès (écriture du roman) pouvait être déjà en cours et a pu se prolonger au-delà de la période mentionnée." Pour prendre un exemple qui nous concerne, bientôt on pourra considérer l'action de travailler le français pour le CRPE comme un procès à vision bornée. Parce que le 5 mai, ce sera FINI!
Nefer Posté(e) 13 avril 2004 Posté(e) 13 avril 2004 l'exemple donné par Cilou me fait penser à l'aspect du verbe : accompli ou non accompli. "Vision bornée et non bornée" jamais entendu parler !
Coccinelle Posté(e) 13 avril 2004 Posté(e) 13 avril 2004 Tentative de réponse: Vision bornée du procés: C'est borné dans le temps, on peut donc dire quand ça commence et quand ça finit. Par exemple le passé simple donne une vision bornée du procès. Exemples type: "Il vécut de 1842 à 1905". "Elle ferma la porte au moment de partir." Vision non bornée: L'imparfait donne une vision non bornée du procès, on ne peut pa délimitter l'action précisément dans le temps. Exemples:"Elle mangeait d'un bon appétit" "Il vivait là avec ses chèvres et ses moutons!" Voili, voilou, j'espère que c'est clair. Coccinelle
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