steph.stephy3 Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 Comment se fait-il que des organisations syndicales reçues à plusieurs reprises au ministère n'aient pas demandé une "information lexicale" sur les mots "sédentarisation" et les implications de ce vocable sur les fonctions des personnels ? Que certaine délégation n'ait pas réagi lorsque le ministère a déclaré ne pas vouloir recréer des classes de perf, disparues depuis des lustres ? Pourquoi ne trouve-t-on pas un compte rendu intégral des audiences sur les sites syndicaux ?a+ JBB Peut-être parce que les syndicats sont de mèche avec cette grande mascarade ??? Du copinage ? Des intérêts personnels ? J'ai du mal à y croire...
JeanLatreck Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 Comment se fait-il que des organisations syndicales reçues à plusieurs reprises au ministère n'aient pas demandé une "information lexicale" sur les mots "sédentarisation" et les implications de ce vocable sur les fonctions des personnels ? Que certaine délégation n'ait pas réagi lorsque le ministère a déclaré ne pas vouloir recréer des classes de perf, disparues depuis des lustres ? Pourquoi ne trouve-t-on pas un compte rendu intégral des audiences sur les sites syndicaux ?a+ JBB Peut-être parce que les syndicats sont de mèche avec cette grande mascarade ??? Du copinage ? Des intérêts personnels ? J'ai du mal à y croire... Tu as du mal à y croire comme la majorité des enseignants qui ont voté pour ces syndicats-là, ceux qui ont signé les protocoles de discussion et les relevés de conclusions, et qui se refusent toujours à demander le retrait des décrets Darcos...
JBB Posté(e) 23 décembre 2008 Auteur Posté(e) 23 décembre 2008 Trouvé sur le site de la FNAME, les comptes rendus des audiences : Le SGEN-CFDT, le SE-UNSA et le SNUIPP ont été reçus, séparément par le MEN ------------------------------------------------------------------------------ Le Sgen-CFDT a été reçu en audience par Xavier Darcos vendredi 5 décembre 2008. Parmi l'ensemble des sujets abordés, il a évidemment été question des RASED. Pour résumer : le ministre semble avoir conscience d'être en posture difficile et de devoir infléchir ses projets pour pouvoir en sortir. Il dit que la sédentarisation de 3000 postes n'est pas le prélude à une mesure similaire pour l'ensemble des postes, qu'elle ne concernera pas les zones rurales mais consiste à cibler les écoles en situation particulièrement difficiles et à faire ensuite le bilan de cette action renforcée pendant l'année 2009-2010 avant d'envisager la suite. Nous lui avons répondu que cela pouvait être envisagé mais que la question centrale était de préciser le contenu du mot « sédentarisation ». Il ne peut être compris aujourd'hui que comme une suppression et pour qu'il en soit autrement, il faut que les collègues ne soient pas affectés devant des classes ordinaires mais au contraire sans classe et dans le respect de la mission définie par leur qualification professionnelle. Le ministre nous a demandé ce que nous penserions d'une affectation sur deux mi temps dans la même école : mi temps en classe et mi temps sur leurs fonctions de maîtres spécialisés. La réponse du Sgen-CFDT a été de dire que cela n'était pas suffisant parce que cela contient toujours une remise en cause inacceptable des compétences professionnelles de ces collègues, parce que cela réduit de moitié leur action spécialisée, parce que la mise en oeuvre de ce type d'articulation serait très difficile et que les personnels concernés ne s'y engageraient vraisemblablement pas. Le ministre a conclu cette partie de l'audience en disant qu'il fallait négocier sur cette question. Il fera donc certainement rapidement des propositions en ce sens mais la marge de manoeuvre est étroite puisqu'il dit avec force ne pas pouvoir sortir du cadre budgétaire qui lui est imparti. S'il revient sur les 3000 suppressions, il lui faut donc trouver ailleurs son équilibre budgétaire. Reste à savoir ce qu'il décidera in fine et à juger sur pièce. Du point de vue de l'action, cela nous conforte dans l'idée qu'il faut continuer à saisir l'opinion publique et à rencontrer et convaincre les parlementaires et les élus locaux. Ensuite, dans le cas de figure où Darcos maintiendrait son projet de "sédentarisation", ce sera au niveau local des IA que les décisions de réaffectation se prendront dans les ctpd et les capd, où il existera encore un espace pour défendre les missions des personnels des RASED et leurs conditions de travail." amicalement Michelle Zorman Joël Devoulon ---------------------------------------------------- Le SE-UNSA a été reçu par le MEN le 05/12/2008. Globalement, l'audience avec Darcos, qui, pour l'UNSA Education, s'est déroulée le 5 décembre au matin, a été plutôt décevante. Face à la véritable crise dans laquelle se trouve plongée l’Ecole et ses enseignants, le SE-UNSA a demandé à Xavier Darcos de mettre un terme à la politique du fait accompli et de la marche forcée, singulièrement dans le premier degré. Nous avons indiqué au ministre que, pour une grande majorité d’enseignants, sa parole était fragilisée et qu’il en découlait que toute mise au point orale de sa part quant à sa politique nécessitait désormais d’être crédibilisée par des actes. Le bilan concret de cette entrevue se résume à trois points : - Le ministre a dit clairement sa volonté de ne pas porter atteinte à l’école maternelle scolarisant tous les enfants à partir de trois ans. - Concernant les RASED, il nous a dit, là aussi clairement, qu’il ne porterait pas atteinte aux réseaux au-delà des 3000 emplois promis à « sédentarisation ». Il a proposé que se mette en place un groupe de travail sur la difficulté scolaire (il envisage la formation de 40 000 enseignants au traitement de la difficulté scolaire sur 5 ans) et que, dans ce cadre, soient examinées les missions confiées aux enseignants spécialisés « sédentarisés ». - Enfin, concernant les EPEP que nous citions comme exemple d’un nouveau passage en force à ne pas commettre, il a fait comprendre que, nonobstant la proposition de loi émanant d’un groupe de trois députés, il n’ouvrirait pas ce dossier. La nécessité de poursuivre la discussion sur la formation des maîtres, rappelée par le ministre, ne peut décemment pas apparaître comme une grande nouveauté puisqu’il ne s’agit que de se conformer au protocole de discussion dont nous sommes signataires. En résumé, les « ouvertures » que nous étions venus chercher sont ténues. Toutefois, concernant les RASED qui nous préoccupent ensemble, il faut retenir que la parole du ministre confirme ce que nous a dit le sous-directeur de la DGESCO, qui était commis à nous recevoir, mercredi dernier, pour le dépôt des pétitions. Notre analyse, mais c'est celle du SE-UNSA que l'on peut ne pas partager, est bien qu'il s'agit d'une forme de recul sous la pression de notre mobilisation. Le ministre se retrouve, du coup, en pleine contradiction avec son projet de "sédentarisation". Fixer les 3000 dans des classes ordinaires à temps plein, c'est rendre impossible toute aide spécialisée aux enfants qui en auraient besoin dans l'école. Mais maintenir en même temps les RASED, c'est aussi légitimer les aides spécialisées... Du coup, il devient incompréhensible, alors qu'on affirme l'utilité des aides spécialisées, d'en conclure qu'il est urgent d'en priver les enfants des écoles les plus en difficulté puisque c'est précisément là qu'on est censé y sédentariser 3000 collègues ! Il nous semble donc, cette entrevue avec Darcos le confirmant, qu'il y a là une brêche dans laquelle nous avons peut-être intérêt à nous engouffrer. Bref, en tout cas, il nous semble important de pouvoir en discuter ensemble pour réfléchir aux suites à donner à notre action. Nous en profitons donc pour donner logiquement notre accord à la proposition d'Emmanuel Guichardaz pour une rencontre mercerdi 17 après-midi. Bien cordialement Luc Bérille et Nelly Paulet ----------------------------------------------------- Objet : [rasedavenir] Compte rendu audience FSU chez Darcos... Compte rendu de l’audience du 4 décembre fait par Gérard Aschiéri X. Darcos a placé d’emblée le cadre de l’audience : il a donné quelques signes (maternelles…) mais réaffirme l’engagement à aller vite inscrits dans le programme présidentiel. Il a donc le devoir de réformer vite sans forcément le faire « contre l'avis des personnels ou sans eux ». Dans toute la suite de la discussion il cherchera à rassurer, protestant de ses bonnes intentions, mais sans jamais remettre en cause les choix gouvernementaux qu’il dit assumer aussi bien en termes de budget que de calendrier ou de contenu des réformes. C’est ainsi que la question du budget est balayée par un renvoi aux arbitrages gouvernementaux confirmés par le discours de Douai de N. Sarkozy. Nous avons commenté la gravité de la situation, le mécontentement généralisé du monde éducatif, le mauvais traitement de l’échec et des inégalités sociales , la remise en cause des droits syndicaux. Et nous avons fortement insisté sur l’insuffisance du dialogue social : le ministre demandant des exemples nous avons pris le dernier en date : les horaires de bac pro présentés à la commission des lycées du CSE sans la moindre concertation préalable et qui diminue fortement la présence de certaines disciplines et qui posent de nombreux problèmes (annualisation, autonomie des établissements, …). La discussion a montré que son cabinet avait choisi de ne se concerter qu’avec les signataires de l’accord sur les bac pro, pourtant minoritaires. Le ministre a semblé surpris du sort réservé à l’EPS dans ce cadre et donné consigne de revoir la question mais n’a pas répondu à notre demande d’un report de l’examen du texte par le CSE. Puis nous avons passé en revue les dossiers généraux : postes, masterisation, revalorisation, précarité, agence sur le remplacement, droit syndical. Dans les réponses du ministre, toujours une volonté de rassurer mais aucune remise en cause des décisions prises. Pas de moratoire sur les suppressions de postes. Pas de report du calendrier pour les concours (nous soulignons la demande forte de report d’un an qui vient de nombreux universitaires ; il nous répond que la CPU et la CDIUFM lui disent que le calendrier est tenable) ; ouverture du dossier de la revalorisation sans date donnée ; quelques éléments plus précis sur les non –titulaires (dispositif REP à travailler dans le cadre de la masterisation, reconduction des contrats des AVS ayant eu un premier contrat de 3 ans) , assurance que l’agence sur le remplacement n’est qu’un service de pilotage composé d’une vingtaine de fonctionnaires et qu’il n’y a aucune volonté de privatisation. Concernant les droits des élus et le paritarisme, il affirme ne pas comprendre les problèmes soulevés par la circulaire sur les mutations et la mise en place et le rôle de la plateforme privée de renseignements, ; il s’agit de "rassurer" plus vite les professeurs en attente d’affectation,les CAP se tiendront et joueront leur rôle. Il se dit attaché à ce que les mutations passent bien devant les CAP, à la différence de la Fonction Publique. La discussion a ensuite porté sur les divers secteurs, le ministre précisant qu’il recevrait les syndicats nationaux concernés. Une discussion assez longue et « franche » est intervenue sur le premier degré avec Gilles Moindrot . Sur les maternelles le ministre s’est longuement défendu de toute mauvaise intention, soulignant que ses propos avaient été sortis de leur contexte et affirmant sa position : la situation actuelle de la scolarisation des enfants en deça de 3 ans sera maintenue, les jardins d'éveil n'étant plus d'actualité ». Sur les RASED il a affirmé qu’il y avait un vrai sujet de discussion (conception du service et des missions, formes que doit prendre la lutte contre les difficultés scolaires), qu’il n’avait pas les moyens budgétaires de revenir sur les 3000 suppressions et mais il s’est défendu de vouloir faire disparaître les RASED, confirmant par exemple le maintien de la formation des maîtres E et G. Il a proposé que l’on fasse cette année une expérimentation de la «sédentarisation » en envisageant une éventuelle concertation sur les modalités de mise en oeuvre. Nous ne nous sommes pas engagés dans une discussion sur ce point. Pour les lycées et collèges, Frédérique Rolet est revenue sur la politique éducative globale (accompagnement éducatif au collège, traitement des difficultés scolaires, conditions de travail), le dossier des lycées (calendrier, refus de la profession d’une réforme qui met en péril des disciplines, fait que certaines ne seront enseignées qu’un semestre- SES par ex-, absence de visibilité sur le cycle terminal etc…) Là aussi, peu de réponses : le ministre reconnaît des divergences sur l’analyse des formes de l’échec scolaire et les réponses à apporter, réaffirme que la seconde sera mise en place à la rentrée 2009, que certaines questions ne sont pas encore tranchées (place des SES par ex.). Sur la revalorisation, le ministre considère que des sommes importantes ont été débloquées dans des formes diverses de revalorisation (primes, HS). La FSU a rappelé sa contestation de ces formes individualisées qui opposent les collègues entre eux. Les autre dossiers (orientation, non enseignants, enseignements professionnels…) n’ont pu qu’être cités ou effleurés faute de temps. En résumé, un changement de ton mais une fermeté sur les orientations et aucun engagement précis. A+ JBB
harpège Posté(e) 21 janvier 2009 Posté(e) 21 janvier 2009 Voici la "sauce toulousaine" de la fermeture des postes RASED : "Bonjour Notre inspecteur nous a réunis hier pour nous informer de la situation des rased pour l'an prochain et de la possible décision de l'IA de TOULOUSE de fermer tous les postes RASED de l'académie, PSY SCOL y compris afin de réorganiser l'ensemble des secteurs et des circos avec le nouveau personnel (IEN compris car création de trois postes IEN sur l'académie: un à la commission technique des maternelles , un autre sur l'ASH et un en plus). En sorte que toute personne de réseau devrait participer au mouvement dont les règles seraient susceptibles de changer. (postes à rofils, flèchés etc...) Les syndicats doivent être informés la semaine prochaine. (non négociable nous a-t-il précisé) Du point de vue de la gestion de la misère cela se conçoit... Du point de vue des postes supprimés, cela évite aux IEN de choisir qui ils désignent comme victimes (car à cela ils ne s'y résignent pas...) Du point de vue des réclamations, il ne poura pas y en avoir car du fait de la participation au mouvement, les personnes n'auront que des postes qu'ils auraient demandés: en effet, le mouvement se faisant à l'aveugle cette année (pas de 1er tour avec inscription d'intention de changement), il est recommandé de demander (si ce ne sera d'ailleurs "obligatoire" )un grand nombre de postes. Il nous a montré aussi les pressions auxquels ils sont soumis (audits...) et en particulier l'enquête qui leur est exigée quant à la passation des éval CM2 ( des dizaines de tableaux à remplir). Il nous a parlé de la "peur" qui règne chez eux, climat délétère de menaces... Ils sont aussi dans l'obligation de fournir des postes vacants dans les écoles en difficultés, s'il n'y en a pas ils doivent fermer des postes de titulaires. Les écoles prioritaires sont déjà décidées en vertu des évaluations sixièmes effectuées cette année dans les collèges ainsi que le nombre de "sédentarisations". Enfin il nous a confirmé que les 3000 postes étaient d'ores et déjà fermés (loi de finance) et que donc la sédentarisation correspond pour moitié à un retour dans les classes ordinaires flèchées dans les écoles prioritaires avec une obligation d'être en sus maître ressource!! et pour les autres en maître surnuméraire dans les mêmes écoles à titre provisoire.. Ces personnels les uns et les autres ne feraient plus partie des dispositifs rased. Il était désolé et trés triste... Nous aussi!"
nane95 Posté(e) 25 janvier 2009 Posté(e) 25 janvier 2009 Voici la "sauce toulousaine" de la fermeture des postes RASED : voici la sauce du 77 http://sauvons-lecole.over-blog.com/article-27149060.html
nadiaska Posté(e) 26 janvier 2009 Posté(e) 26 janvier 2009 aux dernières nouvelles: moins 10 postes rased en aveyron... ( et 0 créations, 2 postes en associations en moins, pour plus de 120 élèves en plus)
gihem Posté(e) 26 janvier 2009 Posté(e) 26 janvier 2009 Dans le Bas-Rhin, 59 suppressions: 27 E, 19 G, 13 postes de soutien.
LetsGo Posté(e) 26 janvier 2009 Posté(e) 26 janvier 2009 Dans le Rhône, on s'achemine vers 64 postes de RASED supprimés (sur environ 300). Ces 64 postes sont annoncés ainsi : -21 départs à la retraite non remplacés, -17 enseignants de RASED "sédentarisés" sur des postes d'adjoints dans l'école où ils officiaient, -12 enseignants de RASED "sédentarisés" sur des postes d'adjoints dans d'autres écoles que celles où ils intervenaient, -14 enseignants de RASED "sédentarisés" sur des postes REP. Comme le disait quelqu'un sur ce post, dommage que "les syndicats" se soient réjouis de l'annonce floue de 1500 postes de RASED sédentarisés et 1500 supprimés. Car, en prenant pour exemple le Rhône, la sédentarisation est bien synonyme de suppression ! Mais, comme le disait un autre intervenant de ce post, certains syndicats ne se sont pas emballés à l'annonce de ces "sédentarisations" (tous comme ils ont appelé, dès le début, au retrait des décrets Darcos). Il serait temps que nous nous rendions compte que "les" syndicats ne sont pas "tous" les syndicats, qu'il existe autre chose que la CFDT, l'UNSA et le SNUipp, tous frileux, peu vindicatifs, prenant pour victoire ce qui n'en est pas. Alors, regardons les "petits" syndicats (SUD, CGT Educ'Action, Snudi-FO,...) et, si leur discours nous convient mieux que ceux qui vivent sur leurs acquis, syndiquons - nous et agissons ! Pour en revenir au post qui nous intéresse ici, effectivement, nous nous sommes bien fait avoir, il s'agit bien de 3000 suppressions de postes de RASED !
JeanLatreck Posté(e) 26 janvier 2009 Posté(e) 26 janvier 2009 il existe autre chose que la CFDT, l'UNSA et le SNUipp, tous frileux, peu vindicatifs, prenant pour victoire ce qui n'en est pas. Alors, regardons les "petits" syndicats (SUD, CGT Educ'Action, Snudi-FO,...) Juste une précision: aux dernières élections, le SNUDI-FO est arrivé, au niveau national, devant le Sgen-CFDT... Le SNUDI-FO est désormais le 3e syndicat dans l'éducation, devant le SGEN. Tout cela pour dire qu'il n'est pas vraiment un "petit" syndicat. Là n'est toutefois pas le plus important: rendez-vous le 29 dans toutes les manifs ! Ce sera une déferlante, et là il y en a quelques-uns qui commencent à avoir sérieusement peur...
lul Posté(e) 26 janvier 2009 Posté(e) 26 janvier 2009 Bon alors pour répondre à la question, si j'ai bien compris ce qu'on m'a expliqué ce soir. Notre académie (pays de Loire, soit 5 départements) présente la particularité d'avoir réussi à maintenir le nombre de postes prévus (58). Ceci sans doute le fruit du rapport de force. Mais en ce qui concerne le déploiement de ces postes ensuite sur tout le territoire de l'Académie, sachant que par exemple la Vendée et le Maine et Loire étaient particulièrement déficitaires, ce maintien ne profite pas du tout à la Loire-Atlantique : dans le 44 suppression de 24 postes (E, G, psys), par contre 23 postes E ne seront ni fléchés, ni sédentarisés ce qui est aussi le fruit du rapport de force. Bilan mitigé quoi...
JBB Posté(e) 27 janvier 2009 Auteur Posté(e) 27 janvier 2009 Bilan mitigé quoi... Juste de quoi "gérer" la pénurie... JBB
romy Posté(e) 27 janvier 2009 Posté(e) 27 janvier 2009 sincèrement, moi, je vois ce qui ce passe dans mon école.... pas de psychologue, elle est détachée d'ailleurs uniquement pour les cas d'orientation ou handicap. notre maîtresse E a été hier gracieusement convoquée par l'IA pour l'informée de son inutilité.... alors que notre circo est la plus étendue.... voilà, ou nous en sommes.Il ne va rester que notre maîtresse G à 75%. pour une population de plus en plus en difficulté même en campagne. je serai dans la rue jeudi, mes collègue aussi seront toutes là. Je ne fais pas grève tout le temps mais franchement,je crois que notre monde va de mal en pis. pfff
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